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Ven 20 Juin 2014 - 18:50
★  LEIKO INOZURA ★
   

LEIKO INOZURA  Secret-service-boku-shirakiin-ririchiyo-boku-img


♬ Petites Informations ♬


Nom : Inozura.
Prénom : Leiko.
Surnom : Mei, Koko et Asae.
Age : 16 ans.

Signe Astrologique : Gémeaux.
Origine : Japonais et Anglais.
Chambre : Colocation de préférence avec Momoko Inozura.
Travail : Etudiante.

Ce qu'elle aime : Rester seule à se prélasser et penser aux souvenirs, se poser des questions sans réponses et tout autres choses dans sa tête. Réfléchir au sens de la vie, en solitude. Être avec sa soeur lorsque le manque d'affection se fait ressentir.
Ce qu'elle n'aime pas : La foule, le monde, être au centre de l'attention. Se sentir observée. Les gens collants et ceux qui se plaignent sur n'importe quoi. L'abandon, perdre.

Autres : Soeur jumelle (fausse jumelle, au vue de l'avatar) avec Momoko Inozura.
Avatar : Ririchiyo Shirakiin de Inu x Boku SS.

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♬ Parlez Moi De Vous ♬


HISTOIRE :
Nées d'une famille influente dans l'industrie des outils ménagers, ma soeur Momoko et moi même sommes deux soeurs jumelles venues d'une famille aisée. Notre enfance fut bien plus que confortable, nos éducateurs succombaient à tout nos caprices et nous ne manquions de rien. Tandis que mes parents, eux, se consacraient à leurs affaires, mon père travaillait avec la société et autres choses que je ne comprenais pas à l'époque, et ma mère s'occupait de la propreté de notre demeure. Ce fut la bonne époque, l'enfance heureuse où je passais de longues heures avec ma soeur à me prélasser et prendre du bon temps. Mais, malheureusement, cette époque ne dura pas très longtemps. A l'âge de 12 ans, ma mère nous annonça une bonne nouvelle ; elle attendait un garçon. Nous étions tous heureux d'accueillir au sein de la famille un nouveau né. Mais cette heureuse nouvelle se transforma en tragédie. Elle succomba à sa grossesse et l'on y perdit notre mère et par la même occasion ce petit être qu'on aurait tellement aimé avoir à nos côtés. Après cela la famille ne pu retrouver le bonheur. Mon père entra dans une dépression immense, il laissa tomber la société, les éducateurs et l'argent commençait à manquer. Il préférait user de nos économies pour oublier son mal être avec de l'alcool, des jeux illégaux et des antis dépresseurs. Ma soeur était aussi affectée par cette tragédie, comme moi, mais elle réagissait d'une manière différente. Tandis qu'elle s'isolait de son côté, j'essayais tant bien que mal de continuer à faire vivre la famille comme Maman l'aurait voulu. Je donnais à manger à Momoko et à Papa et faisait tout en mon possible, du haut de mes 12 ans, pour ne pas effondrer tout ce qui a été bâti jusque là. Lorsque je voyais Papa prendre ses médicaments, je lui en empêchait, quitte à y mettre parfois des somnifères dans sa nourriture pour le calmer, ou à y cacher. L'on avait beau essayé avec Momoko mais il avait des poussées de violences, je continuais tout de même. Rien n'y faisait, ce qui devait arriver et que je craignais arriva. C'est à l'âge de 13 ans qu'il fut pris d'une overdose nous laissant livrés à nous même, bien que nous ayons pris l'habitude de l'indépendance depuis le départ de notre mère. Il ne restait qu'une personne à pouvoir nous prendre en charge, notre unique oncle paternel. Je ne l'affectionnais pas particulièrement, la seule image que j'ai de cet homme est une personne colérique. C'était le seul souvenir de mon oncle qui a maintenant à sa charge Momoko et moi.
