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Le coeur de la forêt ( suite Galatéa ) ( Hot )

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Mar 29 Mar 2011 - 0:28
La température plus élevée que l'anormal était plus un avantage qu'un réel désavantage, elle avait rarement froid, même si elle était peu chaudement habillée et pouvait sans aucun problème réchauffer le plus glacé des corps et l'idée de servir de bouillotte à sa compagne était une idée charmante. Cependant la peur de se découvrir totalement, de ce secret qui l'enchaînait encore à se livrer complètement, car dans un sens elle était dangereuse, non qu'elle le veuille ! Mais certains instincts ne peuvent être totalement contrôlés pas sanguinaire loin de la, mais de défense ou quand elle était sous une haute émotion comme la colère. Les loups de tout temps étaient la bête noire, l'animal du diable, l'enfant de la nuit ténébreuse, trop de rumeurs avaient couru sur leurs comptes alors qu'ils étaient l'inverse, un loup n'attaque que pour se défendre ou parce qu'il à faim ou si il se sent en danger mais jamais par plaisir ou par violence. Le loup n'était pas l'homme, mais les mœurs à leurs encontre sont tenace et encore aujourd'hui le loup inspirait la méfiance et la peur.

Alors même si les paroles rassurante de son amour l'apaisait un peu, elle était encore mitigée sur la voie à suivre, d'ailleurs tiqua au mot '' gardienne '' Galatéa était très perspicace et se rapprochait de plus en plus de son secret, ne pouvait il en être autrement ? Avec toute les indices qu'elle avait laissé tel le petit Poucet laissant ses miettes de pain elle serait bientôt se qu'elle était vraiment. Ses lèvres douce interrompit ses pensées un peu sombre qui s'envolèrent tel des vapes de fumée dans le ciel. Cet amour que transmettait sa compagne était si vibrant qu'un instant elle s'en voulait de douter autant, Tala ne voulait rien brusquer, qu'elle découvre part elle même et à son rythme sa face caché et prenne son temps pour assimiler l'information. Les phrases qui suivirent la fit sourire, l'idée était séduisante et allait de se pas l'amener dans sa petit forêt, dans ses profondeurs et ses mystères.

'' Alors je vais te le faire découvrir, la nuit est mon royaume Galatéa ''

Quand au petit loup qui c'était éclipsé, il était revenu vers elles, il avait bien sentit que ce n'était pas le moment de déranger sa maman louve qui devait faire des choses de grands avec Celle-aux-yeux-de-la-vie-qui-coule. Prenant la main tendu, elle se releva et s'étira doucement comme détendre tout ses muscles qui avaient subit tant de tension et chamboulement, pourtant son corps bien qu'apaisé était encore en forme. Tala rendu le sourire si doux et éclatant de son amour, elle savait qu'elle ferai tout pour le maintenir, pour le voir encore et encore, ce sourire la...reprenant ses vêtements, elle tendit ceux de Galatéa et enfila les siens.

Prenant doucement sa main une fois prête, elle la guida doucement vers la forêt, son monde, sa vie et son âme. Kosumi gambadait doucement autour d'elles, pas mécontent de rentrer, après tout il avait bien marché avec ses petites pattes. Le chemin ne fut pas long avant que l'orée de la forêt soit à portée de regard, un sourire enjouée fleurit sur ses lèvres, elle rentrait chez elle et en était heureuse, trop longtemps éloignée elle se languissait de la retrouver. Entrant dans la forêt, Tala s'écarta d'office du sentier battu, prenant le chemin de traverse, guidant toujours Galatéa en lui tenant la main.

'' Pour découvrir mon monde, il ne faut pas marcher sur des chemins tracés car la forêt est sauvage , ses secrets aussi ''

Ne se départissant pas de son sourire qui était devenu plus mystérieux, elles s'enfoncèrent alors dans les bois, la forêt semblait silencieuse, pourtant elle grouillait de vie, de l'insecte rampant à la biche galopante. Des bruits d'eau produit par la neige qui fondait, la mousse gorgée d'eau la rendant d'un vert profond, des petits bruits signes que des animaux nocturne était à l'œuvre mais Tala entendait bien plus, oui bien plus, elle entendait la forêt vivre. Bientôt elles arrivèrent à deux gros rochers semblable à des menhirs blottit l'un contre l'autre et lovée entre les arbres, couvert de mousse et de lichens.

'' Ne lâche pas ma main et ferme les yeux, je vais te guider, j'ai une surprise ''

Son petit loup lui, avait déjà foncé la ou les deux rochers se croisait et qui formait une ouverture étroite mais assez grande pour un être humaine. Guidant sa compagne une fois s'être assurée qu'elle ne voyait rien, elle prit le même chemin que Kosumi et s'engouffra dans l'ouverture, s'en suivit un détale de petit rochers, de racines et de petits chemins sinueux ou les clapotis de l'eau qui c'était insinuées dans la pierre tombait par endroit en goutte sur le sol. Tala était prévenante, guidant doucement Galatéa pour ne pas qu'elle se blesse pas, la prévenant d'un obstacle ou de faire attention, la rassurant aussi. La louve noire finit par sortir du passage et marcha un peu s'éloignant de l'ouverture d'où elles étaient venu et arrêta son amour pour lui susurrer.

'' Ouvre les yeux maintenant ''

Quand Galatéa ouvrit ses yeux océans, c'était pour voir un autre monde, les arbres s'étirait vers le ciel avec majesté et plus surprenant, la mousse qui les couvraient était d'une légère fluorescence donnant à l'endroit un aspect enchanteur et magique, comme si elle avait basculée dans une forêt enchanteresse des temps ancien, des lucioles voletait près du petit ruisseau qui avait tracé sont chemin parmis les arbres aux racines mousseuses. Des papillons aux ailes bleu étaient posés sur les troncs donnant un contraste saisissant avec le vert fluorescent, donnant à leurs ailes un belle éclat que renforçait les rayons de la lune. Un endroit fait de prospérité et qui éclatait d'un aura mystérieuse et enchanteur, Tala l'avait découverte au hasard en explorant sa forêt, en écoutant les arbres lui parler.

'' Nous sommes au plus profond de la forêt, voici une partie de mon monde Galatéa, c'est aussi une partie de moi, mon sang est la sève des arbres, mon souffle est celui du vent, mes murmures le bruits des feuilles, les battements de mon cœur est la terre que tu sent sous tes pieds, je suis un tout comme je ne fais qu'un avec cette forêt. ''

Par ses mots elle cherchait à lui dire qu'elle en était la gardienne, chaque fibre de son corps était la forêt, l'écrin de son âme sauvage, de son âme de loup.
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Mar 29 Mar 2011 - 2:57
Tala avait éluder la question implicite de Galatéa mais elle ne lui en voulait pas. Le sujet de qui ou ce qu'elle était semblait être un secret que sa louve voulait lui livrer à son rythme. Mais qu'elle se fut abstenue de tout commentaire ou simplement de répondre par la négative à ses insinuations la confortait dans ce que son instinct lui soufflait. Tala n'étais pas comme les autres habitantes d'Etiopia. En un sens, la russe appréciait qu'elle soit plus qu'humaine en quelque sorte. Elle avait toujours été attirée par ce qui pouvait sembler étrange aux autres. Et sa vie l'avait préparée sans le savoir à rencontrer des êtres d'exception, l'esprit ouvert, comme cela avait été le cas avec Caliopé. Elle ne croyait pas vraiment au hasard. Ce qui doit arriver arrive. Ce n'était pas du au hasard non plus si la Gardienne de l'étang avait recherchée sa compagnie et si aujourd'hui l'âme qui complétait la sienne portait un secret qui la liait à la Forêt.

Elle s'habilla tout en cherchant sans cesse ce regard, ce visage et ce sourire qui la rendait heureuse. Elle aurait presque eut envie d'avoir son cahier d'esquisse avec elle pour en dessiner le moindre trait. Même si sa main ne pouvait rendre sur le papier la perfection qu'elle lui trouvait. Tala dégageait un charisme et un charme à lui faire tourner la tête aussi sûrement qu'un tonneau de Vodka. Et pas besoin d'en abuser pour cela. Simplement la contempler quelques secondes la rendait ivre et lui donnait envie d'aller cueillir à ses lèvres les baisers dont elle ne se lassait pas. Elle se laissa prendre par la main, savourant le contact de sa peau contre la sienne. Dieu! Etait-il possible d'avoir autant envie de quelqu'un? Tout en elle lui donnait de nouveau l'envie de la rallonger dans le foin... Mais elle se contenta de caresser du pouce l'intérieur de sa paume et de la suivre.

"J'ai toujours aimé la nuit...Et la Forêt aussi... Mais je crois que je vais apprendre à les découvrir vraiment." Répondit-elle à son invitation avec un sourire amoureux.

La joie de la jeune indienne à revenir à la forêt était palpable et communicative. Galatéa sentait que ce lieu était pour elle un havre et beaucoup plus que ce qu'il peut représenter pour le commun des mortels. Elle prirent des chemins invisibles, hors des sentiers battus et Tala en connaissait, lui sembla-t-il, la moindre parcelle. Elle était en totale confiance et habituée à parcourir le soir tombé cette forêt magnifique, elle s'apprêta à en découvrir des mystères qu'elle ignorait encore. Ce monde était celui de celle qu'elle aimait et elle voulait le connaître. Elle ferma les yeux à sa demande et se laissa guider. Elle avait déjà parcouru ces endroits mais était loin d'imaginer que derrière ces apparences habituelles, la majestueuse nature cachait sous ses frondaisons de telles mystères.Ses sens aux aguets, elle était déjà comme en osmose avec les lieux... Ou bien était-ce la proximité de Tala? Elle entendait chaque son, chaque murmure enchanteur et en ressentait la magie et la vie. Étrangement elle avait une impression de déjà vu, comme si tout lui semblait familier. Elle mit cela aussi sur le compte de la présence de sa compagne.

Quand son amour lui susurra à l'oreille d'ouvrir les yeux, elle obtempéra. Et demeura figée devant la beauté de l'endroit. On aurait dit que ce lieu secret avait été baigné de magie. Dans la nuit, les arbres immenses qui dardaient leur cimes vers les cieux étoilées étaient recouverts d'une mousse aux fluorescences extraordinaires. Des lucioles éclairaient, sur leur passage, la rivière qui coulait jusque là et de sublimes papillons bleus ornaient les troncs des arbres séculaires. Pour un peu, elle avait l'impression que les étoiles, elles mêmes, s'étaient rapproché de la terre pour contempler cette magnificence magique.

"Ton monde est magnifique..." Murmura-t-elle.

Tala lui confirma en une phrase ce qu'elle était sans le dire. Elle se tourna vers avec un sourire empreint d'un bonheur inégalé. Ici, dans cet endroit précis, l'indienne semblait être une partie indissociable de cette magie. Et elle était encore plus belle, si cela était possible... Galatéa comprenait enfin que son don avec les animaux allait surement bien plus loin qu'elle ne l'avait avoué. Elle tendit la main vers elle et lui effleura la joue avant de l'attirer à elle pour l'embrasser et murmurer contre ses lèvres.

"J'aimais déjà cette forêt avant de la voir à travers tes yeux. Elle n'en est que plus belle encore. Je l'envierai presque de t'avoir comme Gardienne... Parce que c'est ce que tu es n'est-ce pas?"

Elle plongea son regard océan dans le sien d'un bleu obscur.

