En tête à tête ? [Pv: Shizune ^^] {Yuri /!\}

Sam 18 Mai 2013 - 12:37

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

Je me fis repoussait ce qui ne m'étonna pas après tout j'avais dû encore la gêner. Et grâce à ça j'ai le droit à un visage totalement différent mais pourtant aussi charmant et là je pouvais l'entendre avec un air autoritaire. Ce qui me fait sourire, je préférai évité de rigoler parce que c'e n'est pas très discret au moins un sourire ça l'est, ça ne fait pas de bruit. Je croisai mes bras et la regarda l'écoutant attentivement. Je pouvais très bien la comprendre, elle n'avait pas tort dans un sens.

« Je comprends tout à faite ce que tu dis et je suis d'accord, je ne peux pas m'en empêcher, d'être comme ça... Si tu veux on peut apprendre à se connaitre et peut-être qu'à force on sera intime et là je pourrais t'embrasser, mais tant que l'on n'est pas, je te promets de ne plus t'embrasser même si je suis tenté, je me mis à rire, au pire tu me frappes si j'essaye. »

Je regardai ma montre et vu l'heure qu'il était, il n'y avait rien d'ouvert à cette heure si et voyait le temps qu'il commence à faire, je suis sur qu'il va pleuvoir... On a intérêt à se presser sinon on risque d'être mouillé. Heureusement pour moi que j'ai de quoi faire ns chocolats chauds ou cafés à ma boutique. Je prends la main de Shizu et commençai à marcher pas rapidement non plus mais pas comme une tortue non plus. Mais bon en chemin la pluie commençait à tomber, je sens que l'on va arriver toute mouiller... Enfin j'étais déjà contente de pouvoir me faire pardonner.

Ce n'est que quelques minutes plus tard que l'on arriva à mon salon, toute mouiller... j'ouvris la porte et fis d'abord rentrer Shizu avant de passe le seuil de la porte à mon tour refermant derrière moi. Je lui prends la main et l’emmène jusqu’à une chaise. Bon faudrait se sécher et se changer, heureusement que je prévois toujours des vêtements de rechange avec mon boulot.

« Je reviens je vais te chercher une serviette et des vêtements de rechange okay? »

Je pars vers une petite salle, c'est là où tous les produits sont en stock, mais il y a aussi dans un coin de quoi se changer et un tas de serviette. Je reviens vers Shizu et posa la serviette sur ses épaules avant de l’emmener dans mon bureau. Je me changeai très vite étant encore un peu mouillé, mais bon après tout je m'en fous un peu. Je me retourne vers Shizu.

« Je vais te laisser te changer tranquillement pendant ce temps la je vais aller faire deux bons chocolats liégeois avec des marshmallows, si jamais tu as besoin d'autre chose fait-le-moi savoir d'accord?»

Ce n'est que quelques minutes, environ 10 que je reviens vers mon bureau frappant à la porte de celui-ci pour demander si je pouvais rentrer.

Dim 19 Mai 2013 - 16:19

Si elle était prête à mettre un trait -au moins temporaire- sur ce qu'il venait de se passer, son interlocutrice ne semblait pas l'entendre de cette oreille. Pas découragée, elle promettait de ne plus recommencer jusqu'au jour où elles seraient plus intimes, ce qui ne laissait aucun doute sur ses intentions finales. Shizune avait un peu de mal à comprendre cette personne, ce à quoi elle pensait. Mais cela ne changeait rien au fait qu'elle lui en voulait un peu, et que la gêne ne l'avait pas quittée. Vraiment, qu'est-ce qui lui avait pris? Et puis.. Comment était-elle censée frapper une personne qu'elle ne connaissait pas? D'autant qu'elle n'était pas du genre à le faire... Edwina devait s'en douter.

La jeune aveugle poussa un léger soupir. Que d'émotions alors qu'elle était confuse et perdue dans un endroit inconnu... Cette situation avait tout d'un rêve sans suite et sans logique, celui dont on se réveillait en sursaut au moment le plus improbable et dont on ne se souvenait peu ou pas. Dans un sens, elle espérait encore être dans son lit, même si sa 'maison', sa 'famille', n'avaient rien d'accueillant, au contraire, tout de déprimant. C'était un peu dur dit comme cela, mais Shizune comptait beaucoup sur son esprit rationnel, et ne pas comprendre quelque chose était une vraie torture mentale.

Le brise fraîche ramenait de plus en plus d'humidité au fil de la discussion, l'atmosphère s'alourdissait peu à peu... Signes imminents de la pluie. Déjà qu'il ne faisait pas très chaud, si en plus il se mettait à pleuvoir, c'était la maladie assurée. Et Shizune n'aimait pas être malade. En règle générale, elle n'aimait pas être un fardeau vis-à-vis des autres, ce qui était compréhensible. Edwina agit alors, prenant sa main et l'emmenant vers ce 'fameux endroit au chaud où il serait possible de boire quelque chose'. Mais même en marchant rapidement, les conditions météorologiques n'allaient pas leur être favorables: les deux jeunes femmes furent copieusement arrosée pendant leur trajet, le tout en laissant derrière elle la valise contenant ses vêtements. De mieux en mieux...

Cela ne devrait pas être sa journée. Ou alors pas son jour de chance. Elle était trempée jusqu'aux os, son sac à dos l'était tout autant. Au moins n'avait-elle pas perdu sa précieuse canne dans le processus... Une fois à l'abri dans un bâtiment salvateur, Edwina lui demanda de patienter le temps qu'elle aille chercher une serviette et des vêtements... De toute évidence, l'endroit lui appartenait, ou alors il lui était très familier. Pour une raison inconnue, Shizune eut un frisson, chose mise sur le compte du froid qui cherchait à se faufiler par n'importe quel interstice. Finalement, sa nouvelle connaissance l'emmena dans une autre pièce, endroit où elle pouvait se changer et se sécher.. Chose bien prévoyante de sa part, même si porter les vêtements d'une autre n'était pas dans ses habitudes. Quant à la proposition du chocolat liégeois et des marshmallows, elle était bienvenue...

Analysant la structure et la composition de la pièce via une légère inspection de sa canne, l'aveugle trouva une chaise salvatrice, posant son sac à dos trempé et commençant son séchage intensif, le tout en se débarrassant de ses vêtements humides. Elle ne voulait vraiment, mais vraiment pas tomber malade, elle n'en avait aucune envie. Dans sa précipitation, elle en oubliait complètement les vêtements de rechange, et s'en rendit compte un peu tardivement. Sa serviette autour d'elle, elle commença à tâtonner, à chercher, sans grand succès. L'arrivée d'Edwina ajouta à l'affolement et à l'embarras, d'autant qu'elle ne portait qu'une serviette enroulée autour d'elle.. Heureusement, cette dernière s'était contentée de frapper, elle n'était pas entrée directement.

« Heu.. Ah! Att... N'entre pas! Je.. J'ai oublié de te demander où étaient les vêtements de rechange... »

Dans sa précipitation, elle chercha plus activement, n'ayant même pas fait attention au fait qu'elle venait de la tutoyer. Si cela se trouvait, les vêtements secs étaient posés sur une chaise non loin, voir sur une étagère, mais il était particulièrement difficile de trouver et d'analyser les choses sans le don de la vue. Sa canne se promenait furieusement au raz du sol, cherchant encore et encore dans la pièce, découvrant limites, mobilier divers et même une... *Clang*

Un fracas métallique se fit entendre. Peu important, comme un objet que l'on renversait. Cela devait être une poubelle, ou quelque chose du genre.