Ce ne fut pas une vie de tout repos, en effet, il nous mandait à des travaux qui le bénéficiait à la menuiserie dans laquelle il travaillait. Je coupais du bois à longueur de journée, faisait le ménage et autres tâches ménagères. Bien que ce fut fatiguant, je tâchais à appliquer le travail parfaitement afin de ne rajouter de poids sur le dos de Momoko. A plusieurs reprises je la vis couvertes de bleus, et lorsque ma curiosité et mon inquiétude me poussait à lui demander d'où cela venait, elle accusait sa maladresse. Mais un soir où ce fut son visage empli d'un coquart à l'œil, elle me confia que ce n'était qu'autre que l'oncle qui était à notre charge qui la battait lorsqu'elle se rebellait vis-à-vis du travail. A cet aveux, je fus prise d'une colère incontrôlable. Ce n'était pas vraiment envers Momoko que je m'énervais, c'était moi... je m'en voulais de ne pas avoir remarqué ce qui se passait juste sous mes yeux et de ne pas l'avoir aidée. Une fois mes nerfs passés, il y eu un silence. Je repris mon activité qui était de balayer le sol. Momoko me regarda, sans bouger. Tout en continuant, je réfléchissais. Cette révélation m'avait tétanisée, mais je ne voulais pas rester sans rien faire. Cela ne servait à rien de s'opposer à notre oncle. Contacter la police... avec son héritage, il pouvait se payer un bon avocat pour le sortir de la situation et s'en prendre ensuite à nous. Alors que Momoko allait partir, je me retournais et lui dit simplement que ça allait s'arranger, le sourire aux lèvres. Pourquoi dis-je ces mots que je ne comprends pas moi même ? Je ne faisais cela que pour essayer de réconforter Momoko. Il était de mon devoir de la protéger, et je le ferais.
Les jours passaient et je gardais un œil sur ma sœur car je ne voulais qu'elle revienne battu.
Le soir, il partait au bistrot du coin ou je ne sais où, et rentrait tard la nuit. Mais cette fois, il revenu accompagné de deux hommes d'affaires imposants. Avec Momoko, je m'occupais du bon déroulement de la fin de soirée. Je vais pour leur proposer du vin quand j'entendis le nom de mon père. Je tendis mon oreille un court instant, Momoko me voyant espionner me demanda ce que je faisais, je lui fit signe de se taire et de venir écouter avec moi. Il parlait de nous. Du peu que je puisse comprendre, il voulait nous tuer à cause de l'héritage. Je me figeais dans un rictus nerveux, et eu un petit fou rire. Je ne savais comment réagir face à cela. Bien qu'il fut des pires oncles, il restait le seul adulte de notre famille du monde des vivants. Cette révélation fut comme un couteau en pleins dans ma poitrine. J'étais perdu dans mes pensées, mes suppositions et questions, quand Momoko me prit et m'emmena dans la chambre. Elle prit le strict minimum et j'en fis de même, puis m'invita à fuir avec elle. Je la suivis tremblante de peur.
Il ne nous restait plus rien, seulement deux jeunes filles en pleine croissance jetées à la rue par un destin des plus cruel. A partir de ce jours, l'on défilait lentement dans les rues de nos pieds usés et maltraités par la marche, nos jambes voulant succomber au poids de notre corps affamés. Nous étions à bout, dormant sous un pont, grelotant de l'hiver qui approchait à grand pas.
Un soir comme les autres, nuit de misère, nous étions sous ce même pont que les jour précédents, cet endroit qui nous rappelait tant les êtres faibles que nous sommes devenues. J'étais aux côtés de Momo, caché sous un semblant de rideau qui nous servait de couverture. Dans mes pensées, je regardais les gens passer sans nous adresser un seul regard.
Deux personnes semblables aux autres passèrent devant nous, l'une d'elle arriva d'un pas pressé et l'autre tenta de suivre la cadence du mieux qu'elle pouvait espérer de son petit gabarit. La première, une jeune femme, s'enfuit de la même manière qu'elle était venu ; nous ignorant. La jeune fille à ses côtés me regarda intensément et trébucha non loin de nous, laissée derrière par la femme qu'elle accompagnait. De son passage, les vivres que contenait son sac furent éparpillés sur le sol froid de la rue. Je m'approchais de la silhouette avec Momoko afin de l'aider. Je ramassais ses affaires pendant que Momoko se devait de garder un œil sur elle. Comme attendu de ma sœur, elle