MOMOKO INOZURA

Mer 18 Juin 2014 - 14:24

♬ Petites Informations ♬ ❃ Nom : Inozura. ❃ Prénom : Momoko. ❃ Surnom : Momo, Moko, Koko, Inoko et Hiyori. ❃ Age : 16 ans. ❃ Signe Astrologique : Gémeaux. ❃ Origine : Japonais et Anglais. ❃ Chambre : Avec colocataires, de préférence avec Leiko Inozura. ❃ Travail : Étudiante. ❃ Ce qu'elle aime : J'aime beaucoup les paysages, encore plus de les dessiner, et par-dessus tout : les fleurs, c'est l'une des choses que je trouve la plus jolie, en vue de sa fragilité et de ses palettes de couleurs plutôt vastes. Je suis assez gloutonne même si j'ai vécu deux longues années dans la rue. J'ai également un penchant pour la lecture, je lis principalement des pièces de théâtre ainsi que des livres axés sur la psychologie. Bien sûr je m'aime d'un amour absolu, je pense que c'est nécessaire... que dis-je capital de l’omettre ! Mais... je veux bien avouer que j'aime énormément... voire presque autant ma sœur... ❃ Ce qu'elle n'aime pas : Je hais les ordres, je suis plus à même d'en donner que d'en recevoir. En aucun cas je tolère une quelconque violence à l’égard des personnes qui me vouent allégeance///qui me côtoie. J'ai toujours eu du mal à supporter les transports, bien sûr je ne vois aucun inconvénient au niveau des cyclorama tant que quelqu'un fournit de l'effort pour ma personne, je me vois dans l'obligation d'être indulgente... J'ai une grande phobie pour l'alcool en vue de la violence qu'engendrait sa consommation chez mon père. ❃ Autres : Leiko Inozura est ma sœur jumelle, mais en vue de notre physique respectif très différent nous sommes donc de fausse jumelle. ❃ Avatar : Roromiya Karuta de l'animé « Inu x Boku SS ». ♬ Parlez Moi De Vous ♬ ღ HISTOIRE : Je suis née à Osaka, au sein d'une des grandes familles influentes dans l'industrie des outils ménagés. Durant ma plus tendre enfance, ma vie fut baignée dans le luxe, nous avions le droit ma sœur jumelée et moi à des éducateurs renommés. Nous habitions dans un manoir où des domestiques s'occupaient de nous pendant que notre père se consacrait aux affaires de la société et que notre mère s'occuper de tricoter et de veiller au bon fonctionnement de notre ménage. À cette époque je me considérais comme heureuse. Je passais la plupart de mes temps libres avec Leiko, ma sœur à jouer à toutes sortes de jeux qui nous passaient par la tête, je ne sais pas combien de nos jouets on finit cassés suite à nos idées de jeux farfelues. Puis un jour à l'âge de nos 12 ans notre mère tomba de nouveau enceinte elle attendait un garçon, mais suite à certaines complications dues à sa grossesse notre mère succomba avec l'enfant qu'elle portait... Je me souviens quand l’infirmière nous apporta la nouvelle funeste, que je n'avais pas versé une larme devant mon père et ma sœur. Je m'étais contentée de trembler tout en serrant Leiko de toutes mes forces dans mes bras, pourtant je pleurais beaucoup avant cette histoire tragique, mais depuis je ne pleure que très rarement. Par la suite notre père tomba progressivement en dépression, il en arrêta même de travailler afin de consacrer tout son temps à boire, à jouer au poker et à s’empiffrer d'antidépresseur. Ma sœur et moi-même étions peu à peu livrées à nous-mêmes... nos domestiques nous abandonnèrent au fil du temps, ainsi que nos éducateurs. Rapidement nous arrêtions de jouer ensemble Leiko et moi. Au bout d'un moment je finissais par m'isoler dans notre bibliothèque, lire des pièces de théâtre et des livres de psychologies du matin jusqu'au soir, Leiko venait m'apporter de quoi manger, elle savait sans doute que j'aurais pu oublier de me nourrir et cela pendant plusieurs jours, ou peut-être qu'elle avait tout simplement peur de me voir arrêter de me nourrir... À l'âge de nos 13 ans notre père succomba d'une overdose d’antidépresseur, je sais bien que Leiko avait tout essayé pour qu'il arrête de les prendre par plusieurs de ses stratagèmes, j'avais essayé de l'aider au début, mais voyant que notre père se rabattait sur l'alcool et en devenait violent j'avais donc vite abandonné. Petit à petit nos biens nous furent retirés ainsi en peu de temps nous nous retrouvâmes sans rien, tout nous fut retiré. Cependant nous fument pris en charge par notre oncle, le frère unique de notre défunt père. Il était le seul de notre famille à pouvoir nous prendre en charge, notre mère étant enfant d'une famille anglaise influente,  qu'elle avait fui afin de vivre au côté de notre père car l'alliance entre les deux familles, fit refuser par sa famille, cette