...mal de crâne pour une arrivé... [TERMINE]

Un énorme mal de cran réveilla Amaya qui était allongé au milieu de nul par. Elle était trempé, son jean troué au niveau des genoux montraient des égratignures. Son chemisier trempé par la pluie lui collait à la peau. Tout son corps la lançait quand elle se releva. Tout autour d'elle de l'herbe et une colline dont elle neconnaissait pas l'existence. "Je croyais tout connaitre de la forêt... Qui aurait pensé qu'une clairière y était caché.." Amaya avait parlé tout s'en vraimen sen rendre compte. Mais dit tout haut sa phrase avait de moins en moins de sens. Elle avait parcourut sa forêt de long en large et ne l'avais jamais vu. Elle éternua, se qui la fit frissonner. Sa peau était gelée après une nuit sous la pluie battante, son imperméable dans sa chute c'était déchiré en deux et ses vêtements lui collait.
"ATCHOUMM, mmmhh... faut que je me change." N'ayant pas d'habit de rechange, elle examina ses vêtements qu'elle devrait réutiliser. Pour son jean elle c'était trimballé avec pire mais le problème était le haut. Sa chemise blanche au départ était transparante se qui montrait un soutiff que dans la préscipitation hier soir elle ne l'avait pas mis. Son impaireméhable aurait du le caché mais il était en morceau. Sa tête lui lanca quand elle voulut marcher. Posant sa main, elle sentit quelque chose dégouliné. Sa main était couverte de sang même si sa blessure c'était refermé par du sang séché à des endroits, les autres coulaient.
Elle attendis que la doulour s'estompe un peu et repatit vers la colline où elle espérait bien trouver quelqu'un pour la ramener. Elle marchait l'entement les bras contre sa poitrine pensent a l'inquiétude de sa mère et au petit cerf qu'elle n'avait pas vu naître. *Je vais me faire engeuler dans tous les sens du therme.*
elle arriva enfin au sommet de la colline où était un immense portail à deux portes et à l'intérieur un immense village. Un peu déboussolé Amaya avança, le portail comme s'il la reconnaissait s'ouvrit. Elle n'avait pas le choix si elle voulait être aidé il falait qu'elle entre.
Elle passa la grille qui se referma juste après et appella.
"Y a quelqu'un?"

Une fille approcha, elle portait une teenue encore plus légère qu'amaya. Seul un drap déchiré la couvrait, elle gelait surement. Se rapprochant encore un peu Amaya sentait qu'elle allait sévanouire, elle avait des nosés et la tête qui tournait. Elle c'était approché de la jeune femme pour lui demandé où elle était et si quelqu'un pouvait la racompagner chez elle. Mais bizarrement a la vue de la tenue et l'aire déconserté de la jeune femme, elle ne devait pas s'attendre elle n'on plus a être catapulté ici. Mais Ici était où?
" Tu ne dois pas savoir non plus où nous sommes?!" Au ton de sa phrase on comprenait que c'était en même temps une question qu'une affirmation.
Amaya essaya de sourir pour garder le moral mais cela ressembla plus comme une crispation de douleur. Elle avait des milliers de questions qu'elle aurait posé d'abitude sent retenut mais elle regarda son chemisier qui lui collait maintenant la peau. Même caché par ses bras onpouvait voir sen prôblème qu'elle avait oublier son soutien gorge la veille. Rougissant de honte, toutes ses questions furent oublier.
Des taches de sang dégoulinaires de son front jusqu'à son chemisier laissant des points rouge transparent.
Son front saignait de plus belle etles nosées s'axcentuaient lui donnant des vertiges. Faisant presque un effort sur humain Amaya releva la tête pour faire face a la jeune femme.
"J'm'appelle amaya Amaterasu, j'était sortit de chez moi pour la naissance d'un cerf quand je suis tombé d'un arbre...Et je me suis retrouvé ici le lendemain. Je me demande où nous sommes?" Amaya avait prit une voie un peu enjoué pour ne pas inquiété la jeune femme.
Les jambes, se coupèrent sous ses pieds, la douleur l'avait emporté. Mettant les genoux dans la boue du a la pluie. Amaya regarda quelque seconde dans le vague pour ensuite s'écrouler, s'évanouissant.

Amaya s'évanouissait souvent lorsqu'elle se blessait profondément. Elle se réveillait toujours quelque seconde après comme si de rien n'était. étant livré à elle me^me des le jeune âge amaya restait dans un coin de l'apartement de sa mère et l'attendait. Elle restait des heures sans bouger attendant que sa mère rentre. Puis petit a petit trop curieuse elle étudia tout l'appartement qui bientôt devint trop petit à ses yeux. Elle avait l'impression d'être enfermer, de ne plus respirer et sortit. Elle apris jeune a escalader et a aller toujours plus loin. Elle faisait pareil à l'école ne pouvant rester en place. Puis a escalader, tomber dans des vieux puits assecher, elle imunisa son corps au blessures. Elle s'évanouissait quelque seconde, se réveillait et ne sentait plus la douleur même si la blessure était toujours la et saignait abondament.
Et la bien sur elle fit pareil mais en ouvrant les yeux elle vit la jeune femme mettre son chemisier tremper. Elle se releva et regarda la jeune femme avec des yeux ronds un moments. Puis elle se rendit compte que son soutif.n'était toujours pas là. Rougissant elle posa un de ses bras pour cacher sa poitrine dénuder.
"C'est la première fois qu'on me fait se coup là!" Amaya sourit de toutes ses dents et commença a rigoler.
Entre deux fou rire elle articula comme elle put :
"On n'a crut que j'était morte, que je faisait une crise cardiaque ect... Et toi tu me déshabile." Reprise d'un fou rire Amaya était plié en deux.
Sa blessure saignait toujours abondament et faisait apparaître petit à petit un marre de sang mais elle sen fichait. Elle avait eu pire. Amaya était une de c'est filles qui était toujours joyeuse même dans des moments critiques. Sa mère lui ayant dit de toujours garder le sourire. Reprenant son calme elle se releva faisant que sa blessure au front lui dégouline sur l'oeil.
"T'es marrante !" elle était aussi le genre de fille a dire se qu'elle pensait. Puis elle fit quelque étirements laissant sa poitrine rebondire quelque minute. Elle replaça son bras et tendis l'autre, le sourire au lèvres retenant un fou rire en se rappellant son réveille.
" Je te laisse mon chemisier qui dois te coller à la peau si tu me dis ton nom!"

