Le Deal du moment : -45%
WHIRLPOOL OWFC3C26X – Lave-vaisselle pose libre ...
Voir le deal
339 €
Le Deal du moment : -39%
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON ...
Voir le deal
1190 €

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Suis-je morte ? [Libre] [abandonné]

 :: Hors Role Play :: Concerne Le Forum :: Archives :: Archives RP :: Abandonnés
Ven 8 Aoû 2014 - 19:45
Suis-je morte, ou bien je rêve ? Je me rappelle juste un grand portail que j'ai traversé et qui s'est refermé derrière moi, je dois être morte ! Pourtant, mon corps me fait mal, je suis allongée par-terre et j'ai du mal pour me relever, je sens la chaleur dans mes muscles, comme si on les avait frappés. Je sens quelque chose de familier sous ma main gauche, je me souviens, c'est mon étui de violon. Il m'a donc suivi jusqu'ici. Le contact de celui-ci me réchauffe le coeur, je devrais peut-être ouvrir les yeux, ça me semble difficile ! Je dois me trouver en enfer, il fait si chaud, je suis là parce que j'ai tué n'est-ce pas ? Ma tête me fait mal, je lâche l'objet lourd que je tiens dans ma main droite, ma valise sûrement et je me touche le front. Il est poisseux, un étrange liquide en coule, je l'analyse comme étant du sang. Si je saigne, c'est que je suis vivante, ça veut dire que j'ai encore une chance de survivre. Je me suis juste cognée la tête en tombant, rien de grave, je verrai de quoi je me souviens, une fois que mes yeux seront ouverts. Mes paupières sont si lourdes, mais je les entrouvres quand même. Les rayons lumineux m'aveuglent, il a l'air de faire si beau, pourquoi mes vêtements sont trempés alors ? A oui ! Je me rappelle de la mer, ou était-ce l'océan ? J'ai dû m'échouer ici, mais pourquoi un portail alors ? Réfléchir me donne mal de tête on verra ça plus tard !

Bien que mes articulations me font mal, j'ai l'air de pouvoir bouger tous les membres de mon corps, je dois m'habituer d'abord à la lumière. Ouvre les yeux Ny... comment je m'appelle déjà ? J'y penserai plus tard, ça va me revenir, le choc sur ma tête a été plus violent que je le croyais. C'est bon, je me suis habituée aux rayons du soleil. Cet endroit est magnifique, il change tellement de l'Égypte, pourquoi je me rappelle de ce pays et pas de mon prénom ? Ce lieu semble habitait, vais-je pouvoir communiquer avec des gens, je ne sais pas. Cela ne doit pas faire longtemps que je suis là, personne ne m'a encore retrouvé. Allez ! Je dois me lever, cela ne doit pas être bien dur ! On pousse un peu sur ses muscles et .... Je n'y arrive pas. Je suis pathétique, même pas capable de me relever toute seule. Le sang commence à couler sur mon oeil gauche, je dois le fermer, tant pis pour la vue. Je suis si fatiguée, il faut que j'appelle de l'aide et je n'arrive pas à m'asseoir. Je dois néanmoins pouvoir me mettre sur le dos et après j'appellerai à l'aide. On pose ses mains sur le sol, on prend une forte respiration et on pousse ! Aie, atterrissage est brutal et mon dos et meurtri. Qu'est-ce qui s'est passé ? Voilà, mon prénom me revient, je m'appelle Nyhal, au moins je pourrais me présenter. Ce n'est pas le plus important ! J'ai faim soif et je suis blessée, appeler à l'aide sera judicieux. Avale ta salive et vas-y cris !


-A l'aide, s'il vous plait quelqu'un à l'aide !

Tu y est arrivée, tu as mal de gorge, tu peux plus parler, mais si quelqu'un passe dans les environs il te verra, bravo ! Garde ton œil ouvert, tu peux le cligner, mais pas trop longtemps, avec le sang que tu as perdu, tu risques de perdre connaissance Nyhal, alors tiens bon !
Revenir en haut Aller en bas
Nyhal Aderak
Âme qui Rode ☂
Nyhal Aderak
Nyhal Aderak
Age : 28
Messages : 10

Identité
Age: 19ans
Origine: Egyptienne
Métier: Violoniste
Nyhal Aderak
Sam 16 Aoû 2014 - 19:30
Suis-je morte ? [Libre] [abandonné] 2845042272_1_3_hk9cEAdY

-Sal… de chat ! Tu vas arrêter de te sauver oui ?!