"J'espère juste que ton statut ne nous empêchera pas de nous aimer et que j'aurai aussi ma place dans ton monde... "

Elle la libéra de son étreinte et s'avança pour contempler de nouveau l'endroit. Le louveteau était venu à leurs pieds et elle s'accroupit pour le caresser tout en ne sachant où poser son regard tellement tout était d'une beauté parfaite. Quelques vers de Beaudelaire, un de ses poètes préférés lui revinrent qu'elle dit doucement, comme par respect, de sa douce voix d'alto :

La nature est un temple où de vivants piliers
Laissent parfois sortir de confuses paroles ;
L'homme y passe à travers des forêts de symboles
Qui l'observent avec des regards familiers.

Comme de longs échos qui de loin se confondent
Dans une ténébreuse et profonde unité,
Vaste comme la nuit et comme la clarté,
Les parfums, les couleurs et les sons se répondent.

Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants,
Doux comme les hautbois, verts comme les prairies,
- Et d'autres, corrompus, riches et triomphants,

Ayant l'expansion des choses infinies,
Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens
Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.



Puis elle ajouta après un silence.

"Si tu as d'autres secrets, c'est le moment de me les dire tu sais... Je ne suis pas de celles qui prennent peur face à ce qui peut paraître étrange. Et je t'aime... Rien venant de toi ne m'effraie ou ne me retiendra de t'aimer telle que tu es."

Elle se redressa pour se tourner vers elle et lui prit la main, rassurante, son regard ne reflétant qu'un calme serein et amoureux. Tala pouvait tout lui dire. Elle était certaine qu'aucun secret, si lourd soit-il, ne pouvait modifier les sentiments profonds et sincères qu'elle éprouvait envers elle. Elle aurait tout aussi bien pu être une déesse ou la gardienne des enfers qu'elle l'aurait aimée de toute manière. D'un amour inconditionnel et total. Et elle était prête à tout sacrifier, si nécessaire, pour pouvoir encore goûter ce bonheur là... Jusqu'à la fin de sa vie... Et même jusqu'à la fin des temps.
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Mer 30 Mar 2011 - 23:57
Chaque réaction, chaque expression ou mouvement, chaque émotion qui paraissait sur son visage de nymphe, Tala observait tout. Tout chez sa compagne, l'endroit n'avait rien d'anodin et elle se surprenait à aimer la regarder, à la voir réagir à une partie de son monde, c'était aussi une partie d'elle même qu'elle ouvrait à Galatéa. Elle baissa légèrement les yeux au compliment de son amour qu'elle savait sincère, elle avait tant espérée que son monde lui plaise qu'elle eu un sourire de soulagement. Mais la suite la fit se tendre sous la tension, elle avait révélée à demi mot se qu'elle était, une partie de son secret, le sourire que fit la Néréide la détendit un peu, avait elle comprit ? Tala n'en doutait pas une seconde. Se frottant à la main caressante, elle se laissa embrasser et rendit le baiser avec ferveur, enlaçant la taille douce de sa compagne, que ses lèvres étaient fruitées, une nouvelle bouffée de vie l'envahit et écouta attentivement les paroles qui suivit. Comment ? Comment la chasser de son monde ? Alors qu'elle en était une partie pleine et entière à présent ? Son rôle de gardienne ne l'empêchait pas d'aimer et de vivre, sinon Etiopia serait bien hypocrite mais ne l'était pas. Quand à la forêt, à la nature, douce et généreuse acceptait tout du moment qu'on respecte son équilibre Tala ne doutait pas que cette règle simple mais primordiale soit comprise par sa compagne et lui sourit, confiante.

'' Mon amour, tu as raison je suis une gardienne et jamais la forêt ne rejete ceux qui vienne en ami et avec moi tu ne risque rien, car si mon monde est la forêt tu en est une partie maintenant indissociable. ''

Oui...la privée de Galatéa, c'était amputer son âme, si un ennemie voulait la nuire, il n'avait pas meilleur moyen que celui ci. La louve noire eu un étonnement en entendant les premier vers que sortie de sa voix pure Galatéa mais finit par sourire et écouter. Kosumi c'était assis sur son petit popotin et écoutait aussi la compagne de sa maman louve, car nulle doute qu'elle était très importante pour elle, le faite qu'elle l'emmène dans l'endroit si secret de la forêt en témoignait bien plus que que des mots. Tala avait fermée les yeux pour mieux savourer le poème, ayant l'oreille sensible aux belles paroles, une fois finit elle ouvrit doucement les yeux sans rien dire, son regard de nuit en disait long sur se qu'elle pensait du poème, non vraiment Galatéa avait tout pour lui plaire et l'avait charmée par se qu'elle avait ressentit en la voyant et en l'aimant.

'' C'est très beau et tu sais faire vibrer les mots que tu évoque ma Néréide poète. ''

Un sourire tendre et amusée étira ses lèvres, il n'avait rien de moqueur juste infiniment aimant et joyeux. Il se perdit pourtant à la phrase de Galatéa, le moment était venu, lui cacher plus longtemps la dernière partie de son secret serait faire insulte à la confiance que son âme sœur lui vouait, alors qu'elle ne se connaissait que depuis le crépuscule.

'' Tu as le droit de savoir...je vais te monter mon secret, ce sera plus éloquent que n'importe laquelle de mes paroles. ''

Serrant doucement la main de sa compagne elle la lâcha pour se reculer puis se déshabilla entièrement, si Galatéa pouvait s'en étonner, elle serai bien assez vite pourquoi. Ses rubans dans ses cheveux retenant les longues mèches encadrant son visage furent défient aussi, son cœur battait fort dans sa poitrine, à l'en faire mal, d'autre images revenu en mémoire de la louve noire, des souvenirs noire qui un instant lui enserra le cœur telle un serpent qui qui étouffe. Sa salive semblait lui manquait tant son souffle était court...il était temps de se dévoiler.

'' Je suis le cœur fidèle de l'astre blanc
Je porte ma voix haut dans le vent
Je chante, je pleure et je ris
Je fais savoir à tous ce que je suis

Je suis le compagnon aimant
La protégeant jusqu'à la mort
Je défends les miens, j'en est fais serment
Et qu'importe qu'on me fasse porter tout les tords

J'avance dans la nuit avec l'âme noble des miens.
J'avance dans le jour avec la liberté qui me tien.
Qu'importe que je sois votre bête noire
Vous ne connaissez pas mon histoire

Je suis le loup puissant et libre et je n'inspire qu'a vivre en paix et à aimer. Alors douce Néréide n'est pas peur de moi, toi qui à l'âme de ma dame la lune, je te chanterai mon amour jusqu'à mon dernier souffle, alors n'ai pas peur de moi ''


Tala avait les yeux brillant et à la fin de ses paroles, tout son corps eu un frisson et bientôt Galatéa vit le corps de l'indienne se transformer pour devenir...une louve au pelage plus sombre que la nuit, des yeux bleu cendré tout aussi profond, plus grande qu'un loup normal, sa tête lui arrivait sans problème à la poitrine. Les oreilles en alerte, son regard se posa sur sa compagne, attendant, espérant qu'elle ne la rejète pas, Kosumi quand à lui rejoignit sa maman louve et ce blottit contre sa patte antérieur gauche, Tala eu une léchouille pour son petit loup avant de regarder à nouveau celle qui était tout pour elle. Elle émit un petit jappement, inquiète de sa réaction voulant lui monter que même sous cette apparence, elle restait elle même, n'osant bouger, elle resta la...immobile à contempler son âme sœur, la fourrure balayée doucement par un vent léger.
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Jeu 31 Mar 2011 - 16:33
Tala, enfin, se livrait. Et donnait raison à l'instinct de Galatéa également. C'était d'ailleurs nouveau pour elle de laisser son instinct parlé en dépit de sa raison et de sa réflexion. Mais c'était aussi réconfortant de pouvoir compter sur cette partie d'elle qu'elle avait mis, de par son éducation et son apprentissage d'agent, de côté trop longtemps. C'était un peu comme retrouvée sa nature profonde et se laisser porter par son cœur. C'était une chose qu'elle avait commencé à apprendre en prison et qu'Etiopia avait fini par lui offrir. On dit souvent que l'être humain devient, avec le temps et la sagesse, ce qu'il est. Ces derniers mois sur terre l'avait déconstruite et la magie de ce lieu utopique l'avait reconstruite telle qu'elle aurait toujours du être. Il est peu probable que Tala et elle, si elles s'étaient rencontrées dans le monde dit "réel" se soit trouvée vraiment et comprise aussi bien. Nul doute que l'attirance aurait été là. Il y a des choses écrites et incontournables. Elle se seraient surement aimée aussi. Mais se seraient-elle laissée aller au bonheur aussi vite?

Lorsque la louve lui rendit son baiser avec la même ferveur et l'enlaça, une nouvelle bouffée de bonheur inexprimable l'envahit. Encore une fois. Et elle se demandait si son cœur pouvait contenir toute cette perfection déjà présente et à venir. Dans tous les cas, elle n'avait pas le choix. Cet amour qui lui était offert ne pouvait être ignoré, ni repoussé. Il était là, à sa place et elle n'avait nullement l'intention de le repousser. Se retient-on d'aller vers la paradis? Ses lèvres sur les siennes, elle savait que jamais elle ne pourrait revenir en arrière. Dés l'instant où elles s'étaient vues le sort en avait été jeté. Et elle ne pouvait que se laisser à vivre pleinement cet amour à la fois tant attendu et inattendu.

"Alors je suis heureuse... Car je n'imagine pas une seconde m'éloigner de toi."

Tala l'avait rassurée en quelque mots. Non pas qu'elle eut vraiment douté, mais elle voulait l'entendre dire qu'elle faisait partie de son monde car sa louve faisait déjà partie du sien. Lorsqu'elle déclama le poème, sa compagne l'écouta avec attention, comprenant ce qu'elle ressentait. Encore une fois le lien qui les unissait ne leur fit aucunement défaut, bien au contraire. Elle avait la sensation qu'un simple regard échangé serait compris de part et d'autre, sans besoin de mots ou presque. Elle sourit aux termes de "néréide poète" répondant à celui, si tendre, de son amour. Elle aimait ce sourire et tout ce qui passait dans son regard. Chaque expression, chaque geste, chaque parole de la belle indienne la subjuguait sans cesse. Si elle n'avait pas été certaine qu'il est des évidences incontournables et écrites comme leur amour, elle se serait demandé par quel miracle elle avait bien pu mériter d'être choisi par elle.

"Merci.." Répondit-elle simplement au compliment sur le poème en se relevant et en venant lui prendre la main.

A la suggestion qu'elle fit, Tala se décida à mettre enfin son cœur entièrement à nu. Elle la lâcha pour se reculer et se dévoila, en partie en parole mais pas seulement. Tout d'abord quelque peu surprise, Galatéa la laissa faire sans rien dire, comme si le moment méritait un silence solennel. Elle sentait que ce geste de Tala était pour elle difficile à faire et qu'elle nourrissait un espoir que ce qui allait se passer ne gâche rien entre elles. Elle ne se sentait pas effrayée. plutôt curieuse et avide de découvrir ce secret que sa compagne souhaitait lui faire partager. Elle sentait aussi que cela avait pour elle une importance capitale.

Une fois encore, dans sa plus totale nudité, elle la trouva magnifiquement belle et désirable. Puis, commença la transformation.. Ses yeux s'écarquillèrent un peu plus de surprise. Mais la sachant gardienne et ayant eut la chance de rencontrer Caliopé et de comprendre de tels pouvoirs, elle ne fut pas un instant choquée. Son regard n'avait pas quitté le sien. Et ce regard là changea si peu que son âme liée à la sienne par ce lien visuel et les sentiments qui existaient entre elles la fit passer de la surprise à l'acceptation totale. Elle avait promis de l'aimer quelle qu'elle soit. Et si elle se serait volontiers damnée pour ce corps, qui sous sa forme humaine, la rendait totalement folle, ce n'était pas cela que l'amour lui avait révélé, mais bien l'âme d'un être dont elle ne saurait éluder la moindre parcelle.

