NYHAL ADERAK

Mar 5 Aoû 2014 - 17:47

♬ Petites Informations ♬ ❃ Nom : Aderak ❃ Prénom : Nyhal ❃ Surnom : Nyny. ❃ Age : 19 ans ❃ Signe Astrologique : Sagittaire ❃ Origine : Egypte ❃ Chambre : Seule ❃ Travail : Musicienne ❃ Ce qu'elle aime : Le violon, elle a une grande passion pour le violon, elle aime lire, écrire et dessiner. ❃ Ce qu'elle n'aime pas : Qu'on lui donne des ordres ❃ Autres : Elle n'aime pas les bijoux qu'elle porte ❃ Avatar : Grenat di Alexandrie ou Dagga de Final Fantasy 9 ♬ Parlez Moi De Vous ♬ ღ HISTOIRE : Racontez nous votre histoire. De votre naissance jusqu'à ce que le portail d'Etiopia s'ouvre devant vous. Je suis née le jours de l'hiver, il paraît que les flocons de neiges tombée sur d'autre continent, mais pas ici, je ne sais pas ce que c'est de la neige. Ma famille est riche et puissante à Alexandrie, je suis donc née princesse de Mafia égyptienne. Des privilèges ? J'en ai aucun de particulier, à part qu'on m'a éduqué à domicile. Je suis restée chez moi plus de la moitié de ma vie, même quand j'étais malade le médecin venait chez moi. On m'a éduqué à la maison. Je devrais peut être tout vous racontez depuis le début, bien avant ma naissance, l'origine de mon prénom. Mais tout d'abords, avant mon prénom, il faudrait que je parle de mes "créateurs". Mon père s'appelait Den Aderak, un homme qui a fait sa fortune sur des escroqueries. Il a épousé ma mère Alicia, une italienne, dont je n'ai jamais sut son nom de famille. Je naquis donc de leur amour, quand ma mère fût enceinte, elle lisait un livre, dont je ne connais pas le nom. L'héroïne s'appelait Nyhal, voilà pourquoi je m'appelle comme ça. J'aurai été un garçon je me serai appelé Arthur parce que mon père était en pleine quête du Saint Graal. Mais cela n'a pas d'importance pour le moment. Je viens de naître, et mon avenir repose sur les épaules de mes parents. Je suis à ce moment pure et innocente. Je pleure pour ouvrir mes poumons, et je me situe dans ma prison, je suis née chez moi, et je ne connaissait par l'extérieur. Mes trois premières années sur terre sont assez basique, j'ai appris à marcher, parler, pas grand chose d'intéressant, j'ai appris à connaître mon monde. C'est à l'age de mes trois ans que j'ai eu mon premier instrument de musique, c'est ma mère qui me l'a offert. C'était une petite harpe, dorée, un instrument de professionnel glissé entre mes petits doigts. J'ai commencé à en jouer, mémorisant chaque sonorité que chaque corde effectuait quand on jouait dessus. Cela a été mon plus grand passe temps pendant les deux années qui ont suivit. Mon quotidien été, à cette période, rythmé par les cours à domicile et les notes de musique que je jouais. J'étais aux anges, insouciante et naïve, qui avait l'impression d'être une de ses princesses de conte de fée qui allait vivre plein d'aventure extraordinaire. Qu'es ce qu'on peut se tromper. Je voyais parfois d'autres enfants, ceux des invités de mon père qui n'avait pas d'autre choix. J'essayais d'être la plus accueillante possible. A l'age de 5 ans, ma vie devient un cauchemar. Mes parents avaient toujours pris soin de moi, m'appelant ma petite princesse, ma mère me chantait des berceuses avant de m'endormir et mon père me raconter des histoires. Tout changea malgré tout, j'ai découvert ma propre définition du mot enfer. Ma mère était partie une semaine en vacance en Italie chez sa famille. Mon père a changé du tout au tout pendant cette semaine, j'étais grondé au moindre faux pas, insultée, frappée, mon sang a coulé pour la première fois. J'ai longtemps crû que c'était de ma faute, que si j'étais traitée comme une chienne à qui on donne des ordres et qui doit obéir, et qui se fait frapper, c'était normale. Je ne savais pas ce que j'avais fait, mais pour que mon père soit si cruelle il y avait une raison. Il m'avait ordonné de mentir à maman, ce que j'avais fait pour la première fois de ma vie. A cinq ans, j'avais déjà peur que mon père me batte si je ne faisais pas les choses bien. Je vivais dans la peur sans cesse. Peur de faire le moindre faux pas, peur que ma mère s'absente parce que elle était gentille et conciliante comparer à mon père. J'ai