Le conte anti-moral de Sybil et ''Hiromushi-sama'' (PV Hiromushi Honjo)

- Non mais qu'elles IDIOTES!!!!

Enfonçant la porte d'un coup de pied dans le vieux bois,la porte s'ouvrit en grand fracas et laissa la gamine aux cheveux violet/rouge vin entre en riant sadiquement.Elle venait d'aller voler dans un marché insignifiant des légumes et des onigiris,une nana l'a vut et Sybil pris son air de ''J'ai pas mangé depuis un moment...é.è'' et la nana a complètement craqué avec un de ces ''Haaaaaaaaan...é.è'' qu'on voit dans les films.Sybil ricannait a cette pensée et aussi a la fille qui avait dit qu'elle dirait rien si elle lui donnait la moitié de l'argent qu'elle avait piqué,Sybil avait accepté avec un sourire mielleux,et,au dernier moment avait plaqué la nana au mur,son fusil posé sur la hanche de la conne en déclarant que elle ne l'avait jamais vue de sa vie,et la fille a couiné un ''oui'' faible en pleurnichant...*Qu'elle faible,cette petite salope a deux sous* avait-elle pensée avec un plaisir de folle.Elle ouvra son sac ou elle étala son butin dans le vieux moulin en état de décomposition qui était devenu son nouveau repaire quand elle venait de voler,racketter,blesser (aucune des pétasse insignifiante et futile de Etiopia ne l'avait suffisament énervée pour qu'elle tue l'une d'entre elle...pour l'instant) ou vandaliser un truc.Comme elle n'avait pas encore de domicile fixe (elle allait de temps a autre a la garderie,quand il faisait froid) Sybil allait et venait dans le moulin pour regarder ou planquer son butin de temps a autre dans ce truc decrépi.Elle ouvrit son sac et étala devant elle son ''trésor'' : Des nouveaux vêtements punk-rock,des bottes noires ou sanglées,des bérets carrotés et des macarons punk,des bijoux en or ou en argent,du fric évidemment,de la bouffe pour la nuit,et un futon avec une couverture. *Décidément,ma journée a été bien remplie et j'ai volé des trucs de valeur! qu'elle joie!* pensa-elle avec un sourire plus qu'arrogant.Elle entendit un craquement dehors et remit ses objets dans son sacs,et sortit son fusil 9 mm avec ces genre de balle qui ne ressortent pas,mais se contentent de rebondir dans la caboche de la victime,créent une marmelade de cervelle : Un meurtre simple,sans sang ni traces digitales,parfait,quoi.Elle resta dans l'ombre,le temps de voir qui était la garce qui venait observer la lune ''Siiiiiiiiii romantiiiiiiiique'' voir deux,venus tirer un coup dans un Moulin,pour accomplir un fantasme du genre ''Oooooooh,chérie,j'aimerais teeeeeeeellement baiser dans un endroit glauque et désert,le genre ou y'a les violeeeeeurs'' cette pensée fit sourir Sybil,qui se fit rapidement désarmée et plaquer contre le sol. * Qui peut bien être cette nana?!* elle tourna la tête et rencontra le regard de sa sempai,sa maîtresse,Hiromushi Honjo!!! Sybil en eut les yeux ouverts aussi grands que ceux d'une Bratz agrandi a l'air d,un chirurgien et elle se mit a bredouiller péniblement.
[b] - H...Hiromushi-sama?! depuis quand...comment...pourquoi...?

- Sybil...Je me doutais bien que c'était toi.

Hiro ne relâcha pas sa prise sur la gamine, du moins, pas tant qu'elle n'aurait pas eu les informations qu'elle venait chercher. Heureusement, lever les yeux lui suffit car sybil avait étalé tous les objets volés sur le sol. Et il y en avait un sacré paquet.

- Où as-tu trouvé ce flingue ? Et qu'est ce que tu glande ici ?

