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Pas de deux amoureux... (PV Tala)

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Ven 20 Mai 2011 - 6:12
Lorsque la Russe arriva en vue de la petite habitation nichée au creux de l'arbre, son sourire déjà bien présent s'étira encore à l'idée de la surprise qu'elle ferait à Tala lorsque celle-ci rentrerait. La louve savait qu'à cette heure de la journée où Etiopia basculait d'une journée studieuse au soir plus festif, Galatéa était normalement en faction ou en patrouille quelque part entre la ville et la ferme. Aussi, la russe avait-elle, sans le lui dire, demandé un congé de quelques heures afin d'écourter sa journée de travail.

Elle était repassée à l'hôtel, rendre les clefs de sa chambre et avait fait son paquetage à la manière militaire avant de dire adieu à ce lieu qu'elle côtoyait de moins en moins. Et pour cause, depuis sa rencontre avec Tala, elle ne quittait la forêt que pour prendre quelques affaires lorsqu'elle en avait besoin. Mais même si elle vivait pour ainsi dire déjà avec sa louve, rien n'était encore officiel et cela durerait tant qu'elle n'aurait pas emménagé totalement chez elle.

Elle ne lui avait, bien sur, pas fait part de ses intentions et comptait sur l'effet de surprise. Elle pénétra dans l'habitation et ayant fait une place à ses affaires près de ceux de Tala, dans les armoires, les rangea soigneusement. Pour parfaire la soirée qui s'annonçait, elle prit une bonne heure à arranger l'intérieur pour qu'au centre de la pièce qui servait de salon, trône une table parfaitement mise et idéale pour un tête à tête amoureux. Elle cuisina quelques mets de choix, de l'entrée au dessert, s'assurant que la viande y avait une part majeure vu ses appétits et surtout ceux de sa louve. Pour finir, elle disposa une rose sur l'assiette de Tala et une carte comportant quelques mots simples :

"Mon amour, Ma Louve,

Juste ces quelques mots pour faire, de notre union,
Une réalité comme notre passion.
Ta demeure aujourd'hui est aussi ma maison ;
Je t'aime pour toujours, toi, ma vie, ma raison.

Ta Néréide."



Elle savait que sa douce viendrait comme tous les soirs la guetter et l'attendre près du petit étang qui bordait le chemin menant jusqu'à leur maison. Une pensée un peu mutine lui traversa l'esprit et elle ôta ses vêtements. Délicieusement nue, elle sortit en refermant soigneusement la porte et quelques minutes plus tard, elle se glissait dans l'eau fraîche. La chaleur était bien présente et l'eau dénoua ses muscles en quelques secondes, la rafraichissant par la même occasion. Elle nagea jusqu'à l'endroit où, immanquablement, Tala la verrait en revenant. Un petit rocher affleurait presque à cet endroit. L'eau était assez claire pour qu'elle ne manque rien du spectacle que pourrait lui offrir Galatéa.

La russe se hissa sur le petit rocher qui remontait du fond légèrement incliné, assez large pour s'y allonger, et pris une pose lascive, telle une Néréide attendant sa Déesse. Les coudes appuyé sur la pierre, une jambe repliée et le corps légèrement cambré, s'offrant aux caresses du soleil, elle ressemblait à une magnifique sirène dont la chevelure blonde s'étalait derrière elle comme un voile doré. Elle rejeta sa tête en arrière, le visage levé vers le ciel comme pour offrir sa gorge aux éléments et ferma les yeux. Il ne lui restait plus qu'à attendre celle qui embellissait sa vie et réjouissait son cœur comme aucun astre si parfait soit il n'aurait pu le faire.
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Mer 25 Mai 2011 - 3:31
C'était une belle journée, le soleil était revenu et l'hiver avait fait place au printemps, les bourgeons fleurissaient, l'air c'était réchauffé, la vie reprenait maintenant pleinement ses droits sur la nature, dans chaque parcelle, Tala le sentait et cela la mettait particulièrement de bonne humeur. Elle sentait le renouveau, l'explosion des senteurs, l'odeur de la terre tiède, les rivières gonfler par la fontes des neiges retrouvant toute leurs vivacités, les naissances des bébés animaux à venir, elle adorait le printemps. Mais même si son cœur était à la fête à cause de cela, ce n'était pas la principale raison, en effet depuis quelques temps elle vivait une idylle parfaite avec une villageoise de Etopia, elle s'appelait Galatéa Wottan, dès leur première rencontre ce fut le coup de foudre, une chose qu'on pensait impensable, mais qui était bien réel dans son cas, elles c'étaient aimées dès la première nuit et ne ce quittait pour ainsi dire que rarement et toujours par obligation ou nécessitée. Cela convenait parfaitement à la louve noire, être toujours avec sa compagne était idéal, certains dirait qu'au bout d'un moment cela pouvait étouffer mais pour elle non, sa nature profonde la poussait à toujours être avec l'être aimé pour la choyer et l'aimer, s'occuper de sa Néréide et la rendre heureuse. La fin de la journée commençait à s'annoncer mais le soleil était encore haut, Galatéa avait du aller à son travail et Tala devait garder sur sa forêt, elle en profitait toujours quand Galatéa dormait ou partait au village, pour faire ses rondes et veiller sur sa forêt.

Sa compagne en aurait encore pour quelques heures, elle décida de rentrer une fois que tout lui semblait calme, ce demandant quoi préparer à manger pour sa belle, elle même avec très faim et son petit loup qui était venu avec elle aussi. Kosumi avait pris en force et en endurance même si il dépendait toujours de sa maman louve et ceux, pour encore quelques mois, il tenait mieux la distance lors de leurs sorties. Sous sa forme de louve, Tala marchait vers son habitation, suivit de sa petite bouille qui traînait un peu la patte.

'' J'ai faim...''

'' Je sais, soit patient, je vais te nourrir en rentrant ''

Kosumi soupira un peu, il avait chaud et pattes en feu d'avoir marchés autant, la forêt avait beau être pas très grande, c'était assez pour faire travailler tout les muscles en marchant, pour l'encourager la louve lécha la tête de son petit et continua la marche. Après quelques minutes le petit étang aux allures de petit lac fut en vu, mais ce ne fut pas la pureté cristalline de l'eau qui fit s'arrêter la louve, mais bien une superbe femme à la chevelure doré, ou le corps était parcouru de gouttelettes d'eau, rendant l'image irréel et érotique. L'image de la nymphe des eaux n'était pas loin, même présente dans sa position ou elle offrait sa peau d'opale aux rayons du soleil, les gouttes brillants de cette lumière sur son corps donnait la touche final. La louve noire était complètement sous le charme qu'elle du se faire sortir de son doux rêve pas son petit qui mordilla sans lui faire mal sa patte, Tala lécha son museau et émis de doux son pour lui demander d'aller se reposer à la maison, son petit compris sachant que quand la compagne de sa maman louve était la, il fallait mieux les laisser seule un moment, il trottina jusqu'à l'habitation.

La louve émit alors un léger hurlement pour signifier sa présence, pour que sa belle Néréide la regarde, une fois leurs regards accrochés, elle se sentait comme transporter ailleurs, ses yeux l'hypnotisait toujours autant, avec le reflet de l'eau, on avait vraiment l'impression que l'eau vibrait dans ses prunelles. Et comme si son cœur était appelé, Tala marcha dans l'eau en direction de sa belle, jusqu'à ce que l'eau l'est complètement engloutit, une fois sous l'eau elle reprit forme humaine et nagea jusqu'à cette vision enchanteresse. Une fois proche, elle remontant d'un coup de rein à la surface, posant ses mains sur le rocher et remonta sensuellement avec un sourire suave, le long du corps de sa belle jusqu'à être au niveau de sa tête.

'' Je viens en mon domaine et voilà que je trouve une belle Néréide se baigner près de chez moi, quel belle surprise que voilà ''

Elle eu un sourire amoureux, picorant sa joue et le long de sa mâchoire avant de remonter vers la bouche carmin et douce, ses lèvres fondirent alors avec celle de son amour dans un long baiser tout aussi amoureux. Rompant doucement le baiser, elle en donna d'autres sur sa gorge offerte et frémissante, se délectant toujours autant du goût de sa peau.

