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Fais ce que tu veux tant pis ! [PV Mee !]

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Jeu 1 Mar 2012 - 19:50
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Fais ce que tu veux tant pis!

Fais ce que tu veux tant pis ! [PV Mee !] 673178copie

Suis-je assez in? Suis-je assez clean ?
Et que te faut-il encore ?
Pour que tu m’aimes bien, pour que tu m’aimes bien
Pour qu’un beau jour tu m’adores ?

-Mika – Grace Kelly -

La journée s’annonçait plutôt bien. Ou pas trop mal tout du moins. D’un pas enjoué, entraînée par un engouement qu’on ne lui connaissait guère, Lola sautillait gaiement çà et là au milieu des joyeuses pâquerettes avec un brin d’herbe dans la bouche. Chapeau de paille sur la tête, vieille salopette achetée chez Décathlon, baskets trouées, la jeune fille candide à l’air hébété courait dans la grande prairie sous les chaleureux rayons du soleil.

« Lalalalaaaaaaaaaaaaaaaa »

Oh, elle aurait même fait pâlir Grace Kelly de jalousie. N’est-il pas ? Tournant sur elle-même, effectuant ces fameux « sauts de biche » qu’on l’avait forcée à effectuer durant ses vieux cours de gym, elle chantait à tue-tête, se prenant tour à tour pour Marie puis pour Charles Ingalls. Toujours des problèmes d’identité cette petite. Mais on ne se refait pas hein ? Elle aurait pu être marron, bleue même, devenir chanteuse, devenir la grande amie du schtroumpf à lunettes ou encore aller se battre pour la cause des lamas albinos dans un pays lointain. Lola, elle, elle disait que ce n’était pas un coup de chaud. Lola, elle disait qu’elle était saine de corps et d’esprit. Amen. Lola, elle disait que non, elle disait que non, le diable ne l’avait pas tentée avant qu’elle ne sombre dans la folie. Non, Lola, elle voulait seulement se réveiller. Oh, Lola elle aurait pu être violette, verte à pois rouges ou alors elle aurait chanté du Michael Jackson en jean noir super moulant. Et Glitter ? Glitter au placard. Glitter sous le lit, avec la poussière datant d’il y a plusieurs mois. Glitter, on la remet sur cintre et on l’enferme dans la grande armoire blanche.
Glitter n’était qu’un costume.

« Hahahahaaaaaa ! »


Et Lola une idiote.
Dans ses rêves. Seulement dans ses rêves…

--------

Un bruit assourdissant vint réveiller le reste de la chambrée.
Evidemment, Glitter était tombée. Tombée tout bêtement de son lit. Les yeux écarquillés, les cheveux en vrac, les pensées confuses, la vision troublée encore, les pieds emmêlés dans les draps et la tête sur le sol froid.

« Une salopette décathlon quelle horreur… »

Gosse de riches. Peut-être finalement n’était-elle pas tout à fait normalement constituée… Et puis, les réactions normales c’était pour ceux de la basse, et elle…elle, elle était de la haute. (Surtout avec ses talons de dix centimètres il fallait le dire). Mais passons. Haussant un sourcil, puis l’autre, elle regarda vaguement le plafond tout là-haut. Oui, le truc blanc au-dessus d’elle.

« Plafond » : Un mur mais pas tout à fait non plus.

C’est tellement bien d’être simple d’esprit hein Lola ? Hors donc, elle se tenait lamentablement là, dans cette chambre, à cet instant précis de la journée, après un certain nombre de rotations terrestres et j’en passe. Il était midi. L’avenir est à ceux qui se lève tôt paraît-il. Poussant un bâillement sonore, elle décida qu’il était sans doute temps pour elle de quitter la chaleur doucereuse de sa couette qui s’était fait la malle un peu plus tôt visiblement. Se mettant difficilement debout, elle passa une main dans ses cheveux avant de traîner des pieds jusqu’à la salle de bain. Démarche classieuse pour un mannequin mondialement connue n’est-ce pas ? Pleine de ressources cette gamine. Elle n’en aurait pas fini de révolutionner le monde de la mode. Aussi bien en bien qu’en…mal pour le coup. Imaginez ! Si, si, les visages cernés et dont les traits sont encore figés par le sommeil pourraient bel et bien devenir de véritables figures de proue ! Bref, « le visage » des grandes succursales qui tentent de vous vendre leurs fameuses « crèmes anti-âge » quoi ! Quoi ? Quoi non ? Comment ça non ? Dans la haute-couture il y en a bien qui font porter des fruits en guise de chapeau aux mannequins. Il n’y a pas de sotte idée. On n’a pas l’air plus bête avec un ananas sur la tête quand on pose pour chanel que quand on pose pour la « crème miracle qui efface toute trace du vieillissement si, si on y croit et vous aussi » avec de grosses poches noires sous les yeux. Anyway. Prenons un autre tour et laissons la demoiselle se réveiller comme il se doit.
Nous la retrouverons un peu après voulez-vous ?