Hiro n'avait pas cherché Sybil, pour tout dire, c'était totalement un hasard. La délinquante était en train de se balader dans le marché quand elle avait trouvé une fille en état de choc, pleurant comme si elle avait vu un monstre. Quand cette fille lui avait décrit une gamine au cheveux couleur vin, Hiro avait tout de suite compris de qui il s'agissait. De toute façon, ça ne pouvait être personne d'autre. Alors elle avait décidé de la suivre et c'était sans surprise ni difficulté qu'elle avait fini dans ce moulin glauque où personne n'aurait l'idée d'aller se balader (ou alors il ne fallait pas être très sain d'esprit).
Histoire de ne pas se faire percer d'une balle dans la tête (endroit de prédilection de sybil) Hiro l'avait prise par derrière et l'avait vite fait bien fait maitrisé. Ca finissait souvent comme ça quand les deux filles se croisaient, Hiro n'avait jamais été très gentille avec elle. D'ailleurs, elle ne savait pas très bien si elle était heureuse de la revoir ou non. moit-moit.

- Sybil...Je me doutais bien que c'était toi.

Sybil n'en était dailleur,pas surprise.Hiro la connaisait trop bien,c'était évident,vu que elle devait l,aider (avec sa tueuse de mère adoptive) à devenir une vraie Jackie l'éventreuse depuis qu'elle avait deux ans que Hiro devait l'instruire.Enfin,instruire,c'est un bien grand mot,Sybil savait seulement lire (difficilement) et (à peine) écrire,ça servait a rien dans le monde des gangsters,sauf de copier les signatures et lire les prix des objets de valeurs pour les revendre plus chers.Un de ses enseignement avait été : Ne pas ciller ou montrer qu'on a peur en précense d'autorité ou d'ennemi et fixer ledit ennemi dans les yeux.Ce que fit Sybil presque immédiatement,elle appréciait beuacoup son mentor,à sa manière,évidement.Elle la haïssait,donc elle la respectais et voulais a tout prix devenir aussi menaçante,brillante et conformément a elle,s'était fait pousser longuement les cheveux,alors que des cheveux courts auraient été plus appropriés pour pas que les policiers la choppe par les cheveux,mais bon.Elle ne dit rien,s'aurait été assez effronté a causé a sa supérieure sans qu'on lui demande et regardait les yeux de Hiro,pas ses chaussures,c'était un signe de gêne,donc,de culpabilité.Et la culpabilité = Faiblesse

- Où as-tu trouvé ce flingue ? Et qu'est ce que tu glande ici ?

Aaaah! bonne question,ça,Sybil eut un sourire arrogant qui se dessina sur sa bouche et dit,le plus naturellement du monde,presque en chantonnant

- Il y avait un centre de sécurité,ou bosse les chiennes (chiennes = police dans son language xD) alors j'ai remarqué une de ces nanas a gros nichons en silicone,j'avais envie d'y foutre un couteau,histoire de voir ce que ça donnerait.Mais bref,j'ai bastonné la nana avec une branche et j'ai laissé les chiennes recueuillir son témognage et tout le baratin,et j'ai pu me servir comme dans un buffet chinois : J'ai même récupéré des menottes et un teaser!

Pour le prouver,elle sortit ledit Teaser d'une planque en dessous d'une planche qu'elle avait dégoté et l'alluma,pour le simple plaisir de voir l'électricité qui semblait réclamer des corps a torturer et tuer autour de l'objet et,avec un sourire sadique,elle le rangea et continua sa semi-ritournelle a Hiro d'une voix amusée,voir chantante

- Et ce que je fiche? je m'emmerde,dans ce trou.Toutes les nanas sont des braillarde parce'que : (elle fit semblant d'être une fille en pleur avec une voix caricaturisée) ''Bouhouuuu...mon petit ami m'a violééé!!'' ''Bouhouuuu...je suis orpheline'' , ''Bouhou...je suis au fille,monstre que je suiiiiiis'' (elle revient normale,avec un sourire colgate et un regard amusé) et ses putes qui se croient racailles pour un ou deux ptits vols minables dans un Pharmaprix! alors je m'emmerdais,et je me suis mit a voler de la bouffe,des objets,racketter...comme a L.A. mais le top du top,c'est que quand on se gèle le cul,on peut aller a une garderie mièvre et pioncer là,voelr,et repartir puis revenir...c'est d'la balle! c'est à peu près tout,je dirais,

Hiro se calma et relâcha son étreinte. Elle tenait quand même toujours Sybil sur le sol, la tête enfoncé contre les planches en bois pourri. Ce lieu était complètement moisi, une vraie ruine. Sybil était arrivé le même jour qu'elle, presque à la même heure. Ca faisait donc presque 4 mois qu'elle était en train de errer dans la ville. Et elle n'avait pas changé d'un poil.
L'entendre sortir autant d'insulte dans une seule phrase avec sa petite voix d'enfant rappelait à la délinquante japonaise l'ambiance qui régnait dans les gangs. Contre toutes attentes, elle n'était triste, juste nostalgique. En fait, ça lui faisait du bien, elle se sentait enfin à l'aise, comme si tout ce temps elle avait eu tous les muscles bandé et que d'un coup, elle pouvait se reposer.