'' Oui vraiment, une délicieuse surprise. Je ne t'attendais pas si tôt ''
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Mer 25 Mai 2011 - 8:09
Galatéa n'eut finalement pas à attendre très longtemps que sa louve revienne vers sa petite demeure au cœur de la forêt. Elle avait fermé les yeux, guettant les sons qui l'entouraient pour patienter. Ici, les trilles mélodieuses d'un oiseau appelant sa compagne ou celle qu'il souhaitait séduire dans sa parade ; là, le bruissement des feuilles d'un frêne sur lequel courait un écureuil ; Et encore ici, le clapotis de l'eau en surface, où un poisson était venu s'aviser d'un insecte pour son déjeuner. Contrairement à Tala, elle ne percevait que la musique en surface de cette forêt. Elle ne ressentait pas jusqu'au moindre battement de cœur des êtres qui la peuplait et ne faisait pas corps avec ce fourmillement de vie. Mais elle savait être attentive aux sons, aux odeurs, aux mouvements aussi et dans cet univers particulier, se sentait acceptée, comme si l'amour de Tala avait suffit pour que cette petite canopée la voit comme une des leurs.

Le soleil de ce doux printemps lui réchauffait la peau agréablement. Une partie du corps immergée presqu'en surface et l'autre sur la pierre sèche et chaude du rocher, elle se sentait parfaitement en harmonie avec le lieu. Mais elle n'avait qu'une hâte : se retrouver dans les bras de celle qu'elle aimait. Dans ses rêves les plus fous, elle n'aurait jamais envisagé pareil rencontre et semblable passion. Elle avait chaque jour envie de se pincer pour y croire. Ce qu'elle ressentait n'avait pas de mot pour le décrire et elle aurait donné sa vie pour sa louve, sa magnifique Tala.

Elle plongea une main dans l'eau et s'en aspergea pour apaiser un peu le feu léger du soleil. Puis elle entendit enfin un son familier à présent. la course des loups. Les pas étouffés des créatures silencieuses, qui ne cherchaient pas à l'être ici d'ailleurs, ralentit jusqu'à n'être plus perceptible. Mais Galatéa savait qu'ils approchaient. Elle sentait la présence de Tala ou plutôt, la ressentait. C'était physique quelque part. Comme si leur lien allait au delà du simple fait de s'aimer... Même si c'était éperdument.

Elle entendit un doux hurlement et ouvrit les yeux. Elle nota du coin de l'œil que Kosumi entrait dans la demeure, mais son regard s'était déjà fixé dans celui de sa louve. Et comme chaque fois, quelque soit la forme empruntée par celle-ci, son cœur s'accéléra presque dangereusement, une onde de chaleur envahit son ventre et ses reins et un long frisson fit frémir sa colonne vertébrale et se communiqua à sa peau toute entière. Quand à son estomac, comme d'habitude quand elle regardait Tala, il semblait habité par une nuée de papillons.

Elle ne bougea pas, fixant Tala jusqu'à ce qu'elle disparaisse sous l'eau pour réapparaître sous sa forme humaine. Évidemment, dire qu'elle avait chaud en cet instant était un euphémisme. Quand elle la voyait ainsi nue devant elle, c'était elle qui avait soudain des appétits de loup. Son sang slave ne faisait qu'un tour et brisait la glace apparente de la russe aussi surement qu'on éveille un volcan.

Elle la laissa l'embrasser, le sourire aux lèvres, profitant de ses caresses sur elle, telle une statue recevant un hommage. Elle se retenait de répondre de suite, savourant ses lèvres sur sa peau et ce n'est que lorsqu'elle les unit aux siennes, qu'elle l'enlaça , répondant à son baiser avec autant d'amour et de ferveur que sa louve en avait mis dans son étreinte.
Elle aimait cette bouche comme elle n'aurait pas cru cela possible. Elle s'en délectait chaque fois, goutant sa langue de la sienne, comme on découvre la première fois la saveur délicieuse d'un fruit parfait. C'était une addiction... Mais tout chez l'indienne la rendait "addict". Elle se cambra légèrement sous la caresse de ses lèvres sur sa gorge, ne demandant qu'une chose. Qu'elle poursuive son exploration. Elle sourit à sa question. Elle retint doucement le gémissant ronronnement comme une chatte se pâmant sous le joug de son maître.

"J'ai voulu te réserver quelques surprises... Il y en a une autre et non des moindres. Mais chaque chose en son temps. Tu m'as atrocement manquée!"

Reprenant, cette fois, l'initiative, elle repoussa Tala en douceur pour la faire basculer sur le rocher, sous elle, la maintenant prisonnière de ses mains et de ses jambes, mêlant ses cuisses aux siennes et mettant en contact leurs poitrines et leurs intimités. Son regard plongea dans le sien pour s'y noyer avec un bonheur évident et un sourire mutin se dessina sur ses lèvres magnifiques. Puis elle descendit embrasser la base de son cou et remonta doucement jusqu'à son lobe d'oreille pour le mordiller.

"Je t'aime, ma tendre louve. Et je n'aimerai jamais personne d'autre que toi." Murmura-t-elle avant de revenir capturer ses lèvres.

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Dim 29 Mai 2011 - 18:24
Goûter sa peau sucré était toujours un régal, chaude et pourtant fraîche de l'eau qui s'y était promenée, cela rajoutait une note d'été dans le teint de sa belle, à chaque fois que Tala y posait ses lèvres c'était tout un concert de sensations, de couleurs et d'image qui fourmillait dans son esprit, et en ce moment c'était des images acidulée, chaude de l'été lié aux bleu et aux vert du printemps que lui inspirait le corps de sa belle. Chaque corps raconte une histoire, différente chaque fois et la louve ne se lassait pas d'en décrire toute la subtilité dans celui de sa Néréide. Picorant sa gorge de baiser délicat, elle laissa promener ses lèvres vers la poitrine ronde qu'elle ne se laissait pas d'aimer et de cajoler à chacun de leurs ébats amoureux. Et dieu qui y en avait, jamais rassasier bien longtemps l'une de l'autre chacune de leurs retrouvailles était sujet à s'aimer éperdument après, plus qu'un besoin impérieux de contenter le corps, c'était l'envie puissant de sentir ne faire qu'un dans un déluge de sensations forte et enivrante. En y repensant, l'indienne se fit plus appuyer dans ses baisers sur les monts qui semblait déjà s'arquer sur ses caresses.

Les paroles qu'elle écouta la fit sourire, d'un sourire emprunt de douceur, mais ses yeux était brillant de curiosité, se demandant bien qu'es que sa compagne avait pu préparer à son encontre, elle ne l'en aimait que d'avantage, ce goût du mystère qu'elle exerçait avec un certain panache la rendait encore plus accro à la charmante russe.

'' Je suis heureuse de te revoir aussi ''

Sentant sa compagne voulant reprendre le dessus, elle se laissa alors allongée sur la pierre chaude et humide, frémissant de bonheur aux touchés de leurs peaux, de leurs poitrines et leurs intimités unies, fermant les yeux pour tout ressentir en elle. C'était parfait, elle se sentait si bien, si sereine, pas une onde d'ombre dans son être ne venait perturber la surface de son âme, était cela le bonheur ? être en paix avec soi même ? En accord complet avec quelqu'un d'autre au point d'y abandonner son esprit sans retenu ? Pouvoir se sentir plus fort encore à la simple pensée de l'être que chérit le plus ? Il y avait tellement de forme de bonheur, mais pour Tala nulle doute que le sien était ici, en ce moment même au dessus d'elle. Elle ouvrit les yeux mais son regard fut cueillit par celui bleu de sa Néréide, y plongeant toujours plus profondément, comme un plongeur qui se laisserait aller aux profondeurs abyssales. Profitant grandement de se faire cajoler, elle poussa un soupir de contentement aux lèvres qui parcourait son cou et eu des frissons qui lui traversa tout le corps quand les dents d'ivoire vint mordiller son lobe, réveillant pour de bon, le feu dans son ventre.