« Ah... J'ai renversé quelque chose, ce n'est rien ! Enfin j'espère... »

C'étaient des tracas et de l'affolement pour peu de choses, mais la gêne était, semblait-il, l'une des pires difficultés pour une Shizune peu habituée à ce genre de situations délicates. Elle espérait qu'Edwina l'aide, de préférence en lui donnant la position des vêtements tant recherchés... Tout comme elle espérait qu'elle n'entre pas, évènement qui serait tellement embarrassant qu'elle risquerait de défaillir sur le coup...

Lun 20 Mai 2013 - 18:43

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

J'avais mis peu de temps à préparer les chocolats, avec une cafetière hi-tech on peut tout faire rapidement j'ai eu juste à rajouter deux trois marshmallows et de la crème chantilly mais ça je ne le ferais qu'au dernier moment sinon elle sera toute fondue. Je marche en direction de mon bureau passant devant l'entrée de mon salon et vis qu'il pleuvait énormément... Qu'elle temps de chien, j'espère que Shizu ne sera pas malade, moi ce n'est pas grave et puis j'ai du mal à tomber malade, je ne sais pas pourquoi mais ça a été toujours comme ça.

Ce n'est qu'au bout de quelques minutes après que je me mis à frapper à la porte du bureau et Shizu me répondit assez embarrasser ce qui me fit rire. Je sais à quoi ressemble le corps d'une femme pourquoi être autant gêné alors ?! Je ne comprendrais pas certaines personnes... Enfin bref j'attendis devant la porte avec le plateau dans mes mains lorsque j'entendis un bruit m’inquiétant pour Shizu lorsqu’elle me dit qu'elle a dû faire tomber la poubelle... Vu le bruit que ça a fait je n'ai pas la poubelle mais plus la mallette avec des instruments de tatouage mais bon pas grave.

Je soupire et décide d'entrée voulant l'aider un peu car j'ai oublié de lui dire où étaient les vêtements et comme je connais mon bureau par coeur j'irais les yeux fermes pour ne pas la voie.

« J'entre mais je ferme mes yeux et je te donnerais tes vêtements comme je connais mon bureau par coeur je peux y aller sans le regarder et je t'aiderais à t'habiller aussi si tu le veux et toujours les yeux fermés »

Je rentre posant le plateau sur le meuble qui se trouver juste à côté de la porte et ferma mes yeux avant de me diriger vers mon bureau prenant les vêtements dans mes bras cherchant à taton Shizu jusqu'à la trouver lui tendant les vêtements. Toujours les yeux fermés ! Bah oui je ne veux plus le gêner en étant brusque ou je ne sais quoi. Sinon je me ferais engueuler....

« Si tu veux je sors le temps que tu te changes même si la je vois rien à part du noir, ça me fait bizarre, comment tu fais enfin tu n'as pas le choix mais je veux dire tu n'as pas rêvé un jour de pouvoir voir?»

Mer 22 Mai 2013 - 23:02

Était-ce bizarre d'être embarrassée? Était-ce un mal? Shizune n'avait jamais vécue en pensionnat, ni se s'était montrée nue face à ses plus proches amies... Alors oui, on pouvait dire qu'elle était plutôt pudique. Ce n'était pas de la fierté mal placée, c'était de l'embarras véritable. Son regard d'elle avait changé depuis qu'elle était aveugle, c'était d'ailleurs plus un problème psychologique: le fait de ne pouvoir se voir soi-même, de voir son propre corps, avait rendu le regard des autres délicats. C'était un de ses soucis les plus gênants, qu'elle n'arrivait pour l'heure, pas encore à régler. Mais cela n'avait jamais vraiment été une priorité...

D'autant qu'ici, il y avait bien plus problématique à résoudre. Comme les multiples questions qu'elle se posait. Les diverses interrogations qui trottaient dans sa tête. Les doutes, les craintes, la gêne, et toutes ces choses. Décidément, ce n'était pas du tout, mais alors pas du tout sa journée aujourd'hui! Elle ne savait pas du tout quoi faire dans sa situation, sauf peut être attendre les directives et sa nouvelle connaissance, qui allait à coup sûr lui venir en aide et l'aider à trouver les apparats tant désirés.

« J'entre mais je ferme mes yeux et je te donnerais tes vêtements comme je connais mon bureau par cœur je peux y aller sans le regarder et je t'aiderais à t'habiller aussi si tu le veux et toujours les yeux fermés »

« Quoi ? »

Sitôt dit, sitôt fait, voici Edwina qui rentrait dans la pièce, à en juger le bruit de la porte qui s'ouvrait, ainsi que le bruit de ses pas. Il était difficile de décrire l'état d’esprit de Shizune sur l'instant, cette dernière pensant bien qu'elle allait s'évanouir sur le coup. Ce n'était pas loin en vérité, mais heureusement, une chaise salvatrice derrière elle évita tout incident délicat, lui offrant ainsi un support plus que bienvenu. Se posant presque machinalement, le cœur serré, la respiration courte, l'aveugle traquait chacun des pas de sa guide, guettant tout rapprochement soudain, toute activité suspicieuse. Elle en tremblait presque, imaginant le regard de cette connaissance qui parcourait son corps, l'air sournois en plus.

Ce n'était vraiment pas son genre de penser ainsi, mais connaissait-elle vraiment cette personne? C'était encore plus ou moins une inconnue à ses yeux, elle connaissait à peine son visage, et la première chose qu'elle avait faite était non pas de lui fournir des explications quant au lieu où elle se trouvait, mais de l'embrasser. Shizune ne pouvait pas se laisser faire ainsi, c'était hors de question. La gêne ne devait pas prendre le pas sur son caractère. Elle était gentille, compréhensive et chaleureuse, certes, mais il y avait des limites! Comme si Edwina allait fermer les yeux si simplement alors qu'elle s'intéressait visiblement beaucoup à elle... D'ailleurs, elle approchait de l'aveugle, et il était grand temps d'être sèche et concise.

Mais Edwina s'exprima avant elle, non sans déposer dans le même temps les vêtements dans ses mains. Ses paroles laissèrent la jeune fille perplexe, pendant quelques secondes, jusqu'à ce que cette dernière éclate de rire, sans pouvoir se retenir. C'était nerveux, elle n'y pouvait rien. Vraiment? Elle l'avait vraiment fait? Elle était entrée en gardant les yeux fermés tout ce temps? Décidément, elle ne savait plus vraiment quoi penser d'Edwina, mais au moins la situation avait eu le mérite de la faire rire. Elle imaginait bien sa connaissance à tâtons dans la pièce, évitant au maximum de faire une bêtise. C'était un peu extrême, de passer de la gêne au rire nerveux, mais c'était mieux que de pleurer, non? Shizune reprit ses esprits quelques secondes, un peu calmée, répondant enfin à son hôte:

« D... désolée. enfin je veux dire, merci. »

Merci pour les vêtements, voulait-elle dire.