- J'avoue, pour une fois je trouve que t'as totalement raison. Il parait que cette endroit est un asile pour les filles qui ont tout perdus mais je les trouves vachement heureuse pour des filles désespéré. Tu passes le portail et MIRACLE ! le monde est beau plein de papillon qui chie des arc en ciel ! Elles me sortent par les yeux...M'enfin, j'en ai tiré mes avantages.

Hiro se releva et s'assit à même le plancher. Elle n'avait pas vraiment confiance en Sybil, mais elle appartenait au même clan, elles s'étaient battu ensemble et, de ce fait, avait souvent était responsable de la vie de l'autre dans tout un tas de mission. Personne ne pouvait mieux comprendre la vie qu'elle avait vécu que Sybil. Donc elle était persuadé qu'elle ne l'attaquerait pas. De toute façon, si elle essayait, Hiro ne lui ferait pas de cadeau.

- Enfin quand même, tu me déçois. Dans un bled où tout est gratuit tu trouves le moyen de dormir dans un moulin. Ces filles sont tellement débile dans leur monde de bisounours que tu peux tout simplement prendre sans demander, elle ne le prendront même pas pour du vol. Ca fait aussi longtemps que toi que je suis ici et je vis assez confortablement, et à l'oeil.

- J'avoue, pour une fois je trouve que t'as totalement raison. Il parait que cette endroit est un asile pour les filles qui ont tout perdus mais je les trouves vachement heureuse pour des filles désespéré. Tu passes le portail et MIRACLE ! le monde est beau plein de papillon qui chie des arc en ciel ! Elles me sortent par les yeux...M'enfin, j'en ai tiré mes avantages.

Sybil ricana intérieurement,c'était EXACTEMENT ça.Ces ptites braillarde chouinait sur leur sort alors que elles avait seulement été isolées,violées etc...alors que Sybil elle,a souvent été battue jusqu'au sang,malade comme une chienne pendant des jours,forcée de tuée et est ni dépressive,ni rechigneuse ou pleurnicharde comme ça.En fait,elle était devenue forte,graçe a ces épreuves et continua d'écouter avec une ferveur extatique sa chef,le sourire au lèvres

- Enfin quand même, tu me déçois. Dans un bled où tout est gratuit tu trouves le moyen de dormir dans un moulin. Ces filles sont tellement débile dans leur monde de bisounours que tu peux tout simplement prendre sans demander, elle ne le prendront même pas pour du vol. Ca fait aussi longtemps que toi que je suis ici et je vis assez confortablement, et à l'oeil.

Assise confortablement,Hiro continuait a parler de toutes ses niaises qui vivait dans ce monde accidulé ou les nains de jardins chantait du Elvis,que la paix dans le monde existait et que toutes les filettes était ''KAWAIIIIIIIIIIIIII!!!'' .Le fait que Hiro était déçue d'elle ne l'ébranla pas trop,car Sybil avait de très bon arguments.Avec un sourire amusé,elle croisa les bras sur sa maigre poitrine de gamine et dit,d'un air joueur

- Bah,j'ai déjà dormis dans leur garderie a la con pendant un moment mais ces salope de la garderie me poussait dans le dos pour que j'aille a l'école.L'écoooole,comme c'est cul-cul! mais le pire,c'est qu'elle me causaient comme si c'était cette mijorée qu'est ma mère naturelle (Elle prit un air d'adulte courroucé) ''Sybil,sois gentille avec tes camarades,y t'ont rien fait'' , ''Sybil,ont frappe pas tes namis'' , ''Sybil,cesse de faire si et fait ça et patati et patata'' (elle reprit son air normal) un jour,l'une d'elle m,a énervée en me disant que j,avais des vêtements trop ''provocateur'' elle s'est pas vu,elle,avec ses gros roberts bien a la vue comme ça?! je lui ai tordu le poignet et je me suis cassé.Depuis ce temps,je m'amuse,mais...tu parle de l'hôtel,hein? cette baraque ou vivent toute ses nanas dépressives? j'irais bien aller jouer là-bas un peu...