Elle avait là la parfaite explication quand à ses interrogations sur le lien que Tala avait avec le louveteau. Sa louve! Elle savoura pour elle même ces mots qui collaient cette fois parfaitement à la vérité. Tala était vraiment impressionnante sous cette forme... Impressionnante et belle. Majestueuse même. Elle se demanda un instant qu'elle effet cela faisait d'être un loup. De ressentir les choses comme un loup. De faire partie intégrante de ce lieu magnifique et sauvage qu'était cette forêt. C'était un don merveilleux au regard de la russe. Et pour le coup, elle se sentit comme une enfant loin de comprendre la réalité de la profondeur de cette nature que Tala pouvait connaitre.

A la fois émue, pleine de tendresse et d'amour pour celle qui faisait désormais partie de sa vie, elle tendit la main pour effleurer sa joue de louve. Elle se sentait un peu gauche. Elle savait parfaitement se comporter avec le louveteau par exemple. mais pouvait-on avoir les même gestes caressant envers une humaine dans le corps d'un loup?

"Je n'ai pas peur..." Dit-elle pour répondre à ses interrogations. "Je suis surprise, émerveillée et intriguée aussi... "

Mue de nouveau par ses sentiments et son instinct, elle s'approcha un peu plus et se pencha pour entourer la louve de ses bras et poser sa tête contre la sienne.

"Ma louve... Rien ne pourra jamais m'éloigner de toi. Et ce don que tu as te rend plus précieuse encore à mes yeux." Elle l'embrassa doucement sur la tête puis la lâcha pour se reculer, trouvant quelque peu incongrue cette étreinte malgré tout. Il faudrait qu'elle s'y habitue un peu... C'était tellement inattendu!. Elle la contempla un moment puis en souriant d'un air mutin et espiègle, elle lança.

"Ce n'est pas que je m'inquiète de te voir rester trop longtemps sous cette forme, mais j'avoue quand même que j'aurai du mal à t'embrasser de la même manière que sous ta forme humaine... Et j'en ai pourtant très envie, crois-moi!... De même que de savoir où tu vis quand tu es sous ton apparence de femme, mon amour.... "

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Dim 3 Avr 2011 - 21:31
Dans d'autres circonstances Tala se serait posée des questions sur la relation si soudaine qu'elle venait d'avoir, elle d'habitude si méfiante n'arrivait pas à l'être avec sa Neréide, dès le début son attirance et la présence de sa compagne l'avait apaisée, nul peur, nul soupçons, son esprit lui avait bien une mise en garde mais ce n'était que du vent. Dans l'autre monde, peu être aurait elle mis des réserves, après tout Etiopia n'était pas le monde qui l'avait vu naitre, un monde aussi cruel que généreux, elle aurait eu peur de perdre Galatéa, peur du lendemain aussi...peur de l'avenir. Ici, tout était différent les menaces était bien légère face à elle et n'avait pas de crainte de suivre le chemin qui c'était découvert devant elle , quand le bonheur passe à coté de vous autant l'attraper. Elle avait alors pleinement intégrée Galatéa dans son monde, non ce n'était pas très juste, plutôt que leurs deux mondes c'étaient mêlés en un seule qui intégrait pleinement l'autre, dans une osmose qui prenait forme à chaque instant. Mais son secret était une chose qui pouvait encore tout changer, Tala ne voulait le croire, parce que elle sentait tant d'amour émaner de sa belle qu'elle refusait de penser qu'elle ne pouvait pas l'accepter entièrement et totalement. La peur était la, mais se força à l'oublier pour se transformer, une fois sous sa forme de louve elle n'était plus sûr de rien devant l'étonnement et la surprise de sa Néréide poète, le cœur battant à en avoir mal elle attendit les mots qu'elle espérait. Comme une délivrance presque, la main sur sa joue lui fut salutaire, dispersant ses démons loin de son être et eu un son doux et rauque à la fois pour montrer son soulagement. La phrase acheva de la libérer de ce serpent qui un instant avait étreint son cœur à l'en broyer presque, elle n'avait plus peur, dieu comme ses mots étaient bon à entendre à son oreille animal ! Sa queue bougea de façon joyeux et frotta sa tête aux bras chaleureux qui entoura sa tête, Tala était heureuse, soulagée et ému aussi, son avenir qu'elle voyait noir d'orages avait été crevée par d'épais rayons lumineux chassant au loin les sombres nuages.

Écoutant attentivement la suite, elle eu des yeux rieur de voir sa compagne aussi espiègle, tout était dit et n'avait rien à craindre, les mots de sa bien aimée avait su la combler au de la de l'imaginable. La louve noir sauta alors sur Galatéa, mais ce ne fut pas l'animal qu'elle reçu mais et bel et bien Tala sous sa forme humaine qui avait repris figure humaine pendant son saut et enlaça le cou de sa belle sans brusquerie pourtant. Ses cheveux noir flottant un court instant dû à son élan et retombaient sur les épaules mate de sa propriétaire ainsi que ses longues mèches normalement attachées vinrent se poser sur les épaules de Galatéa.

'' Mon amour, tu ne peux imaginée le bonheur que tu me fais...ho si seulement tu savais ma Néréide au cœur de lune. ''

Son front c'était posé sur celui de sa belle, ses yeux plongeant dans ceux azur pour lui témoigner toute son amour, pétillant d'une tendresse infini. Ses lèvres avaient soudain soif et alla abreuver son désir à alla source des lèvres fraîches de Galatéa dans un long baiser amoureux, posant sa main sur sa nuque et son autre bras alla entourer la taille fine pour l'étreindre contre elle. Drapée seulement par les rayons lunaire, elle affichait sa nudité sans gêne, comme un cadeau à l'être aimé. Rompant le baiser elle déposa des petits baisers doux comme l'aile d'un papillon dans son cou et remonta la regarder.

'' Ma dame va voir sa curiosité satisfaite, suis moi ''

D'un sourire malicieux, elle se rhabilla vite fait, non point par réel pudeur mais plutôt pour éviter à son désir de reprendre encore une fois le dessus, si Galatéa avait toujours faim d'elle, le contraire était aussi tout à fait vrai. Une fois rhabillée, elle reprit la main de sa compagne et marcha talonné de près par son petit loup et emprunta un petit chemin qui suivait la rivière. La marche en dura que dix minutes car bientôt la rivière allait se jeter dans une grande étendu d'eau qui avait pour sol un parterre de mousse épaisse et verte, l'étendu aqueuse n'était aussi grande qu'un lac mais pas aussi petit qu'un étang, certaines mottes de mousses sortait de l'eau ou on pouvait aisément mettre le pied pour éviter de se mouiller.

'' La rivière se jette ici, au fil des ans cela à fait cette étendu d'eau que tu vois, ce n'est pas très profond, le plus haut m'arrive aux épaules. Certains petits poissons on même élu domicile ici, sûrement en suivant la rivière quand ils n'étaient que des alvins. ''

Tala suivit un des bords de l'étendu et le longea un peu, Galatéa pu voir enfin une sorte de petite habitation blottit contre un arbre au tronc massif, son petit loup galopa jusqu'à la dite porte. L'indienne eu un sourire serein et ouvrit la porte entraîna sa belle à l'intérieur, dedans tout semblait avoir été construit en osmose parfaite avec l'arbre qui l'abritait, le décor était fait à son goût l'ayant puisée dans ses racines ainsi Galatéa pouvait se croire à mis chemin entre une maison et un tipis. En arrivant le plafond de l'entrée semblait faire la forme d'une clé de voute, Tala enleva ses chaussures et les posèrent dans un petit meuble prévu à cet effet et entra dans la partie central de son habitation assez grande, à la gauche deux meubles enfoncés contre le mur qui n'était autre que qu'une partie du tronc lui même, épousant parfaitement sa forme cylindrique et en face des meubles une table avec trois chaises. Puis à droite il y avait tout ce qui pouvait s'apparente à une cuisine fait dans un bois d' arbre qui c'était déraciné et qui lui avait servit de matériaux. Plus loin avait sa chambre simple mais jolie avec un lit curieusement à deux places, pour le reste, deux meubles pour rangés ses affaires et ses souvenirs ou pour décorer.

'' Te voici chez moi, ce n'est pas la ou tu vis mais, je m'y sent très bien ''

Son petit loup alla dans sa chambre pour aller s'allonger un peu, il n'en pouvait plus d'avoir jouer et couru autant, ses pattes avaient besoin de se détendre.

'' Tu sais à présent presque tout de moi, je te suis dévouée corps et âme. Si tu as su m'accepter, j'en ferai de même, de même que ma maison est tienne aussi, laisse la nuit t'envelopper et étourdir ton âme ''

Le regard plein de chaleur, elle s'avança vers sa compagne puis en caressa le visage avec amour et sensualité, oui...qu'elle se laisse envahir par sa passion, qu'elle laisse son cœur s'abandonner à la forêt pour lui révéler toute sa superbe, de ses bruits pareille à des murmures, comme si les arbres eux même murmuraient dans le vent, de ses senteurs aussi, de sa fraîcheur de sous bois, qu'elle se laisse imprégner de son atmosphère. et lui susurra aux creux de l'oreille.

'' Écoute, la forêt murmure ''
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Lun 4 Avr 2011 - 2:00
Galatéa avait, depuis le début de la soirée déjà, l'impression d'être comme dans un état second. Une ivresse telle qu'elle se laissait portée comme la Néréide, dont était inspiré son nom, se laissant portée par le courant d'une rivière qui la menait vers sa destinée. Elle sentit le soulagement de Tala. Elle comprenait l'inquiétude qui avait du être la sienne à lui révéler qui elle était. Une Gardienne d'abord et une louve également quand elle quittait son apparence humaine. La russe avait malgré la vie qui avait été la sienne, toujours aimé vagabonder par l'esprit dans l'irréalité de ces mondes que décrivent beaucoup d'auteur de Fantasy ou de Fantastique. Elle aimait s'imaginer ailleurs que dans son quotidien à se battre pour la justice et pour l'amour. Car quoi de plus beau que ces deux choses? Surtout la seconde. Idéaliste? Surement... Mais sans regret. Et dans ses songes elle avait longtemps imaginé celle qui lui correspondrait et saurait apprivoiser son cœur et son âme au premier regard et pour l'éternité.

Et Etiopia lui offrait en Tala et en ce qu'elle était, tout ce à quoi elle avait toute sa vie aspiré. Car sans même la connaitre depuis longtemps, elle savait qu'elle avait les qualités qu'elle recherchait chez celle qui serait son âme sœur. Un cœur généreux et bon, une soif de vivre et de faire le bien autour d'elle, une nature sauvage, forte et pourtant d'une tendresse et d'une douceur extrême. Leurs cœurs se ressemblaient et là encore, il ne pouvait que paraître évident qu'étant en présence l'une de l'autre, elles se retrouvent à ce point passionnées l'une de l'autre. La louve émit un son doux et rauque et agita la queue avant de lui sauter dessus. Mais c'est Tala sous sa forme humaine qu'elle reçu, l'enlaçant pour la retenir.