'' Je t'aime aussi, n'en doute jamais ''

Les lèvres se rencontrèrent de nouveau dans un baiser qui ne manquait pas de sentiments passionnés, les langues dansaient, se frottaient l'une contre l'autre, comme dans un bal des sensations. Une main venu alors s'échapper de la douce prison pour venir parcourir en toute liberté le dos de sa Néréide s'arrêtant en chemin au niveau des reins pour en ressentir la chaleur et finit par se poser sur les fesses ferme qu'elle caressa non sans un certain plaisir.

'' Mais tu sais, tout en toi ma manqué et en éveillant ma curiosité tu as ouvert mon appétit aussi. ''

Tala eu un sourire espiègle mais un brin charmeur, ayant jouer sur le mot de son appétit, car elle avait tout aussi faim de nourriture, que de se regorger du corps de la belle russe, puiser en elle comme une source intarissable auquel on reviendra s'en cesse s'abreuver. Déposant un baiser dans le creux de son cou, elle le mordilla doucement pour ensuite y faire un doux suçon, commençant à onduler son bassin contre celui de Galatéa, sentant que doucement, leurs intimités se frottaient l'une à l'autre et pour appuyer cela, elle affermit sa prise sur le fessier impérieux de la russe.

'' Ne me fais pas languir, sinon je jure de ne plus être très sage. Un cœur amoureux ne se plie à aucune loi ou prison aussi exquise soit elle pour venir s'unir à sa moitié. ''

Ce fut son tour d'embrasser sa belle, d'un baiser plus long mais avec plus de fougue, cet fougue amoureuse autant que tendre qui l'habitait à chaque fois que leurs corps avaient envie l'un de l'autre, l'eau parcourait leurs corps, comme une robe cristalline qui les enveloppaient d'un instant d'éternité.
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Dim 29 Mai 2011 - 21:24
Qu'y a-t-il de plus doux que d'être avec celle qui éclaire votre vie à chaque heure de la journée? La magnifique russe buvait chaque mot de son aimée avec autant de délice qu'elle buvait à ses lèvres ou goutait sa peau. Le simple fait de la voir, de la sentir contre elle l'apaisait comme rien ni personne n'était capable de le faire. Et même, cet amour là lui donnait envie de toucher à la perfection pour être digne de sa Gardienne. Son cœur était un brasier qui brûlait sans discontinuer depuis leur rencontre. Son âme chantait sans cesse comme portée par un nuage et son corps... son corps réclamait sans cesse sa présence, ses caresses, ses baisers. Chaque minute passées loin d'elle était comme une souffrance qui lui donnait un avant goût de l'enfer que serait de vivre sans elle.

Elle approfondit encore leur baiser, répondant à sa fougue avec la même ardeur. Elle aurait presque pu croire l'adage qui disait qu'on pouvait vivre d'amour et d'eau fraîche en s'abreuvant ainsi à ses lèvres. Tout son être ne vivait à présent que pour ces moments où elles se retrouvaient. Toujours insatiable de l'aimer, toujours éprise de cette envie de la faire sienne, à jamais condamner - Ô doux et tendre joug - à n'être jamais rassasier d'elle. Tout en Tala était pour elle un véritable enchantement. sa douceur et sa tendresse qui la touchait au plus profond d'elle même, son côté sauvage et spontané, sa beauté superbe digne d'une princesse indienne, sa personnalité pleine de mystère et de tellement de qualités humaines... Oui, elle était digne d'être une gardienne à tellement d'égards... Et elle n'en était pas moins femme, bien au contraire. De chair et de sang, de spontanéité, d'humour, de grâce...

Galatéa n'aurait échangé sa place pour rien au monde. Elle lâcha les mains de Tala et prit appui sur le rocher pour se soulever de ce corps qu'elle adorait et le contempla encore. Son regard brûlant de désir glissa sur sa gorge, sa poitrine superbe et déjà dressée de désir, sur son ventre ferme et plat, ses hanches magnifiquement dessinées, ses longues cuisses fuselée et musclées, avant de remonter vers ce visage à l'ovale parfait orné d'un regard d'une profondeur absolue et qui laissait passé tellement d'émotions. Parfois, la louve n'avait pas besoin de s'exprimer autrement. Son regard seul était capable de vous crucifier sur place comme de vous donner envie de la cajoler. Mais ce que la russe préférait, c'était ce que ses prunelles sombres racontaient en cet instant. Son amour, son bonheur d'être avec elle et son désir brûlant, comme un appel à ces échanges charnels et sensuels dont aucune des deux femmes ne se lassaient.

Elles avaient beaucoup parlé, mais même dans les plus simples moments du quotidien, elles avaient sans cesse besoin de se toucher, de s'embrasser et irrémédiablement, elles finissaient par s'aimer. Un long frisson parcouru sa colonne vertébrale quand la main de Tala caressa son dos avant de venir s'attarder sur ses reins puis sur ses fesses musclées et elle ne put s'empêcher de répondre à son sourire qui ne pouvait qu'accélérer les battements de son cœur

Galatéa frémit, sentant son souffle devenir plus court quand elle replia les bras pour retrouver le contact avec ce corps fait pour être aimé et que les lèvres de sa louve vinrent s'attarder dans son cou pour la marquer. Comme Tala, la faim était réellement le terme à employer lorsqu'il s'agissait pour elles de s'unir. Une faim dévorante, instinctive et brutale, qui les submergeait l'une et l'autre au point de les consumer. Quand Tala commença à onduler son bassin, frottant son intimité à la sienne et agrippant ses fesses avec une envie impérieuse, le feu se leva en elle comme un ouragan et son regard océan qui plongea dans le sien brilla d'une étincelle violente de désir. Ne me fais pas languir, avait-elle dit? La russe avait envie d'elle à un point qui ne souffrait aucunement l'attente.

"Te faire languir? Pour cela il faudrait que je maitrise mon impatience de te faire l'amour, ma vie, mon âme... Mon amour pour toi est tel qu'il me rend avide de toi sans cesse, insatiable.. Et me retenir est tout simplement impossible!"

L'eau fraîche qui baignait en partie leurs corps n'apaisa en rien le volcan qui la submergea quand leurs bouches s'unirent encore une fois. Elle s'empara de sa langue pour en aspirer l'eau à laquelle elle aimait s'abreuver avant toute autre. Elle la délaissa ensuite pour venir parsemer de baiser sa gorge, puis ses seins dressés de désir, s'attardant sur leur pointe un instant. Sa langue tourna, agaçante autour de chaque sommet avant de venir les lécher. Elle les mordilla alors et les aspira avec délice. Ses mains étaient venues pétrir doucement ces deux globes magnifiques, pour ajouter au plaisir de la louve puis descendirent ensuite caresser ses flancs, ses hanches et son ventre, très vite rejoints par une bouche avide de gouter à chaque parcelle de cette peau sombre et douce.

Chaque soupir et gémissement de Tala était une merveilleuse musique à ses oreilles et la guidait dans ses caresses. Elle descendit encore, presque entièrement recouverte par l'eau qui arrivait à la limité de l'intimité de sa douce princesse. Ses mains caressèrent avec subtilité l'intérieur de ses cuisses et les écartèrent pour qu'elle puisse mieux contempler l'objet de son appétit. Elle en approcha son visage, agaçant doucement de son souffle chaud la surface de cette vallée brûlante. Puis elle partie à sa découverte, glissant sa langue sur ses reliefs, amoureusement, sans en oublier une seule parcelle. L'agile visiteuse trouva l'entrée du temple tant convoité et s'y insinua, se gorgeant du nectar dont chacune des parois étaient recouverte. Les réactions de la louve lui dictait d'offrir plus encore à sa gourmandise et bientôt, elle lança à la conquête de cet édifice humide, trois cavaliers conquérants. Ils pénétrèrent aussi loin que possible, avec fougue et dextérité, le lieu conquit et la main qui les guidait entama une danse déjà connue et ardente, destinée à combler sa princesse. Sa bouche s'était, entre temps, emparé du joyau palpitant et s'en repaissait avec délectation, le polissant, le mordillant, aspirant son essence encore et encore, avide, presque brutale parfois et douce à d'autres moments mais toujours affamée.

