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Lun 16 Fév 2015 - 23:03
★  Akiko Strömblad ★
   

AKIKO STROMBLAD Aki10


♬ Qui est-ce? ♬


Nom : Strömblad.
Prénom : Akiko
Surnom : Aki, Akko
Age : 19 ans

Signe Astrologique : Bélier
Origine : Suèdoise
Chambre : Avec une gentille colocataire s'il vous plaît
Travail : Guérisseuse

Ce qu'elle aime : Dessiner, écrire, chanter, les choses sucrées, la couture
Ce qu'elle n'aime pas : Les hypocrites, les conflits, se sentir entravée, le fromage

Autres : A une mèche blanche naturelle sur le côté droit de sa tête et des stigmates sur les mains
Avatar : Anna d'Arendelle- Frozen

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♬ Akiko n'est-ce pas? Voyons voir ce qu'elle raconte... ♬


She only wanted to fly...

Son histoire commence là où toutes celles des autres ont commencé, le plus banalement du monde: deux êtres se rencontrent par hasard, se connaissent, se découvrent, s'aiment et un jour décident de s'unir pour ne devenir qu'un, animés d'un feu ardent et passionné. Puis un petit être commence à se former dans le ventre de sa mère, timidement, lentement, avec une fragilité si effrayante qu'il doit rester neuf mois avant de pouvoir être touché sans le moindre risque. Voilà comment tout a commencé, comment Anna et Johan ont croisé leurs chemins et comment finalement, un beau jour de printemps, Akiko est venue au monde dans la ville de Västerås située à l'Ouest de la capitale suédoise.
Comment? Quelque chose vous choque déjà? Oh...oui, elle s'appelle Akiko mais n'a aucune trace de sang japonais, c'est étrange mais pas inexplicable! Sa mère Anna étant une amoureuse du Japon depuis sa plus tendre enfance, elle s'était toujours promise de nommer ainsi sa première fille. Et voilà qu'elle honorait sa promesse.
Les deux premières années d'Akiko n'ont rien d'assez intéressant pour qu'elles soient en détail racontées: comme toutes les aînées, elle était gâtée, chouchoutée, dorlotée par ses parents et avait leur pleine attention. Elle jouait dehors, dedans, s'inventant des histoires et montrait déjà un certain talent pour le dessin, reproduisant avec amusement ses héroïnes préférées. Une fillette banale en d'autres termes, si on oubliait bien sûr la mèche blanche qui ressortait sur ses cheveux roux et les curieuses tâches de naissance blanches ornant ses paumes. La nature a parfois un humour que le commun des mortels ne peut comprendre.