Qu'elle était belle! Encore une fois, elle se sentit surprise et heureuse d'avoir autant de chance. Tala lui fit part de son soulagement, son front posé contre le sien, leurs chevelures emmêlées, l'une aussi blonde que l'autre était brune. Son regard plongea dans le sien et elle s'y perdit encore une fois avec bonheur. Les lèvres de la louve vinrent cueillir les siennes et elle goûta ce baiser avec une ferveur renouvelée. Longuement... Amoureusement... Cherchant encore et encore sa langue et buvant à cette bouche comme on s'abreuve à la vie. Le simple contact de sa main sur sa nuque lui procura un long frisson qui alluma aussitôt le feu jamais éteint de son ventre. Elle la laissa l'étreindre d'une pression de sa main sur sa taille et resserra ses bras autour d'elle.

Elle fini par la lâcher à regret et la regarda se rhabiller avec, dans le regard, le même désir que celui qui couvait en elle chaque fois qu'elle posait ses yeux sur elle. Tala lui reprit la main et elles quittèrent cet endroit paradisiaque pour une marche assez courte à travers la forêt, en longeant la rivière. Elle découvrait, en dehors des sentiers battus où elle avait l'habitude de courir, un monde à part et tellement insoupçonné et beau qu'elle ne cessait de poser son regard partout. Une étendu d'eau terminait le chemin de la rivière et elle s'imagina sans peine en train de s'y baigner durant la belle saison. La mousse semblait y faire comme un tapis et l'eau y était claire comme filtrée durant des siècles. Tala lui confirma que ce n'était guère profond... Assez cependant pour y nager.

"Je t'ai dit que j'adore nager? C'est assez vaste pour s'adonner à ce sport ici. Ou simplement s'offrir le plaisir d'une baignade..."

Elle resserra sa main dans la sienne et lui lança un regard malicieux.

"Pour ma part, j'irai bien taquiner les alevins en ta compagnie... Sauf s'ils sont sujet à la crise cardiaque!"

Puis elle vit enfin apparaitre une habitation qui semblait comme imbriquée dans un arbre immense. Elle laissa Tala la guider et elles entrèrent. Elle s'arrêta sur le pas de la porte et son regard fit le tour des lieux avant qu'elle n'imite sa louve et ôte ses chaussures pour les poser à côté des siennes avant de faire le tour du propriétaire. Tout y était en harmonie avec le bois qui l'abritait. Presque comme si la forêt lui avait fait ce don pour la remercier. L'endroit était chaleureux et douillet. Elle s'y sentit bien tout de suite.

'' Te voici chez moi, ce n'est pas là ou tu vis mais, je m'y sens très bien ''

"Là où je vis c'est une chambre d'hôtel que je partage avec des colocataires souvent absentes... Crois-moi, je t'envie de vivre ici... Je m'y sens déjà comme chez moi... Sans compter que ce n'est guère loin de la ville...Un havre de paix idéal..."

Le louveteau les laissa seules et Tala se tourna vers elle, le regard plein d'un amour démesuré et avec aux lèvres des paroles qui la réchauffèrent. D'une voix rendue grave par le désir fou qui l'avait saisi de nouveau, elle répondit, frottant sa joue contre cette main dont la douceur et la chaleur avait déjà raison de tout le reste :

"C'est toi, mon amour, qui étourdit mon âme... "

Lorsque la louve se pencha pour lui dire à l'oreille d'écouter le murmure de la forêt, elle ferma les yeux un court instant avant de laisser ses mains glisser dans son dos et remonter jusqu'à sa nuque qu'elle caressa doucement. Puis n'y tenant plus, elle l'enserra d'une main alors que l'autre se glissait dans sa chevelure sombre et tourna son visage vers le sien pour l'embrasser. Son cœur contre le sien battait à un rythme frénétique et sa respiration se fit plus courte. Elle s'abreuva longuement à sa bouche, ne se lassant pas de dévorer ses lèvres avec une passion non contenue. Puis elle bougea, sans la lâcher, l'amenant contre le mur de bois le plus proche, contre lequel elle la plaqua, littéralement assoiffée d'elle. Ses lèvres descendirent caressantes sur son cou qu'elle butina puis mordilla avant d'y faire glisser sa langue qui remonta jusque sous son oreille. Ses mains glissèrent pour enlacer les siennes de ses doigts et elle les bloqua , les remontant à hauteur de sa tête contre le bois. Une main se libéra et s'insinua sous le pull pour aller jouer sur le ventre parfait de sa douce puis remonter sur sa taille et dans son dos, du bout des doigts et des ongles, dans une caresse sensuelle, redécouvrant sa peau avec délice. Dans un souffle, contre son oreille, elle murmura à son tour d'une voix sourde.

"Je ne veux entendre que les battements de ton cœur qui s'affole contre le mien... Je ne veux écouter que ta voix qui gémit mon nom... Et, par tous les dieux, je veux que jamais tout ceci ne prenne fin.... Jamais... "

Elle revint prendre sa bouche, jouant avec sa langue, l'aspirant avant de lui offrir la sienne, mordillant ses lèvres douces et sensuelles. Elle ne se lasserait jamais de cette saveur là... Son regard océan qui pouvait aussi être de glace avait, cette fois, reprit sa teinte turquoise et le feu y brillait comme les braises qui régnaient sur son âme en cet instant.
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Jeu 7 Avr 2011 - 18:59
Sa compagne semblait comme une enfant qui découvrait un nouvelle endroit, posant ses yeux partout, ce qui fit sourire l'indienne, elle aimait cette curiosité, cet espièglerie qui semblait la caractériser, sa répartie aussi qui ne manquait ni de répondant, ni de mordant. Et ne l'en aimait qu'encore plus, sa fougue répondait à son coté sauvage autant que sa passion s'entrechoquait à celle ardente de Tala. D'ailleurs, la louve noire eu un sourire amusé et malicieux aux dires de sa compagne, elle aimait se baigner ? Cela coulait de source ! Et ne m'était qu'encore plus de charme à ses attraits de nymphes des eaux, faisant honneur au nom qu'elle portait. Elle partit d'un rire claire frais comme celui d'une cascade, son humour aussi lui faisait du bien, de cette vie qui bouillonnait en Galatéa, elle s'en regorgeait sans mal, comme si cela lui avait tant manquer, elle réapprenait un peu de son innocence volée.

'' Certes non ! Les poissons sont habitués à être pêchés et manger de mille façon, ce n'est pas ton corps qui va les effrayer, j'en gage même qu'il risque de ce faire curieux ''

Le ton était jovial et taquin, l'eau n'était pas son élément premier mais c'était la source de toute vie, la forêt s'en régénérait sans cesse, alors s'immerger dans ce liquide de vie lui faisait un bien fou, elle se détachait de tout, percevant pourtant autour d'elle, la vie sous toutes ses formes dans un silence abyssale.

'' De plus, je serais ravie de nager à tes cotés, ma Néréide ''

Oui, elle se voyait déjà nager dans cette étendu aqueuse en compagnie de Galatéa, dans l'eau c'était encore un autre univers dans lequel elle pouvait se mouvoir, cela avait quelque chose de sensuelle, infiniment doux et subtile. Mais pour l'heure, elle avait fait visiter sa maison et attendait la réaction de sa compagne, un sourire chaleureux, elle voulait qu'elle se sente bien car, quelque part c'était aussi un peu chez elle dorénavant. Écoutant avec toujours la même attention et eu un autre sourire doux, caressant sa joue.

'' Galatéa, tu est ici chez toi, de nuit comme de jour, à n'importe quel heure, tu peux venir et t'y reposer, car mon havre de paix c'est aussi le tien. Je viendrai te rejoindre car je ressens chaque habitante qui pénètre ici de sorte que je viendrai dès que possible pour toi. Et Kosumi serait ravie de t'avoir comme compagnie. ''

Le dit Kosumi pour le moment dormait du sommeil du brave dans son petit coin fait de peau de bête et de couverture en laine, il ne fallait plus vraiment compter sur lui pour cette nuit. Quand à Tala, sa nuit ne faisait que débuter, le désir du corps de Galatéa contre le sien ce réanima en sentant les mains aussi douce qu'une plume caresser son dos lui arrachant des frissons qui ce fit comme un souffle rallumant les braises de son envie pour faire naitre une flamme. Son regard lui était devenu brillant, encore une fois leurs corps respectifs voulaient ce mêler, ce goûter, s'apprivoiser et s'aimer encore plus ardemment.

'' C'est réciproque, ton souffle me redonne une bouffée de vie, ta bouche apaise ma soif aussi sûrement que la plus fraîche des sources, ta voix alanguit mes sens comme la plus belle des mélodies, ton corps et ta fleur au doux nectar est comme l'hydromel dorée qui me rend ivre de toi. Galatéa...tu est la plus belle des addictions. ''

Son souffle vint se perdre dans celui de sa compagne pour un baiser langoureux et passionnel, répondant au baiser par cette même fougue qui la caractérisait, sentant ce besoin irrémédiable de l'aimer à en perdre haleine mais aussi de ce laisser aimer par sa sirène, sa nymphe des eaux qui la plaqua contre le mur de bois. Sa bouche pareil à une aile de papillon goûta de nouveau sa peau sombre, Tala tendit son cou avec bonheur pour que tout lui soit accessible soupirant d'aise et de plaisir en sentant des frissons délicieux la parcourir. Elle laissa même sortit un léger gémissement quand la langue agile se déposa sur sa peau, ses joues lui brulaient signe que le rouge lui était monté au visage, le souffle qui commençait à devenir de plus en plus irrégulier et son cœur qui battait de plus belle, comme un tambour qui serait devenu fou. Quand à ses mains, elles ce firent les prisonniers volontiers de celle de sa aimée, la laissant entrelacer leurs doigts avec un bonheur non feint et serra doucement, la laissant les remonter leurs mains à hauteur de sa tête, en sentant ses mains ainsi prise elle eu un sourire enjôleur.

'' Me voilà prisonnière de vos désirs chère Néréide ''

Le ton était faussement courtois et couvait en vérité une espièglerie sensuel qui masquait un désir plus profond, comme un jeux des sens. Les caresses sur son ventre la fit frémir de plus belle, son ventre déjà brûlant devenu humide sous les doigts qui parcourait maintenant sa taille et son dos, cabrant légèrement ses reins. La phrase au creux de son oreille la fit sourire, d'un sourire fiévreux qui ce perdit dans un baiser, laissant sa langue être cajolée mais ce fut bientôt à son tour de ce regorger de cette bouche gourmande, de cette langue féline qui savait si bien monter la température en elle.

'' Oublie le temps, oublie l'espace, l'amour est bien le seule à ce moquer de tout, même des puissants et du destin ''

De sa main libre, elle caressa les tendres lèvres nacré du pouce pour venir caresser le cou gracile de sa belle, ses doigts glissèrent sur la gorge palpitante pour venir y déposer un baiser et continuer sa course venant sous le chemisier goûter elle aussi la douceur et la chaleur de la peau claire. Tala défit ensuite de sa main experte les boutons du chemisier y découvrir encore une fois le corps de sa belle et sa poitrine qu'elle caressa à travers le soutien gorge. N'y tenant plus, elle dégrafa la lingerie qui retenait ses seins et avec les dents attrapa le tissu et le tira vers le haut pour finir de découvrir les monts blanc de sa belle. Regardant un instant la poitrine, elle y déposa des baisers léger mais qui bientôt ce firent plus passionnés, plus fiévreux aussi, sa main libre quand à elle s'évertuait à caresser le dos pour venir descend du bout des doigts vers ses reins et ce poser sur les fesses nerveuses de sa compagne et les masser doucement. Sa langue voulait aussi sa part et la sortit pour lécher les boutons rosés qui durcissait sous sa langue, les titillant, les massant tout autant et finit par en happer un pour lui faire la plus douce et sensuel des sussions.