« ... Je n'ai pas toujours été aveugle, c'est même plutôt récent à vrai dire. Mais quelqu'un m'a aidée à surmonter ce handicap, et depuis, je l'accepte et m'en accommode du mieux possible. Évidemment, j'aimerai retrouver la vue, retrouver la possibilité d'apprécier les couleurs, les paysages, le monde matériel, mais les docteurs m'ont dit que c'était incurable. C'est pourquoi, même dans cette situation, je dois faire au mieux pour m'adapter à la société. Enfin, au 'village' maintenant. »

Le sujet était devenu bien sérieux, et l'embarras, la gêne, avaient étés mis de côté de façon temporaire. Shizune parlait sérieusement d'elle-même mais avec un certain côté décontracté, ce qui prouvait qu'elle n'était pas complexée ni traumatisée par son handicap. Et puisqu'elle était lancée, elle poursuivit:

« .. Vais-je pouvoir m'adapter à Etiopia? Ce village... Qu'est-ce que c'est exactement? »

Les questions qui lui brulaient les lèvres. Celles dont elle voulait réponses depuis un moment. Toujours en serviette, les vêtements de rechange posés sur ses genoux, elle était devenue relativement calme, bien que son sourire était revenu, et bien que le rouge sur ses joues n'avait pas disparu. Le reste d'humidité dans sa chevelure obligeait certaines de ses longues mèches à coller contre sa peau, la rendant plus sensuelle qu'elle ne le voulait vraiment.

Etiopia. Qu'elle était sa place dans un tel endroit? Que devait-elle y faire? Pourquoi elle?

Ven 7 Juin 2013 - 12:33

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

J'étais toujours devant elle il n'y avait que quelque centimètre qui nous séparer et pourtant l'envie de la voir nue commencer petit à petit à entré dans mon esprit. Un peu normal non ? J'ai une fille en face de moi plutôt jolie vetut juste d'une serviette qui peux tomber à tout moment. Mais si je fais ça je risque de la gêner voir même de la traumatiser, pourtant ma main trembler prête à tirer sur le tissu. Non reprend toi Edwina tu ne peux pas, tu n'as pas le droit. Pense à elle ! Je ne pouvais plus tenir et j'ouvre mes yeux offrant à ceux la une magnifique vue, un sourire apparut sur mon visage. Elle est vraiment magnifique et elle a tout pour plaire de jolies formes bien sur je ne parle pas que de sa poitrine, il y a aussi le fait qu'elle est des hanches et de jolie paire de fesses bien marquer par la serviette. Je pose les vêtements sur le bureau juste derrière moi avant de venir m’adosser contre lui me retrouvant en face de Shizune.

« De rien c'est normal voyons. Ah je vois, ça doit pas être évidents d'être aveugle du jour au lendemain comme ça. Si tu veux je me porte garante pour t'aider à t'adapter ! Après tout c'est endroit inconnue pour toi et moi je me souviens quand je suis venue ici, au début je ne voulais pas rester, mais comme on ne peux pas partir j'ai appris à apprécier ce village. »

A force de la regarde elle et son si magnifique corps j'avais du mal à tenir mais je ne veux pas non plus la brusquer, peut être qu'en allant en douceur ça passerais? C'est à tenter au pire je me prendrais un bon gros râteau, je commence à avoir l'habitude maintenant. Et oui je suis toujours pas casser alors que ça fait longtemps que je suis ici, faut le faire et je n'irais pas dans une agence de rencontre surement pas. Je me lève et me plaça derrière Shizune avant de tirer la chaise et de la prendre dans mes bras venant lui murmure avec un ton doux et chaleureux.

« Ne t'en fais pas tu t'y habituera, tout le monde y arrive pourquoi pas toi hein et ce village c'est pour les femmes qui sont spécial ou qu'il ne se plais pas dans leur ancien monde en faite je me suis pas trop poser cette question à vrai dire. Je me demande souviens si je suis ici parce que j'avais des problèmes avec ma famille mais je n'ai jamais eu de réponse donc...Désolé je tiens plus»

Je viens passer mes mains sur le plis de la serviette avant de tirer dessus dévoilant le corps de Shizune avant de venir lui lécher le cou et déposer quelques baisers sur son épaule remontant mes mains sur sa poitrine tout en douceur.

Ven 7 Juin 2013 - 20:35

Les interrogations étaient toujours, et il lui semblait normal d'en poser quelques unes, au moins les essentielles en tout cas. Où était-elle, qu'y faisait-elle, pourquoi y était-elle, que pouvait-elle y apporter? Beaucoup de choses, même si au final la réponse qui allait venir était relativement simple. Les vêtements lui furent subtilisés, pour une raison qu'elle ignorait. Étaient-ce les mauvais? Ou alors il y avait un problème? Ou elle voulait l'aider? Shizune ne comprenait pas trop, mais Edwina avait plus important à dire. Elle lui faisait part de son expérience vis-à-vis de cet endroit, expliquant qu'elle était prête à l'aider pour mieux le connaître. Quoi de mieux qu'une personne qui servait de guide dans un endroit inconnu, d'autant plus pour une aveugle qui avait déjà du mal avec l'orientation? Par ailleurs, le village restait apparemment une prison avant tout, mais il y avait une raison derrière tout cela...

« Je vois... »

Le calme et le silence étaient revenus, et Shizune, perdue dans ses pensées, ne se doutait pas une seconde du combat intérieur d'Edwina. Tout comme elle ne pouvait savoir qu'elle cédait peu à peu à la tentation d'ouvrir les yeux. Elle n'avait que trop peu réfléchit à la situation, et malgré sa gêne du début, était maintenant plus concentrée sur de délicates et sérieuses questions que sur autre chose. Esprit rationnel, esprit rationnel, vas-tu enfin comprendre? Vas-tu enfin admettre? Ou t'en faut-il d'avantage? Non, il en fallait d'avantage, c'était indéniable. Sa raison n'allait pas céder sur de si maigres informations, si partielles. Sa compréhension des choses n'était pas totale, et Edwina se devait d'être un peu plus précise, ce qu'elle n'allait sûrement pas manquer de f...

« Ah ? »

La chaise lui fut retirée. Toujours perdue dans ses pensées, elle n'avait pas entendu son amie venir dans son dos et lui retirer l'unique chose qui l'empêchait de tomber au sol. Pourquoi? Pas le temps de comprendre qu'elle était enlacée, comme si on cherchait à la rassurer par une chaleur bienfaitrice. La surprise laissait place au.. confort, au confort émotionnel qui plus était. C'était une chaleur qui lui avait beaucoup manqué, une marque d'affection comme elle n'en avait que trop peu eu. Tentée de protester, elle ne trouva rien à dire, se confortant dans cette étreinte délicate malgré ce que ce genre de scène pouvait suggérer, bien qu'elle n'y pensait pas du tout.