ne pouvait s'empêcher de lui tripoter le visage. J'eus à peine le temps de finir de ranger ses affaires dans le sac que l'inconnue sauta sur Momoko et l'immobilisa, la plaquant au sol. J'accouru au pas de course pour l'aider. La jeune fille cessa aussitôt, tremblant et grimaçant de douleur. Elle lâcha finalement Momoko et se tenu la cheville. Je lui apportais son sac et Momoko ne s'attarda pas à déchirer le tissu de sa robe, prendre un morceau de bois au vue de lui faire une attelle. La fille se présenta en nous gratifiant, nous en firent de même. J'appris qu'elle s'appelait Yumi et que celle qui l'accompagnait n'était qu'autre que sa soeur Asada. Yumi se releva douloureusement au vue de rejoindre sa compagne qui n'était d'or et déjà plus ici. La voyant se peiner à se lever, le visage empli d'un rictus douloureux et malformé, je lui proposais de rester ici pour la nuit. Elle accepta avec joie et nous firent connaissance durant la nuit.
Le lendemain, je me sentis obligée de la raccompagner chez elle avec l'aide de Momoko, sa cheville lui lançant encore une légère douleur. Après quelques minutes de marche, l'on y découvrit un quartier dépravé, des caravanes longeant le paysage. Je scrutais les environs, ayant toujours vécu dans le luxe depuis mon plus jeune âge je n'aurais cru penser que des gens puisse vivre dans de pareilles conditions. Mais en y pensant cela devrait être bien meilleur que notre condition actuelle. Les gens nous dévisageait, à moi et Momoko, et adressait un sourire des plus respectueux à Yumi, certaines osaient la saluer très poliment. Je remarquais qu'il n'y avait que des femmes, de tout âges, toutes conditions, mais aucun homme n'emplissait les lieux. Je demandais enfin où nous étions, très curieuse de savoir le pourquoi du comment. Yumi se tourna vers moi, gênée, pour nous expliquer que nous étions dans le quartier général d'un gang de femmes et que sa sœur que l'on avait croisé hier, Asada, en était la responsable. Arrivée devant leur demeure, une caravane bien plus grande que les autres, je fus surprise de l'originalité du décor de celle ci. En effet, elle était ornée de lumières et couleurs extravagantes. Suivant les pas de Yumi, Momoko et moi pénétrâmes en ces lieux. Avant même de m'en rendre compte, une femme accouru pour enlacer Yumi. Je reconnus Asada. Après explication de la part de notre escorte, Asada nous remercia. Elle vit dans nos regards que nous étions perdus et sans abris, et eu donc la bonté de nous loger et intégrer ce dit gang. Chose que nous acceptions évidemment, n'ayant nulle part où aller.
Les jours passaient, redevenaient joyeux. Nous formions une nouvelle famille, abandonnant le passé. Je fus même nommée d'un nom nouveau ; Asae. Mais les habitudes de mon enfance me poussait à continuer à appeler Momoko " Momo ", son surnom de toujours. J'appris à apprécier Yumi, Asada, et les autres membres. Nous étions soudés. J'aimais cette ambiance familiale qu'inspirait ce gang. Yumi, voyant que j'étais très réservée, me donna un masque petit mais merveilleux. Elle me dit que lorsque je vais mal, je n'ai qu'à mettre ce masque pour exprimer ma douleur. Ces moments nous changeait de l'époque où nous étions dans la richesse. Certes je vivais dans la joie avec Momoko, mais il manquait quelques chose... nous manquions d'amis et notre vie était monotone. Tandis qu'ici, nous partions en mission divers et non dangereuses. Notre but consistait à partager, voler aux riches pour y redistribuer aux nécessiteux et pauvres. Tout se passait à merveilles, jusqu'au jour où une mission tourna au drame.