'' Ta poitrine est tel à une friandise que je me lasse jamais de goûter ''

Reprenant ses caresses, elle resserra ses doigts avec ceux de Galatéa, son envie d'elle loin d'être assouvit semblait grandir, comme si leurs premiers ébats n'avait été qu'un avant goût prometteur et passionnel, elle aussi voulait n'entendre que son souffle contre sa peau, sa voix gémissant à ses caresses qu'elle lui procurerai...elle aussi voulait laisser son corps mener la danse de leurs actes charnels ou la forêt les acceuillait tel un écrin à la couleur émeraude.
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Ven 8 Avr 2011 - 10:41
Les soupirs et gémissements de la louve soumise à ses baisers et à ses caresses enflammèrent plus encore les sens de son amante. Le sourire de Galatéa se teinta un instant d'une ombre carnassière lorsque Tala se dit prisonnière de ses désirs. Son envie de la posséder n'avait pas décru mais au contraire s'était teinté d'une certaine sauvagerie. La russe n'était pas, en amour quelqu'un de violent et n'avait nullement envie de l'être, mais la passion la dévorait au delà de ce qui était imaginable. C'était comme une brûlure au fer rouge, sur son cœur et son âme. Comme si cet amour si soudain et si fou menaçait de la consumer entièrement. Et seule, la louve pouvait apaiser ce brasier là. Elle en avait presque peur. Elle n'avait jamais ressentit une telle envie, un tel désir... Jamais aussi violent, lancinant et se demandait jusqu'où elle serait capable d'aller pour cet amour là.

La phrase qui suivit, de sa douce, là rassura sur le fait que Tala aussi avait autant envie qu'elle que rien de ce qu'elles vivaient ne s'arrête. Oublier le temps était facile. Oublier l'espace aussi et jusqu'à la réalité des choses en dehors de ce corps contre le sien, de leurs souffles qui se mêlaient, de ce monde qui aujourd'hui n'avait plus qu'un seul visage. Et elle se perdit encore une fois dans le maelström de sensations qui les emporta. Les doigts de Tala, mêlés aux siens, assurèrent leur prise comme pour raffermir encore le lien qui les unissait. La blonde slave vint de son pouce caresser la paume contre la sienne dans une caresse quasi intime avant de resserrer son corps contre celui de son aimée et de lui offrir son cou et sa gorge. Ce fut à son tour de gémir sous les lèvres expertes et brûlantes de la louve et son corps entier fut parcouru de frissons. Elle la laissa lui ôter ce qui séparait sa bouche de sa poitrine avec l'envie de la voir venir y gouter et s'en repaître avec bonheur.

La langue qui vint jouer sur ses mamelons durcit lui arrachèrent des soupirs de contentement suivis très vite de gémissement de plaisir sous les lèvres qui les aspiraient un à un. Elle se cambra en arrière, collant son bassin contre le sien et le dos parcouru de décharges électrique sous la caresse de sa main qui finit sa course sur ses fesses fermes de sportive. Elle ne répondit pas à sa dernière phrase, fermant les yeux sous la délicieuse torture avant de les rouvrir et d'aller de nouveau chercher la main libre de son amante pour la ramener cette fois au dessus de sa tête. Elle fit glisser l'autre sur la main plaqué sur le bois avec fermeté et plongea son regard dans celui de Tala, comme pour lui intimer l'ordre de ne rien tenter... De se laisser faire.

Puis elle la débarrassa de son pull puis de son soutien gorge qu'elle jeta au sol avant de venir cueillir de ses mains et de sa bouche les monts sombres aux sommets déjà durcit par le désir. Elle les massa doucement tout en agaçant tour à tour chaque mamelon de sa langue, de ses dents et de sa bouche avide de les aspirer. Puis ses mains descendirent sur la ceinture du pantalon qu'elle défit et fit glisser avec le sous vêtement. Sa bouche acheva un moment de torturer les seins en émois de son aimée puis traça une ligne humide jusqu'à son ventre alors qu'elle descendait en position accroupit et achevait de l'aider à se débarrasser de tout ce qui les encombrait.

Ses mains vinrent agacer l'intérieur de ses cuisses, obligeant la louve à s'ouvrir et elle vint doucement souffler sur l'objet de ses désirs avant d'y glisser une langue assoiffée de nectar et de découvertes. Elle fit doucement le tour du joyau, sans le toucher. Elle vint jusqu'à l'entrée du Temple sans y pénétrer. Et sa caresse fut longue entre les reliefs divers qu'elle explorait. Une main était venue se poser sur les fesses magnifiques de l'indienne pour les pétrir à loisir alors que l'autre venait jouer du bout des doigts sur la partie sensible entre les deux temples, frôlant le premier et caressant doucement le second. Puis, enfin, sa langue pénétra le puits qui délivrait son nectar et s'en régala longuement. Elle fini par en ressortir comme à regret mais c'était pour mieux venir, cette fois, choyer le joyau sur lequel, alors, elle osa s'aventurer vraiment. La langue de Galatéa se durcit assez pour entamer un polissage appuyé, teinté de quelques coups vifs sur le sommet durcit de l'objet puis de mordillements avant d'en aspirer à plaisir la chair rougissante.

Mais elle ne voulait pas en rester là, malgré les gémissements et les cris de Tala qui résonnaient comme une douce musique à ses oreilles. Elle gérait ses caresses pour la faire grimper vers les sommets et la ramener un peu vers l'arrière l'instant suivant. La montée serait progressive... jusqu'à son apothéose. Déjà, la main qui agaçait le chemin entre les temples vint doucement visité le premier avec deux puis trois cavaliers qui entamèrent de longs voyages réguliers puis sur un rythme qui s'accélérait doucement.. La seconde main, après s'être humidifiée de nectar glissa vers le second puits et s'attarda sur l'entrée jusqu'à la sentir prête à céder. Et alors que les premiers cavaliers à l'intérieur du temple étaient rejoints par un quatrième, un autre s'immisça doucement dans l'intimité du puits sombre, frôlant en douceur les paroi intérieure et commençant des va et vient explorateurs et doux jusqu'à sentir les murs du lieu lui assurer une place confortable. Pas un instant, sa bouche n'avait délaissé le joyau, l'entretenant à la limite de l'explosion sans le laisser y accéder totalement. Pas encore... Pas maintenant. Elle voulait que lorsque viendrait l'ouragan, Tala ne sache plus d'où il était né. Elle voulait l'entendre crier son plaisir comme on demande grâce, à la limite de la folie que connait l'esprit lorsque le corps devient incontrôlable.
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Lun 18 Avr 2011 - 2:20
Comment aurait elle pu imaginer ce qu'elle était en train de vivre et de ressentir ? Bien sûr elle avait eu des sentiments avec d'autres personnes, l'amour elle connaissait, l'avait seulement imaginée comme tant de jeune femme. Bien sûr que son corps avait gouté à tout les plaisirs de la chair, qu'elle en avait toujours éprouvée du plaisir, pour s'y perdre des fois, pour oublier la réalité. Cependant, rien de tout se qu'elle avait vécu ne ressemblait à cet instant, ni l'émotion qui exaltait ses sentiments, ni la passion qui dévorait son corps, ni cette envie toujours plus forte d'aimer Galatéa. Aimer à ce point...était ce possible ? Tala ne l'aurait pas cru avant mais forcé est de constater qu'elle mourrait pour sa compagne, alors mourir d'amour, comme se sacrifier par amour prenait tout son sens. Galatéa reprit alors les devants en lui intimant du regard de ne plus rien faire, d'ailleurs ses mains furent de nouveau prisonnières pour appuyer la demande, elle eu un sourire suave et enflammée, si tel était son désir, elle le ferai.

Son pull fut de nouveau enlevé ainsi que son soutien gorge, libérant ses seins ou les mamelons sombre avait déjà retrouvés leur superbe en pointant fièrement. Le souffle haletante, sa sensibilité à fleur de peau, accueillit avec envie la bouche sur sa poitrine provoquant des gémissements d'aise et de plaisir, mais cela monta crescendo en les sentant masser ainsi que lécher et mordillés, un sourire de plaisir étira ses lèvres. Ses mains eurent la tentation de glisser dans la chevelure de sa bien aimé mais se rappelant l'ordre de ne rien faire, elle s'abstint bien que cela lui démangeait furieusement. Ce fut autour de son pantalon d'être enlever avec sa culotte, ses seins stimulée gardait la trace de la langue qui c'était si bien occuper de sa poitrine, faisant briller doucement cette dernière. Son ventre plat et aux muscles sensuel eu aussi cet trace brillante mais vibra en sentant la langue se rapproché de sa fleur déjà humide. Ses cuisses s'écartèrent presque tout seule quand les mains aventureuse voulurent les écarter, offerte totalement aux bons soins de sa belle, elle n'attendit pas longtemps l'objet de ses plaisirs, la langue lécha alors le brasier qu'était son entrejambe augmentant la chaleur autant qu'il pouvait le soulager, ce feu qui commençait à la consumer totalement, son esprit aussi commençait à vaciller, sous ce déluge d'émotion.

Cependant, Galatéa ne semblait pas presser de combler ses attentes, plutôt d'en jouer habilement pour faire monter son désir graduellement, comme pour tester son endurance ou pour bouleverser son corps jusqu'à ses limites, les traverser pour réveiller d'autres sensations. Sa belle prit donc son temps pour explorer ses contours, chaque parcelle de son temple sans y entrer pourtant, comme pour mieux la faire languir et que son ventre humide réclame pour fort encore d'être comblé. Les mains s'évertuaient quand à elles à parcourir ses temples et ses fesses qui ce contractèrent sous l'impulsion des mains qui massait son fessier, lui extirpant des gémissements de surprise et de plaisir mêlés. Enfin la langue finit par la pénétrer faisant onduler son bassin et glissa ses doigts dans la chevelure dorée de sa neréide, malgré qu'elle ne devait rien faire, Tala ne pu s'empêcher de toucher son amour, ne pas le faire, c'était comme lui interdire de vivre. Tala eu des sursauts, comme si des coups électriques provoquer par le faite qu'on torturait aussi délicieusement sa perle provoquait des chocs montant d'un cran le volcan dans son corps.

Les sensations qui s'entrechoquait en elle avait le don de la déboussoler, un instant son plaisir augmentait pour l'instant suivant redescendre, mélange de frustration et d'envie, cela se ressentait dans sa voix tremblante. Enfin sa fleur fut envahit par deux puis trois jardiniers qui allaient et venait à rythme de plus en plus soutenu faisant fermer les yeux de Tala, la rendant tremblante, ses jambes avaient du mal à rester forte sous tout ce que ressentaient son corps. La louve fut alors surprise et creusa ses reins en sentant son anneau de chair titiller et visité, personne n'était entré ici et cela lui fit tout drôle lui arrachant des frissons dans tout le corps. Comblé au plus profond d'elle assaillit par des émotions des plus diverses, son esprit commençait à se perdre dans un tourbillon de sensations intense ou Galatéa ne semblait pas vouloir mettre un terme, la faisant languir jusqu'au supplice.

'' Ga...Galatéa, je t'en prie ne me fais plus languir ! ''

Ses gémissements n'étaient plus que des cris, des cries d'un plaisir intense, emprisonnée dans ce feu qui ne voulaient pas exploser. Soudain pourtant, sans qu'elle ne contrôle plus rien, son corps se tendit à l'extrême et sa jouissance vint brutalement, sans le sentir arriver ou le maitriser comme un ouragan qui balaye tout sur son passage. Sa jouissance inonda les doigts de son aimée et sa fleur brillait maintenant de son nectar, glissant le long du mur, elle s'assit au sol reprenant son souffle le regard brillant. Son corps était recouvert d'une fine pellicule de sueur, son corps se remettait lentement des passions qui l'avait habités mais qui restait malgré tout, comme si son corps était dans un sensation de béatitude et de bien être.