Hiro leva les yeux aux ciel. Elle avait tout de suite reconnu le comportement qu'Akane avait avec elle dans la description du comportement de la mère de Sybil. Mais là où Hiro en tirait un avantage certain au lit et de manière général par la simple présence d'Akane, Sybil ne pouvait rien en tirer. Sybil était une fille qui n'avait jamais aimé les niaiseries, si elle cherchait l'amour, c'était dans la violence et la haine. En somme, c'était quelqu'un dont les psy s'arracherait le cas pour comprendre comment elle avait fini ainsi.

Ensemble, elles en avaient vue d'autre, des trucs bien plus dur à supporter que la plupart des gens, le fait d'y avoir survécu les avaient changé, une partie d'elle y était morte mais le reste tenait solidement debout. Ca les avaient rendu à la fois monstrueuse et incassable. Hiro s'était longtemps demandé ce qu'elle faisait à Etiopia. En rencontrant Akane elle avait comprit, cette fille lui pansé les plaies et lui redonner un peu gout en la vie. Mais Sybil ? Pourquoi était elle ici ? Qu'est ce que ce village pouvait bien lui apporter ?

Hiro fit l'inventaire dans sa tête des filles qu'elles connaissaient qui aurait pu faire office de mère ou de grande soeur mais n'en trouva aucune. Il fallait être à la fois un monstre de sadisme pour gagner son respect mais quelqu'un d'assez responsable pour lui inculquer les valeurs morales de ce monde. Autant dire que c'était peine perdue.

-Ce monde est ennuyeux. On a le droit de rien faire qui s'écarte du "droit chemin". La dernière fois que j'ai détruit un magasin, juste pour le fun, je me suis fait agressé par une taré à moitié à poil qui jouer les police dans la ville. Un monde libre ? Mon cul ! Sérieusement, l'école ça servait déjà à rien sur terre alors ici, on est en dessous de 0. Si j'étais toi, je m'amuserais à leur montrer une autre manière de voir le monde, sans forcément leur casser la gueule direct. Tu vois ce que je veux dire ?

Hiro n'aimait pas les filles faibles qui chiale au moindre bobo. Quand elle en voyait une vraiment trop faible, elle avait une folle envie de la lyncher, de la violer et ensuite de lui dire : maintenant tu peux te plaindre, connasse ! Enfin, plutôt dans l'ordre inverse car baiser une fille défiguré est peu excitant. Mais les filles un peu moins faible étaient très intéressante, plus malléable. Le problème était que, dès qu'elles mettaient un pas dans la ville, elle devenait de doux petit chaton heureux dans leur vie et tenait absolument à payer leur consommation et à travailler. La question qu'Hiro se posait était simple : pourquoi elle aussi c'était limer les crocs ? Il y a quelque mois, elle aurait tout simplement mis la ville à feu et à sang et maintenant elle se retrouvait à acheter des produits frais pour préparer des bons petits plats à une fille à qui elle serait presque prête à jurer fidélité et à tirer une croix sur l'alcool et la délinquance.

-Honnêtement, je me demande si on est mieux à L.A à cotoyer des gars qui ont des couilles mais à risquer notre vie tous les 4 matins où ici, à cotoyer des nana niaises mais à pouvoir vivre confortablement à l'oeil sans avoir peur pour sa vie tout le temps. Enfin peur, c'est une expression vu que ça fait longtemps que j'ai plus peur de mourir.

-Ce monde est ennuyeux. On a le droit de rien faire qui s'écarte du "droit chemin". La dernière fois que j'ai détruit un magasin, juste pour le fun, je me suis fait agressé par une taré à moitié à poil qui jouer les police dans la ville. Un monde libre ? Mon cul ! Sérieusement, l'école ça servait déjà à rien sur terre alors ici, on est en dessous de 0. Si j'étais toi, je m'amuserais à leur montrer une autre manière de voir le monde, sans forcément leur casser la gueule direct. Tu vois ce que je veux dire ?