Puis un jour, les cris d'un autre enfant vinrent troubler ce quotidien bien rangé, bien tranquille: Kristoffer, son frère de deux ans son cadet, était venu au monde en un froid soir de décembre, aussi soudainement qu'elle même y était venue auparavant. Et elle le détestait, comme une enfant déteste quand on lui vole un jouet: plus personne pour la regarder, la complimenter, lui offrir poupées et livres...tout, absolument tout tournait autour de ce petit être fragile. Et ça, elle ne pouvait pas le supporter. Comme beaucoup d'enfants.
Puis tout s'enchaîna très vite finalement: l'année de ses trois ans, elle commença son cursus scolaire dans la maternelle de son quartier, puis en primaire. Et malgré sa jovialité et son sourire toujours présents, il y avait en elle comme un malaise, une sensation désagréable que quelque chose dans sa vie n'était pas à sa place: son frère. Et bien vite, elle compris pourquoi cette sensation étrange restait vive dans son esprit malgré les années passées depuis la naissance de son cadet.

~~~~~

"-Maman? Tu as pleuré? Elle a dit quoi la maîtresse? Il travaille pas bien Kristoffer?"

A nouveau, sa mère avait sangloté puis s'était réfugiée dans sa chambre, là où Akiko n'osait pas rentrer, par respect mais surtout parce qu'elle savait que cette pièce lui était interdite. Aussi, elle resta là, sans rien dire devant cette porte close avant de retourner, la tête basse, à ses devoirs. Puis après quelques heures,Anna vint la voir, toquant doucement à sa pote comme à chaque fois lorsqu'elle voulait dire à sa fille quelque chose d'important...ou de grave. Elle s'était assise sur le lit d'Akiko qui dessinait en chantonnant sur son bureau, écoutant d'une oreille distraite sa mère qui lui parlait d'une voix rauque. De cette discussion, elle ne retint qu'une phrase, une seule qui resta à jamais encrée en elle:

"Ton frère est autiste."

Depuis ce jour, la relation entre Akiko et Anna ne fit que se dégrader progressivement, comme un mal qui vous ronge de l'intérieur et qu'aucune pilule ne parvient à calmer. Anna devint vite accaparer par son fils, ses crises, ses hurlements, ses angoisses... pour finalement délaisser sa propre fille qui ne vit dès lors en Kristoffer qu'un gêneur, une ignominie à faire disparaître pour enfin avoir la paix. Une colère qu'elle reportait sur lui injustement et qui n'était en vérité dirigée que vers ce qu'on appelle "destin" ou "Dieu" pour les plus croyants. Mais ça, comment s'en rendre compte quand on sort à peine du cours moyen?
Pardon? Oh, vous pouvez la juger si bon vous semble après tout! Ce n'est pas aimable de votre part de le faire à ce stade de l'histoire mais je ne peux pas vous en empêcher. Bien..., puis je continuer?

Akiko entra au collège, comme deux bonnes centaines d'enfants cette année là, sans aucune hâte, sans vraiment s'intéresser à ce changement radical dans son mode d'apprentissage. Elle ne se sentait pas légitime, elle avait l'impression d'être si différente de tous les enfants qui l'entouraient, ses yeux lui renvoyaient non pas un monde d'adolescente mais presque un monde d'adulte, créant entre elle et les autres un fossé immense. Pourtant, cette sensation d'être étrangère dans sa propre classe ne l'empêcha pas de devenir amie avec d'autres, ayant eux aussi un passif difficile. L'un était adopté, l'autre avait perdu sa mère, le troisième était orphelin...bref, une joyeuse petite bande dans laquelle la demoiselle se sentait à sa place, enfin comprise et enfin... vue. Le collège devint l'échappatoire, le temple sacré où elle pouvait oublier, le temps d'une journée, ses problèmes.Mais hélas...les bons moments sont toujours trop courts. Et lorsqu'elle passait le seuil de sa maison, elle se retrouvait face à ses démons et tous les soirs finissaient par se ressembler.

"-Akiko, je sors ce soir avec ton père, il faudra que tu rentres tôt, tu prépareras le dîner et tu t'occuperas de ton frère."

"Comme toutes les semaines" pensait la concernée en serrant les dents, le sac sur le dos, prête à courir jusqu'au collège en riant avec ses amis. Pas de chance, elle avait prévu de sortir avec une de ses camarades ce soir, de se changer les idées, de redevenir une petite fille de onze ans...mais sa mère en avait décidé autrement. Depuis ce jour où elles avaient discuté dans sa chambre, où elle lui avait annoncé la terrible nouvelle, Anna n'était plus la même: frustrée, pessimiste, excessivement autoritaire, étouffant Akiko d'exigences, d'interdits, d'ordres,  elle était devenue une femme castratrice en quête de la liberté perdue de sa jeunesse. Et dans cette quête stérile, c'était à sa fille aînée d'assurer ses arrières dès qu'elle rentrait de l'école, quitte à faire une croix sur ses propres projets: s'occuper de son frère était devenu chose normale, à tel point que Kristoffer l'écoutait et la craignait plus elle que ses propres parents.
Et c'est dans ce foyer où tout était inversé, dans cette ambiance lourde où elle devait faire face à bon nombre de réflexions de la part d'Anna, qu'Akiko entra au lycée. Nouveau départ, nouvelle vie, et un changement si brutal qu'elle en devint fragile. Elle qui se croyait faite en béton réalisa qu'elle n'était en vérité qu'une grue en papier dont les ailes avaient été arrachées, impression renforcée par ses blessures d'enfance et cette sensation d'avoir été depuis toujours enchaînée au handicap de son frère. Alors un jour...Oui, elle tenta l'irréparable à grands coups de couteau et colora le carrelage de sa salle de bain d'un rouge étincelant. Puis tout devint noir d'encre.

~~~~~

"-Pourquoi avez vous tenter de mettre fin à vos jours?"