'' Tu est cruelle...me faire cela sans pouvoir te toucher et de m'avoir frustrer de la sorte autant que ce plaisir m'a fait perdre mes repères. ''

Fronçant les sourcils elle semblait contrariée mais cela ne dura pas, ce n'était qu'une feinte pour la taquiner. D'un seule coup elle allongea Galatéa au sol et féline ce mis à cheval sur elle, un sourire enflammée aux lèvres. Caressant avec douceur sa poitrine, remontant vers le visage, Tala caressa les lèvres carmin de sa belle avec douceur et finit de la déshabiller pour que leurs peaux n'est pas aucune barrière pour rentrer en contact l'une contre l'autre. La louve noire s'allongea contre sa compagne, son bassin entre les cuisses fuselées de cette dernière frottait leurs puits d'amour ensemble avec douceur mais avec un certain érotisme.

'' Ai je ta permission maintenant de te toucher et de t'aimer ? ''
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Mar 19 Avr 2011 - 3:05
Galatéa se sentait comme en transe en donnant du plaisir à son aimée. Comme si chaque geste, chaque caresse qu'elle donnait, visait à la perfection et ressentait chaque tressaillements du corps de Tala comme ses oreilles se réjouissaient de chacun de ses cris et gémissements. Elle aimait le gout de sa peau, la douceur de son corps sous ses mains et elle prenait un plaisir intense à en explorer chaque parcelle, cherchant de la langue, des mains et des doigts à tirer d'elle le moindre soupçon de jouissance. Elle s'en émerveillait comme on s'émerveille d'une offrande qu'on a pas demandé. Elle communiait avec elle à chaque instant, à genoux devant elle comme on prie la déesse de l'amour. Mais Aphrodite, à ses yeux, n'auraient en aucun cas soutenu la comparaison tellement son coeur et son âme appartenaient déjà à la belle indienne, Gardienne de la forêt et de son être tout entier à présent.

Le cri de sa belle amante résonna comme un appel auquel elle ne pu que répondre avec joie et sa langue accéléra son rythme sur le joyau qu'elle aspira avec force pendant que les cavaliers explorateurs achevaient de l'amener vers un paradis jamais atteint. Le corps haletant et luisant de sueur de son amour glissa doucement contre le mur et elle la libéra pour la retenir et l'accompagner. Elle sourit à son accusation et captura ses lèvres avant de se retrouver elle même soumise au désir de la belle, à même le sol. A la question de savoir si l'indienne avait à présent sur elle certaines permission, elle sourit malicieusement, son regard plongé dans le sien et murmura d'une voix rauque de désir :

"Tu as sur moi tous les droits, ma déesse... Fais de moi ce qu'il te plait."

Déjà, son ventre devenait brûlant de la caresse de son intimité contre la sienne et le plaisir de sentir sa peau contre la sienne exacerbait ses sens à outrance. Elle lui appartenait comme elle n'avait jamais appartenu à personne et n'appartiendrai jamais à nulle autre. Elle aurait pu mourir en cet instant qu'elle n'aurait eut que le regret de n'avoir pas connu une telle passion plus tôt, dans ces bras là, ses jambes enlacées à celles de Tala et son corps embrasé par la simple sensation de sa peau sur la sienne. Elle ne pu s'empêcher de lever une main qui glissa sur la nuque de son aimée, sous sa chevelure magnifique qui la caressait de sa longueur. Elle attira son visage vers le sien, les yeux emplis d'un bonheur et d'une rémission totale et unit ses lèvres aux siennes, venant gouter à cette langue si délicieuse et si avide, à ses lèvres aussi douces que les ailes d'un papillon, aussi sauvages que le loup qui habitait ce corps magnifique et aussi sensuelle que l'amour lui même.

Elle avait trouvé sa place, sa demeure, en Tala. Et son monde était celui de la Gardienne dorénavant. Elle se dit qu'Etiopia, si telle était sa volonté de satisfaire celles qu'elle enlevait, accepterait bien qu'elle ne la quitte que lorsqu'elle en serait capable. Mais cet instant n'était pas venu et ne serait pas immédiat. Le village, son travail, sa vie citadine pouvait attendre... Elle voulait tout connaitre de Tala, tout découvrir et sa faim d'elle semblait inextinguible. Oui, il faudrait du temps avant qu'elle se décide à la quitter ne serait-ce quelques heures... Il n'est pire addiction que l'amour lorsqu'il bouleverse à ce point votre être, et comme toute addiction, seule la volonté permet de s'en défaire, même un peu... Et elle était désormais sans volonté que celle de s'adonner à cet amour, pour l'éternité.

Ses lèvres avaient repris le chemin de sa bouche et sa main glissa sur le dos de la louve, agaçant sa peau du bout des ongles depuis la nuque jusqu'aux reins. Elle savoura longuement leur baiser avant de relever la tête pour venir murmurer à son oreille.

"Prends moi... Aime moi... Et garde moi avec toi jusqu'à la fin des temps. Je t'aime au delà de tout."

Sa main libre glissa vers leurs intimités et ses doigts vinrent aiguiser le désir de la louve dans une caresse subtile, là où le plaisir avait si bien su lui faire perdre tout sens quelques minutes auparavant, puis elle ramena à sa bouche ses doigts humides du nectar qu'elle lécha avec un regard d'invite évident. Elle avait envie d'elle, de s'offrir sans retenue, sans pudeur et de connaître encore ce plaisir qui n'avait pas de nom tellement tout son être en était submergé chaque fois... qu'elle donne ou qu'elle reçoive... Mais cette fois, elle voulait recevoir, oubliant jusqu'à ses instincts dominants pour n'être que l'objet du désir de celle qu'elle aimait.

"Prends moi... Maintenant... " Murmura-t-elle à nouveau.
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Lun 25 Avr 2011 - 19:46
Rien de tel qu'un baiser pour chasser un reproche ou une contrariété, les lèvres douce de sa compagne était toujours autant délicieuse et avait eu pour réaction de mettre le feu aux poudres à son esprit qui avait été embrumé par les plaisirs et délices que son corps avait reçu, s'éveillait soudain et ne voulait qu'une chose, posséder Galatéa. Ses mots si magique à l'oreille de Tala la fit sourire, un sourire plein de promesses, pressant avec plus d'envie son bassin contre celui chaud qui l'accueillait, frottant sa fleur humide contre celui brûlant de sa belle, déposant des baisers dans son cou et y déposa un suçon au creux de sa gorge. Vibrant à la caresse sur sa nuque, des frissons parcourra sa peau sombre qui eu pour réaction de la faire soupirer de bien être, ses cheveux sombre comme l'aile d'un corbeau s'étalait et caressait la peau de sa compagne aux mouvements de sa tête qui déposait des baisers sur sa gorge. Son visage fut attirer vers celui vers celui si doux et intense pourtant de sa belle, un sourire tendre aux lèvres, leur baiser lui fit de nouveau perdre ses repères, oubliant le monde autour d'elle pour forgée un nouveau ou Galatéa en serait le centre, après tout elle avait maintenant son cœur, son âme c'était lié comme le fil rouge du destin à celui de la belle slave. Tala voulait la garder auprès d'elle, égoïstement, irrémédiablement aussi, quand sa raison lui disait que trop se l'accaparer pourrait l'étouffer inconsciemment, consumer sa vie propre, la couper de son entourage aussi. Tala ne le voulait pas mais pour le moment, elle oubliait cela, cet nuit était la leurs et voulait encore l'aimer, toujours un peu plus, toujours plus passionnément. Savourant leur baiser, sa peau ne cessait de frissonner aux caresses légère qui parcourait sa nuque, son dos et ses reins, son cœur se gonfla de passion aux mots chuchotés de sa belle, de même que la main qui venu caresser son temple vint exacerber ses sens, devenant un peu plus folle d'envie de la posséder de la combler.

Galatéa semblait l'invitée à la prendre, à la faire sienne, comme une évidence et une envie plus fort que tout. Sans mot, car cela était inutile elle embrassa son amour, oui, elle la prendrait et commençait à donner des coups de bassins doux pour commencer, frottant leurs temples ensemble avec une certaine érotisme pour faire monter le plaisir graduellement, se retenant d'être goujat et la prendre, comme on prendrait une catin pour le dire vulgairement, sa compagne méritait mieux. Elle commença par des baisers légers dans le cou, comme une plume, descendit doucement vers sa gorge pour arriver sur sa poitrine sur laquelle elle déposa des baisers plus appuyés, plus amoureux aussi avant de laisser des caresses humide avec sa langue, cajolant les deux seins comme si ils étaient sacré. Sa main venu masser le sein avec de légères pressions alors que sa bouche était en train de happer un mamelon et de le suçoter avec lenteur, pour que sa compagne sentent chaque des sussions sur son bouton de rose. Puis Tala échangeait, lâchant le sein pour aller s'occuper de celui qu'elle avait massé et l'autre se faisait masser à son tour, le balai de ses caresses reprenaient de plus belle et finit par masser les deux seins tout en ne lâchant pas le téton qu'elle avait happer et léché. Ensuite, ses mains descendirent contre le ventre transit d'envie et fut suivit par sa langue qui laissa sa marque sur sa peau chaude.

Tala s'occupa ensuite de la fleur avec précaution comme l'avait fait sa belle sur la sienne, léchant chaque parcelle de chair rose, chaque pétales pour s'inscrire en elle, chacune de ses caresses, qu'elle s'imprègne d'elle jusque dans sa chair. Sa langue se faufila dans le temple pour l'explorer dans son entier, aucune paroi chaude ne fut délaissées, prenant son temps pour ne rien laisser de ce cadeau offert à sa lange, à sa bouche qui suçotait à présent la perle, la polissant comme un bijoutier qui travail une pierre précieuse. Se servant des gémissements, des réactions de sa compagne pour la combler au mieux, sa langue fut remplacé par deux explorateurs qui fouillait le temple avec douceur, la langue avait été un avant goût, montant son plaisir dans la tendresse de sa langue, titillant par pique son désir en s'occupant de sa perle nacré, maintenant trois explorateurs la fouillaient avec plus de panache, pour ensuite y mettre un quatrième et donner un rythme soutenue pour rendre tout son corps dans un délice de folies, lui faire perdre l'esprit comme elle avait si bien su lui faire. Cependant, elle n'allait pas l'amener à la jouissance aussi vite car en la sentant prête à y céder elle enlevait ses doigts laissant son plaisir frustrer et inachevé. Cela pouvait paraître cruel d'avorter ainsi son plaisir mais Tala voulait une autre fin pour son apothéose, pour rassurer sa belle, elle l'embrassa, d'un baiser long et langoureux.