dernière s'était contentée de la renier, sans jamais lui donner de nouvelles ni même répondre aux nombreuses lettres que notre mère envoyait. Le compte qui contenait notre héritage lui fut confié, mais il ne pouvait être utilisé qu'à partir du moment où Leiko et moi feront nos études universitaires, on ne pouvait donc rien en tirer pour le moment. Les premiers mois furent difficiles car notre oncle s'occupant d'une menuiserie nous faisait travailler pour lui. Nous nous occupions d'aller chercher ainsi que de couper du bois à longueur de journée. Ce fut un travail très éprouvant pour de frêles jeunes filles que nous étions...en plus de cela il était un homme plus ou moins violent, par plusieurs reprises il m'avait battu parce que je m’opposai à lui n'estimant pas ce travail digne de nous. Mes jambes étaient presque toujours couvertes de bleues, je ne dis rien à ma sœur car j'avais peur de la voir s'opposer à lui et qu'elle se fasse battre à son tour. Puis ce que je redoutais arriva.. ma sœur me vit un soir arrivé avec un coquart à l’œil gauche, j'étais dans l'incapacité de lui mentir sur ce fait probant, en plus de mes bleues pour lequel j'avais jusqu'alors accusé ma maladresse comme étant la responsable, mais devant cet élément probant je ne pouvais pas le cacher cette fois, elle aurait tout de suite compris que je mentais. J'ai du tout lui dire. Elle me fit une crise de colère car je lui avais menti tout ce temps. Elle savait qu'aller s'expliquer avec notre oncle n'allais pas résoudre le problème, mais à compter de ce jour elle ne me quitta plus afin qu'il n'eut plus l'occasion de me toucher. Un soir, notre oncle rentra d'une soirée arrosé avec deux grands hommes, vêtus tous deux d'un costard noir et d'une paire de lunette de soleil. Bien entendus ce fut nous qui nous occupions de servir l'apéritif. Dans le déroulement de la soirée Leiko et moi-même étaient partis faire la vaisselle. Alors que Leiko allait retourner leur servir du vin, elle s’arrêta devant la porte et y colla son oreille. Sur le coup je n'eus compris ce qu'elle faisait, mais en lui posant la question elle m'avait fait un signe afin que je me taise et un autre pour que je me rapproche. Après l'avoir rejoint, nous tendîmes toute deux l'oreille à la porte et avec stupeur nous découvrâmes la machination de notre oncle  :  « Vous verrez ce sont de brave petite obéissante, hormis la grande qui parfois ne reste pas à sa place mais après quelques coups, elle en devient docile, ne vous inquiétez donc pas !  Néanmoins le prix de la petite est nettement plus supérieur à ce qui vous étiez demandés, comprenez c'est une petite des plus serviables...» Il contait nous vendre, Leiko et moi, afin sans doute de toucher l’intégralité de notre héritage. A ce moment-là me voyant rabaisser à l'état de bétail j'en perdis tous mes moyens, ce fut la première fois de ma vie que je fus autant rabaissé, mais néanmoins je n'étais pas encore impuissante face à mon destin. Leiko s'était contenté de rire, elle riait nerveusement sous la colère, je suppose. Pour la première fois ce fut moi qui prie l'initiative. Nous avions rassemblé nos affaires cette nuit-là, puis nous fuguâmes discrètement afin de pas nous faire prendre nous prîmes la porte arrière et nous avions escaladé la palissade. Nous avions couru toute la nuit comme si nous étions pourchassées d'une bête féroce, mais il n'en était rien de plus que nos ombres dans la pénombre éclairées par la lumière intense d'une lune pleine. Au bout d'un moment nous nous arrêtâmes sous un pont afin de pouvoir y dormir, c'était un endroit « parfait » pour ne pas qu'on nous retrouve. Cette fois-ci nous nous retrouvâmes à  vivre dans la rue, ma sœur et moi. Nous passâmes 2 ans de notre vie dans la rue, forte heureusement pour nous, nous avons eu la possibilité d’intégrer un gang, ce qui assura notre survie. Je me rappelle très bien de cette nuit où nous rencontrâmes pour la première fois Yumi, la petite sœur du chef du gang Asada. Il neigeait cette nuit-là, Leiko et moi-même nous étions réfugiés sous un pont avec un fichu de rideaux en guise de couverture, pour nous protéger du froid. Quand tout d'un coup deux silhouettes féminines s'approchèrent au pas de course dans notre direction, la première nous passa devant sans même ralentir dans sa cadence, la seconde trébucha à une dizaine de mètres de nous, laissant tomber son sac et les vivres qu'il contenait. Je m’étais rapproché en compagnie de Leiko de Yumi afin de voir si tout aller bien pour elle, tandis que Leiko