Amaya qui s'attendait à tout sayf cette réaction regarda la jeune femme avec des yeux ronds. Mais très viteelle se resésit, jamais ellen'avait rencontré quelqu'un d'aussi agressif...ou peu être, si son grand père quand il lui hurlait dessus quand elle se saucvait des cours ou en pleine nuit. Elle n'avait jamais réussit a se le mettre dans la poche. Sa chemise était trempé et elle la tortilla pour enlevé le surplut de l'eau.
"Je ne crois pas que je pourrais la remètre avant un moment sauf si tu veux que je tombe malade et que je reste au lit une semaine. Et avec ton draps je ne pense que tu daois avoir aussi froid que moi non?"
Rester joyeuse même en cas de danger, sa mère lui avait apris mais c'était assez étrange de rencontrer quelqu'un qui avait l'air sur ces gardes en permanence et bizarrement sa la déroutait un peu, mais d'un autre c'était un nouveau défit.
Le soleil commença a pointer son nez de derrière les nuages et a faire disparaître le vent froid par un peu de chaleur.
"Ha, enfin. C'est la première fois que je rencontre une fille comme toi. " Le sourire lui revint au lèvres. Sa blessure au front saignait toujours autant et dégoulinait sur son oeil droit mais temps qu'elle ne sentait pas de vertiges, ou la douleur elle sen fichait.
" Il faudrait que je rentre, les visites à l'hopital vont commencer et ma mère va s'inquiéter. Tu ne saurait pas où nous sommes, sa m'arragerait, vu que je suis un peu pomer.
Amaya avait une drôle de sensation, elle voulait toujours aller voir sa mère qui s'inquièterait et referait une dépression mais cettte envie disparaissait petit à petit. Elle changeait même, elle voulait visiter se village et y rester.
Remettant sa chemise qui avait un peu sécher, elle la rebotonna.
" Je voudrait bien savoir ton nom. Désolé que tu ais crus que je voulait te faire chanter. Je suis trops curieuse.J'ai pas d'argent sur moi...et pas chez moi nom plus, tu crois qu'ils voudronts biens nous aider?"

Bzarrement la jeune femme qui lui avait parut agressive et sur la déffensive s'adoussit au même moment que le soleil pointa le bout de son nez. amaya avait posé une question stupide ellle le savait mais elle parlait avant de réfléchir se qui agaçait ses profs. Quand l'inconnue lui dit qu'elle ne pourrait plus jamais retourner chez elle et pas sur le ton d'une plésanterie Amaya regarda ce qu'elle regrdait. Derrière le portail qui c'était refermer à son arrivé la colline dissparaissait laissant place au brouillard.
"HA bah mince! j'suis vraiment mal barré."Ne plus voir sa mère, Amayay avait pensé qu'une fois et avait espéré ne jamais plus y repenser. Elle y avait pensé qu'une seul fois quand son père était venus dire a sa mère qu'il voulait sa guarde complète. Et elle avait décidé de toujours s'occuper de sa mère et vvoilà qu'elle était enfermé ici. Et ici c'était nul part, se qui phana un peu le sourire d'Amaya.
La jeune femme parla ensuite d'une terre modite où du paradis, c'est vrai qu'elle c'était cogné la tête en tombant mais de là a mourir c'était un peu trops. Puis regardant vert le ciel cette demoiselle fit de l'humour, ce qu'Amaya croyait impossible jusque la. La jeune femme lui refit face et regarda un moment sa blessure, elle devait vraiment ne pas être belle ou elle paraissait encore plus idiote. Elle se présenta alors enfin. Elle lui dit un nom presque impossible à prononcer et lui dit de juste l'appeler Neph se qui lui arrangea les affaires.
"Alors, enchanté Neph."
Le sourire qui c'était un peu dissipé sur son visage revint de plus belle. Amaya était heureuse.
Puis la dénommé Neph se tourna vers le village qui n'avait pas disparut et lui dit qu'elles pourraient aller jeter un oeil et soigner sa blessure. Alors elle avait vraiment l'air aussi stupide qu'elle le pensait.
"J'ai vraiment l'air aussi mal en point et stupide que sa?"
Bizarrement son ton était plutôt celui d'une fille amusé par sa propre bétise.
"Et bien alons y!!!"
Prenant le bras de Neph , qui lui tournait un peu le dos en direction du village Amaya avança toujours d'auusi bonne humeur.
"J'espère que ce n'ezt pas un village fantôme"

[ je pensais à la mairie]