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Jeu 29 Jan 2015 - 21:56
★Miranda Dmitriev★
   

MIRANDA DMITRIEV Eli-ay10


♬ Petites Informations ♬


Nom : Dmitriev
Prénom : Miranda.
Surnom : Mimi. Je déteste qu'on m'appelle ainsi, ou pire encore : Mir '.
Age : 20 Ans

Signe Astrologique : Cancer
Origine : Russie.
Chambre : Je m'en fiche royalement, de toute façon, je leur parlerais pas.
Travail : Je suis étudiante, mais je songe sérieusement à devenir mannequin.

Ce qu'elle aime : Véronique, la mode, avoir raison, rester flemmarder chez moi.
Ce qu'elle n'aime pas : Véronique, avoir tord, être homosexuelle.

Autres : Personnage prédéfini de Véronique Fink. // RP à la première personne.
Avatar : Eli Ayase, de Love Live !

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♬ Parlez Moi De Vous ♬


HISTOIRE:
Une mère russe avec un penchant sérieux pour la vodka, un père russe ex du Komitet Gossoudarstvennoï Bezopasnosti. Que voulez que donne la fusion de ces deux personnes que tout oppose ?

Je suis née en plein été russe. Il parrait que je n'ai pas pleuré. Peut-etre m'étais-je déjà faite à l'idée que ce monde est hostile envers les faibles. Toujours est-il que ma naissance n'est pas une expérience des plus banales. Ma mère se plaisait à dire que dans le liquide amiotique, il y avait des résidus de vodka. Mon père lui, disait que j'étais née seule, sans aide des sages-femmes et des médecins, et qu'à peine quelques minutes après, je parlais déjà. Moi, je ne les ais jamais cru. Ni l'un ni l'autre. J'étais peut être le résultat d'une aventure des plus bizarres, mais je n'était pas l'enfant modèle dont ils rêvaient. J'étais une jeune fille des plus banale.

Ma petite enfance, je l'ai passée en russie. Nous vivions dans un petit taudis, qui tenait à peine. Ma mère passait ses journées à l'intérieur à boire pour oublier sa honte. Honte de quoi ? Honte que mon père ait perdu son statut privilégié quatre ans avant ma naissance. Avec la dissolution de l'Union des Républiques Soviétiques Socialistes. Mon père lui, il restait à la maison, supportant les reproches de ma mère. Il avait peur. Je me rappelle des fois qu'il me serrait dans ses bras, et il tremblait. Lui, ancien sergent de la Police Politique. Mais je n'avais pas conscience de ça. Pour moi, пaпoчka était simplement mon père, je n'avais pas idée de ce qu'il avait pu faire dans le passé. Et pendant que mes parents se lamentaient à la maison, moi, je jouais dehors. Seule, ou avec d'autres enfants, peu m'importais.

Un soir, alors que je dormais, ma mère m'a réveillé. Mon père lui, semblait très inquiet. Il lui a dit de m'emmener loin. Alors, pour la première fois, ma mère ma portée dans ses bras. Ce qu'il s'ensuivit n'est pas réjouissant mais je ne le compris que plus tard. Mon père avait été trahis par un ancien, et il avait été abattu, sans procès. Ma mère avait trouvé domicile chez un « passeur ». C'est comme cela que nous sommes rentrés en Europe, plus précisément, en Hongrie. Avec des faux papiers, et une nouvelle vie. Ma mère avait arrété de boire, et j'ai du commencer à aller à l'école.

Je ne connaissais personne. J'ai du rattrapper tout le programme de primaire, mais aimant apprendre, je m'en sorti vite. En deuxième année de collège, j'avais réussi à rattrapper mon retard. Je commençais meme à m'ouvrir aux autres. Et c'est là que je la rencontra. Je la voyais, elle regardait souvent vers un garçon. Un garçon il fallait l'avouer, plutot mignon. Sportif, et il rigolait beaucoup. C'est alors que moi aussi je commença à regarder ce garçon. Pas du tout timide, je commençais meme à jouer au ballon avec lui et ses amis, et un jour, je me décidais de lui faire ma déclaration. Mais je ne savais pas ce qui allait s'en suivre. Une fois mon rateau pris, je m'étais retourné et j'avais été confrontée aux yeux émeraudes de cette fille. Elle avait commencé alors à me parler dans un langage si fleuri que je n'avais pas su quoi répondre. Je m'était énervée aussi, et elle fini par m'agacer tellement, que mes doigts finirent par claquer contre sa joue, y laissant une marque rougie. Elle s'était tue sous le coup de la surprise et je n'avais pas bougé ma main. Mes yeux s'étaient agrandis, surprise par mon geste, je m'étais alors enfuie.