L'hiver s'était déjà installé, le froid et la famine commençait à être un réel problème. De ce fait une mission des plus importantes nous attendait, pour convenir à nos besoins. Il fallait dévaliser un fourgon, tout avait été mis en place pour nous permettre de le faire sans risques. Mais il y a une chose auquel nous n'aurions pu penser. J'éxécutais à merveille le plan quand la police armée me prie sur le fait, moi Momoko et la bande. Nous avons trouvé un échappatoir, battant en retrait pour rentrer à la base. Une fois arrivée là bas, je découvris avec horreur le quartier en feu. Les flammes dansaient détruisant ce paysage qui devenait désastreux. Des cris sinistres se faisaient entendre et la fumée emplie mes narines. Yumi n'en attendu pas plus pour agir, elle courut au travers des flammes pour aller rejoindre Asada. Voulant la rejoindre, je pris Momoko par la main pour l'attirer vers l'endroit, souhaitant les aider. Je me forçais dans un rictus des plus beaux que j'ai pu faire à ce jour. Mais au fond j'étais vide, je n'en pouvais plus mais la petite voix au fond de ma tête me disait de ne pas craquer. Je m'étais promis, au jour de la mort de ma mère, de prendre soin de Momoko et d'affronter tous les obstacles. Je ne devais pas m'éffrondrer maintenant, rompre cette si précieuse promesse. Une fois arrivée à la caravane en feu, malgré l'odeur et la fumée qui m'empêchait de respirer, j'entrais avec Momoko pour arriver devant un spectacle des plus désastreux... Dans le coin de la pièce Yumi était là, rongée par son malheur, une balle dans la tempe. A côté d'elle un corps carbonisé, je me dis que ça ne pouvait qu'être qu'Asada. Je me mis dans un coin, face au mur. Momoko cria. Etrangement, la première pensée qui me vint à l'esprit fut un soulagement. Elles ont enfin quittés ce monde désastreux, ce monde sans pitié où la mort règne. Je me suis demandé si Asida avait été carbonisée vivante ou morte pas la fumée. Pleurant dos à Momoko, je me surprenais à avoir ce genre de pensée à un tel moment. Je commençais à tousser, je n'arrivais plus à respirer. Cela me fit prendre conscience. De nouveau je souriais et prenais Momoko. Je tentais de la réconforter le plus vite possible et la prit avec moi pour fuir.
Nous nous éloignons de cet endroit devenu macabre. Je voyais encore au loin le feu éblouir la nuit. Les larmes ne voulaient couler. Je n'avais plus goût à rien, j'entendais ma sœur sangloter et je la tirai doucement. Quoi que je fasse, le bonheur s'effacera toujours. J'avais beau surmonter chaque obstacle, les égratignures après chacun d'eux me font trop mal et m'empêche de me relever. Je lâchais Momoko et m'avançai. Je ne pensais plus, je voulais juste avancer, avancer, avancer... ce mot ne rime à rien. Chaque pas en avant est un pas vers la mort. J'en avais conscience et pourtant... j'avançais encore et encore. Laissant Momoko à la traine, je ne savais quoi faire à part avancer. Qu'il en sois ainsi, si la mort me veut alors qu'elle me prenne, mais qu'elle arrête de prendre les êtres que j'aime. Je n'ai plus personne, plus rien. Et d'un coup, comme une révélation, j'y pensais. Il ne me reste qu'elle... Momoko. Je n'ai pas pensé une seconde à ce qu'elle pouvait ressentir, quelle piètre sœur je fais. Je me retournais pour voir comment allait Momoko dans tout ça, et je la vis s'avancer sur le bord. C'est vrai, on était sur le pont de la rencontre avec Yumi. Elle continua son avancée. Je pris enfin conscience et accouru vers elle. « Momo s'il te plaît ne me laisse pas... je ne pourrais plus supporter de vivre dans ce monde sans toi... » furent les premiers mots qui me venait. Je ne veux pas défier un nouvel obstacle. Je la suppliais intérieurement de penser à mes sentiments comme je pense aux siens. Alors qu'elle allait sauter par dessus bord, une lumière illumina nos visages sanglotant. Je me penchais pour contempler un magnifique mais étrange portail flottant dans l'air. Il n'y avait plus rien à perdre... est-ce un nouvel obstacle ? Je ne sais pas ce que c'est, ni où cela mènera, mais je veux à tout prix quitter ce monde qui m'a tant fait souffrir. C'est avec un énième sourire que je pris par la main une Momoko apeurée et l'entraina dans ce portail mystérieux.