Aimer Tala était pour Galatéa un plaisir qui n'avait pas de nom. La sentir s'offrir à elle, se donner sans réserve, lui donnait sans cesse envie de sublimer chaque geste pour l'amener là d'où elle ne voudrait pas redescendre. La louve était son addiction et elle voulait que la réciproque soit vrai. Nulle autre qu'elle. C'était surement égoïste, mais elle était prête à sacrifier son être tout entier pour garder cet amour là éternellement. Aussi, voulait-elle faire de chaque instant passé avec elle une exception fabuleuse et de chaque étreinte charnelle une fabuleuse expérience des sens. A l'inverse, elle s'offrait à Tala avec la même passion qu'elle mettait à la combler entièrement. Comme si elle compensait ainsi de ne pouvoir fusionner totalement avec elle, dans un même corps, un même esprit.
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Ven 10 Juin 2011 - 4:00
Son corps ne tardait jamais à se mettre en condition quand il s'agissait d'être aimé, surtout si c'était des mains de sa compagne, son corps avait connu beaucoup de caresses, des traces qu'on laisse, certaines qu'elle avait chéris, d'autres qu'elle effacée et certaines oubliés sans l'ombre d'un remord. Et pourtant...tout cela c'était comme envolé, lavé pour ne retranscrire sur sa peau que celle de Galatéa, comme si son corps n'avait été qu'une toile vierge ou tant de peintres avait voulu y graver leurs couleurs mais n'avait jamais pu la rendre vivante. Elle avait attendu que son vrai peindre lui donne ses véritable couleurs, ses plus belles, pour la rendre entière et révéler toute sa magie. Mais il n'y avait pas que son corps qui avait connu un choc, son âme aussi, s'aimer était la plus belle des choses, mais leurs moments du quotidien avait tout autant contribué à resserrer leurs liens déjà solide, savoir ce qu'aimait l'autre, les petits moments de rire, de gêne, d'inquiétude quand sa compagne se faisait une blessure toute petite ou plus grande, Tala s'inquiétait toujours au moindre signe de souffrance de Galatéa, c'était un faite, elle supportait difficilement de voir sa compagne souffrir. Tout ses moments, elle les chérissait comme un précieux trésor, comme une lumière qui repoussait les ténèbres les plus noire et les plus dévorantes, ses démons c'étaient fait silencieux et c'était bien mieux ainsi.

Si sa Néréide c'était décollée d'elle pour la contempler, Tala ne s'en priva pas non plus de faire de même, à chaque fois qu'elle l'aimait, elle lui semblait redécouvrir ce corps qu'elle adorait. Sa peau d'un rosé si pure et satiné, ses courbes tout en finesse et en contraste, ses seins galbés aux boutons de rose durcit par le désir. Son ventre chaud qui bougeait imperceptiblement au rythme de son souffle, ses cuisses élancées et nerveuse ou elle aimait y promener ses doigts, ses cuisses qui cachait son jardin intime dorée. Elle remonta à son visage aussi et croisa ce regard qu'elle aimait tant, ses yeux d'un océan magnifique qui semblait dire autant de chose que ses émotion s'y laissait paraître. Il pouvait d'un bleu azur aussi pure que le ciel quand elle était joyeuse, d'un bleu aussi intense qu'un ciel étoilé quand elle la regardait avec amour et passion, d'un bleu orageux aussi tumultueux qu'une mer déchainée quand elle était en colère, aussi mordant que la glace qui dissuadait beaucoup de gens. Elle aurait pu continuer longtemps à dépeindre ses nuances dans ses yeux, c'était comme regarder son âme à travers le regard, après tout il est dit que les yeux sont le reflet de l'âme, c'était si vrai pour Tala.

Pour réponse à son appel, Galatéa lui répliqua que son envie de l'aimer de souffrait aucune attente, dieu qu'elle aimait son esprit ! Ses jeu de mots, sa façon sensuelle d'amener les choses et de les voir aussi, son intelligence qui aiguisait la sienne, cultivée et raffinée, leurs conversations nourrissaient leurs âmes, s'amusant de leurs piques, de leurs passes, la verve impétueuse de Galatéa s'entrechoquait avec éclat à ses répliques fougueuses. Oui plus elle la connaissait, plus elle s'attachait à elle irrémédiablement.

'' Je n'en attendais pas moins de toi, aime moi comme l'envie de t'aimer ne souffre pas d'attente ''

Leurs corps en ébullition n'attendait que cela, et Galatéa franchit le premier pas l'embrassant de ses lèvres ourlée à la saveur chaque fois renouvelée. Puis en cajolant sa poitrine déjà en condition par les caresses déjà posé sur son corps, ses monts sombre était dur et vibrant de désir et gémit à la bouche et aux doigts qui s'en occupaient si bien, glissant ses propre doigts dans la chevelure dorée, l'encourageant à continuer. Des frissons ce déclenchèrent par vague en sentant ses seins ainsi masser et ses monts aussi mordillés et aspiré, la progression continua sur son ventre, ses flancs suivit d'une langue avide de sa peau, faisant cambrer ses reins à cause des violents frissons qui claquait comme des choc électriques dans son ventre brûlant. Ses cuisses furent flattées à leurs tour et il n'en fallu pas plus pour qu'elle s'ouvre avec joie à la demande sa compagne, son puits d'amour libérait doucement son eau qui fut titiller par le souffle chaud, faisant vibrer une fois de plus Tala. Et puis, la langue sensuelle et joueuse parcouru ses pétales, n'en oubliant pas une parcelle pour s'insinuer ensuite dans se volcan en irruption, chaque parois fut touchées et visitées augmentant les gémissements de la louve qui avait un sourire de bonheur aux lèvres, c'était si bon et chaque fois elle semblait renaître. Ses mains se posèrent alors sur la tête de Galatéa et appuya doucement pour l'inciter à continuer plus intensément encore et cela ne fut pas long à venir. Trois jardiniers vaillant venu dans son jardin la faisant cabrer encore plus ses reins et ses gémissements redoublèrent d'intensité, très vite les cavaliers furent trempés, ses seins bougeait légèrement au rythme des va et viens qu'elle sentait fougueux, des gouttelettes d'eau coulait le long de ses cuisses, de son ventre et de ses seins, ajouter ses joues empourpré elle donnait une image des plus érotique. Sa perle avait un traitement des plus affolant, tantôt cajolée, tantôt brusquée pour l'apaiser avec des caresses plus tendre. Des perles de plaisir apparu aux coins de ses yeux, elle n'allait pas tenir à ce traitement si délicieux. Tala amena alors le visage de sa belle en face du sien pour un long baiser langoureux, caressant sa poitrine avec envie, ses sens échauffé à l'extrême. Sa main venu caresser son ventre avec délice avant de s'attarder sur sa fleur dorée et de commencer à la caresser pour l'habituer à ses doigts récoltant le liquide brûlant.

'' En effet, tu est très impatience pour vouloir me faire monter au 7 ème ciel aussi rapidement ! ''

Son ton était taquin et malicieux, elle lécha son cou et lui imposa un autre suçon pendant que deux abeilles venaient butiner l'intérieur de sa fleur dans de long va et viens amoureux. C'était ainsi, leur envie de s'aimer pouvait venir soudainement, l'envie pressente de se satisfaire l'un de l'autre, et d'autre fois, c'était à la suite d'un long jeu des sens et de sensualité que leurs corps implosait, chaque acte d'amour était une autre pièce, une autre danse, une autre union mais avec toujours le même thème, leur amour incandescent.
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Tala Valerius
Âme, Corps et Esprit d'Etiopienne ♞
Tala Valerius
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Tala Valerius
Ven 10 Juin 2011 - 12:43
Galatéa était au nirvana. Jamais elle n'avais ressenti autant de plaisir à aimer et chaque fois, redécouvrir ce corps magnifique était une jouissance, qui en elle même, la comblait autant que lorsqu'elle offrait le sien à Tala. Elle se sentait comme Aphrodite tenant les rênes de l'Amour, donnant à chacun de ses gestes une direction précise qui amenait son aimée à tressaillir, gémir, défaillir sous ses attentions. Elle aimait être maîtresse des sens de sa louve, suscitant chacune de ses réactions avec un art consommé et l'envie de la rendre totalement sienne. Ses mains habituées à tenir une arme autant qu'à sculpter l'argile savaient être fermes et douces à la fois. Elle aurait pu dessiner ce corps de mémoire tellement elle en connaissait le moindre détail et pourtant, c'était toujours comme un renouvellement, une redécouverte.