'' Je veux sentir ta jouissance, sentir ton corps ce tendre contre le mien ''

Une simple explication mais Tala préférait le geste à la parole, se qu'elle fit en unissant leurs fleurs ensemble et les frottèrent ensemble, s'allongeant contre sa belle sans imposer son poids, leurs seins aussi se massèrent l'un à l'autre, tout comme leurs perles. Peu à peur Tala se laissa aller à sa propre fièvre, leur union était complète, corps contre corps, cœur contre cœur, les souffles qui se mêlaient, leurs nectars qui se mélangeait, la louve laissa libre cours à son coté sauvage dans ses coups de bassins qui c'était fait fougueux, ses gémissements rejoignaient celle de Galatéa. Tala était heureuse de posséder sa belle, de la voir ainsi s'abandonner à ses caresses, à son corps, à ses envies, à son amour qu'elle laissait libre court en l'embrassant encore et toujours avec la même passion, ce même amour brûlant, croisant ses doigts avec ceux de son âme sœur, elle accompagnerait sa jouissance avec toute son âme, pour lui prouver que même les étoiles n'étaient pas les seules à briller éternellement, son amour pour elle aussi.
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Tala Valerius
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Mar 26 Avr 2011 - 12:31
Le monde de Galatéa avait pour centre Tala. La lumière qui l'éclairait était l'éclat de son regard sur elle, son sourire. Sa chaleur était celle que son corps et son amour lui offrait. Il n'existait rien d'autre te elle voulait qu'il n'existe jamais rien d'autre. Elle se cambra sous ses lèvres qui agacèrent son cou et gémit sous le pincement de leur aspiration sur sa gorge. Elle aima se savoir marquée ainsi, même si le suçon s'effacerait vite. L'amour de Tala, elle ne demandait qu'à le tatouer sur son corps autant que sur son âme déjà marquée au fer rouge de la passion. Elle soupira de bonheur dans le même souffle que son aimée, en la sentant frémir sous ses doigts. Le seul fait de la sentir vibrer contre elle la mettait dans tous ses états. Sa fleur humide contre la sienne témoignait aussi de ce plaisir là en plus de celui qui brûlait son ventre avide d'être comblé.

Elle savoura sa bouche encore une fois comme on dévore la vie elle-même. Et la métaphore était vraie. Tala était devenue en quelques heures sa vie, l'air qu'elle respirait. Un bouleversement total de son univers comme deux galaxie se fusionnent l'une dans l'autre, réduisant l'existant à néant pour qu'en renaisse un tout. Une seule entité puissante et ayant doublée de taille et d'énergie. Comme la futur Galaxie que deviendraient Andromède et la Voie lactée, dans des milliards d'années, en se télescopant. Et Dieu, qu'elle aimait son sourire! Elle était magnifique ainsi, le regard brillant et amoureux, ses dents d'un blanc éclatant rehaussant le hâle de son visage si parfaitement dessiné, à la peau si douce et soyeuse. Chaque fois qu'elle lui souriait, son cœur se gonflait d'une joie incommensurable. Elle se demandait si à force, il ne finirait pas par déborder ou se rompre sous un tel afflux.

Elle sentit sa belle indienne redoubler de désir sous sa caresse et ses mots l’invitant à la faire sienne. Elle répondit à son sourire et son regard d’un bleu indéterminable mais intense tellement les sensations étaient multiples en cet instant scintilla de plus belle. Son souffle était court de désir inassouvi et d’une envie sauvage d’être satisfaite sans autre forme de procès. Mais la louve prit son temps. Elle agaça longuement ses seins, un à un de ses mains et de sa bouche, la faisant tressaillir sous les décharges électriques qui parcouraient son corps. C’était presque insoutenable tellement c’était délicieux. Son nectar déjà bien présent entre ses cuisses l’inondait de nouveau comme un appel pressant. Sa peau s’était couverte de sueur, témoignant de l’effort qu’elle faisait pour ne pas se laisser emporter immédiatement par l’ouragan qui la bousculait.

Elle frémit de plus belle en la sentant descendre sur son ventre puis venir enfin la combler de sa langue. Se régaler de son absinthe en caressant les parois de son Temple entièrement offert. Elle se mordit la lèvre inférieure pour ne pas crier. La langue polissait à présent son bijou avec délice et les lèvres en aspiraient l’essence alors que la visiteuse du Temple avait été remplacée par d’autres qui la remplissaient entièrement, comblant son ventre brûlant en demande. Le monde s’était mis à bouger, valser, tanguer. Son esprit était confus, perdu dans le maelström de sensations toujours plus fortes qui l’assaillaient. Son corps chercha à s’échapper mais elle était maintenue solidement. Elle cria, gémit, soupira, de manière erratique, proche de apothéose. Puis Tala la libéra juste avant l’instant fatidique. Elle en resta pantoise un instant avant de la sentir venir contre elle, sur elle, frottant sa fleur encore humide contre la sienne, caressant ses seins des siens, effleurant sa peau de sa longue chevelure sombre.

Elle voulait la sentir jouir contre elle ? Son corps se tendre contre le sien ? Elle ne se ferait pas priée, le volcan en elle étant si proche d’exploser qu’il lui suffirait de peu pour tout dévaster sur son passage. Sa bouche retrouva la sienne, ses doigts s’entremêlèrent aux siens. Elles ne faisaient plus qu’une.

- Je viens, mon amour… Murmura-t-elle dans un souffle, dans un râle presqu’inaudible, dans un gémissement qui se termina par le nom de Tala.

Son corps s’arqua soudain sous la déflagration violente de l’orgasme qui la secoua. Elle en oublia de respirer un moment, laissant les vagues de jouissance parcourir son ventre collé à celui de Tala, faire palpiter son intimité contre celle de son aimée, jusqu’à n’en plus pouvoir. Elle retomba enfin, à bout de souffle, le cœur battant, sa langue toujours mêlée à la sienne, ses mains toujours prisonnières des siennes, leurs poitrines se heurtant doucement et lui arrachant un soupir supplémentaire tellement ses mamelons étaient à présent sensibles.

Le corps et l’âme de Tala l’avaient accompagnée jusqu’au bout et lorsqu’elle ouvrit les yeux, sa princesse indienne, son corps posé sur le sien, sa tête nichée dans le creux de son cou, avait le souffle tout aussi court que le sien. Elle libéra ses mains pour l’enlacer, l’entourant de ses jambes afin de sentir son bassin palpiter contre le sien. Elle la serra avec amour, laissant ses mains se faire caressantes et douce sur sa peau, sur sa nuque.

Nul mot ne pouvait décrire ce qu’elle ressentait. Rien ne pouvait définir non plus le lien qui les unissait et la complétude qu’elle ressentait enfin. Elle embrassa sa tempe alors qu’elle reprenait, elle aussi son souffle et lui redit encore une fois « Je t’aime… », trouvant que ces trois mots paraissaient bien faibles en regard du torrent de passion et d’amour qu’elle ressentait pour Tala.
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Mar 10 Mai 2011 - 2:29
Ses soupirs, ses gémissements, ses frissons, son souffle saccadé, sa peau chaude empreint d'une fine pellicule de sueur, ce corps qui se pliait à ses caresses, s'arquait quand le plaisir devenait trop grand sous ses doigts...se lasserait elle un seule instant de son corps ? Non, pourtant on dit qu'une passion aussi soudaine que ardente consume tout pour ne laisser que des cendres, une fois fait il ne reste rien et l'amour premier disparaît. Pour Tala ce n'était pas vrai, ce coup de foudre, cette passion qui les tenaient toute les deux, ce feu ardent était d'une autre nature, elle aurait du en prendre peur, prendre garde à ne pas se donner autant, dans l'autre monde elle avait vu tellement d'amour qui ne durait pas, de trahison et d'infidélité que son cœur en avait été désabusé. Mais avec Galatéa, ses doutes, sa lassitude c'était envolé pour laisser place à son amour qui dormait depuis si longtemps en elle. L'une et l'autre se donnaient sans retenu et c'était peu être bien pour cela qu'elle n'avait pas peur d'aimer, qu'elle lui avait tout révélée, pour qu'un secret noir vienne entacher leur union et leurs étreintes et maintenant...Tala allait tout faire pour que rien ni personne essaye de la lui prendre ou de la séparer d'elle, gare à celle qui essayerait...elle pourrait alors devenir assez mauvaise. Cependant, il n y 'avait pas lieu de s'en soucier pour le moment, confiante en sa belle pour savoir ce défendre des potentiels prétendantes après tout elle était une ex agent russe non ? Se confortant dans cette idée pour l'aimer sans retenu.

Alors elle la tenu contre elle, sans échappatoire à son plaisir elle faisait tout pour que le corps de sa compagne soit prit de vertige autant que le sien le fut, qu'elle perde ses repères comme elle avait perdu le contrôle de ses sens. Galatéa lui signifia dans un murmure qui tenait plus d'une râle de plaisir qui pourtant était murmure que capta à temps Tala, avant que l'ouragan qu'elle si patiemment semée déferla. Elle se régala de sentir les muscles ce tendre contre les siens, de même que son jardin intime palpiter contre le sien submergé par les vagues tel des lames de fonds qui fauchait tout en sa belle. Le baiser avait accompagner cette jouissance et lui avait insuffler son air ayant sentit que cela avait si violent que le souffle de sa compagne lui avait manquer, et puis le corps retomba, comme retombe l'herbe après un souffle violent, comme retombe l'orage. Le corps de Tala était maintenant épuisé de toute ses sensations qui l'avait traverser, de ses émotions qui l'avait bouleverser, rompant le baiser elle venu poser sa tête au creux du cou de sa belle non sans avoir déposer un baiser léger et tendre. Se reposant contre sa belle, elle eu un sourire d'aise en sentant les bras et les jambes la serrer pour que leurs corps reste blottit l'un contre l'autre, elle prit le temps de calmer son souffle, la fatigue commençait à la gagner.

'' Je t'aime, ce mot est peu être simple à dire...mais je ne crois pas qu'il y es le mot juste pour dire tout ce que je peux ressentir à ton encontre''

Tala commençait à sentir ses paupières se fermer, leurs ébats avait été si physique, si passionner, son corps n'avait pas eu l'habitude et en ressentait le contre coup, mais elle ne regrettait rien, au contraire elle accueillait son épuisement comme salvatrice, laissant son corps émerveillée des caresses et de ce qu'il avait vécu cette nuit. Soupirant doucement contre sa belle, la louve noire se prit à réfléchir, elle n'était pas prête à la quitter que ce soit cette nuit ou demain, elle voulait lui faire découvrir tellement de chose mais plus encore découvrir ce avait fait sa vie et sa culture, la connaitre mieux, savoir ses gouts vestimentaires et culturels, ses penchants culinaires, ses passions enfin...beaucoup de chose, il lui semblait connaître si peu d'elle et en même temps avoir une partie dans son cœur.

'' Reposons nous ''

Avec douceur elle se releva mais tenant contre elle Galatéa, comme pour ne pas rompre le charme et le contact entre leurs peaux et la prit comme une princesse, un bras sous ses genoux et l'autre dans son dos. Une fois debout elle se dirigea vers sa chambre mais soudain chancela légèrement manquant de tomber mais se rattrapa à temps, ses muscles semblaient tremblant, elle ne c'était pas encore remis de ses ébats.

'' Mon corps est tout pantelant ''

Elle eu un rire amuser pour ne pas inquiété Galatéa et atteints sa chambre, Kosumi était dans son petit coin qui lui était dédié, émettant des petits ronflements doux prouvant qui dormait du sommeil du juste. Tala posa alors délicatement sa compagne sur son lit et s'allongea d'un même geste auprès d'elle, les draps était fait en lin blanc mais était très doux au toucher, son corps enfin au repos elle put se détendre.

'' Voilà, on sera mieux ici ''

Caressant doucement ses épaules, elle observa sa belle, elle cru un instant que ce n'était qu'un rêve, que une fois la nuit finit, quand la lune irait ce cacher et le soleil étendre ses rayons, que Galatéa ne soit plus la quand elle ouvrirai les yeux, pourtant tout cela était réel.

'' J'aimerai tout connaître de toi, mais la nuit me semble si courte...j'ai peur du lendemain alors que je n'est riens à craindre...tu sera toujours la demain...n'es pas ? ''

C'était idiot, c'était irraisonnée mais elle voulait se rassurer, dans son cœur, cet peur n'avait pas de raison d'être mais dans ce village tout pouvait se passer, qui sait si Etopia ne lui donnait pas des illusions pour apaiser ses blessures d'âme ? Tala entrecroisa ses doigts encore une fois avec ceux de sa compagne, comme pour se rassurer.