PHYSIQUE :
Une jeune fille aux longs cheveux bruns, de grands yeux lavandes et un visage soyeux, son sourire s'y lit souvent mais rarement franchement, ses traits fins lui donne une apparence fragile. Elle n'aime pas sa petite taille d'1m60 et est complexée par son tour de poitrine, elle maudit son 85B qu'elle ne trouve que trop peu féminin. Son apparence de petite fille fragile et douce l'irrite, elle souhaite grandir et acquérir de quoi avoir l'air d'une femme grande, respectée et forte. Dans son enfance, à l'époque où elle avait le luxe à sa portée, Leiko portait toute sorte de robe coûteuses, mais sa maladresse et son goût pour fouiner n'importe où lui obligeait souvent des habits simples et non regrettable au salissement. Lorsqu'elle n'avait plus l'occasion de porter ses vêtements de marque, qu'elle avait rejoint avec Momoko un gang, ses habits étaient prédéfinies. Son amie de là bas du nom de Yumi lui avait offert un petit masque qu'elle porte souvent au dessus de sa tête, le reste du temps elle y garde auprès d'elle. Leiko ne s'en sépare que rarement.

CARACTÈRE :
Aux premiers abords distante, hautaine et froide, Leiko est très réservée avec les inconnus. Ce comportement cache une personne généreuse, tendre, amicale et la rend par moment solitaire. Son visage se teint régulièrement d'un pâle et froid sourire pour cacher sa tristesse latente dans son esprit. En effet, Leiko n'aime pas exprimer ses sentiments, elle trouve fragile le fait de montrer sa faiblesse, et rien que le fait d'éprouver ce sentiment la gêne et la dégoûte car elle a l'impression de n'être qu'un être inférieur qui ne peut affronter la vie. C'est ce qui la rend extrêmement réservée. Devant sa sœur, elle essaye de garder une facette joyeuse, ne voulant en aucun cas l'inquiéter. Leiko est de nature protectrice avec Momoko, la chérissant par dessus tout. Elle déteste le goût de l'échec et fera donc tout pour se battre et surmonter les obstacles de la vie. Malgré sa nature battante et sa force à contenir ses émotions, dans les moments où elle craque, elle cache son doux et triste visage avec le masque que lui a donné jadis Yumi, son amie d'enfance.

CODE :
Validé par Kassie.
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Leiko Inozura
Âme qui Rode ☂
Leiko Inozura
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Age: 16 ans
Origine: Japonais et Anglais
Métier: Etudiante
Leiko Inozura
Ven 20 Juin 2014 - 19:00
Courage pour ta fiche.LEIKO INOZURA  353363
LEIKO INOZURA  577988
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Momoko Inozura
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Momoko Inozura
Momoko Inozura
https://yuri-etiopia.1fr1.net/t3021-momoko-inozura
Age : 26
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Age: 16 ans.
Origine: Japonais et Anglais.
Métier: Etudiante.
Momoko Inozura
Ven 20 Juin 2014 - 22:52
Oooh... elles sont deux maintenant..!

Bienvenue également à toi LEIKO INOZURA  287996 
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Chie Adachi
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Chie Adachi
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Chie Adachi
Lun 23 Juin 2014 - 15:13
Merci à vous !  LEIKO INOZURA  782568 
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Leiko Inozura
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Leiko Inozura
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Métier: Etudiante
Leiko Inozura
Mer 25 Juin 2014 - 23:37
S'il n'y a pas d'objection, alors ma fiche est terminée !  LEIKO INOZURA  471800 
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Leiko Inozura
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Leiko Inozura
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Origine: Japonais et Anglais
Métier: Etudiante
Leiko Inozura
Ven 27 Juin 2014 - 15:30

Bonjour  LEIKO INOZURA  45228 


Etiopia te souhaite la bienvenue au sein de notre belle famille !



Aujourd'hui, c'est moi qui ai la chance de m'occuper de ta fiche :3

Je te signale donc qu'il y a quelques petites erreurs que tu devrais corriger. Au passage je t'invite à lire l'article d'aide sur la grammaire qui se trouve ici  mais ce n'est rien de bien méchant te concernant !

Voici ce que j'ai remarqué, chronologiquement :

- "elle courUT au travers des flammes..."

- "Voulant la rejoindre, JE PRIS Momoko par la main [...] Voulant les aider." Tu fais aussi une répétition du verbe vouloir, mais ça, ce n'est qu'une question d'esthétique ^^

- "touS les obstacles."


Si tu as des questions, n'hésite pas. Cependant, tes erreurs étant minimes, assure toi de corriger ce que je t'ai demandé et tu seras validée sur le champ !

Je t'attribue la chambre NUMERO 9, comme vous le souhaitiez, avec Momoko.

Tu peux dès lors aller répondre ou poster un sujet libre au portail.

Je te souhaite de bien t'amuser parmi nous !

Kassie Rui.
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Kassie Rui
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Kassie Rui
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Kassie Rui
Sam 28 Juin 2014 - 15:22
Tout d'abord merci de m'avoir accepté et avoir pris la peine de lire ce pavé ! LEIKO INOZURA  45228 
Voilà les fautes ont été corrigées.
 LEIKO INOZURA  843301 
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Leiko Inozura
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Leiko Inozura
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