ramassé ses affaires en vue de les remettre dans le sac, moi je m'amusais à planter mon doigt dans la joue de cette inconnue en attendant une réaction de sa part. Au bout d'un moment elle commença à bouger et m'attrapa aussitôt le bras ; tout en se relevant elle me plaqua au sol. Leiko avait pris peur et avait accourut à mes côtés pour me maintenir la tête contre sa poitrine. Mais Yumi n'avait pas tenu très longtemps debout. Elle s'était foulée la cheville lors de sa chute. Une fois remis de mes émotions, je déchirai un morceau de ma robe et ramassai un morceau de bois par terre en vue de lui faire une attelle. Une fois que j’eus fini, elle nous dévoila son identité et nous remercia d'avoir ramassé ses affaires sans s'être enfuit, en les emportant. Cette nuit-là nous l'avions passé toutes les trois sous ce pont. Par la suite nous accompagnâmes Yumi jusqu'à son « chez elle » pour veiller à ce qu'elle ne s'effondre pas en chemin, à notre arrivée on y découvrit une immense casse rempli de caravanes habitées, en continuant notre avancé on y croisa quelques passantes qui saluaient toujours Yumi de façon très distinguée. Leiko osa la première à demander où nous étions, Yumi avait ris de gêne suite à la question de ma sœur, car elle s'était sûrement rendu compte qu'elle ne nous a rien expliqué. Elle faisait partie d'un gang entièrement composé de filles où elle était la sœur de la chef et que nous étions à leur quartier général. Je trouvais plus la ressemblance avec un petit village Bohême qu'un quartier général. Au bout d'un certain temps nous arrivâmes devant une caravane qui était du moins la plus imposante que je n'eus jamais vue. Elle était décorée de couleur flash, ça devait être sans doute là où habité Yumi et sa sœur. Une fois à l’intérieur, une femme d'une grande élégance accourut vers nous et enlaça langoureusement Yumi, c'était Asada la chef du gang. Elle nous remercia sincèrement de lui avoir ramené sa sœur pour qui elle s'était tant inquiétée, et nous proposa de rester parmi eux car nous n'avions pas de toit où nous réfugier... À partir de ce jour nous avons vécu notre vie avec eux et les autres membres du gang. Comme nous devions abandonner notre passé marqué par notre nom et notre prénom nous obtenons toutes un nouveau prénom l’ors de l’intégration. Je pris l'appellation de Hiyori. Mais je continuais d’appeler ma soeur par « Mei », je l’appelais comme ça depuis toute petite. On s'occupait essentiellement des missions de ravitaillement en ressources et en vivres avec Yumi, certes tout était volé, mais tout de même parfois donné par des personnes généreuses, qui nous prenaient certainement en pitié. Je prenais beaucoup de plaisir à vagabonder dans les rues avec elles. Nos missions se résolvaient à chaque fois d'une réussite, jusqu'à ce jour fatidique. Nous étions supposées nous attaquer à un fourgon, suite à une semaine de tempêtes les routes étaient peu accessibles ce qui entraîna des magasins peut ravitailler. Ce fourgon contenait des vivres pour toute la ville afin de tenir au moins pendant deux bonnes semaines. Nous comptions en prendre le strict nécessaire afin d'assurer les ressources du gang jusqu'à la fin du dégagement des routes et repartir immédiatement. Mais l’opération ne se déroula pas comme prévu. Le fourgon était là à l'heure convenue, mais une fois l'attaque lancée des forces de l'ordre en sortir et nous pourchassa. Après les avoir fuis nous nous sommes réfugié au quartier général, mais... notre découverte n'en fut pas des moindres, tout était en feu. Yumi se mit à courir à travers les flammes afin de voir si sa sœur allait bien. Un bruit de coup de feu se fit retentir. Il m'avait comme glacé le sang, j'en restais pétrifié. Je me retrouvais dans l'incapacité de bouger, jusqu'à ce que Leiko me prenne la main tout en m’adressant un petit sourire accompagné de ses yeux humides. Puis, Elle s’empressa de m’entraîna avec elle rejoindre notre amie Yumi. Une fois entrés dans la caravane principale nous y avions aperçu le corps de Yumi ayant le haut du crâne ensanglanté après pénétration d'une balle, sans doute provenant du coup de feu que nous avions entendu tout à l'heure. Un peu plus loin il y avait un autre cadavre, celui de sa sœur qui était presque entièrement carbonisé, elle était reconnaissable seulement par ses boucles d'oreilles en forme de phœnix. Yumi s'était sans aucun doute suicidait suite à la découverte de la mort de sa sœur.... Je me mis à hurler si fort que je m'en briser les tympans, je n'arrivais pas à m'arrêter