Sybil hocha doucement la tête.Elle s'ennuyait de L.A.,des dealers de dopes que prennait sa mère adoptive,des fusillade dans la ville et des récits sanglants des adultes venant de décapiter une pute derrière un casino après avoir baiser.Sybil se mit a se souvenir de la premi`;ere fois ou elle tua,à 2 ou 3 ans environ,en lançant une pierre sur la tête d'un type qui reluquait trop sa mère adoptive,l'impact l,a fait reculer et il est tombé de très bas,pour finir en bouillie rouge sur le sol.A l'école,on apprenait au enfants naifs le pouvoir de l'amouuuur,de la paix et de la solidarité...*qu'elle connerie! ragea-elle en y pensant, la vie est un champ de mine,il faut faire des alliance,tuer,se battre,encore tuer pour gagner dans la vie* elle sourit a cette pensée si vraie.Elle tourna une mèche rouge vim autour de son index et se demanda,naïvement ou pas,si la vie sexu' de Hiro était bien remplie *Forcément,il doit y avoir beaucoup de fille facile dans cette ville de ploucs...*

-Honnêtement, je me demande si on est mieux à L.A à cotoyer des gars qui ont des couilles mais à risquer notre vie tous les 4 matins où ici, à cotoyer des nana niaises mais à pouvoir vivre confortablement à l'oeil sans avoir peur pour sa vie tout le temps. Enfin peur, c'est une expression vu que ça fait longtemps que j'ai plus peur de mourir.

Sybil souris *Bah,tant qu'a faire,posons lui THE question,après tout,je ne risque que de mourir au bout de mon sang...* elles'assis en indien et se balanca d'avant en arrière avant de lâcher brusquement

- Oh,et je me demandais...Un soir avec Reeka -tu te souviens de cette sainte-nitouche de Reeka? m'a dit que,placée a un certain angle,ou pouvait t'entendre violer des nanas,et je me demandais...tu as baisé combien de nanas ces temps-ci?

- Tu veux dire depuis que je suis arrivée à Etiopia ? Beaucoup, j'ai pas compté et je ne sais pas si je pourrais me souvenir de chaque visage.

Oh doux miracle! Sybil n,allait pas pourrir en Enfer,aujourd'hui du moins,pour sa question pervertie que même sa chère Ryou n'avait pas répondu et avait presque fait une crise de folie a nouveau...et sans parler de ses géniteurs remplis d'oseilles et coincés a en crever.De toue façon,ça n'avait pas vraiment d'importance,de toute façon,Charlie (Charlotte de son vrai nom) s'était chargée de lui expliquer d'une manière plus...corps à corps,disons.Maintenant que Sybil y pensait,c'était très agréable comme sensation quand elle l'a fait mais y paraît que quand ont fait ça,ont saigne et pourtant,pas une goutte de sang était tombé sur les draps...

-M'enfin j'ai abusé de personne. Les filles se donnent tellement facilement qu'il n'y en a pas besoin. Et puis de toute façon cette rumeur est fausse à la base. Il ne faut pas confondre "insistance" avec "viol". Obliger quelqu'un à se rendre ce n'est pas forcé le passage, même si dans les deux cas une fille faible ne s'en remettra pas. Mais je suis sur que j'ai traumatisé quelque petites niaise d'Etiopia malgré tout.

Sybil ricana,elle avait l'impression bizarre qu'elle ne faisait que ça depuis tout a l'heure,sensation bizarre.Dans un sens,donc,Sybil s'était fait baiser mais pas violer alors c'était moins grave et encore plus sympas vu que il n'y a pas d'autres gamines de son âge qui pourrait se vanter d'avoir coucher avec quelqu'un! aucune,c'est sur! remarque,savoir flinguer quelqu'un en 2.00 seconde chrono non plus.Soudain,une pensée furtive du passé lui vient en tête et il lui sembla un moment que Hiro était devenue plus...douce? hum,pas du genre dou-douce fragile mais du genre moins sadique et plus rangée.Elle arqua un sourcil un peu suspect et tenta le tout pour le tout,quite a en crever.

- Au fait...c'est ptêtre juste moi mais t'a l'air moins...comme avant,j'sais pas trop comment expliquer ça mais t'a l,air plus...j'sais pas,disons calme.Moins ''tough'' que avant,c'est surement une impression...hein?