C'est à partir de ce moment là que tout avait dégénéré. Je n'allais plus en cours, je me confrontais avec ma mère, je trainais en ville. Mais je ne pouvais pas m'en empêcher. J'avais besoin de la voir. Je voulais m'excuser. Je m'en voulais. Réellement. Je la croisais souvent, en ville, à la boulangerie, à la bibliothèque. Je la croisais tous les jours. Mais elle m'évitait. Et ses mots n'étaient que poison. Mais plus elle me détestait, plus elle m'insultait, et plus je tombais amoureuse. C'est ainsi que notre routine s'est installée. On se croisait, elle m'insultait, je répondais. Et alors, je retrouvais un semblant de confiance en moi. Je repris donc les cours, tandis qu'elle, elle fut diplomée. Enocre un an et je la suivrais. C'était ma motivation secrète. « Une fois mon diplôme en poche, j'irais m'excuser. » Mais cela aurait été trop beau. Souvent je fixais mes doigts. Ces même doigts qui lui avaient causé du tord. Et ma poitrine se serrait. Je voulais la toucher. Je voulais la serrer dans mes bras. Je voulais l'embrasser. J'étais si amoureuse, que j'en avais peur. On se croisait, on aimait les mêmes choses, les mêmes vêtements. On en était presque identiques. Et pourtant on se détestait tellement. Il me semble meme que ma passion pour la mode est née en la regardant. J'aimais la voir parée de belles fringues, elle avait du goût mine de rien l'hongroise. Je me plaisais à me dire que je pourrais peut etre devenir modèle de mode. Mannequin, au vu de mon corps, peut etre était-ce là l'alternative pour qu'elle me voit ?

Puis ce fut le trou noir.

Un soir en rentrant de cours, je décidais de passer chez Véronique, pour une fois encore essayer de m'excuser. Mais ce fut un épais nuage de fumée et des pompiers qui m'ont acceuillis. Jamais je n'ai su qu'elle était toujours en vie. Pour moi, elle faisait partie des corps retrouvés dans le salon, piégés par les flammes voraces du feu destructeur. Je me souviens de mes larmes amères qui avaient coulées. Je n'avais au final, jamais pu lui dire comien je l'aimais. Une partie de moi s'en était allée en meme temps que ce poison de Véronique, qui avait bercé mon adolescence de rêves amoureux et désastreux. J'étais rentrée chez moi, les yeux tant rougis par les larmes que par la fumée étouffante du feu. Je me suis enfermée plusieurs jours dans ma chmbre, refusant tout contact avec l'extérieur. C'est d'ailleurs à cette même période que j'ai essayer d'attenter à mes jours.  C'est quand le nœud de la corde fut attaché à une poutre de ma chambre et que je fus montée sur le tabouret, prête à rejoindre ma douce hongroise, c'est là que je vis cette lumière. Aveuglante. Et une porte qui n'attendait que d'être ouverte. Je suis descendue de mon tabouret, espérant retrouver Véronique de l'autre côté de ce portail.


PHYSIQUE :
Je suis une jeune et belle russe de 20ans. Du moins, c'est ce qu'il parrait. Je n'ai pas de complexes particuliers. Je mesure un bon mètre soixante-deux, et si vous me les demandez, mes mensurations sont 88-60-84.
Blague à part, je suis du groupe sanguin B. J'ai des cheveux blonds mi-longs, qui ont tendance à onduler lorsque je les laisse détachés. Fait très rare, car j'aime les avoir relevés en queue de cheval, souvent tenue par un épais chouchou blanc. J'ai deux grands yeux bleus saphirs, ma foi forts jolis. Mon corps est plutot svelte. Je fais de la course régulièrement pour entretenir ce corps qui m'a été attribué. J'ai de la chance de ne pas avoir de stigmates de l'alcoolisme de ma mère. Ma peau est blanche, digne d'une russe ayant très peu profité de la chaleur du soleil.