je pense que ma sœur m'avait laissé crier jusqu'à ce que plus aucun son de ma gorge n'en sorte. Leiko s'était accroupit contre un mur à ma gauche, elle avait un regard vide, c'était la première fois que je la vis comme cela. Encore cette fois, ce fut elle qui pris la situation en main, elle déposa sa main sur le haut de ma tête et me prononça les mots « Momo il est temps d'y aller » avec un large sourire... même enfant elle souriait malgré le fait que nos parents soient mort, je n'ai jamais su comment elle faisait et comment elle vivait tout cela... Je m'étais agrippé à son bras pour qu'elle me relève. Pour la deuxième fois de notre vie nous avions tout perdu. Pendant qu'on érrait dans la pénombre de la nuit : je sanglotais. Je n'avais plus envie de rien. Je voulais seulement me jeter d'un pont, à cet instant je ne pensais même plus au fait qu'un tel acte signifiait de laisser Leiko seule derrière moi. Au bout d'un moment nous traversâmes un pont, le même pont où nous y avions rencontré Yumi... je ralentissais le pas tout en m'approchant doucement du bord... Leiko accourut vers moi en criant « Momo s'il te plaît ne me laisse pas... je ne pourrais plus supporter de vivre dans ce monde sans toi... », je m'étais retourné tout en lui adressant un regard vide à ce moment-là après avoir aspiré une dernière bouffée d'air je m’apprêtais à enjamber la rambarde et à sauter. Quand soudain un nuage immense orné d'un magnifique portail apparut devant moi et je ne sais pas par quels maléfices j'étais considérablement attiré par ce portail que j'avais contemplé pendant plusieurs minutes déjà. Toutefois, il m'effrayait quelque peu, mais Leiko me pris par la main tout en m'affichant ce sourire qui m'avais toujours rassuré. Ensemble nous entrâmes à l’intérieur du portail. ღ PHYSIQUE : Je mesure environ 1 mètre 65 qui est une taille moyenne que j'ai toujours voulu acquérir étant petite, j'en suis donc assez fière, un peu comme tout ce qui me compose d'ailleurs. Ma silhouette est plutôt mince. Mon visage est constitué de fins traits, soulignant bien mon adorable visage inexpressif. Le tout orné de ma chevelure ondulée rose qui me viens de ma mère, elle les avait long à l'époque. Ma frange éffilée s'abandonnant au-dessus de mes yeux dont l'iris est de couleur rose framboise, cette couleur me provient de mon père qui possédait les mêmes que moi. Enfant, mère n'aimait pas que j'attache mes cheveux, parce qu'elle adorait me les brosser dès que l'envie lui prenait, c'était notre moment à toutes les deux stipulés t-elle quand je n'en avais pas vraiment l'envie, mais avec le temps je finissais par adorais ces moments, ces moments que je chéris au plus profond de mon cœur à ce jour, afin de ne pas oublier ma mère. J'aime porter des chemises en dessous de robes chic, parfois décoré au niveau du coup d'une cravate. J’assortis toujours mes vêtements avec de petites chaussures noir vernis. Suite à la vie menée dans le gang, je prie l'habitude d'attacher mes cheveux pour ne pas qu'ils me gênent. J'optais également pour des costards pour femmes afin d'éviter de coincer mes robes quelque part et de les déchirer, toujours pavoisé de mes cravates. Mon accoutrement était souvent accompagné de botte en cuir. ღ CARACTÈRE : Je suis une personne très fière, je ne tolère pas le simple fait de me sentir inférieur à qui que ce soit. Je pourrais en devenir colérique voire violente. Je n'admire que ma propre personne par mon charisme hors normes qui fait de moi quelqu'un d'assez séduisant et de confiant. On me dit souvent de moi-même que je suis une personne assez égocentrique... je ne suis pas contre leurs avis, seulement... je ne vois pas cela comme une critique. Je suis toutefois quelqu'un de volontaire et généreux, tant que je peux aider, j'aide. Par conséquent il ne vaut mieux pas en abuser. J'ai toujours eu une passion pour le théâtre et la psychologie... je m'isole souvent à la bibliothèque afin de lire. Malgré mon allure noble et assurée je suis quelqu'un d'assez maladroit, c'est dû au fait que je réfléchis beaucoup. Ma seule faiblesse dont je veux bien ébruiter le nom est que je suis plus ou moins excessivement craintive. Sous mes grands airs je n'en reste pas moins très affectueuse... j'ai souvent besoin de contacts physique, mais mon côté dominant fait que j'accepte tout contact seulement lorsque le besoin ou l'envie me prend. Par conséquent je suis loyal envers ceux que j'affectionne éperdument, même si je ne peux me résoudre à leur reconnaître. ✪ CODE : Validé by Rafaela