Hiro s'était mis dans une position confortable (à moitié affalé sur elle même) mais la position avait le petit défaut qu'on ne pouvait pas se lever rapidement ou du moins, qu'essayer créerait un déséquilibre dangereux. Malgré tout, Hiro poussa sur ses pieds et se projeta en avant vers Sybil. Elle avait déjà vérifier et savait que le fusil était trop loin pour que la gamine le saisissent assez vite.
Hiro plaqua la fille contre le sol, lui écrasant la tête contre les planches. Par réflexe elle glissa une main dans sa poche mais n'y trouva aucun couteau, dommage. A défaut d'avoir une arme, elle brandit son poings.

-Je pense que ce n'est qu'une impression. Je fais juste partit des gens qui ne perde pas leur énergie à des futilités comme la violence vide.

Sybil l'avait déjà vu plusieurs fois tuer des gens, les exécutions étaient régulière et Hiro n'avait jamais sourcillé. C'était une tueuse froide et calme, qui ne faisait jamais aucun geste inutile. Qui la voyait savait que quand elle ne tuait pas, ce n'était pas par lâcheté ni par pitié mais par intérêt. Car pour elle, tuer quelqu'un était parfois plus gentil que de le laisser vivre...Surtout avec des membres en moins. De plus, elle n'était pas de nature sadique comme Sybil, Hiro était plutôt du genre impulsive.
Mais Sybil avait raison, Hiro s'était terriblement assagie depuis son arrivé à Etiopia, elle avait en quelque sorte rentré les griffes. Mais revoir Sybil avait réveillé ses bas instinct de violence. C'est comme le vélo, la vie en gang ne s'oublie jamais vraiment. Et la vie en gang obligeait à ne jamais montrer une faiblesse et à casser la gueule à tout ceux qui semblait trop s'approcher d'une faiblesse. C'était celui qui avait réussi à faire se taire le plus de gens qui devenait le chef et la réputation marchait de cette manière aussi.

-Je ne vois pas l'intérêt de me battre s'il n'y a pas d'ennemi.

Sybil regretta presque immédiatemment ses paroles et encore plus quand Hiro la plaqua durement sur les planches,comme personne ne l'avait frappé depuis un moment,une plaie qui avait été particulièrement saignante et douloureuse il y a quelque temps se rouvrit pour son grand malheur en lui faisant un mal assez atroce,pour se retenir de crier de douleur,elle se mordit la lèvre inférieure...trop fort,ce qui fit couler un mince filet d'hémoglobine de sa lèvre.Malgrès tout le respect qu'elle avait pour Hiro,si elle l'attaquait,Sybil n'hésiiterais pas a la frapper avec la crosse de son fusil ou lui faire une entaille dans le bras,pour qu'elle la lâche et qu'elle puise s'enfuir mais malheureusement,ses objets si pratiques n'étaient pas a sa portée,son canif était sous les planches et son révolver trop loin pour qu'elle puisse l'attraper.

-Je pense que ce n'est qu'une impression. Je fais juste partit des gens qui ne perde pas leur énergie à des futilités comme la violence vide.

*Violence vide? aucune violence n'est vide voyons!* se mit a penser furieusement Sybil.C'est vrai,quoi! la violence sert a se défouler sur les autres,à être plus fort,à avoir du POUVOIR.La violence ne PEUT être vide.Sybil avait passé sa vie dans la violence et la douleur,et elle s'en était bien sortie malgrès tout...enfin,a son avis,tout du moins.Elle essaya de garder une expression normale malgrès ses deux plaies ouvertes derrière la tête et sur la lèvre inférieure.Elle tourna la tête car la blessure lui fesait mal quand elle était appuyée sur le sol et mit sa main dessus,ce qui fit comme seul résultat de la faire grimacer douloureusement et a avoir du sang frais qui coule entre ses doigts et sur ses cheveux,comme d'étranges mèches rouges.Elle demanda d'une voix enrouée et remplie de trémolo (Même si elle se retenait de paraître faible et de ne pas pleurnicher à cause de la souffrance mais c'était presque impossible) et finalement,elle lâcha une ou deux larmes

- Chuis vraiment faible de pleurer...c'est que pour les niaises et les bébés,ça...mais t'aurais pas du papier ou un autre truc pour arrêter le sang?...ça fait un mal de chien!!!