Son amie, car oui, Edwina était désormais une amie, lui disait alors que ce 'monde' était réservé aux femmes spéciales, ou qui ne se plaisaient pas sur Terre. D'après sa description, la jeune fille en déduisait que c'étaient surtout les personnes à problèmes qui arrivaient ici. Il était vrai qu'elle n'était pas très bien lotie avec ses parents, ses amies distantes et son seul confident, qui était partit du jour au lendemain. Est-ce que sa détresse avait suffit à faire d'elle une prisonnière dans cet endroit qui avait tout de mystique? Difficile de croire que c'était un simple mauvais tour joué par un tueur psychopathe, comme dans tous ces films américains.. Ce n'était pas comme si sa vie était en jeu et qu'elle était coincée sur une île. Si elle avait été choisie, comme le laissait sous-entendre la tatoueuse, alors elle devait forcément avoir un but, une raison d'être, quelque chose à apporter à cet endroit. Le tout était de savoir quoi exactement...

« [...] ...Désolé je tiens plus. »

Pardon? De quoi parlait-elle? De la garder contre elle et de la maintenir à la place de la chaise? L'aveugle tenait debout parfaitement, alors il n'y avait pas de raison de...

« ... ?! »

En fait, elle n'avait même pas eu le temps de crier sous la surprise. En sentant sa serviette tomber, son premier réflexe fut de couvrir ses parties intimes, et sa poitrine, parce que... parce que... c'était normal! Après tout elle... elle pouvait paraître mature mais elle était quand même pudique! Même si la maturité ne s'était pas vraiment faite ressentir depuis qu'elle était arrivée à Etiopia, elle était plus comme une enfant perdue qu'autre chose. Mais qu'y pouvait-elle? Elle ne connaissait pas les lieux, et.. et.. et... ! Et mince, que devait-elle faire d'autre? A part se cacher comme une gamine? Fuir? Hurler? Rester figée? La dernière option semblait la bonne, d'ailleurs c'est celle qui fut inconsciemment choisie.

Un électrochoc se fit tout de suite sentir contre sa nuque, ne l'aidant pas d'avantage à comprendre ce que son amie faisait. C'était... c'était quoi? Quelque chose de chaud, de grisant, de... d'étrange? Peut être.. un coup de langue? Mais mais mais... C'était de cela dont elle parlait quand elle disait qu'elle ne se retenait plus? Les baisers qui suivaient avaient tout de déstabilisant, et Shizune commençait à perdre pied... Mentalement parlant. Elle venait de ressentir quelque chose de puissant, d'agréable, mais de vraiment déplacé.. Ce n'était vraiment pas une bonne chose, elle connaissait Edwina à peine! Il était vrai qu'elle lui était reconnaissante pour l'avoir guidée autant, et s'être proposée pour la suite mais est-ce que cela signifiait que les choses devaient obligatoirement aller si vite? Des mains qui remontaient vers la poitrine de l'aveugle ajoutait d'avantage à la confusion, à la gêne, et.... et à quelque chose d'autre qu'elle n'arrivait pas à nommer.

La repousser aurait été facile si elle n'était pas aussi déstabilisée et confuse. Edwina n'avait-elle pas dit qu'elle l’appréciait? Tout comme en attestait le baiser offert à son arrivée, au portail? L'aveugle ne pouvait pas couper court ainsi, ç'aurait été plus qu'impoli, voir rude, et ce même si son amie allait vite avec elle. Mais cette dernière ne déplaisait pas non plus à Shizune, et ce qu'elle venait de faire lui avait presque fait tourner la tête, preuve supplémentaire de sa totale inexpérience dans ce genre de domaine. On pouvait très bien connaître Freud, et ses théories de psychanalyses particulièrement perverses, mais ce n'était pas pour autant que Shizune était... Ah, mais à quoi elle pensait?

Perdue, elle était perdue. Stopper? Continuer? Laisser faire? Elle... hésitait. Elle devait se montrer autoritaire, sans être brusque, être polie et avenante mais... cette affection offerte, agréable, ces gestes doux et délicats, enivrants... Était-elle vraiment obligée de la repousser? Ou n'y avait-il aucun mal à en profiter un peu plus? Pour une fois que quelqu'un montrait une réelle affection à son égard...

Sam 8 Juin 2013 - 17:43

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

Certes j'avais mis du temps à m'y habituer, mais il faut dire que j'ai été seule, la au moins Shizune aura moi après tout je ne veux pas qu'elle est la même chose que moi, surtout qu'elle est aveugle. Personnellement je ne sais pas comment elle fait car moi si j'étais aveugle je resterais dans un coin telle un concombre. Car mon travail est toute ma vie si du jour au lendemain je ne peux plus travailler, je sais pas ce que je ferais.

Mais bon retournons plutôt à ce que je fais à ma petite Shizune, j'aimer la voir embarrassée elle est si mignonne. A en voir sa réaction elle n'a pas du tout l'habitude de ça. Donc je serais sa première fois ? Ah bah ca me touche enfin si je peux aller loin avec elle... Car elle peux toujours me repousser si elle en a pas du tout envie. Je viens lui murmurer à l'oreille sensuellement mes mains sur sa poitrine. Elle était ni trop grosse ni trop petite comme je les aime.

« on t'a déjà dis que tu es magnifique toute nue. »

Je continue de déposer mes bisous venant de temps en temps lui lécher le cou et son oreilles. Je commence au même moment de douce et sensuelle caresser à sa poitrine voulant faire pointé ses petits tétons tout rose. Après un bon moment à faire ça je tire la chaise de nouveau pour que Shizune s'assoit après tout je pense qu'elle doit être tellement choquer qu'elle a du mal à tenir sur ses jambes non ? Une fois qu'elle a poser ses fesses sur la chaise je la regarde regardant en même temps son corps magnifique.

« Tu me dis si tu veux que j'arrête, je ne vais pas la faire si tu ne veux pas. »

J’espère qu'elle va me dire de continuer et puis j'ai tout ce qu'il faut, j'ai de quoi faire un bon lit par terre, ouais je sais c'est bizarre mais j'avais prévue un jour de le faire à ma boutique donc.. Je m'approche d'elle et vient l'embrasser sensuellement et langoureusement posant mes mains sur sa joue et su sa nuque accentuant le baiser, on m'avait souvent dit que j'arriver à exciter les filles rien qu'avec mes baisers.

Sam 8 Juin 2013 - 19:17

S'il y avait bien une chose de sûre, c'était qu'elle ne s'y attendait pas. Pas à ça en tout cas, pas à un assaut de ce genre. Elle craignait plutôt que son amie l'embrasse à nouveau, à l'improviste, vu que cela ne la dérangeait pas. Mais de là à imaginer qu'elle se retrouverait dans une telle situation, plus qu'explicite qui plus était... Non, rien de ce genre n'avait été prévu. C'était un véritable rêve, quelque chose d'hautement improbable qui ne pouvait arriver. Mais pouvait-elle encore être étonnée, alors qu'elle avait été transportée comme par magie dans un village caché, magique, et inconnu des hommes?

Edwina persistait dans sa douceur, mais la surprise passée, l'aveugle revenait peu à peu à elle, et à sa raison logique, rationnelle. Ce qu'il se passait n'était vraiment pas une bonne chose, une bonne idée. Cette tendresse, cette délicatesse et ces sensations étaient trop subites, et elle ne la connaissait pas assez bien. Ainsi, la meilleure solution était de la repousser avec courtoisie, quitte à légèrement blesser la pauvre Edwina. Mais cela ne signifiait pas que tout était perdu, après tout, il suffisait d'apprendre à se connaître, de faire des sorties ensemble dans des magasins ou au restaurant, des.. des choses du genre. Des choses normales, des choses avec des suites logiques. Oui, c'était sans doute la meilleure des solutions: suivre un plan rationnel et relationnel logique.