Le goût de sa peau sous ses lèvres, de sa féminité sur sa langue qui ne cessait de cajoler le cœur de cette fleur qu'elle adorait cueillir, son odeur boisée et fraîche de gardienne de la forêt, son parfum légèrement musquée de Louve ; tout concordait à affiner ses propres sens et à allumer en elle un volcan qui ne serai jamais assouvi. Elle savait que malgré le mélange fréquent de leur corps, malgré cette danse qui semblait inévitablement ponctuer chacune de leurs journées, la simple évocation de son nom, de son visage à son esprit lorsqu'elle n'était pas là, attisait son désir plus surement que toutes les caresses du monde. Elle regrettait presque, parfois, de n'être qu'humaine. Elle aurait aimé avoir la puissance d'une déesse pour pouvoir l'aimer sans discontinuer, ainsi, durant des siècles.

Mais, ne vous méprenez-pas. Ce qui attisait le feu en elle n'était pas que charnel. Non. Elle aimait tout en elle. Son âme autant que son corps. Mais lui faire l'amour était un aboutissement. Une manière certaine d'être au plus proche de celle qu'elle aimait puisqu'elle ne pouvait totalement fusionner avec elle, en elle, autrement. Aussi goûta-t-elle à loisir de ses mains et de sa bouche chaque parcelle de celle qui enchantait sa vie. Aussi profita-t-elle de chacun de ses soupirs, de ses cris et gémissements, de chacun de ses tressaillements et frémissements, comme on se désaltère du nectar des Dieux jusqu'à plus soif, comme on se nourrit à la corne d'abondance jusqu'à en être rassasié.. sans jamais vraiment l'être..

Tala se prêta à ses attentions et elle la guida avec ferveur, mais avant d'atteindre l'ultime plaisir, la louve la ramena vers elle, l'obligeant à venir gouter à ses lèvres pleines et savoureuses, unissant son corps au sien comme si leurs peaux se réclamaient. Elle se laissa faire, dévorant cette bouche affolante avec un désir décuplé par le feu qui ravageait son propre ventre à vouloir la combler ainsi. Elle nota les perles de plaisir au coin de ses yeux et retint un sourire. Sa louve, elle le savait, appréciait qu'elles atteignent les cieux en même temps et elle l'avait menée proche de l'apothéose un peu vite. Elle amena sa langue à la rencontre de la sienne, prolongeant leur baiser et acceptant de se soumettre à ses caresses, la laissant la combler à son tour, assez pour la rejoindre dans sa montée vers la jouissance ultime. Elle lui tendit sa gorge qui s'orna d'une autre marque et s'ouvrit à sa main qui s'était glissée sur son intimité.

"Mon impatience est à la mesure de l'amour que je te porte, ma douce. Et elle est incommensurable. Tu es à ce point désirable que je ne peux résister à l'envie de te combler..." Lui chuchota-t-elle à l'oreille, mutine, en laissant échapper un gémissement lorsqu'elle sentit venir en elle deux habiles jardiniers qui commencèrent à butiner sa fleur épanouie et regorgeant de nectar.

Un long frisson s'éternisa de sa nuque à ses reins et elle se souleva légèrement, ramenant un peu ses genoux pour rester à quelques centimètres d'elle, et s'ouvrir encore pour se couler plus profondément sur les cavaliers en elle, réclamant qu'elle la comble, impatiente aussi de son propre plaisir. Les reins cambrés, le bassin ondulant à l'unisson du rythme donné par la main de Tala, elle invita de nouveau sa main à elle, à visiter le Temple ô combien accueillant de son aimée, multipliant les cavaliers et les obligeant à s'attarder là où elle savait déclencher le plaisir, le long de ses parois chaudes et humides. Son pouce revint flirter sur le diamant encore sensible et son corps entama une valse qui faisait se frôler, se caresser avec douceur, leurs mamelons durcit de désir.

Elle se pencha vers elle, plongeant son regard éperdu de passion dans le sien et haletante, passant une langue joueuse sur ses lèvres dans un geste d'invite, elle ajouta dans un souffle alors que le plaisir montait crescendo en elle.

"J'ai envie de te voir jouir, mon amour. Que ton regard se perde dans le mien alors que nous atteindrons ensemble le firmament. J'aime te voir perdre tout contrôle et savoir qu'en ces instants, nos âmes ne font qu'une... Viens.. Laisse-toi aller... Je t'aime. Je t'appartiens pour toujours."

Le volcan qui s'était réveillé bien avant, dés l'instant où elle avait commencé à la combler, entra en éruption et un ouragan de plaisir la saisit, agitant son ventre sous de puissantes vagues dont elle retint le flux jusqu'à lire dans le regard sombre de la Louve le même déchainement. Son cri se mêla au sien et son corps retomba en douceur sur le sien, exultant encore pendant qu'elle se refermait sur les cavaliers en elle et qu'elle sentait se resserrer sur les siens, le Temple agité de sa compagne. Sa bouche vint capturer la sienne, scellant leur union dans un baiser chargé de passion et d'amour. Enfin, elle se laissa totalement aller, la libérant et nicha son visage dans son cou. Son cœur battait à tout rompre et elle le calma doucement, à l'unisson de celui de Tala, reprenant son souffle.

"Je t'aime... Ô Dieux, comme je t'aime!... Plus que ma vie." Murmura-t-elle contre sa peau.
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Dim 19 Juin 2011 - 3:43
Elle ne pouvait s'empêcher d'être heureuse en cette instant, comme si un grain de bonheur c'était immiscé dans son cœur et c'était logé au plus profond d'elle et qui ne semblait pas vouloir partir. Ce grain de lumière, elle avait l'impression que c'était Galatéa qui l'avait insufflé à leur premier baiser, peau contre peau, elle en frémissait de plaisir rien que de la savoir contre elle, mais tremblait de tout son être de se sentir si combler dans son jardin secret, de cette valse de douceur et de brutalité qui caractérisait son amour dans ses caresses, des caresses qui ce faisait tantôt sensuelle, pour être impérieuse ensuite, douce comme une plume, pour ce faire violente de passion la minute suivante. Cette palette si diversifiée qui ne laissait jamais son corps le temps de se lasser, Galatéa avait un don avec ses mains, ses mains qui savait tenir une arme autant que se prêter à divers loisirs plus doux et gracieux. Elle savait si bien répondre aux appels de son corps, comme si elle sentait ce dont elle avait besoin, leurs corps n'avaient plus de peine à se chercher, mais c'étaient compris, dans une osmose parfaite. Tala aimait sentir Galatéa jouir contre elle, sentir son corps en émoi, tendu comme une corde d'arc face au plaisir qui la ravageait, entendre sa voix si pure crier sa jouissance, sentir sa fleur si moite à ses caresses, c'était le plus délicieux de ses plaisirs. Pour le moment, elle ce regorgeant de cette bouche qui dévorait la sienne, s'en délectant de sa langue si douce et sensuel, mais plus encore de sentir la fleur de sa belle s'ouvrit à sa main désireuse de la combler, de la faire monter dans son plaisir pour atteindre le sien. Galatéa s'expliqua sur son impatience, ce qui fit sourire l'indienne.