Hiro faillit éclater de rire. Sybil restait une enfant sous ses airs de loubard. En temps normal, Hiro lui lacérerait le visage avec des galets ou gratterait la blessure, juste pour lui apprendre un peu à la respecter. Mais ses larmes lui firent pitié et elle se releva, en restant sur ses gardes au cas où elle essai de la baisser. Le fusil était toujours trop loin mais, dans le doute, elle shoota dedans et l'envoya bien plus loin.
Ensuite, et seulement après lui avoir lancé un regard lourd de mépris, Hiro enleva sa veste et s'agenouilla à coté de la gamine. Avec sa veste, elle épongea le sang. La plaie ne semblait pas profonde, surement un clou ou alors une cicatrice ouverte. C'était assez étonnant qu'après tant de mois sa peau soit encore aussi fragile. En même temps, toutes leurs cicatrices étaient tellement mal soigné qu'elles en devenaient très fragile.

- Un nerf est un nerf, ça dépasse la force physique et mental. Et je préfère encore que tu pleures plutôt que morver.

En réalité, Hiro prenait un peu Sybil pour une mauviette, mais elle savait que toucher sa fierté n'apporterait rien. Les deux filles n'étaient pas amis, mais elles étaient partenaire de combat et appartenait au même gang, de ce faite, elles étaient de la même famille. Et c'était l'unique raison pour laquelle Hiro se montrait parfois gentille avec elle, presque comme une grande soeur.
Dans un gang, il n'y a pas de règle. Néanmoins, une sorte de code moral se créait pour survivre. Comme soigner quelqu'un du gang blessé, ou bien protéger quelqu'un du gang même si on n'est pas d'accord. Ce genre de règle, comme une solidarité qui n'existe que dans la quête du respect par la violence, formant un étrange paradoxe.

La gamine avait peur que Hiro lui donne une claque derrière la tête ou était sa blessure (c'était déjà arriver) pour lui rappeller qui était le maître ici mais bizarement,elle n'en fit rien.Ça surpris grandement Sybil qui s'attendait a plus et pourtant...après un regard noir qui voulait clairement dire ''N'essaie pas quoi que ce soit ou tu meurs,sale mioche'' elle lui épongea sa blessure rudement,mais c'était déjà ça.Elle sursauta quand elle vit le pied de Hiro s'approcher elle ne ferma pas les yeux,pas question de montrer de la peur,et vit son fusil rebondir plus loin.Sybil poussa un petit gémissement presque inaudible et essaya de penser a autre chose en essuyant le sang coulant sur sa lèvre sur sa manche et écoutais distraitement les propos plus ou moins méprisants de Hiro

- Un nerf est un nerf, ça dépasse la force physique et mental. Et je préfère encore que tu pleures plutôt que morver.

Sybil était humiliée par la dernière phrase,elle ne pleurais plus depuis ses 4 ans! et pourtant...elle morvait encore moins,génée mais ne voulant pas le montrer,elle pris quelques mèches de ses cheveux sur ses joues pour pas que Hiro voit son léger rougissement et elle se mit a marmonner que elle ne chialais jamais d'habitude et se recroquvilla un peu sur elle même,par peur d'éventuelle représailles.Enfin ''peur'' c'était un grand mot,elle n'avait simplement pas envie de souffrir,comme les gens normaux pas porté sur la tendance Maso.Elle se mit fialement a frissonner a cause d'un courant d'air venu lui lecher la peau.Elle soupira et dit faiblement pour elle même vu que ça ne conscernait pas vraiment Hiro.

- Putain d'bordel de merde,ont est supposé être au Primtemps mais ont se gèle le cul...j'pense que j'vais passer à l,hôtel...paraît qu'y a un bain intérieur,ce serait sympas!

Elle essya de se relever mais se rassit presque immédiatement,la tête lui fesant trop mal,elle mit un chapeau sur sa tête,pour pas qu'il y ait de vent frais sur sa plaie et ouvrit une boîte de Mikado qu'elle avait caché dans ledit chapeau et en mis un dans sa bouche,puis en etndit un a Hiro

- T'en veux?

(Ont fait la suite à l'hôtel?)

Bonne idée, je te laisse poster car ce week end j'ai pas la motivation x)

T'façon,c'est mon tour en plus xD EDIT : voilà le lien : https://yuri-etiopia.1fr1.net/t1399-dorsdors-ma-ptite-suite-du-conte-anti-moral-de-sybil-et-hiromushi-sama#27221