commencé le violon à l'age de 6ans, après la première sortie de ma vie, je suis allée à un concert, et j'ai été émerveillée par la musicalité de ce petit instrument. C'était une journée entre fille, ma mère et moi, un moment de douceur. Ma mère m'a acheté mon violon, et ce dernier ne m'a jamais quitté. J'ai commencé à en jouer, comme pour la harpe j'ai apprise seule, et j'avais un certain talent. Mon père est parti en voyage deux ans, de mes 7 à 9 ans, j'étais à la fois triste et soulagée, de son départ. J'ai commencé à prendre des cours de violon dans cette période et en même temps je suis allée pour la première fois à l'école. Je m'y suis faite mon premier ami garçon, Jason, un occidentale qui s'était installé en Égypte avec ses parents. Il est vite devenu mon meilleur ami, il avait un an de plus que moi mais il était drôle et riche, tant qu'en connaissance qu'en argent. Je n'ai jamais voulu sortir avec lui pourtant, je savais ce qu'amoureux voulait dire, mais si un mari c'était comme mon père je n'en voulait pas. Je me plongeais dans ma musique triste sur mon violon, et j'ai reçu le premier prix de la meilleure artiste à mon école j'étais fière de moi. Mon père est finalement rentré de son voyage, et avait trouvé un moyen de m'exploiter. A mes dix ans je me produisais déjà dans des petites salles, et mon père touchait l'argent que je rapportait. Tout le monde était sublimée par cette petite artiste qui jouait déjà comme une grande. J'étais la petite princesse admirais de tous. Remplie de stresse, anxieuse à chaque nouveau jour. Je commençais à avoir peur de tous ses visages souriant qui m'observait. Alors je fermais les yeux quand je jouais, me laissant bercer par cette douce mélodie. Mon père s'enrichissait encore plus, et moi je goûtais au bonheur de la musique, et de la popularité. J'étais devenue célèbre dans mon école et tout le monde m'admirais. J'avais l'impression d'être une étoile filante dans le ciel vers un paradis céleste. Je sombrais en faite dans l'enfer du monde musical, et mon producteur était l'un des pires de tous. Je l'ai compris qu'à l'âge de mes quatorze ans, quand j'ai été violée, pour la première fois, après un de mes concerts. Je n'avais pas rapporté assez d'argent pour mon père, j'avais fait une première fausse note quand un gars m'avais sifflé comme un pervers. Ma punition avait été à la hauteur. J'ai dû une nouvelle fois mentir à ma mère. Mais Jason savait tout, il était devenue mon confident, je me sentais si bien avec lui. A quinze ans j'ai perdu ma mère, accident ou meurtre je ne saurais le dire. Je pense que mon père l'a tué, elle a disparu le lendemain d'une dispute et n'es jamais revenue. Ma vie est devenue musique, viol et coups. J'étais devenue une chienne musicienne bonne qu'à divertir les hommes de mon père. Il a ressortit toute sa haine qu'il ressentait envers moi. Il m'avait dit ne m'avoir jamais désiré. Je pleurais tout les soirs, Jason avait disparu de ma vie, je le voyais cependant lors de mes concerts, je voyais son visage rassurant. Cette vie continua jusqu'à mes dix-neuf ans, ou j'ai poussé la chance. Je me souviendrais à jamais de cette journée, après m'avoir fait violé collectivement par les invités de mon père, il était venu me voir, pour me finir, m'achevai, j'avais cependant une lame cachait sous mon oreiller, je l'ai tué. Je me souviens de son regard me fixant avec tant de haine. J'ai fait mes valises et je suis partie, mon violon dans une main, mes affaires dans l'autre. Je suis partie rejoindre Jason chez lui, en pleure. Il m'a écouté, séché mes larmes, soutenu, et il a fini par décidé de m'aider. On a volé la voiture de son père direction le nord, pour retrouver son bateau. Notre objectif était de partir pour l'Italie, retrouver la famille de ma mère. Cependant sur le chemin, j'ai encore une fois fait la découverte de la nature de l'homme. Mon meilleur ami et mon confident a essayé de me violer à son tour. Je l'ai tué lui aussi, j'avais commis deux meurtres en moins d'une semaine. J'étais effrayée, j'ai fuis ne savant pas où aller. Je dois être morte maintenant, voilà pourquoi je vois ma vie défilée sous mes yeux, tous ces