'' J'adore ton impatience, qu'il ne s'arrête pas d'être attiser, je ressent ton amour partout en moi, c'est l'essentiel ''

Tala eux un sourire amoureux, ses yeux remplit de tendresse, mais sa peau frémit à ses gémissements quand elle commença à visiter l'antre brûlante de sa Néréide, un éclat farouche s'alluma dans ses prunelles, celle d'une passion qui ne souffrait pas d'attendre, car son propre plaisir arrivait bientôt à sa limite. Devant ses yeux émerveillée, elle vit et sentit le corps de sa belle s'animer, ses doigts s'enfoncèrent plus profondément dans ce puits humide, le corps qui la chevauchait qui semblait entamer une danse langoureuse et puissante qui mettait ses sens dans une excitation extrême. Son propre corps aussi était secouer de spasme du au plaisir qui la ravageait encore intensément, Galatéa savait exactement ou s'attarder pour monter son désir à son paroxysme, la louve noire multiplia elle aussi les doigts dans sa compagne, comme répondant à l'appel lancé. Ses gémissements redoublèrent d'intensité, son corps tremblait de toute cette intensité, empourpré de plaisir et de bonheur que leurs poitrines se frôle et ce caresse, rajoutant à son plaisir. De sa main libre, elle ne put s'empêcher de venir caresser la délicieuse poitrine qui s'évertuait à la taquiner, à la satisfaire de la plus douce façon qui soit, massant un sein, titillant le tétons durcit, pour aller ensuite agacer l'autre, elle aimait tant s'occuper des seins de sa belle, avec ses yeux c'était le deuxième endroit ou elle aimait poser son regards, bien qu'elle aimait tout en elle, elle s'attardait souvent dans ses caresses vers sa belle poitrine. Cependant son regard était capturé ailleurs en ce moment, plongé dans les abysses de sa Néréide, quand au sien il était teinté d'un émoi grandissant, car elle arrivait bientôt au point culminant de son plaisir. La langue taquine qui flattait ses lèvres fut capturée par celle ci et suçotée avec envie puis relâcher dans un bruit de sussion, elle aimait sa langue pleine et fruitée, et l'invitation était trop tentante, ses sens trop exacerber pour ne pas y céder avec fougue. Mais déjà, elle ne contrôlait plus rien, accélérant ses va et viens dans la fleur de son aimée, elle voulait jouir avec sa compagne, entendre sa voix s'unir à la sienne, leurs corps ce tendre l'un contre l'autre sous le joug de l'ouragan qui allait les ravager, sentir sa fleur déverser son nectar brulant sur ses doigts, le dernier acte du théâtre de leur amour qui s'unissait. La belle russe l'avait sentit et lui dit ses mots d'amour qui chavirait toujours son cœur, si sensible à sa voix cristalline quand elle parlait d'amour.

'' Galatéa, je viens...ton amour me fais chavirer, viens avec moi ma lune. Ton âme, je la garderai toujours précieusement, car la mienne t'es tout autant offerte ''

La louve noire eu un sourire remplit d'émotion, caressant de sa main libre le visage de sa belle, comme un besoin vital de le faire et bientôt une lame de fond ravagea son ventre, son cri de jouissance ce mêlant à celui de Galatéa, dans une voix à l'unisson. Les vagues ce succédèrent en elle , faisant tressauter son corps comme si il était parcouru de coups d'électrisé, son corps tendu finit par ce calmer et sa fleur palpitante emprisonner doucement les cavaliers en elle. Reprenant son souffle, elle ressentit un bien être à savoir sa compagne contre elle et en soupira doucement d'aise et accueillit avec amour ce baiser qui cueillit sa bouche, fermant les yeux pour mieux l'apprécier, une perle de plaisir roula le long de sa joue, elle enlaça son cou et accompagna son visage contre son cou. Elle écouta ce qu'elle avait à dire, et tiqua un peu, non sa vie lui était précieuse, infiniment sans elle, la sienne se terminerai aussi, elle le savait au plus profond d'elle.

'' Ne dis pas cela Galatéa, ta vie est mon souffle vital, sans toi c'est mon âme qui meurt. Ne sous estime pas ainsi ta vie, je t'en prie ''

L'indienne la serra doucement contre elle, elle ne supporterai pas de la perdre, de la voir disparaître de sa vie, lors de leur première nuit ensemble, elle avait eu du mal à trouver un sommeil reposant, surveillant toujours que sa belle soit la, contre elle on à proximité. Au fil des jours, la peur de ne pas la voir à son réveille avait disparu, Galatéa avait su la mettre en confiance, la rassurer et mettre ses peurs au placard. Sa main caresse ses cheveux d'or puis son dos, baisant amoureusement son épaule, son cou, sa joue pour finir par faire tout son visage, oui elle était sa lumière, si elle sombrait, elle sombrerai avec.

'' Tu est ma vie, ma dame la lune, celle que je ne trahirait jamais, alors prends grand soin de ta vie, car la mienne y est lové ''

Un bruit bientôt attira l'attention de Tala, cela venait de la maison, un objet semblait avoir percuter le sol sans douceur, ce rappelant que son petit loup y était, quelques inquiétudes légère apparurent en elle car si elle se fiait au bruit, c'était une chaise qui était tombée.

'' Ma belle Galatéa, es que certaines de tes surprises seraient par le plus grands des hasards sur la table ? Car je crois que mon petit loup trouve la chose très intéressante et essaye de grimper sur la table. ''

Son ton était léger et joyeux, sa curiosité était revenu au grand galop, elle ne savait pas encore de quoi retournait les surprises, mais était soudain impatience de savoir ce que lui avait préparer sa belle.





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Tala Valerius
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Dim 19 Juin 2011 - 15:29
Comme toujours, se retrouver ensemble dans le plaisir avait été un fantastique bonheur. Elle savoura ces instants d'après qui les laissaient chaque fois apaisées et emplies de plénitudes. Elle n'aurait échangé cette place là pour rien au monde. Elle chercha sa main pour entrecroiser ses doigts avec les siens et caressa du pouce le creux de sa paume. Elle avait encore du mal à croire à cette joie qui l'envahissait chaque fois qu'elle pensait, qu'elle touchait, qu'elle était avec Tala. Sa Gardienne. Pas seulement celle de la forêt, mais celle de son cœur, de son âme, de tout son être. Et plus les jours passaient, plus leurs liens se resserraient. Elle sourit à l'entendre répondre à son commentaire.

"Je ne la sous estime pas, crois-moi. Mais j'entendais par là, comme toi, que mon existence dépend à ce point de la tienne que je ne l'imagine pas sans toi."

Elle se redressa pour plonger son regard, de nouveau, dans le sien et lui effleurer les lèvres, joueuse.

"Ce que j'éprouve est tellement...intense... que j'ai parfois l'impression que nos corps de chairs et nos mots sont insuffisants à l'exprimer."

Le bruit qui venait de la maison la ramena à la réalité assez soudainement et un peu à regret. mais l'idée de la surprise qu'elle avait préparée lui amena un sourire espiègle... Si toutefois le louveteau ne la gâchait pas!

"Oh! Oui... Viens!"

Soudain inquiète et prise d'une soudaine urgence, elle glissa dans l'eau, attirant sa belle dans ses bras. Elle était assez costaud pour la porter et de plus, elle était absolument légère avec la portance de l'eau. Elle en profita pour l'embrasser dans le cou en la ramenant sur la rive avant de la déposer.

"Viens!" Réitéra-t-elle en lui prenant la main pour la tirer en courant vers la maisonnette. Elles y arrivèrent en quelques secondes et Galatéa faillit exploser de rire en voyant le louveteau les quatre pattes en l'air, sur le sol, venant de chuter pour la énième fois de la table où il avait cherché à grimpé. Son air piteux, ses . gémissement plaintifs eurent raison de son inquiétude quant à leur diner. heureusement, il n'y avait sur la table que quelques amuses-bouches. Elle avait réservé la viande au four et celle-ci serait réchauffée avant d'être mangée.

Elle se demanda si Tala remarquerait qu'il y avait eu du changement. Car tout avait été rangé et aménagé de manière à agrandir un peu la pièce pour y diner dans une atmosphère agréable.