Notre détective de choc grondait et jurait tout ce qu’elle pouvait alors qu’elle se redressait après s’être vautrée en essayant de capturer le chat qu’on lui avait demandé de retrouver. Sans compter que cette sale bête l’avait griffé à l’avant-bras droit. Cela saignait mais rien de trop grave selon notre ancien flic. Il l’avait fait cavaler à travers la moitié de la ville, parfois sous le rire de demoiselles qui eut le mérite de faire rougir Alphard de honte et de fureur. Après les habituelles injures en français, elle était passée à celles en espagnol et en japonais. Elle variait les trois au fur et à mesure de la course poursuite.

Elle épousseta la poussière sur ses fringues et regarda si elle ne s’était pas encore fait plus mal qu’autre chose dans son semblant de vol plongé pour attraper la sale créature narquoise rayée. Rien à part quelques bleues et les vêtements tachés.  Elle se jura qu’au grand jamais elle ne prendrait un chat. Ou alors il faudrait une sacrée raison… Alphard préférait les chiens. Elle songeait depuis un moment à en prendre un mais l’arrivée de sa colocataire remettait un peu les plans en arrière. En parlant de celle-ci, drôle de rencontre. Notre métisse ne savait pas encore sur quel pied danser avec et le personnage l’intriguait mais elle devrait s’y faire. A moins qu’elle déménage ou que Zhixue le fasse, elles allaient habiter ensemble un long moment.  Elle y réfléchirait plus tard. Elle avait un sale sac à puces à attraper et à remettre à sa propriétaire avant qu’elle ne décide de le tuer à la place de le capturer.

Elle remit sa sacoche en bandoulière dans son dos. Elle avait chaud de la course malgré sa tenue. Elle portait des baskets noires avec un pantalon de sport en coton tout aussi noir et un débardeur blanc s’arrêtant juste au-dessus du nombril. La queue de cheval avait un rien souffert et des mèches partaient de partout. Elle prit deux minutes pour refaire sa coiffure tout en ne quittant pas le félin des yeux. Un morceau composé de tissu et de cuir noir recouvrait l’avant-bras gauche, cachant son tatouage. Ou plutôt le protégeant de coup de griffes qui pourraient l’abimer. Elle avait acheté cette protection il y a longtemps. Soit elle mettait cela, soit un bandage. Il faisait trop chaud pour un manteau. Elle portait un tour de poignet éponge blanc autour du poignet droit et le passa sur son front, chassant ainsi la sueur qui perlait. Elle en était couverte, faisant ressortir le côté bronzé de sa peau. Elle aurait besoin d’une douche en rentrant pour l’enlever ainsi que la poussière dû aux chutes au sol quand elle était à deux doigts d’attraper cette saleté.

Elle  le vit filer plus loin et jura dans ses dents avant de le poursuivre. Au vu de sa direction, il allait vers la clairière du portail. Elle connaissait les lieux, y allant souvent par nostalgie, se remémorant la mort de Vanessa et son arrivée. Elle faillit poursuivre le chat quand il décida de changer de direction pour revenir au village quand un cri l’arrêta net. Elle se retourna, pas sûre d’avoir bien entendu ou si elle l’avait rêvé. Elle décida d’aller voir pour avoir le cœur net. Elle alla vers la clairière avant de se figer. Al reprit son souffle avant de se précipiter vers le portail. Là, une demoiselle sur le dos, semblant en difficulté. Vu la façon dont la robe était plaqué contre elle, elle devait être trempée. Elle s’agenouilla à côté d’elle, faisant un premier profil. Il lui restait un rien de formation de secouriste qu’on obligeait les policiers à avoir. Elle glissa doucement sa main dans une de celle de la demoiselle.

-Mademoiselle ? Vous m’entendez ? Serrez-moi la main ! Dîtes moi votre nom.