La phrase de la tatoueuse était si embarrassante qu'elle était suffisante pour la faire revenir définitivement à la réalité. Comment pouvait-on déjà lui avoir dit qu'elle était magnifique ainsi? Personne n'avait jamais fait cela! Personne à part ses parents ne l'avait vu nue! Comment aurait-elle pu recevoir des compliments sur son physique dans cette situation? Comment pouvait-elle se montrer alors qu'elle-même ne pouvait contempler son corps que de façon tactile? Les miroirs ne lui autant d'aucune utilité? La gêne, l'embarras, étaient désormais suffisants pour qu'elle reprenne ses esprits et montre un peu d'autorité, mais c'était sans compter les nouvelles attentions de son amie qui allèrent... en s'intensifiant. C'était Shizune, ou comment à partir d'une résolution prise et déterminée elle retombait à l'état de vaincue, de poupée laissée à la merci de ses sensations les plus inconnues.

Plus ou moins repoussé, son bras qui couvrait sa poitrine laissa place à des mains graciles et agiles, qui entamèrent une danse des plus enivrantes. Et pour ne rien arranger, son amie assaillait son cou et son oreille de plus belle, provoquant ainsi des sensations de sa langue que la pauvre aveugle n'avait jamais connues. Inutile de dire qu'elle était vaincue d'avance, complètement submergée par ce qu'elle devait bien avouer comme étant un terrain totalement inconnu à ses yeux. Non, elle ne s'était jamais vraiment intéressée à sa propre sexualité, même si à son âge, beaucoup avait déjà franchit le pas. Elle avait d'avantage à penser à l'époque, surtout en ce qui concernait ses études, ses parents indifférents, et son handicap... Le reste demeurait secondaire, et elle s'était toujours dit que ce temps allait venir, une fois ses objectifs accomplit. Est-ce que ses objectifs étaient considérés comme accomplit maintenant qu'elle était à Etiopia, loin de la mégalopole Japonaise de sa naissance? Elle ne savait plus...

Complètement à la merci des caresses d'Edwina, elle fut surprise elle-même de lâcher un fin soupir d'aise, qui représentait parfaitement son état physique actuel.. Car son corps réagissait, il réagissait peut être un peu trop vite pour une jeune fille sans histoire... A moins que ce n'était l'inexpérience? Ou une sorte de fantasme lié à l'inconnu, ou à la précipitation? C'était... horriblement gênant! Et elle n'en rougissait que de plus belle, perdue dans un mélange de gêne et de confusion où sa seule présence d'esprit était de cacher ce qu'elle avait de plus précieux de ses mains, ces dernières étant bien trop figées et faibles pour vouloir repousser Edwina...

Quelques secondes interminables, et enfin une chaise, l'arrêt du supplice, le calme. Ou presque. Rien qu'en la regardant, on devinait à la fois son trouble intérieur et extérieur. Aussi bien mental que physiologique. Elle devait avouer, sa raison était partie assez loin pour simplement laisser place aux sensations ressenties, et rien de plus. Et voici qu'Edwina lui disait que si elle voulait que tout s'arrête, ce n'était pas impossible. Mais comment pouvait-elle dire cela après avoir effectué toutes ces caresses, toutes ces choses? Le corps de l'aveugle avait réagit logiquement à ces attentions intimes, et malgré elle, sa respiration s'était faite plus délicate, et sa poitrine exprimait plus qu'explicitement et visuellement ce qu'elle avait ressentit.

Assise sur la chaise, elle rapprocha ses jambes au maximum, toujours aussi gênée, comme pour se cacher au mieux, ses mains revenant dissimuler ses zones délicates. Sans le savoir, elle était particulièrement mignonne ainsi, et redoutablement sensuelle avec son corps humide, ses cheveux blonds collés contre son visage. Elle se sentait embarrassée, si embarrassée qu'Edwina puisse la voir alors qu'elle était entièrement nue, si honteuse que même s'évanouir ne pouvait suffire à la calmer. Ce serait même encore pire, à ses yeux. A peine tremblante par les quelques sensations reçues, Shizune reprit doucement, la voix troublée...

« C.. ce n'est pas.. gentil de ta part. Tu fais tout cela... et puis tu me demandes après.. si je veux arrêter...? Je... je ne sais pas, je suis perdue... »

Pourquoi était-elle si peu autoritaire? Si peu... elle-même? Elle ne se retrouvait pas, elle ne se comprenait pas. Sa perception des sensations était-elle plus forte que son esprit raisonnable et rationnel? Que sa logique et son respect des règles? Elle n'avait même pas l'air d'en vouloir à Edwina, et son expression exprimait vraiment plus la confusion que tout autre chose. Par ailleurs, elle ne lui avait pas dit qu'elle n'avait pas apprécié, ni qu'elle voulait arrêter. Son amie revînt l'embrasser, bouleversant à nouveau tout le reste et ajoutant à la perdition déjà présente de la jeune fille. Langoureusement... Sensuellement... Il y avait de quoi avoir l'esprit vidé, de quoi partir très loin sans avoir la chance de pouvoir revenir! Shizune n'arrivait pas à suivre.. Comment un baiser pouvait-il être aussi puissant, aussi redoutable? Et puis il y avait la gêne.

Pour un peu, elle avait presque l'impression que son embarras, sa gêne ressentie à cause de son corps dénudé, était plus forte et plus concluante que n'importe quelle caresse. Son cerveau surchauffait, son corps surchauffait, comme une bouffée de chaleur incontrôlable. Elle était nue, vraiment nue! Face à Edwina! Alors qu'elle complexait sur ce genre de chose! Il y avait de quoi devenir complètement folle, perdre la raison. Elle murmura un faible "Ne regarde pas", mais elle-même ne savait même pas si c'était audible ou non. Sa raison n'était plus vraiment présente, tout ce qu'il restait, c'était un organisme vraiment troublé, un esprit confus, des désirs et des sensations mélangées, et... beaucoup d'autres choses. Shizune ne savait plus trop où elle en était, et de toute façon sur ce genre de terrain inconnu, elle était battue d'avance et ne pouvait que difficilement avancer, avec l'aide d'Edwina. La jeune fille ne savait même pas ce qu'il allait se passer si son amie décidait d'arrêter, comme ça...

Peut être deviendrait-elle vraiment folle?

Sam 8 Juin 2013 - 20:08

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

La pauvre, bon je crois que je vais devoir détendre un peu l’atmosphère mais comment ? J'ai peut être ma petite idée mais avant de je dois m'amuser à tout déplacer et à placer tout ce qu'il faut dans un coin. Au moins Shizune pourrais se détendre un peu parce que la on dirais que je l'ai traumatiser à vie et j'aime pas la voir comme ça, je préfère la voir sourire. Je lui souris prenant ses mains les posant sur mon visage avant de venir l'embrasser de nouveau

« Je vais déplacer deux trois meubles et nous faire un petit coin, on va apprendre à ce connaitre physiquement mais aussi mentalement si tu le veux. »

Je lui tends la serviette avant de partir dans un coin presque vide et ouvrir l'armoire pour prendre des draps, coussins. Oui je sais c'est pas un salon de tatouage la, mais on s'en fou c'est mon bureau alors si je veux de quoi faire dodo et bien je les prends. J'étale trois, quatre couvertures par terre et mis les coussins autour. Une fois le tralala finit, je me dirige vers Shizune et vient la prendre dans mes bras telle une princesse laissant la serviette tombé sur le sol. Puis je fini par la poser sur les couvertures doucement et alla me mettre en face d'elle.