Elle se tourna vers elle et l'attira contre elle pour l'embrasser.

"Maintenant que nous avons satisfait un de nos appétits, peut-être seras-tu d'accord pour passer à la suite... Mais la vrai surp^rise est, je crois, pas sur la table, mais dans tes placards.."

Placards où elle avait rangé, au côté des siennes, ses propres affaires. Il y avait aussi le mot, bien en évidence sur la table près de l'assiette de Tala. Elle se demandait si elle allait directement courir à son armoire ou lire d'abord le mot... Elle ne doutait pas de sa surprise, ni de son assentiment et de sa joie, mais, malgré tout, dans ces moments là, on ne peut s'empêcher d'avoir une certaine appréhension.
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Mer 13 Juil 2011 - 2:34
Deux vies qui ne peuvent ce séparer, deux vies si précieuses pour l'un comme pour l'autre, deux vies...et un seule destin mêlé, Galatéa lui fit bien remarquer cette état de faite, sa vie autant que la sienne était précieuse et ne souffrait pas d'en être éloigné. Tala eu un étonnement léger avant de sourire et de plonger son regard encore une fois dans celui de sa belle qui en avait fait autant, s'y perdre encore jusqu'à l'excès. Les lèvres taquines titillait les siennes, la louve noir du ce retenir pour ne pas l'embrasser et la laisser continuer sur sa lancée. Elle approuvait le ressentiment de sa compagne, des sentiments si fort qu'il est impossible de les exprimer par des mots, avoir la sensation qu'aucune parole n'est assez vrai, assez juste pour décrire ce qu'elles vivaient toute les deux, leurs caresses, leurs étreintes aussi passionnée soit elle leurs laissait parfois un léger goût d'insatisfait, comme si leurs âmes réclamait une fusion plus complète encore.

'' Tu n'a pas besoin de l'exprimer, je le ressens. ''

Son petit loup fut l'aiguille qui creva leur bulle pour ainsi dire, mais Tala n'était pas déçu tout emportée par sa curiosité, regardant Galatéa comme une enfant qui tout excité d'un cadeau qu'on veux lui faire. Sa compagne soudain inquiète pour sa surprise, plongea dans l'eau en attirant Tala dans ses bras, cette dernière ce laissa faire, étonnée du soudain empressement de sa belle, à croire que Kosumi pouvait réellement être un danger pour l'entreprise de sa compagne. Elle pris cela avec amusement, soupirant d'aise au baiser dans son cou avant d'être déposée sur la rive et tirer vers sa maison, elle ria doucement, amusé de l'attitude de sa Néréide. En entrant, elle vit alors son petit loup en piteuse posture et gémit en regardant sa maman louve.

'' J'ai faim...sa sent bon et je peux pas manger...''

'' On dirais que tu n'a pas mangé depuis des jours petit ventre sur patte ''

'' C'est nécessaire pour être un loup fort et vaillant ''

'' Ben voyons ''

Tala attrapa trois amuses gueules et les posa au sol, Kosumi se jeta dessus comme un affamé, la louve noire ria doucement de voir son petit glouton ainsi à l'œuvre. Cependant elle remarqua bien vite que la pièce semblait plus grande, mieux aménager, son regard de nuit s'arrêta alors sur la lettre et la pris doucement, lisant le texte. Son cœur manqua un battement sembla t il, la seconde qui passa semblait s'écouler aussi lentement qu'une minute entière, ses yeux semblaient relire plusieurs le texte comme si l'esprit voulait s'en convaincre, ce dire que ce n'était pas un rêve. Lentement, elle alla dans sa chambre qu'elle partageait maintenant avec sa compagne et ouvrit les placards, des vêtements qui n'était les siens occupaient une partie de l'armoire. Tala avait une attitude silencieuse, calme, trop peu être, ce reculant un peu comme pour contempler ce qu'elle avait sous les yeux, que ce passait il dans sa tête ? Alors que son visage semblait ne rien paraître de ses sentiments, aller savoir. L'indienne revenu alors doucement dans la pièce précédente et regarda Galatéa, son regard semblait étonné, de ses yeux semblable à cet instant à celui d'un enfant surprit, mais doucement ses lèvres s'étirèrent pour un sourire joyeux et en deux enjambée fut près de son âme sœur et la souleva de terre, en la faisant tourner avec elle dans un rire enjoué.

'' C'est irréel ! Suis en train de rêver ? Pourtant je te tien, dans mes bras, tu ne pouvais pas me faire plus précieux cadeau ! ''

La reposant au sol, elle l'embrassa alors d'un baiser fougueux et tendre à la fois, d'amour et de passion mélangée, Galatéa allait désormais vivre totalement ici, plus d'aller et retour entre sa chambre et sa maison, vivre ensemble, totalement, c'était un bonheur complet au cœur de Tala qui s'imaginait combien les jours qui viendraient lui serait doux. Rompant le baiser, elle caressa le visage tant aimé de sa compagne.

'' Je suis si heureuse, ma maison à toujours été la tienne, j'avais espérée que tu vienne emménager ici mais, je ne voulais pas de bousculer, laisser prendre ton temps. Je t'aime, je ne cesserai jamais de le dire car je manque de mots pour exprimer ce que je ressent. La nuit que je suis est maintenant complète, la lune ainsi lovée chez moi ''

Elle déposa une myriade de baiser sur les lèvres, les joues, le cou et les épaules de sa belle, se regorgeant de sa peau, de son parfum, de sa présence, pas besoin de paradis, de Nirvana ou autre, son bonheur, elle le vivait à cet instant précis. Son petit loup lui, avait un autre bonheur à satisfaire, grattant le dite four, sentant la bonne odeur de viande s'en échapper.
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Ven 22 Juil 2011 - 18:41
Tala avait suivi Galatéa avec joie et la russe sentait son cœur battre à tout rompre à la fois de plaisir et d'inquiétude. Aimerait-elle qu'elle ait pris possession des lieux sans l'avertir? C'était une question qui la taraudait depuis le départ, même si elle était consciente de l'amour de la louve pour elle. D'ailleurs, elle venait une nouvelle fois de confirmer qu'elle ressentait pour elle la même chose que ce qu'elle-même ressentait. On est jamais dans la tête de l'autre et il est normal , donc, d'avoir de telles questions même si on sait d'avance la réponse. Elle se laissa aller à rire en voyant le louveteau dépité et ses essais infructueux pour atteindre la table. Tala et lui semblaient avoir entamer une discussion secrète et elle les laissa faire. Elle regrettait parfois de ne pas parler "Loup".

L'ex-agent secret observa le visage de son aimée alors qu'elle découvrait la lettre. Puis elle la laissa aller voir dans l'armoire de la chambre. Son visage ne trahissait pas ses pensée, en dehors d'un étonnement évident. Ce silence la mit un peu mal à l'aise et elle se dandinât sur ses jambes. Bon sang! Elle la faisait mariner et elle n'aimait pas ça. Mais tala était ainsi, les choses avaient besoins de tourner dans son esprit un moment avant qu'elle finisse par montrer ce qu'elle ressentait. Mais le changement était important et l'attente la mettait au supplice.

Enfin, Tala revenue dans la pièce, posa son regard sur elle et esquissa un sourire avant de la rejoindre et de la prendre dans ses bras pour la faire tourner en riant. un énorme poids se retira des épaules de Galatéa. La louve exprima sa joie et la russe y répondit en riant à son tour.

"Tu ne rêves pas. Et c'est toi qui me fais un cadeau en acceptant. je t'aime et je veux vivre avec toi.. Vraiment."

Elle accepta volontiers le baiser en y répondant avec la même passion. Si son cœur battait encore à tout rompre, c'était simplement d'amour et de joie. Pour la première fois de sa vie, elle se sentait chez elle. pas qu'à Etiopia, mais là, dans la demeure de celle qui partageait déjà sa vie. La petite fille devenue adulte qui n'avait jamais vraiment eut de foyer avait enfin son havre et quelqu'un avec qui le partager. Son regard clair se perdit dans celui, plus sombre, de sa compagne. Chaque joue passé avec elle était un don du ciel inespéré et presque irréaliste. Les mots qui suivirent ajoutèrent encore à son bonheur.