événements qui sont restés gravés en moi. Combien de jour j'ai voyagé ? Je n'en sais rien, j'ai mangé tout ce que j'ai pu dans le navire, je me sens partir. Mon bateau a touché terre, ou suis je ? Un portail s'ouvre devant moi sur cette place, je ne sais pas où cela va me mener mais je marche, le traversant. Je sens les portes se refermer derrière moi, suis-je au paradis ? ღ PHYSIQUE : Décrivez vous. Ce à quoi vous ressemblez physiquement, ce vous aimez sur vous, ce que vous n'aimez pas. De quoi avez-vous l'habitude de vous habiller, etc. Je mesure 1m65, pour 55kg,je fais vraiment maigre et on dirait que je n'ai que les os sur la peau, mais ça va, je rattrape un peu. J'ai une longue chevelure brune, que je coiffe quelque fois en queue de cheval. J'ai les yeux marron, c'est l'un des rares détaills que je tiens de mon père, sinon je suis le portrait craché de ma mère, le même sourire angélique sur mon visage, les mêmes oreilles légèrement pointu. Un nez tout à fait charmant, et une beau blanche et douce comme la neige... enfin je suppose. J'ai des longs doigts de musicienne, que je vernis quelque fois. Je fais du 36 en taille de chaussure mais ne comptait pas sur moi pour vous décrire mes pieds. Niveau poitrine, c'est amplement suffisant pour une princesse comme moi, elle est moyenne à vous de voir à quoi ça peut correspondre. Je déteste les bijoux mais j'en porte quand même car ils appartiennent à ma mère. Je porte un collier d'or au pierre d'améthyste, et une bague sertit de la même pierre. J'aime pas trop me maquiller moi même car je ne suis pas douée, je porte pourtant quelque fois un petit rouge à lèvre rouge qui font ressortir mes yeux d'après mon ancienne maquilleuse. Mes habitudes vestimentaires sont assez limitée à ce jour. J'ai mon costume de scène une immense robe, beige foncé, digne d'une robe de demoiselle d'honneur. Sinon je suis vêtue d'une tunique blanche, d'un pantalon à bretelle orange (c'est un ensemble très particulier) et des baskets noirs. J'ai pu emmené que très peu d'affaire, j'ai quand même des sous-vêtements de rechange. Il ne faut pas que j'oublie de vous parler de mon violon, entouré de reliure d'or, d'une immense qualité sonore, fait dans du bois rare. Un instrument unique au corde blanche que je tiens toujours en main. ღ CARACTÈRE : Parlez nous de votre caractère. Ce qui vous rend folle, vos défauts, vos qualités. Le genre de personne que vous êtes. Des gens disent de moi beaucoup de chose, mais la vérité s'impose n'es ce pas ? Je vais donc vous parler de moi comme je le ressens, et puis je vous donnerais l'avis des personnes que j'ai côtoyé, à vous de faire votre avis là dessus. On dit de moi que je suis une personne gentille, toujours un sourire au lèvres et aimable, c'est ce que je pense aussi. Je me trouve sérieuse car quand j'ai décidé de quelque chose, je ferai tout pour y arriver. C'est comme ça que j'ai atteint à grand niveau de violon. Je suis par contre, une vraie chieuse, si j'ai décidé d'embêter quelqu'un, je le ferai, juste pour voir sa réaction. On peut aussi appeler ça de la curiosité. J'ai aussi le contact difficile, tant que je connais pas les gens, je ferai pas le premier pas, la timidité c'est dans ma nature, ou on l'a inculqué. J'ai une peur maladive de tout ce qui est sexuelle, j'ai tellement été maltraiter, que la violence est aussi contre-nature pour moi, jamais je me battrai, j'encaisserai les coups sans rien dire. Ce que les autres pensent de moi ? Que je suis quelqu'un de triste, toujours le regard perdu dans le vague, mélancolique. Il paraît que je pleure la nuit toute seule. Certain dise que je suis folle, qu'il m'arrive de me prendre pour ma mère et de parler à une fille invisible qui serait moi. Je suis aussi une froussarde, qui a peur et qui se renferme sur elle même, pour s'éloigner du monde. La musique que je produit est à mon image, mélancolique et triste, mais elle peut devenir entraînante quand je suis heureuse. J'allais oublier un point essentiel, je me sens coupable, je vois mes mains tachés du sang des hommes que j'ai tué, j'ai une haine envers le genre masculin.  Je suis une meurtrière. ✪ CODE : VALIDE* par Kassie