Assise face à une psychologue antipathique, la regardant avec sévérité et dédain, Akiko reste muette: pourquoi? Elle savait très bien mais ne voulait pas mettre des mots sur cette douleur qui la dévorait toute entière, elle n'avait pas le droit. "Il ne faut pas le dire Akiko, personne ne doit savoir pour ton frère.", les mots de ses parents retentissaient dans sa tête et empêchaient sa voix de monter jusqu'à sa bouche. Elle restait muette, le regard dans le vide, telle une poupée dénuée d'âme. Puis elle rentrait à la maison. Et elle entendait sa mère la houspiller, la dénigrer sans que personne n'intervienne, sans que personne ne la protège. Une lapidation sans pierres...quoique les mots de sa mère étaient aussi tranchants que des rochers.

~~~~~

"Bonjour! Je m'appelle Hortense, je viens d'emménager dans l'appartement voisin. Ravie de te rencontrer."

Akiko restait muette devant cette demoiselle souriante, de quelques années son aînée, qui venait de sonner à la porte, ayant du mal à assimiler ce qu'elle venait de lui dire sur un ton joyeux. Ces yeux, ces cheveux blonds lisses et brillants, ce sourire chaleureux...elle ne parvenait pas à en faire abstraction et à se concentrer sur les propos que tenait cette jeune femme. Elle aurait pu l'insulter que la suédoise ne l'aurait pas remarqué! Sans s'en rendre compte, elle venait de succomber à ce sentiment petit bourgeois, ridicule et imprévisible qu'on appelle communément "l'amour", elle venait de tomber amoureuse d'une femme, chose qu'elle n'aurait jamais imaginé, même avec toute l'imagination du monde. Et pourtant...."life is life" comme dirait certains et très vite, toutes deux devinrent d'excellentes amies en plus d'être respectivement professeure d'anglais et élève en première. Akiko comptait sur Hortense pour la supporter, la réconforter et la plupart de son temps se voyait tuer dans cet appartement moderne et tranquille, loin des cris et des insultes. Puis un jour...Akiko craqua. Toute cette tendresse qu'elle contenait en elle, cet amour qui ne demandait qu'à s'exprimer vinrent s'imprimer sur les lèvres de la blondinette, qui repoussa presque immédiatement son élève, la regardant avec surprise et une pointe de désarroi:

"-M..Mais Aki! Tu es malade?! Qu'est ce qui te prends?! Je ne suis pas de ce bord là moi! J'aime les hommes!" Hortense s'était elle aussi mise à lui hurler dessus, comme sa mère, pour finalement la condamner avec trois mots, une phrase toute simple:

"Tu me dégoûtes."

Akiko s'enfuit, loin de tout ça, loin de ce foyer où elle n'était qu'un défouloir pour sa mère, une figure effrayante pour son frère, loin de cette femme qu'elle avait tant aimé et qui venait de la rejeter amèrement, loin de ses entraves, loin de tout! Elle voulait que tout ça s'arrête! Que quelqu'un l'achève! Que quelqu'un apparaisse au milieu de cette neige qui lui tombait dessus avec force, de cette tempête qui n'avait pas une once de violence comparée à celle qui la rongeait, et la tue!
Dans un sanglot, elle regarda ses mains puis le sol recouvert d'un épais matelas gelé, un grand classique pendant l'hiver suédois: elle ne pouvait plus se tuer elle même, elle n'y arriverait plus... alors elle n'avait plus qu'à s'endormir...
Elle s'allongea lentement sur le sol, ne sentant plus son corps tant il avait subit les assauts du froid et, levant une dernière fois ses yeux bleus vers le ciel sale pleurant violemment, elle remarqua que s'ouvrait devant elle un majestueux portail. Puisant dans ses dernières forces, Akiko se releva lentement, observant en souriant faiblement cette magnifique entrée puis sans attendre, elle la traversa sans se retourner.

Une petite poupée suédoise... :

Maintenant que vous connaissez le vécu de la demoiselle, vous voulez savoir à quoi elle ressemble? Oh je comprends tout à fait! Eh bien, pour commencer, Akiko n'est pas bien grande pour son âge, elle doit faire environ un bon mètre soixante cinq. C'est une jeune fille mince, presque frêle, qui peut aux premiers abords paraître fragile mais se révèle robuste et dont les formes ne sont que peu développées. Son visage à l'ovale parfaite est composé d'une peau aussi blanche que la neige d'hiver, parsemée de nombreuses tâches de rousseurs qui rehaussent joliment ce minois souriant sur lequel brillent deux grands yeux bleus étincelant d'intelligence et de malice. Ses yeux aussi ronds que des billes sont cernés de cils noirs que la jeune fille ne met que très rarement en valeur, détestant tout bonnement le maquillage.
Pour encadrer ce visage charmant mais tristement pale, quoi de mieux donc qu'une chevelure rousse? Eh bien, ça tombe bien, c'est de cette couleur si particulière qu'Akiko a hérité de son père: elle a donc des cheveux roux -sauf l'une des mèches sur le côté droit de sa tête qui est blanche- lui arrivant en bas du dos, un peu rebelles, avec quelques épis sur le dessus, souvent tressés en deux nattes ou noués en chignon pour ne pas être gênée. Elle ne les laisse que rarement libres, excepté pour les grandes occasions ou pour se coucher.