-----------

19h00

Ce qu’elle avait pu faire pendant toutes ces malheureuses heures ? Cela, je serais d’avis de le passer à la trappe.
19h00 donc, l’heure de faire le tour des bars du coin pour boire jusqu’à plus soif. Allez, c’est une histoire marrante, une histoire comme pas deux, une histoire enjouée où l’héroïne se prend pour le capitaine Haddock et où le whisky serait son meilleur ami. Si, si, une histoire un brin dérisoire et qui met de folles idées en tête. Oh, une histoire quoi. Une petite histoire à dormir debout un tantinet sortie des contes de fée. La voilà donc, la grande, l’impitoyable, la majestueuse, l’indomptable, la demoiselle avec les pieds enflés que l’on appelle couramment « Glitter ». Autant dire qu’elle s’était mise sur des échasses ce jour-là. Eh non, pas sur son 31, mais sur des échasses, chacun son truc. Talons aiguilles hauts d’une bonne poignée de centimètres, chemin faisant, elle regardait droit devant elle, l’air assuré, le regard enjôleur, tandis que le bruit de ses pas résonnait dans les rues du village. Avec la ferme intention de s’enfiler plusieurs verres bien serrés, elle avançait avec toute la prestance qu’il était possible d’avoir. Alors, alors, combien de bars ? Combien y en avait-il ? Hmmm ? Tournant rapidement sur elle-même pour se rendre compte de la chose, la Paris Hilton aux cheveux noirs ne put que manifester sa déception. Malédiction. Et puis au fond, elle se disait qu’il fallait s’y attendre. C’était pas comme si elle était à Los Angeles non plus. Là-bas c’était la ville des stars, ici c’était juste…paumé. Oh, elle aurait même était capable de s’effondrer au sol en hurlant « Ô raaaaaaage, ô désespoiiiiiiiir », mais…non. C’était trop sale par terre.

Mine renfrognée, sourcils froncés, elle fit la moue et poussa la porte de l’unique bar du coin. Si c’était pas malheureux quand même. S’en suivit une série d’actions mécaniques dont l’énumération ne ferait que rendre la narration plus harassante et terriblement horripilante. Bref, on prend un verre, glouglou on le boit, clac on le repose. On reprend un verre, reglouglou on le boit, reclac on le repose. Etcetera, etcetera. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants voilà.

-------

Glitter c’était l’une de ces grandes du métier qui peuvent se permettre certains écarts, Glitter c’était l’une de ces belles filles qui tiennent plus ou moins l’alcool et qui, après un ou deux verres, se retrouvent vite avec les pommettes rouges. Lola c’était l’une de ces belles dames qui sont charmantes dans l’ivresse la plus parfaite, seulement personne n’avait la même vision des choses. Mais là n’était pas la question. Blanc. Elle-même ne se souvenait plus trop de ce qu’il s’était passé entre son cinquième verre d’on-ne-sait-quoi et le moment où elle s’était retrouvée là. Apparemment, elle avait essayé de rentrer chez elle. Enfin, ça non plus elle n’en était pas sûre non plus. En tout cas, il faisait froid. Et où ? Où était-elle la grande enfant ? Dans un champ peut-être bien, ou alors à côté de la petite maison dans la prairie. En tout cas, elle n’avait aucunement l’allure de Marie. Ça au moins c’était sûr. Elle se disait sobre mais elle était un peu pompette sur les bords, cela va de soi. Les joues rougies par la boisson, elle tenait pourtant toujours debout. Non, pas ivre encore, mais presque. L’air digne, fier, bref appelez cela comme vous voulez, elle était persuadée que c’était ce chemin-ci qu’il fallait emprunter. C’est bien d’avoir des convictions. Pour autant qu’elles n’aboutissent pas à une catastrophe quelconque. Et là, ça en prenait le chemin.
Idiote. Lola, idiote.

Au milieu des brins d’herbe, elle faisait claquer ses talons avec vigueur. Une, deux, une deux. On aurait presque pu croire qu’une grande cérémonie militaire se déroulait là, sous nos yeux, à minuit, dans une prairie paumée et avec pour seuls participants Lola et les hommes invisibles qui lui emboîtaient le pas. Comme on dit, mieux vaut être seule que mal accompagnée. La démarche chaloupée, les cheveux volant au vent (si, si, c’est amour gloire et beauté je vous dis), Lola tentait tant bien que mal de retrouver ce fameux « chemin » qu’elle cherchait depuis maintenant plusieurs minutes. Oh non, elle n’avait pas peur du noir, Glitter était un prédateur alors elle ne risquait rien. Et puis, quand on a les pensées embrumées par les vapeurs toxiques de l’alcool, on a pas grand-chose à craindre. Mis à part de tomber sur plus sobre que soi.