Niveau vestimentaire, j'aime porter des fringues colorées, et souvent à frous-frous. Je n'aime pas les vêtements trop amples, qui à mon goût enlèvent toute notion de beauté à une femme. Je suis plutot féminine, mais rien ne vaut quand meme un bon jogging pour etre à l'aise ou pour courir. Mais ma tenue fard reste quand meme un bel uniforme scolaire ! Tout du moins, une mini jupette et une chemise blanche.

CARACTÈRE :
Je n'aime pas, à part mon footing quotidien, devoir me bouger. Me motiver à quelque chose est en général très difficile. Cependant, à grand coup de chocolat, on peut obtenir de moi certain efforts.  
Je suis plutot cultivée, bien que j'ai passé peu de temps en cours. Je me base sur des preuves pour parler, et je ne suporte pas avoir tord. C'est d'ailleurs quelque chose qui me fait très vite voir rouge : qu'on m'affirme que j'ai tord alors que je suis sure d'avoir raison. Je suis plutot prompte à la dispute, et je sais trouver un vocabulaire adéquat à toute situation. Cependant, il y a bien un sujet capable de me faire perdre pied et de me faire rougir. Mon homosexualité, que je me refuse d'admettre. Je serais capable de venir aux mains avec la première personne qui ose me dire que je suis lesbienne et pire encore, qui en aurait des preuves.

Autrefois, on aurait pu me qualifier d'extravertie. J'allais vers tout le monde sans la moindre honte et j'étais toujours souriante. Meme lors de mes rixtes verbales avec Véronique, je gardais accroché aux lèvres un petit sourire, souvent narquois quand il lui était adressé je dois l'admettre. J'aimais la mettre hors d'elle. J'aimais, en général, embêter le monde et j'étais de loin la première à rire et jouer des tours aux autres.

Mais depuis que j'ai perdu Véronique, je me suis exclue du monde extérieur. Je refuse tout contact avec quelqu'un, et je ne supporte plus le regard des autres. Courir est le seul moyen d'oublier ma perte, tant de mon grand amour, tant de mon sourire. Mais si je devais un jour la revoir, je pense que cette fois, je me ferais pardonner. Et plus encore, je ne la laisserais plus jamais sortir de mon champ de vision. Je ne pourrais pas supporter de la perdre à nouveau. Mais c'est utopiste n'est-ce pas ? Puisqu'elle est..Décédée.

CODE : VALIDE PAR KASSIE
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Miranda Dmitriev
Âme qui Rode ☂
Miranda Dmitriev
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Métier: Étudiante, envisage d'etre dans le mannaquinat.
Miranda Dmitriev
Ven 30 Jan 2015 - 23:41

Bienvenue parmis nous !


   Pour commencer, je trouve que ton nouvel avatar est à tomber  *,*

   Ton histoire comporte bien la demande de Véronique donc tu réponds bien à ce personnage prédéfinit. J’espère que tu retrouvera ton amour d’adolescente … Avant qu’une autre demoiselle ne vienne voler ton cœur !

   Je te valide ! Tu peux commencer à rp au portail. Je te  rappelle qu’aux cours de tes rp tu peux créer ton journal de bord.Tu es chambre numéro 31 en attendant une nouvelle arrivante…
Pour ton plus grand bonheur  MIRANDA DMITRIEV 629605

Kassie Rui.
MIRANDA DMITRIEV 3011239435
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Kassie Rui
Créatrice de nouvelles sensations
Kassie Rui
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https://yuri-etiopia.1fr1.net/t1645-kassie-rui
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  • Féminin

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Origine: Française
Métier: Etudiante
Kassie Rui
Ven 30 Jan 2015 - 23:46
M-E-R-C-I MIRANDA DMITRIEV 495474

(je te pikaléchouillerais pas, mais le MIRANDA DMITRIEV 555721 y est ~! )
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Miranda Dmitriev
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