« Bon pour que tu sois moins mal à l'aise je vais aussi me mettre nue et tu me touchera pour apprendre comment je suis physiquement. »

J'enlève dans un premier temps mon haut et le pantalon, me retrouvant en sous-vêtements avant de finir par hôte ceux la. Me retrouvant complètement nue. Je m'avance vers Shizune et lui pris les mains les posant sur mon visage avant de les faire descendre pour finalement la laisser faire. Venant en même temps se coller contre elle, la prenant dans mes bras venant l'embrasser langoureusement pour finalement venir lui lécher le cou et l'oreilles car j'avais retenue qu'elle avait aimée ça. Avant de continue il y a une question que j'aimerais savoir pour voir si je devais être extrêmement douce.

« Shizune tu es vierge? Tu sais tu peux me le dire je ne vais pas rire. »

Sam 8 Juin 2013 - 21:18

Confusion, émotions, perdition... Sensations? Un peu de tout à la fois. Elle était certes loin d'être traumatisée à vie, mais disons... qu'elle n'avait pas envisagé que ses complexes les plus gênants soient mis à mal aussi rapidement, aussi soudainement et aussi facilement. Être nue, ce n'était pas vraiment un problème en soi, mais être nue face à quelqu'un, c'était déjà tout autre chose. Déjà qu'avec sa mère c'était plutôt limite, avec quelqu'un d'autre, elle n'avait jamais osé imaginer. Et voila que cela s'était produit, avec une amie qu'elle connaissait à peine, bien que sa douceur et sa délicatesse calmait un peu les choses et rendait le tout supportable... Même si cela restait horriblement gênant.

Elle brulait, mentalement et physiquement, se sentant s'emporter à cause de son embarras et à cause des sensations reçues, ressenties. Mais l'aveugle n'eut guère le temps de continuer à se poser des questions sans réponses et/ou existentielles, que déjà, son amie prenait ses mains, les posant sur son visage. A nouveau, elle pouvant la 'voir', mais l'instant fut court car déjà, cette dernière l'embrassait, cherchant visiblement encore et toujours à lui faire tourner la tête. Et elle y arrivait très bien.

Et puis, le calme. Plus rien. Selon les dires d'Edwina, qui s'éloignait, elle voulait déplacer quelques meubles pour faire un endroit où elles allaient... apprendre à se connaître physiquement et mentalement? Qu'est-ce que cela voulait dire? Qu'est-ce que cela signifiait? Qu'elles allaient discuter? Qu'elles allaient parler entre elles tout en se touchant? Y avait-il une connotation érotique derrière ces dires? Bien sûr, qu'il y en avait une! C'était forcément obligé! Ou plutôt il devait y en avoir une! Après tout, vu l'état de Shizune, il était plutôt logique que cela continue, et perdure dans ce sens non? Il était normal que les choses débutées se poursuivent jusqu'à la fin!

Un sentiment de honte supplémentaire se faisait sentir. L'aveugle venait de souhaiter, inconsciemment, sans le vouloir, que son amie continuait ses attentions. Était-ce un appel instinctif de son corps, de son organisme? Ou était-ce plutôt sa conscience qui cherchait de façon dissimulée à en vouloir plus, toujours plus? Elle n'était pourtant pas du genre à penser ainsi, d'autant que tout cela était déjà allé trop loin.. Perdue, elle était perdue, et ne se reconnaissait elle-même plus vraiment. A moins que ce n'était que ce qu'elle avait toujours voulu depuis le début? Une facette insoupçonnée de sa personnalité? C'était particulièrement effrayant, et elle en avait elle-même des frissons.

Après quelques bruits épars, que l'aveugle avait écouté du bout de l'oreille, Edwina revînt vers elle, et la prit dans ses bras, telle une princesse. Bref sursaut, brève surprise, et toujours la même honte... Mais aucune protestation. Elle fut déposée doucement sur quelques couvertures, entendant son amie s'installer face à elle et expliquer qu'elle voulait qu'elle soit moins mal à l'aise. Pour cela, elle proposait de se laisser toucher librement, d'autant que pour une aveugle, c'était un moyen tout indiquer de 'voir' une personne. Mais autant sur un visage c'était normal, autant sur un corps entier, c'était... enfin, cela pouvait créer une certaine sensualité et même être plus intime que voulu. De toute façon, toucher un corps nu était déjà une chose très intime, alors aveugle ou pas, la différence était minime. Attendez, toucher un corps nu?

Le son des vêtements enlevés ne pouvaient signifier qu'une chose: son amie se mettait vraiment nue. Shizune ne savait pas du tout comment réagir sur le coup... Déjà qu'elle était gênée d'être dans le plus simple appareil, si en plus elle devait toucher quelqu'un d'autre, elle... elle allait devenir folle! Vraiment folle! Il n'y avait aucune chance qu'elle y arrive, elle allait s'évanouir bien avant, à cause du trop plein d'émotions, du trop plein d'embarras. Elle allait...

... Ou pas. Son amie avait déjà franchit le pas, prenant ses mains et les posant de nouveau sur son visage. Le cœur battant à cent à l'heure, l'aveugle commençait à véritablement prendre conscience de toute l'ampleur érotique de la scène, et ne savait plus si ses mains devaient l'aider à 'voir' ou si elles devaient explorer son corps d'une façon qui serait fatalement sensuelle. Ses mains glissaient, guidées par Edwina, et elle devait admettre que le physique de son amie était bien différent du sien.. Ses courbes étaient matures, adultes, et étaient plutôt différentes de celles d'une adolescente qui se lançait dans la vie active. Son hésitation quant à glisser ses mains sur la poitrine de son amie lui permit de ne pas le faire, alors que cette dernière venait l'étreindre, l'embrassant encore de façon langoureuse et déstabilisante... Elle ne pouvait lutter contre quelque chose d'aussi fort, et sa seule réaction fut alors de l'enlacer, collant au maximum son corps contre le sien dans un geste qui semblait à la fois désespéré et à la fois désireux.

Accrochée, collée à Edwina alors qu'elle fermait les yeux, elle semblait chercher quelque chose... Cela pouvait être la chaleur de son amie, la douceur de sa peau, le contact de son corps, son affection totale et sans détours... Ou toutes ces choses à la fois. Collée contre elle, elle faisait aussi fi de sa gêne ressentie vis-à-vis de son corps nu, l'exposant sans plus de procès à Edwina alors qu'il était entièrement contre elle. Les mains de l'aveugle se perdaient dans le dos de son amie, comme semblant ne jamais vouloir partir, ne jamais vouloir la lâcher. Une étreinte plus profonde et plus lourde de sens qu'il n'y paraissait, qui voulait à la fois tout dire et à la fois ne rien dire. Une étreinte qui semblait mettre de côté tout dilemme moral et toute pensée intruse, pour privilégier l'instant présent. Sa chevelure blonde venait coller à son tour contre la peau d'Edwina, montrant un reste d'humidité venant de cette pluie rencontrée précédemment.