Ou alors de casser l’un de ses talons.
Je vous laisse deviner la suite. Un grand « clac » résonna dans la prairie, suivi quasi immédiatement d’un « boum » tout aussi bruyant. Elle n’avait pas les yeux en face des trous visiblement. Ce n’était pas grand-chose. Juste son talon droit qui s’était fait la malle à la prison break. Trop mécontent de sa situation à mon humble avis, se faire piétiner toute la journée il y a de quoi être en colère. Je divague, je divague. Lola elle était à plat ventre au milieu du champ, les yeux écarquillés en signe d’incompréhension sans bouger. Elle finit par s’asseoir douloureusement avant de regarder l’état déplorable dans lequel se trouvait sa chaussure. Si encore elle avait eu la bonne idée de mettre des baskets, elle n’aurait jamais eu à faire face à ce genre de souci mais…non. Il lui fallait dix centimètres de talon ce soir. Juste ce soir où elle avait bu un peu plus que d’habitude et où personne n’était là pour la raccompagner jusqu’à chez elle. La roue de la fortune n’avait visiblement pas tourné en sa faveur, ce qui n’allait pas sans lui déplaire. L’air dépité, elle essaya de se relever et de marcher tant bien que mal mais…non. Ça ne marchait pas (c’était le cas de le dire). Et puis, avancer d’une démarche claudicante, c’était un peu (beaucoup) la honte comme le dirait les jeunes. Lola se vit donc obligée de retirer ses chaussures estropiées de ses petits pieds menus. Marcher pieds nus…quelle insulte pour elle.

Prenant ses chaussures avec sa main droite, elle fit comme si de rien n’était et poursuivit son chemin, le menton relevé, histoire de montrer son mécontentement soudain. Evidemment, on a du mal à regarder en haut et où on met les pieds en même temps… Retombant de plus belle, elle râla une fois au sol, cracha un juron et aurait presque martelé le sol avec ses petits poings musclés. Elle se calma bien vite. Car plus rien ne venait perturber le silence de la nuit. Se mettant à genoux, elle regarda furtivement à droite puis à gauche avant de se figer littéralement sur place. Décidément, l’alcool ce n’était pas bon pour elle. Soirée catastrophique il va s’en dire. Car oui, pour une fois, pour une fois, la grande Glitter avait peur. Peur du noir qui l’entourait et surtout de…

-Crac-


Non décidément…ça s’annonçait mal. Car visiblement il y a avait quelqu’un d’autre qu’elle.
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Lola MacAndrew
Âme qui Rode ☂
Lola MacAndrew
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Lola MacAndrew
Jeu 31 Mai 2012 - 7:42
Cela faisait maintenant des années que la jeune Noriko, fille d'une famille riche, était possédée par son double qu'elle avait appelée La Mee de Minuit. C'est une longue histoire, mais l'important est de savoir que la Mee du jour est totalement à l'opposé de la Mee de la nuit. Une est bonne, l'autre est mauvaise. Une est respectueuse, l'autre n'a pas de manière. Une est à l'écoute, l'autre s'écoute sans écouter les autres. Malheureusement pour la jeune Chinoise, c'était sa partie négative qui jour après jour prenait le dessus. Utiliser le terme jour est en effet plus qu'approprier, puisqu'elle commençait à même se pointer lorsque le soleil battait de ses rayons. C'est pourquoi, aujourd'hui la brave, admirable et respectée Mee du jour avait décidé de s'attacher au radiateur de sa chambre pour interdire son double de s'enfuir la nuit. Si quelqu'un serait entré dans sa chambre, il aurait pu penser à un viol car elle s'était tellement démenée pour s'attacher au maximum que sa jupe se prenait dans les scotchs se soulevant à moitié, que ses cheveux virevoletaient de tous les côtés et que sa poitrine était bien trop serré au milieux des nombreuses lianes. Mais elle était fière d'elle et n'attendait qu'une chose :

- Montre toi, Démone !

Aussitôt dit, aussitôt fait. Et ce qui devait arriver, n'arriva pas. L'horrible Mee avait eu à faire à des liens beaucoup plus serré autre fois. Et il fallait le rappeler, c'était elle la pro des crimes, des vols et des escapades nocturnes. Trois petits bouts de cordes et quelque cheveux collés aux scotch plus tard, Mee était sortie par la fenêtre. Elle avait pris le temps d'enfiler sa tunique blanche, sexy mais confortable, maintenue par une ceinture bleue ciel. Elle avait levé sa crinière verte dans les airs, grâce à un petit bout de corde restant. Elle trouvait que ça lui donnait un genre "caid", plus que d'habitude. Evidemment, elle avait toujours, bien caché sous sa robe, ses deux petits katanas enfouit dans leur trousse cuissière. "C'était au cas où" qu'elle disait.