Elle semblait réagir, ce qui était bon signe. Mais au vu du sang sur son visage, elle avait reçu un très mauvais coup à la tête. Al reprit sa main et remit sa sacoche devant elle. Elle l’ouvrit et sortit un mouchoir ainsi qu’une bouteille d’eau.

-Gardez l’œil fermé…


Elle versa un peu d’eau pour enlever le sang de l’orifice ainsi que du visage, il s’écoulait sur le côté maintenant. Elle réussit à en enlever un peu d’elle avant de réfléchir à la situation. Elle n’était pas en mesure de faire grand-chose. Heureusement, sa colloc était médecin. Elle regarda vers le village, sachant que la doctoresse était dans leur chambre la dernière fois qu’elle l’avait vue. Elle soupira. Si Zhixue avait eu un portable cela aurait été plus facile mais elle n’en avait point. Pour le coup, l’ancien flic était prêt à lui en payer un de ses propres deniers si jamais une situation pareille doit se représenter. Elle n’avait pas le choix. Elle allait devoir aller chercher le médecin. Elle se pencha doucement vers la demoiselle.

-Je m’appelle Alphard. Vous semblez avoir reçu un méchant coup sur la tête. Malheureusement je ne suis pas en mesure de vous aider. Je connais quelqu’un qui peut le faire. Je reviens vite d’accord ? Tenez le coup.  Je fais aussi vite que je peux. Je vous le promets…


Elle serra doucement l’épaule de la demoiselle en geste de réconfort avant de se relever d’un bon. Elle avait refermé sa pochette et commença à courir en direction du dortoir. Elle semblait avoir le diable aux trousses pour un œil extérieur mais c’était juste qu’elle ne savait pas combien de sang la jeune femme avait perdu et qu’il valait mieux faire au plus vite. Chaque seconde pouvait être importante. Il ne lui fallut pas longtemps pour arriver devant le foyer. Elle suait de plus en plus mais cela ne l’empêcha pas de gravir les escaliers en vitesse, ayant vu un monde pas possible devant les ascenseurs, engloutissant les marches trois par trois. Elle était presque à bout de souffle quand elle arriva devant la porte de chez elle. Elle prit sa clef et ouvrit, reprenant sa respiration. Elle entra en trombe avant de crier d’une voix cassée par la respiration haletante.

-Zhixue ? !

Elle la chercha avant de la trouver. Elle s’appuya contre l’encadrement avant de souffler.

-Demoiselle… Blessée… Portail… Besoin… De toi… J’y arriverais pas… Toute seule…

Elle inspira un grand coup en regardant sa colocataire.

-Elle semble avoir pris un mauvais coup à la tête, çà saigne pas mal. Elle semble un rien confuse… Dis-moi ce que je peux prendre pour t’aider à lui porter secours.  
Revenir en haut Aller en bas
Alphard Sakurazaki
Tueuse à Gages Officielle
Alphard Sakurazaki
Alphard Sakurazaki
Age : 37
Messages : 119

Identité
Age: 26
Origine: France mais japonaise espagnole
Métier: Médiatrice du ZEPHIRE
Alphard Sakurazaki
Dim 17 Aoû 2014 - 16:12
Il faisait agréablement chaud, d’une température idéale pour se dorer et se prélasser au soleil. Les palmiers et toute la végétation alentour se dressaient lentement vers le ciel tandis que les nuages, fatigués d’avoir couru toute la nuit après la lune, s’allongeaient sur l’horizon et rôtissaient au petit feu de l’astre lumineux. Des vaguelettes léchaient mollement le sable fin où un crabe fuyait, poursuivit sans relâche par une mouette sadique et affamée qui l’assaillait de son bec avide de chair tendre et fraîche. Soudain, le malheureux crabe percuta quelque chose qui semblait être une sorte de cuisse. Face à cet obstacle grandissime, le crustacé pinça vigoureusement ladite cuisse. Un coup de poing irrité vint s’abattre alors sur le pauvre crabe et une main jeta sa carcasse avec négligence plus loin vers l’oiseau marin qui en profita pour le dévorer goulument.