Son amie revînt alors la taquiner, attaquant cou et oreille alors que c'étaient des zones grisantes, particulièrement sensibles et stimulantes... Bien que Shizune n'en savait absolument rien. Ce geste lui fit relâcher un mince gémissement d'aisance, suivit de frissons qui parcouraient la totalité de son corps et qu'Edwina devait sentir, aussi. Mais ce n'était pas pour autant qu'elle lâchait son amie... Même si elle écartait un peu plus la tête, la penchant sur le côté comme pour lui faciliter les choses. Sa seule réponse à la question très intime d'Ed' fut un "Oui" là aussi murmuré assez faiblement, mais leurs visages étaient si proches qu'elle ne pouvait que l'avoir entendu. "Oui", elle était vierge. Et pour une raison qui lui échappait, elle n'en s'en offusquait pas le moins du monde. Le rouge sur ses joues montrait qu'elle était toujours autant gênée, mais il y avait un petit quelque chose qui avait changé...

Elle voulait juste rester comme ça. Profiter de cette étreinte. Pour une raison qui lui échappait.

Dim 9 Juin 2013 - 15:54

En tête à tête ?

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Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

Je continue à lui faire des léchouille sur les points sensibles de Shizune que j'avais réussie à découvrir. Elle me fait tellement craquer dans ce moment-là comment ne pas résister à cet ange. En plus de ça elle était toujours vierge et elle va me laisser être sa première fois, ça me touche énormément car ce n'est pas une chose qu'on prend à la légère. Or le fait quelle me laisse la toucher prouve qu'elle a confiance en moi. Je lui promets d'être la plus douce que possible après tous une première fois doit être un moment qui ne s'oublie pas.

Je romps le baiser et la regarde avant de venir lui murmurer à l'oreille que comme c'était sa première fois, je serais extrêmement douce et que si quelque chose ne lui plaît pas qu'elle n'avait qu'à me le dire. Je reviens l'embrasser encore une fois, j'aimais vraiment ses lèvres, ses baisers. Avant de venir l'allonger sur les couvertures venant au-dessus d'elle regardant son corps en même temps. Je voulais profiter de ce moment, qu'il dure des heures pourquoi? Parce que j'apprécie énormément Shizune certes ça fait pas longtemps que je la connais, mais il y a quelque chose en moi qui réagis quand elle est la.

Je me mis à sourire avant de venir l'embrasser une dernière fois avant de descend vers la poitrine de la jeune femme. L'admirant au passage avant de venir la caresser lentement jusqu'à ce que ces tétons pointent et durcirent. Une ceux la en action, je viens d'une main caresser un de ces seins libre et je viens sucer le téton de l'autre, regardant en même temps les réactions de Shizune. Pour finalement venir descendre sa main libre vers son sexe regardant Shizune avant de lui parler calmement.

« Prête ma Shizune ? »

Ven 21 Juin 2013 - 13:43

Comme aspirée d'avantage à chaque baiser passionné, l'aveugle se perdait, sans trop savoir ni comment ni pourquoi. Mais les attentions de son amie faisaient mouche, et la jeune fille s'était rapidement avouée vaincue, ne pouvant lutter contre ce qu'elle ne connaissait pas. Raison, esprit rationnel, avaient étés tous deux mis à mal d'entrée de jeu, et il n'avait pas manqué grand chose pour faire perdre pied à Shizune. Bien entendu, ce n'était pas un simple abandon suite à quelques stimulis physiques, rien n'était possible après tout sans un esprit accordé, un esprit qui acceptait l'état de fait, la situation.

Oui, elle ne connaissait pas très bien Edwina, oui, cette dernière n'avait pas donné la meilleure des impressions dès leur première rencontre, mais... Comment dire? C'était discutable. Tout était discutable. Ce qui était certain, c'est que Shizune appréciait sa nouvelle connaissance, c'était indéniable. S'abandonner à ses caresses n'était pas seulement résultat de ses assauts tactiles, c'était aussi résultat d'une attirance. Certes, cela semblait rapide et la jeune femme elle-même ne se l'expliquait pas, mais si elle n'avait pas une réponse claire et précise à l'heure actuelle, au moins son instinct et son corps étaient honnêtes et ne brisaient aucun instant chaleureux. C'était même tout le contraire, désir et sentiments étant exposés sans détours même si le tout restait flou. Fantasme inavoué de l'inconnu? Amour caché? Manque d'affection? Seule une psychanalyse poussée, ou alors un travail sur elle-même, répondraient à la problématique posée.

En attendant, elle subissait, elle désirait, elle appréciait. Cou, oreille, nuque, épaule... Par ce simple geste de la tête, elle s'offrait à Edwina, et en ressentait rapidement les effets, cette dernière étant d'une efficacité redoutable. Elle faisait tout pour faire craquer toujours plus Shizune, qui n'en demandait pourtant pas autant. D'abord, il y avait les bises, les coups de langues, attentions tellement agréables et grisantes qu'elles provoquaient frissons et soupirs d'aisance révélateurs. Ensuite, il y avait les baisers. Passionnés, sensuels, de quoi perdre la tête encore et toujours plus, sans autre forme de procès. Et puis, il y avait les murmures, les murmures d'Edwina, stimulants et excitants au possible, annonciateurs de la suite et rassurants dans le même temps.

Couchée par la suite sur le dos, contre les couvertures étalées, l'aveugle sentit une brève montée de chaleur, pour une raison qui lui échappait. Ses longs cheveux blonds détachés s'étaient répandus sur le sol, offrant une vision surréaliste emplie de symbolique. Ses joues, toujours aussi rouges, ne semblaient pas pouvoir le devenir d'avantage, au risque d'être immuable. Ses pupilles floues cherchaient, cherchaient, mais ne trouvaient rien, rien d'autre que du noir, et des émotions, des sentiments. Cette nouvelle posture, où elle était éloignée d'Edwina et donc de nouveau exposée à sa vue, l'obligea inconsciemment à resserrer les jambes, comme pour cacher ce qui lui restait de plus intime. Un dernier baiser, pour continuer à vider l'esprit de la jeune femme, et les choses pouvaient se poursuivre, pour le meilleur et le meilleur.

« Ah.. »

Son premier véritable gémissement, attestant d'un plaisir soudain et plus fort qu'elle ne l'aurait cru. Exclamation incontrôlable, née de sensations incontrôlables. Les choses étaient bien différentes de précédemment, alors que son amie s'attaquait à sa poitrine, dans des caresses tactiles délicieuses et peut être trop enivrantes. Rien à voir avec les taquineries grisantes, ici il s'agissait de plaisir pur, qui prenait place petit à petit, allant en augmentant au fur et à mesure que sa respiration s'accélérait. Son corps montrait clairement son ressenti, alors que les petites extrémités roses de sa poitrine s'épanouissaient, mais ce n'était rien face à ce qui allait suivre. Ce n'était que peu de choses, vraiment peu de choses.