Elle courait, sautait de branches en branches en se faisant même pas mal au pied. En même temps, ses chaussures étaient parfaitement adaptées pour l'exercice et s'était comme si elle était revenue à sa forme naturelle de femme singe, agile comme un serpent, rapide comme un aigle. Aujourd'hui, elle avait juste envie de chasser. Chasser l'homme. Oui, cette bête qui rôde aux alentours des grillages protégeant le village. Elle ne les aimait pas. Enfait, elle aimait personne. Mais comme son rôle d'agente de sécurité lui procurait une certaine couverture, elle s'en servait pour attaquer les hommes, leur faire peur, les blesser. C'était une parfaite excuse pour elle. C'est pourquoi elle se dirigea aux abords de la prairie, là où la vue à travers le grillage est meilleur. Elle espérait pouvoir en trouver plein.

Sûrement que quelqu'un avait entendu ses prières, car cette nuit là, nombreux hommes rôdaient. Mee avait l'eau à la bouche en les entendant s'approcher. Son envie d'attaquer fut renforcer lorsqu'elle vit que ces affreuses créatures courraient après une jeune fille sans défense, aux vêtement à moitié déchiré, au visage amoché par les coups et qui essayait désespérément d'entrer dans le village. Elle savait qu'il y avait une protection à Etiopia, et que si elle avait voulu sortir pour attaquer, elle allait devoir s’électrocuter bien fort. La Chinoise n'avait encore jamais essayé de traverser ces enceintes. Non pas parce que c'était interdit, loin de là, mais parce qu'elle avait été blessée par une secousse légère lors d'un premier combat. C'est ainsi que son regard alla de la victime, aux assaillants, de la victime aux assaillants. Et ceux-ci se rapprochaient toujours plus...et les grilles d'Etiopia ne s'ouvraient pas. Elle voulait les blesser, les couper, les entailler. C'était le moment. Et elle sauta dans le tas...

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Une silhouette au loin de la prairie commençait à se distinguer. Elle marchait en boitant, en titubant. Son vêtement lui tombant sur l'épaule semblait être déchiré, voir brûlé. Une grosse crinière de cheveux errissée sur la tête aurait pu être une preuve de l’électrocution que la jeune fille avait subit tout à l'heure. Plus elle avançait, et plus son visage devenait clair. C'était Mee, elle revenait du combat. Son maquillage avait coulé légèrement sous ses yeux, et de sa lèvre perlait une goutte de sang qui avait laissé une trace jusqu'à son menton. L'expression de victoire ne trahissait pas. Elle était blessée, mais c'était un honneur de guerre. Elle les avait eu, ces maudits violeurs. Et la jeune fille était en sécurité dans l'enceinte. Elle pouvait aller se reposer. Elle le méritait.

Alors qu'elle marchait lentement, pas du tout comme à son habitude, elle remarqua au loin quelqu'un qui tituba aussi puisque tombant à terre. Mee se demanda tout d'abord si il s'agissait de la jeune fille qu'elle avait sauvé, et c'est pourquoi elle essaya d'accelerer le pas...Mais son dos lui faisait mal. La secousse avait vraiment été forte et semblait avoir atteint la colonne.


* Encore quelque chose que tu pourras dire avoir subit ! Je suis fière de toi Mee ! *

Ainsi, la demoiselle arriva proche, proche et encore plus proche de cette fille sur les genoux, à l'air louche. Alors qu'elle aperçu enfin son visage dans la noirceur, elle se rendit compte que ce n'était qu'une fille soûle. Ces joues rouges et ces yeux brillants ne trahissent pas. Mee était mal en point, mais elle avait envie de s'amuser. C'était toujours drôle de faire s'énervée une bourrée, ou de la voir s'extasier sur des petits trucs complètement sans intéret.

- Vous avez besoin d'aide très chère ?

Dit-elle sur un ton de reine s'adressant à quelqu'un de son grand banquet du samedi soir. Son allure par contre était complètement contradictoire à sa façon d'agir, puisque sa robe, dois-je le répéter, tombait sur son épaule. De plus elle était déchirée dans le dos à cause du choc électrique qui avait d’ailleurs fait brûler tout le contour du morceau tombé. Malgré son essai à remettre ses cheveux droits, ceux-ci s'en allaient encore plus n'importe comment et ses yeux noirs la faisaient ressemblé à quelqu'un d'encore plus soul que la demoiselle à genou au sol.
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Tanae Plum
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