La personne à qui appartenait la cuisse, la main et le poing qui était également une main mais fermée en forme de poing muni de doigts, cinq exactement, avec des phalanges, des articulations, des veines, une peau, des ongles, bref une main en forme de poing ou un poing en forme de main, s’était réveillée par le pincement sec du crabe. Elle s’étira en baillant. Elle se rendit compte avec un certain étonnement qu’elle s’était assoupie.

Zhixue ne portait pas son habituelle blouse blanche et immaculée de médecin, mais un pagne rouge en soie semi-transparent aux motifs blancs : des hibiscus. Elle était également vêtue d’un haut assorti à son pagne, mais lui opaque. Son teint de pêche laissait place pour six bons mois à une peau légèrement mate due à un bronzage sous un soleil de plomb et cela contrastait avec la blancheur éclatante de sa parfaite dentition. Un hibiscus écarlate était piqué dans sa chevelure brune, écourtée à la mode garçonnière mettant en valeur tous ces traits, ainsi qu’un front large et intelligent.

Elle ferma les yeux et inspira l’air chaud chargé d’effluves de fleurs exotiques. C’est alors qu’une ombre vint masquer les rayons chauffants du soleil ...


« - Zhixue ?! »

La voix, d'une sonorité traduisant l'urgence, semblait lointaine ... Mais durant ses années d'entrainements dans l'armée, notre protagoniste avait apprit à reconnaître l'irréel du réel. En effet, même les médecins militaires pouvaient être enlevés par des espions occidentaux afin d'être torturés pour reveler on ne sait quels secrets gouvernementaux. A la guerre, comme à la guerre ! Même si elle était plus ou moins économique de nos jours.

C'est pourquoi, dans un effort mental, Zhixue prit contrôle de son rêve étrangement vraisemblable et émergea de son sommeil. Elle avait la tête sous son doux oreiller en soie bleu. Elle l'enleva d'une main et se retourna à moitié, affichant un air renfrogné, tout en plissant les yeux pour voir qui était la personne qui osait interrompre son sommeil réparateur. Elle avait les cheveux encore plus ébouriffés que de coutume, signe que son sommeil fut interrompu brutalement par une présence étrangère non autorisée dans son périmètre privé, appelé également son espace vital.

L'ombre, qui se trouvait être Alphard, était à moitié avachie contre l'encadrement de la porte.

« - Demoiselle … Blessée … Portail … Besoin … De toi … J’y arriverais pas … Toute seule … »

Zhixue ne savait pas si c'était son cerveau encore embrumé par le sommeil qui la faisait entendre à moitié la phrase ou si c'était Alphard qui s'exprimait ainsi. Elle lui laissa le bénéfice du doute en ne relevant pas qu'elle ne rendrait jamais service à une personne ne sachant point ce qu'est la politesse et construire correctement une phrase basique, à savoir sujet-verbe-complément. Et par une rare providence, comme si sa colocataire avait entendu ses pensées, Alphard débita d'un ton clair et univoque :

« - Elle semble avoir pris un mauvais coup à la tête, ça saigne pas mal. Elle semble un rien confuse … Dis-moi ce que je peux prendre pour t’aider à lui porter secours.

- Hum. Bonjour Sakurazaki. Je vais bien. Merci d'avoir posé la question. Blessée à la tête et confuse vous dites ? Bien. Prenez la trousse de premiers soins et un brancard. Ils sont rangés sur la troisième étagère en partant du bas. »

Zhixue n'avait pas demandé à Alphard de lui prendre également un croissant enveloppé dans un sachet kraft blanc ~ Fraicheurs et Saveurs ~ pour la simple et bonne raison qu'elle aillait tout contaminer avec sa transpiration ruisselante de bactéries en tout genre. Elle fit sa toilette et se changea en deux minutes chronométrées. Et attendit même Alphard sur le palier de l'appartement avec son croissant déjà à moitié entamé.