Son style vestimentaire? Disons qu'elle aime tout ce qui est frou-frous, dentelles, broderies...bref, elle porte toujours des tenues très féminines mettant en valeur son corps de brindille, bien souvent inspirées des tenues traditionnelles suédoises et réalisées par ses soins. Les longues journées d'hiver, elle ne quitte jamais sa cape en polaire rose brodée de motifs mauves qui, selon elle, "met de la gaîté dans le brouillard".

Un caractère bien trempé pour une jeune fille pas si forte que ça... :

Une jolie poupée qu'on aimerait câliner avant de s'endormir, douce et silencieuse...non, décidément, Akiko n'est pas du tout comme cela. Elle sourit beaucoup et est toujours gaie, Akiko, elle rit très fort surtout! Ah ça, quand elle s'esclaffe, on l'entend depuis l'autre rive du fjord! Et on peut dire que ça ne déplaît pas, la rouquine apporte un véritable souffle de gaîté partout où elle passe. Optimiste, généreuse et humble, elle tend aussi à vivre libre, à exister au delà des murs et des barrières et de fait à tendance à se montrer farouche et à dévoiler un caractère bien trempé jusque là insoupçonné. Se révélant patiente, audacieuse et courageuse, elle n'hésite pas à se battre jusqu'au bout pour atteindre ses objectifs, quels qu'ils soient. Mais elle doit bien avoir un défaut non? Rassurez vous, des défauts, elle en a une pelletée comme tout le monde: déjà, elle ne cesse de raisonner pour tout et rien, sur des choses établies depuis des siècles et s'énerve si il ne lui ai pas donné une réponse concrète autre que "c'est ainsi.". En apparence fière, elle se révèle cependant fragile, ayant du mal à accorder sa confiance aux autres, en particulier à elle même, n'ayant de cesse de se rabaisser et de se trouver des tares qu'elle n'a et n'aura jamais. Elle craint aussi la solitude, est effrayée à l'idée de se faire rejeter à nouveau par tout ceux qu'elle aime et de fait a tendance à garder ses problèmes pour elle par crainte de devenir un poids pour les autres. Ainsi, si on la presse de questions à son sujet, elle aura plus tendance à se braquer et à fuir plutôt qu'à ouvertement raconter ce qui la tracasse car son rôle, à ses yeux, est d'écouter les autres et non pas de parler d'elle même.

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Akiko Strömblad
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Akiko Strömblad
Ven 27 Fév 2015 - 21:48
Bonsoir !

Ma connexion vient de me lacher. Avant que je ne termine un beau message de... VALIDATION !!

Ainsi sache que tu peux commencer à rp parmis nous. J'espère t'envoyer ton beau message demain car la flemme de tout réécrire avec mon téléphone. Pour info tu es chambre 31;)

Bienvenue !!

AKIKO STROMBLAD 3011239435
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Kassie Rui
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Kassie Rui
Sam 28 Fév 2015 - 14:09



Bonjour !





J
'aime quand tu viens t'immiscer dans le texte avec tes paroles d'auteur. Tu as de une histoire réaliste (si je peux utiliser le terme) et de très beaux jeux de mots (qui me plaisent en tout cas). C'est pourquoi je trouve que tu as un grand potentiel ! Enfin... C'est juste un avis et un ressentit personnel hein :p


Néanmoins, il faut être honnête, personne n'irait se faire soigner ses maux chez quelqu'un qui n'est pas qualifié pour ! Tu passeras donc par la case « étudiante » avant de pouvoir être guérisseuse. Mais ton personnage a de la chance dans son malheur puisque c'est moi qui fais les validations, nous en parlerons plus en détail par mp ( Mouahaha è.é )... Tu es validé !


Aucune faute ne m'a fait mal aux yeux, juste un oubli ici « toquant doucement à sa pote ». Wesh ma fille on est des potos alors vient la que je te tapote x)


Par ailleurs j'observe que tu as dû détester la Reine des neiges ! (Parce que oui, tout le monde ne connait pas Frozen :3 ) De plus si c'est toi qui as réalisé ton avatar ou tes autres images, félicitations.
AKIKO STROMBLAD 45228


Humm hmm... Pardon pour l'égarement. Tu es dans la chambre numéro 31 avec Miranda Dmitriev. Russie ? Suède ? Le hasard fait bien les choses, car vous êtes deux habituées du froid, donc vous n'aurez pas besoin de vous réchauffer ensemble les nuits d'hiver ^^


Tu peux commencer à rp au portail et je te rappelle qu'aux cours de tes rp tu peux créer ton journal de bord !


BIENVENNUE ♥️


PS : Tu n'as pas eu envie d'écrire que Akiko a été LIBEREEEEEE et DELIVREEEE lorsqu'elle a passé le portail ? x'D


Kassie Rui.


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