'' Je t'aime tellement...''
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Mar 10 Mai 2011 - 5:15
Elle se sentait tellement bien dans ses bras, son corps contre le sien. A tel point qu'elle en oubliait le monde autour d'elle, la dureté du bois sous elles aussi. Même l'inconfort devenait confortable quand elle pouvait sentir sa peau contre la sienne, son souffle chaud, son cœur battant à l'unisson du sien. Son corps était las, mais son âme... Mon Dieu! Son âme était comme prise dans une lumière vive et éternelle. Une seule envie la tenaillait, cette âme, qui malheureusement ne serait jamais assouvie mais témoignait de ce qu'elle ressentait. Une envie de fusionner avec celle de Tala comme son corps avait semblé fusionner avec le sien. C'était peut-être ça, finalement, la vérité de l'amour. Vouloir se perdre irrémédiablement en l'autre tant physiquement que spirituellement jusqu'à n'être qu'un ou une.

Les mots de Tala vinrent en écho parfait à sa pensée. Leur "Je t'aime" étaient des mots presque creux comparés à ce qu'elles ressentaient vraiment. Leur passion soudaine semblait n'être que le résultat d'un destin écrit pour elles deux. Plus que la passion, plus que l'amour tel qu'on le conçoit habituellement. C'était... vertigineux, sublime, intemporel... Et si d'aucun aurait juger bon de prédire que ce "coup de foudre" ne pouvait durer, que leurs élans avaient été trop rapides, leur attirance trop brutale pour ne pas céder avec le temps, ils avaient tort. Parce que, d'une part, ni l'une, ni l'autre n'était du genre à céder aux émotions aussi vite habituellement et qu'elles avaient suffisamment vécues pour justement se méfier de leurs élans physiques. Et donc, pour qu'une telle chose ait eut lieu sans que ni l'une, ni l'autre ne recule devant le risque, que toutes deux se donnent à ce point entièrement, corps, cœurs et âmes et qu'elle soient à ce point liées qu'elles n'imaginaient même pas se séparer une seule seconde, il fallait forcément qu'elles aient été destinées l'une à l'autre, sans retour en arrière possible.

Galatéa n'avait pas souvent eut de certitudes dans sa vie, mais elle avait celle-ci. Tala était faite pour elle comme elle était faite pour Tala. Et rien ni personne ne serait en mesure de les éloigner l'une de l'autre. Le lien était déjà scellé. Et seule la mort pourrait le desceller... peut-être... Car il existe des amours qui survivent à l'au-delà et celui là en était un. Même si malgré elle, la russe se demandait comment elle avait pu mériter ce miracle, son bonheur était à un tel paroxysme qu'elle ne pouvait que l'accepter et remercier celui ou celle qui s'était penché sur elles.

Elle se laissa soulever par la Gardienne dont la force peu commune lui donnait l'effet d'être un fétu de paille entre ses bras. Elle la sentit vaciller malgré tout, épuisée comme elle par leurs ébats, et déclarer, en effet qu'elle n'en pouvait plus. Elle rit avec elle en se laissant amener jusqu'au lit.

"Je crois que moi, j'arriverai à peine à tenir debout!" Rétorqua-t-elle, soulignant le fait que Tala était plus résistante qu'elle ne l'était.

Sur le lit, allongée de côté face à elle, elle lui rendit ses caresses, frissonnant sous les siennes, s'amusant à découvrir encore la douceur de sa peau sous ses doigts, le long de ses hanches, de ses cuisses avant de remonter lui caresser le visage. Son regard plongea dans le sien tout aussi émerveillé. Elle ne pouvait se départir de son sourire en la contemplant. Elle lu une légère inquiétude que confirma la louve par ses paroles. Alors qu'elle lui redisait à quel point elle l'aimait en unissant leurs mains, Galatéa la regarda quelque peu taquine devant ses doutes.

"Oh! Je ne t'ai pas dit? Au matin, je deviens une bulle et je disparais dans un déluge de lumière!" Puis plus sérieuse, elle dit :

"A moins que tu ne me pousses dehors, tu vas avoir un espion russe dans ton lit pour le restant de tes jours, ma douce..."

Elle se redressa pour mieux la contempler, se pencha sur elle et murmura à son oreille dans sa langue :

"ya tibia lublu, moya lioubov, je t'aime, mon amour... Tu n'as rien à craindre. Ni de demain, ni des jours qui suivront d'ailleurs. Car rien au monde ne pourra me séparer de toi. Nos cœurs, nos âmes sont liés. A jamais. Je l'ai su dés que je t'ai vue mais je l'ai surtout compris la première fois que tu m'as aimé. Tu te souviens, à l'écurie quand tu m'as dit ''M'appartenir...Galatéa... Sais tu au moins ce que tu dis ?'' et je t'ai répondu "Oui... Je sais parfaitement ce que je te promets..." Je savais déjà que je m'enchainais à toi. Pas pour quelques heures, ou pour une nuit, pas pour une semaine ou un mois. Mais pour la vie... Et je n'ai jamais été aussi heureuse de ces chaînes, qui d'ailleurs n'en sont pas. Parce qu'avec toi je me sens plus libre que je ne l'ai jamais été. C'est sans toi que je perd ma liberté. Sans toi que je me perds. Sans toi que je n'existe plus... Alors oui, je sais parfaitement la promesse que je t'ai faite en me donnant à toi. Et je n'aurai jamais aucun regret."

Elle se pencha de nouveau, pour l'embrasser cette fois, mettant dans ce baiser tout l'amour dont elle était capable et se serra contre elle comme pour parfaire sa promesse. Elle se rendit alors compte que ses yeux se fermaient tous seuls. Si son esprit était encore alerte, perché à des lieues au dessus d'Etiopia, son corps, lui, réclamait un peu de sommeil. Elle lui sourit, plongeant son regard d'un bleu magnifique dans la profondeur sublime du sien et ajouta, taquine :

"J'espère au moins que tu as prévu un petit déjeuner digne de Gargantua... C'est peut-être toi qui va fuir ta propre demeure en voyant ce que je suis capable d'avaler pour me remettre de mes émotions après une telle nuit!"

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Ven 20 Mai 2011 - 2:56
Tout le monde avait des doutes, des fois injustifiée, d'autre qui était un élément essentiel pour prendre les bonnes décisions, ce remettre en question aussi, mais aussi des fois sauver sa vie en se méfiant. Ce n'est pas dans l'esprit de Tala, ses doutes ne résultaient que de sa peur de l'abandon, une petite séquelle de la rupture brutale avec son ex petite amie, mais cela lui semblait si loin maintenant. La louve noire caressait distraitement l'épaule de sa compagne, repensant en même temps à la phrase de cet dernière, qui avait sous entendu qu'elle était plus résistante qu'elle. Ce n'était pas faux, mais pas vrai tout à fait, son métabolisme lier à celui du loup lui donnait une force peu commune mais pas herculéenne comme on voit souvent dans les films, elle pouvait aussi courir plus vite et plus longtemps que la plus part des gens mais encore la, elle avait ses limites. Soupirant d'aise aux caresses délicates, elle s'apaisait dans les bras de sa belle, mieux que n'importe quel calmant au monde. Sa peau lui semblait si douce que le plus délicat des velours lui serait du crin dur à coté, mais se qui était le plus saisissant restait les yeux de Galatéa elle avait l'impression de s'y perdre, comme un marin qui ce perd dans le bleu de l'océan, c'était fascinant, tremblant, faisait battre la chamade au cœur de Tala quand ce bleu était en émoi ou sous la tension du désir. Quand à sa compagne, elle brisa ses doutes avec une belle désinvolture, mais repris avec plus de sérieux qu'a part si elle la chassait, elle resterait bien au chaud avec elle et ceux jusqu'à la fin de leurs vies. La virée de chez elle ? Quel ineptie pour la louve noire, elle ne ferai jamais une tel chose, maintenant qu'elle avait su capter ce cœur haut en couleur qui avait rendu complet le sien, elle ne le lâcherai plus, ho non plus jamais, quitte à endurer les pires souffrances pour cela.

'' Un fou pourrait faire une tel chose et encore...''

Lui souriant, elle la laissa se pencher vers elle, les long cheveux blond se déposant sur sa poitrine et caressant son visage la faisant doucement frissonner et ferma les yeux pour écouter les paroles de sa belle. Et quels paroles...de ses mots qu'on ne dis pas à la légère qui ému et font trembler l'âme, de cette promesse qui avait sceller leurs destinées à elle deux. Une larme perla le long de sa joue, ses mots qu'elle avait tant attendu, tant espérer sans se dire que cela arriverait un jour, elle qui n'avait vu ce genre d'amour que dans les films, dans la réalité elle n'avait pas cru pareille chose.

'' Galatéa...''

Voilà ce qu'elle pu dire...juste son prénom et cela lui semblait si maigre comparé à cette déclaration d'amour, ou trouver les mots juste ? Que dire ? Sa compagne lui épargna pour quelques minutes ce dilemme, se sentant fondre au baiser donné, de cet amour si vibrant, enlaçant aussi sa bien aimé avec envie.

* Galatéa...si tu savais comme je t'aime, mon cœur, mon corps, tout en moi vibre et t'appartiens, ma vie est la tienne et jusqu'à la fin, je te protègerai *

Pendant le baiser sa main venu caresser ses cheveux avec douceur, glissant ses doigts dans sa chevelure à l'éclat d'or, puis écouta la suite de ses paroles. Elle d'abords étonnée avant de partit dans un éclat de rire joyeux et amusé, qu'elle du calmer rapidement pour ne pas avoir mal au ventre à force de rire et surtout de ne pas surprendre sa belle et la regarda avec un doux sourire amusé.

'' Allons bon, aurait tu oublier ou tu es ? Nous avons une faim de loup Kosumi et moi alors pour nous nourrir, ne t'inquiète pas j'ai ce qu'il faut. Je serait combler ta faim comme j'espère avoir comblée ton appétit de mon corps. ''

L'embrassant à son tour elle mit les draps sur elle, ayant sentit la fatigue de sa belle il était temps pour leurs corps de prendre un peu de repos après leurs folle ébats. Tala lécha doucement les lèvres de sa belle une fois le baiser rompu et lui chuchota.

'' Laisse toi aller dans mes bras, comme Morphée je veille sur tes rêves. Je t'aime, tellement, je me montrerai digne de l'amour que tu m'apporte et voici ma promesse en retour de la tienne. Je te promet de rester éternellement à tes cotés, de te protéger de toute mes forces jusqu'à l'épuisement, jusqu'en mourir tant que je peux voir ton sourire, je suis bien, tant que j'entends ton rire je me sent tout aussi libérer que toi. Non, ce n'est pas des chaînes mais un lien qui nous unis, j'accepte ce lien autant que je t'accepte tout entière, mon cœur est ton prisonnier le plus dévouée, si tu venais à disparaitre, tu emporterai mon âme avec toi. Je suis fais de la même matière que le loup, et ainsi je jure de n'avoir que toi, je te resterai à jamais fidèle, comme nous hurlons à la lune nos complaintes d'amour. ''

Tala ne pu s'empêcher de l'embrasser encore une fois, comme pour accompagner ses paroles mais plus encore le sommeil de sa compagne, glissant la tête de belle contre sa poitrine comme pour lui faire oreiller, caressant ses cheveux et posa son front au sommet de la tête de Galatéa, fermant aussi les yeux. Oui, sa vie c'était illuminer d'une douce lumière, chaude et réconfortante, en cette nuit une autre promesse fut conçu, celle de rendre heureuse sa belle Néréide à l'âme lunaire.
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Tala Valerius
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