« - Il était temps. Nous avons une blessée à secourir je vous signale. En route ! Chaque seconde est précieuse. »

La médecin fila avant même que sa colocataire n'ait eu le temps de répliquer quoi que ce soit.
Revenir en haut Aller en bas
Zhixue Xiong Mao
Habituée De La Région ✤
Zhixue Xiong Mao
Zhixue Xiong Mao
Genre IRL :
  • Féminin

Age : 28
Messages : 100

Identité
Age: 22 ans
Origine: Eurasienne
Métier: Médecin Généraliste
Zhixue Xiong Mao
Mar 19 Aoû 2014 - 10:16
Depuis combien de temps ai-je criée ? Quelques secondes... ou peut être minutes... à moins que ce soit des heures. J'ai perdu toute notion du temps, ma seule certitude c'est que j'ai froid et chaud en même temps, une sensation bizarre, étrange. Je sens le sang couler le long de mon visage, je ne dois pas être belle à voir, de toute façon plaire n'est pas mon objectif, je veux survivre. Si je meurs, cependant, je ne veux pas mourir seule, je veux pouvoir tenir la main a quelqu'un avant de passer mon violon à gauche. Je distincts un bruit de pas qui approche, j'ai du mal à déterminer si c'est un homme où une femme. J'espère que c'est la deuxième solution, les garçons me font si peurs, ils seraient capables de m'achever, ou encore pire, me soigner pour m'utiliser ensuite, j'en tremble. C'est une femme qui s'agenouille cependant à côté de moi, je commence à voir trouble et je n'arrive pas à distinguer vraiment ses traits. A moins que le sang me gâche plus la vu que je le pense. Elle me saisit la main, cette dernière et si douce et rassurante, je me sens en sécurité. Je l'entends parler au loin, comme dans un rêve lointain dont on n'arrive pas à comprendre le sens, tout en le comprenant au fond de soi. Je lui serre donc la main, pour lui signifier que je suis encore consciente et en vie et que je compte survivre. Ma gorge est trop sèche, je n'arrive pas à prononcer un mot, j'essaye mais aucun mot ne sort de ma bouche. Elle enleva la main de la mienne, je ne sais pas pourquoi, va t-elle m'abandonner vu mon état, ou peut être va elle essayait de m'aider. Je sens soudain un contact humide sur mon visage, l'inconnue nettoie mon sang, elle est en train de me sauver. Enfin, même si je ne suis pas persuadée de l'efficacité. Elle me parle encore, je ne comprends pas tout, j'ai si mal de tête. Je comprend seulement son prénom en faite, Alphard et le reste est flou.

L'inconnue finit par partir en courant et je reste seule. Le sol est dur, ma vision s'est éclaircit et je peux ouvrir mon second œil. Je vois le ciel bleu à l'horizon, cet endroit à l'air magnifique, j'ai l'impression d'avoir atteint le jardin d'Éden, un lieu de paix loin des conflits. Des souvenirs reviennent, peu à peu, des fragments de ma vie, comme la quête du Graal par mon père. Bien qu'il a été le plus gros pêcheur que je connaisse, alors qu'on se trouvait dans une ville Musulmane, lui croyais en Jésus. Il recherchait donc les artefacts sacrés pouvant lui donner puissance et richesse. Un fou... sans aucun doute... j'aurai pu être un garçon m'appelait Arthur, en hommage à l'ancien roi de Bretagne. Je me demande si ma vie aurait été différente. Aurais-je fréquentée directement l'école ? Me serais-je attachée à mon père ? Aurais je finis par participer à ces jeux malsains sur de pauvres filles ? Cette vision d'horreur me fais peur et je sens mon corps tremblait. Je ne sens pas depuis combien de temps je suis seule sur le sol, la femme semble être partie depuis une éternité. J'entendis soudain un son assez musical, un "Miaou", tout à fait adorable. Je ne connaissais pas bien les animaux, mais si je suis au Jardin d'Éden, ils doivent tous être adorable ? Un chat s'approcha et monta sur mon ventre avec douceur et légèreté. Il ronronna un instant et se lova contre moi. C'était tellement mignon, mes doigts s'ouvrirent et lâchèrent ma valise et mon étui. Je me mis à caresser lentement l'animal, son pelage doux était agréable et avoir cette étrange compagnie me rassurait un peu, je n'étais plus seule.

Revenir en haut Aller en bas
Nyhal Aderak
Âme qui Rode ☂
Nyhal Aderak
Nyhal Aderak
Age : 28
Messages : 10

Identité
Age: 19ans
Origine: Egyptienne
Métier: Violoniste
Nyhal Aderak
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Sauter vers :