C'était une sensation bizarre, comme une succion, trop agréable pour être vraiment possible. Les zones rosées et durcies étaient si dures qu'elles en étaient douloureuses, mais pour une raison qu'elle ignorait, elles ne faisaient que donner d'avantage de sensations sous les caresses. Un parfait non-sens qui se débattait très mal, et qui n'avait aucune véritable logique. Elle devinait ce que faisait Edwina par ses gestes, par les sensations reçues, mais n'osait vraiment l'imaginer dans sa tête.. Se contenter de ressentir, sans y penser, c'était possible? Shizune savait très bien, de toute façon, que si elle venait à imaginer la scène dans sa tête, elle serait tellement gênée qu'elle en tomberait dans les pommes... même si elle se demandait si le plaisir reçu actuellement n'allait pas y parvenir tout seul. C'était vraiment possible de ressentir autant de choses agréables rien que par cette zone? ou alors cela signifiait que c'était un de ses points sensibles? A moins que le problème venait d'elle seule? Elle n'en avait aucune idée...!

Une main glissait, aventureuse, vers des zones inexplorées, et déjà, une question de posait. 'Prête', qu'est-ce que cela signifiait? Prête à franchir le pas? A se laisser complètement aller? Ce n'était pas ce qu'elle faisait depuis le début? Ne s'était-elle pas déjà avouée vaincue? Ne s'était-elle pas déjà abandonnée? La question d'Edwina souleva une interrogation, et sans vraiment parler de raison, une réponse convenable fut donnée. Ou presque.

« Oui... » C'était un simple murmure, soufflé sensuellement -sans le vouloir- entre deux lèvres rosées qui avaient connues plus de baisers en quelques minutes que dans toute leur vie. Juste après, un autre murmure, entre deux respirations difficiles. «... Attends... »

Caresses, nudité, plaisir, sensations, gêne, désir. Shizune en était à un stade où ses paroles étaient hésitantes, voir même contradictoires avec ce que son corps démontrait clairement. Ce n'était pas un refus, c'était un accrochement à une gêne, à un complexe qui ne pouvait disparaître qu'en s'exorcisant, et il n'y avait pas beaucoup de façons de parvenir à le faire. Elle s'était offerte, elle acceptait ce moment, mais il restait une chose, une seule et unique chose, dont elle devait être sûre, vis-à-vis d'Edwina, et vis-à-vis d'elle-même. Sa demande imminente, l'aveugle couvrit son visage de ses mains, comme pour se cacher de toute vision extérieure et aussi comme pour dissimuler sa gêne, alors que ses jambes se desserraient, s'ouvrant comme pour laisser passage à sa zone la plus secrète, mais aussi et surtout pour ne plus la cacher.

« Dis moi juste... Dis moi juste... pas que je suis belle, non... Je veux que tu me dises ce que tu penses de... Non, ce n'est pas ça... »

Hésitation, perdition, gêne, embarras.

« ... Dis moi juste si mon corps... te convient.. »

Peut être qu'elle n'aurait jamais pu être aussi gênée qu'elle ne l'était actuellement. Derrière ces mots, il y avait le fait de ne pouvoir se voir, alors que quelqu'un, en l’occurrence Edwina, pouvait, elle, tout voir. Toute sa personne. Sans aucune barrière. L'aveugle voulait que son amie, qui était maintenant plus que cela, la regarde, encore et encore, jusqu'à lui répondre. Il n'y avait ni bonne, ni mauvaise réponse d'ailleurs. Juste l'instant présent, intense, imprévisible, avec une Shizune qui avait besoin de se rassurer, d'être rassurée. Les sensations reçues avaient rendues son corps plus bouillant que jamais, et il y avait peu de chances qu'elle réussisse à se calmer de sitôt. Ce qu'elle n'exprimait pas avec des mots, elle l'exprimait avec ses expressions de désirs, sa gestuelle. Il était évident qu'elle voulait poursuivre, et la réponse à la question d'Edwina était claire. Mais l'aveugle voulait au moins être rassurée sur ce qui l'embarrassait le plus.

Ven 21 Juin 2013 - 18:56

En tête à tête ?

$En tête à tête ? [Pv: Shizune ^^] {Yuri /!\} Touhou10$
Shizune Kobayashi & Edwina Lavinia

Je me sentais réellement bien avec Shizune même si ça ne fait pas longtemps que l'on se connait je sentais qu'il y avait quelque chose quand je suis avec elle, comme un sentiments de bien être, un sentiments comme quoi je pourrais passer des heures à être avec elle. Est ce le coup de foudre? Je n'y crois pas trop mais bon si jamais c'est ça et bien... Ça me fait bizarre mais bon je suis tomber sur une perle rare alors je ne vais pas me plaindre juste que j'espère qu'elle m'aimeras aussi.

Je me mis à la regarder attentivement pour voir chacune de ses réaction pour voir si elle aimer ou pas. Avant d'entendre pour la première fois un petit gémissement ce qui me fit assez rougir et provoqua en moi un excitation, je voulais l'entendre encore, encore ses petits bruits si mignon, elle me fait vraiment craquer... C'est vrai que je n'ai pas l'habitude d'être avec une aveugle mais bon comme on dit, par amour on pourrais faire n'importe quoi, mais je ne sais pas si c'est de l'amour que j'ai pour elle ou juste de l'envie. Mais si c'était vraiment de l'envie je pense que mon coeur ne réagirais pas comme en ce moment.

Je me mis à l'embrasser langoureusement venant me coller contre elle, je s'avais qu'a sa façon de réagir il y avait quelque chose qui n'allait pas, tout ce que j'espère c'est qu'elle oserait me le dire, après tout il n'y a rien de gênant de parler pendant, en faite il vaux mieux ça que de rien dire et que la première fois soit pas très bonne au point de ne peux vouloir le faire. Je la prend dans mes bras arrêtant tout avant de venir lui caresser la joue regardant son regard, elle est peut être aveugle mais elle avait de ses yeux.

Ce n'est que lorsqu'elle soupira un attend que mon regard croisa le sienne de nouveau, je me demande bien ce qui ne va pas enfin je peux la comprendre, elle est toujours vierge, elle a peut être peur et elle se pose des questions.

« Qu'est ce qui y a?»

Après avoir entendue ce qui n'allait pas je me mis à l'embrasser venant lécher son cou sensuellement. A vrai dire il n'y avait pas que son corps que j'aime, tout chez elle me plait. Elle est si mignonne, si drôle je craque littéralement pour elle et pourtant je suis du genre à ne pas être aussi guimauve avec les filles avec qui j'ai coucher mais Shizune est différente des filles, elle a quelque chose en elle qui m'attire, quoi? Je ne serais le dire. Je soupire prenant une grande inspiration avant de lui répondre.

« Pour tout te dire il n'y a pas que ton corps qui me convient, j'aime tout chez toi aussi bien physiquement que mentalement. Tu es si craquant quand tu fais certaine tête et puis j'aime t'entendre gémir Shizune. Si jamais tu veux qu'on arrête tu me le dis.»

Je viens poser ma main sur sa cuisse et commence à caresser l'intérieur la remontant lentement jusqu'à son entre jambes venant lui lécher le cou murmurant son prénom à son oreille. Avant de venir caresser son sexe qui était un peu humide, ce qui voulait dire qu'elle était à la fois exciter et qu'elle aimer ça. Ça me rassure un peu, beaucoup même.