Avec douceur, elle posa une main sur la nuque de l'indienne, l'autre sur sa taille et la serra contre elle, se laissant aller à ses multiples baisers. Elle aimait l'aimer et être aimée d'elle plus que tout autre chose. Ses lèvres effleurèrent sa joue et descendirent sur son cou alors qu'elle murmurait.

"Moi aussi je me sens complète avec toi. Et je veux te savoir près de moi. Te trouver à mes côté le matin à mon réveil, te tenir dans mes bras la nuit, te faire l'amour chaque jour que Dieu fait et te dire à quel point je t'aime. Voir naître sur ton si beau visage ce sourire qui me touche et me noyer dans ton regard chaque fois que je le peux. J'aime tout de toi. Ton rire, ton sourire, tes peines, tes peurs, tes certitudes aussi. J'aime ta peau qui frissonne au contact de la mienne, tes lèvres qui caressent les miennes et que j'ai envie sans cesse de dévorer. Ta voix qui me murmure des mots tendres et m'apaise aussi. Chaque parcelle de ton corps et chaque partie de ton âme. Tu es ma louve. Tu es ma vie. Tu m'as donner un nouveau souffle."

Elle remonta prendre sa bouche avec délectation alors que le louveteau signalait qu'il était surement tant de passer à table. Elle ajouta en lui effleurant un sein avec douceur.

"J'espère que mon repas va te plaire, mon amour. Même si la faim qui me taraude nécessiterai plutôt la chambre... Mais je crois que lui ne serait pas tout à fait d'accord!"

Elle sourit, en désignant le petit loup et en s'éloignant de Tala, l'invitant à s'asseoir à la table. Elle la regarda prendre place avec la grâce animale qui la caractérisait et ravivait chez Galatéa un désir qui semblait ne jamais devoir cesser. L'estomac de la russe gronda, la rappelant qu'il fallait aussi nourri leurs corps d'une autre manière pour survivre.

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Mer 27 Juil 2011 - 17:44
Pas un rêve...Tala semblait pourtant en vivre un, un rêve qu'elle avait souvent imaginée quand elle sombrait dans son désespoir, quand elle souffrait trop, elle c'était imaginée ce genre de vie. Etiopia avait entendu cet appel ? Avait deviné ce qui pourrait la combler ? Tala pouvait croire à tout, n'espérant que jamais ce monde ci, lui enlève une deuxième fois un être chère, car cette fois ce serait tuer son âme avec. Sa Néréide allait dorénavant vivre pleinement avec elle, plus d'absence à cause de vêtements à rapporter, la dernière barrière était tombée, la dernière raison de se séparer à part leurs '' métier '' respectifs. Bien sûr, chacun avait ses amies, ses passions, être loin l'une de l'autre arriverait forcément mais avec la promesse de toujours ce revoir le soir même, pour Tala c'était l'aboutissement d'un vrai couple. Ce laissant aller aux baisers de sa compagne, elle soupira de plaisir, de bonheur aussi, avoir sa partenaire qui vivait avec elle était la stabilité qu'elle recherchait autant pour Galatéa que pour elle même. Sa compagne était née orpheline et n'avait jamais connu de véritable chez soi, étant trimbalée de partout depuis son enfance, en venant habiter ici, elle trouvait enfin un vrai foyer, que jamais sa louve ne pourrait lui enlever.

Ronronnant presque de plaisir aux caresses des lèvres de sa Néréide dans son cou, frissonnant d'un plaisir qui devenait à fleur de peau. Cependant, ce fus sont cœur qui trembla, des mots qui résonnait aux plus profond d'elle, qui la décrivait aux yeux océan de sa compagne. Oui, Tala acceptait tout aussi, voulait tout de sa belle, ses souffles, son sourire, ses larmes, sa chaleur, ses rires, tout...tout ce qui faisait qu'elle était elle, son âme sans condition et son corps avec passion.

'' Que de phrases enflammée, je me sent presque rougir. Je suis heureuse d'être l'objet de ton bonheur, tout ce que tu as dis, je le pense aussi pour toi mais...en beaucoup plus fort ! ''

Tala aimait taquiner sa belle en ce targuant de l'aimer plus fort qu'elle, bien sûr, elle savait que leur amour était tout aussi puissant et enflammée l'un que l'autre. Leurs âmes n'avaient pas besoin de ce prouver qui aimait le plus l'autre, parce qu'ils formaient un tout. Le baiser fut accueillit avec sensualité, capturant la première les lèvres fruitées et en gouta la saveur acidulé. Kosumi leur rappela alors les deux amoureuses à l'ordre en disant que sa faim ne pouvait plus attendre. Quelle impatience ! Tala ce promit de lui apprendre à l'être, dans sa vie d'adulte, si il ne pouvait être patient, cela allait lui jouer de bien vilain tour. D'ailleurs celui si ce sentant concerné par les paroles de Galatéa regarda le couple, la queue qui battait frénétiquement et donna un fort aboiement.

* Je ne sais pas ce qu'elle dit, mais j'ai l'impression qu'elle comprends que j'ai faim ! *

* Mais oui tu va manger *

Le petit retourna près de sa maman louve, cette dernière le caressa doucement, le grattant derrière l'oreille qui eu le don de lui faire bouger la patte arrière avec vivacité. Entendant alors le cri de désespoir de l'estomac de la belle russe, elle rit doucement, un peu amusée.

'' Je crois qu'il n 'y a pas que lui, qui ne serait pas d'accord. Pour ton repas, vu la bonne odeur je ne doute pas de me régaler et crois moi, je parle en connaisseuse ! ''

D'un sourire doux, elle commença à manger les petites entrées qui étaient sur la table, et ne ce priva d'ailleurs pas pour savourer chaque bouchées mais en laissa à son petit loup et à sa compagne.

'' Rien que l'entrée émoustille mes papilles, tu as su t'en sortir comme une chef, surtout avec mon four ' rustique ' ''

En effet, son four n'avait rien d'électrique, c'était une cuisinière fait de pierre et chauffé uniquement au bois, une cuisinière de l'ancien temps pouvait on dire. Tala avait apprit à sa compagne comment l'utiliser sans risque de brûlure, comment contrôler la cuisson car le feu n'était pas constant comme le gaz ou une plaque électrique, et enfin le dite four, lui donnant toute les indications pour bien chauffer le four et ensuite pouvoir cuir les aliments ou les maintenir au chaud sans risque que tout soit carbonisé. La louve fut étonnée que sa compagne apprenne si vite ce qu'elle lui enseignait, mais pour un ex agent, n'était ce pas normal ? C'était ainsi, Tala était toujours sous le charme de l'esprit vif de sa Néréide.

'' Dis moi, cela te dirais de faire une sortie de nuit ou de jour au village ? Cela fait longtemps que je n'y suis pas y aller, et cela pourrait être sympa. Qui sais, peu être rencontrerons nous une de tes amies dont me parle souvent, à force de m'en parler tu as éveillée mon intérêt. Je voudrais vraiment discuter avec celles qui on su gagner ton amitié ''
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Tala Valerius
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Tala Valerius
Mer 27 Juil 2011 - 21:50
Galatéa n'avait relevé la phrase de Tala, qui disait que des deux c'était elle qui aimait le plus fort, qu'avec un sourire. Toutes deux savaient que c'étaient faux et que leur passion était réciproque. Elle sortit du réfrigérateur - encore archaïque puisqu'il fallait souvent l'alimenter en glaces - deux grands cocktails de plusieurs fruits qu'elle avait pris la peine de faire elle même. Il était composé d'un jus de framboise et fraises des bois, dans le fond du verre, surmonté d'un mélange de mangue, orange, ananas et lait de coco - l'avantage sur Etiopia était que les serres et les champs fournissaient presque tout, comme si elle avait possédé presque tous les climats. Et l'été était propice à de tels fruits. Elle avait givré le tour des verres de rose, en les trempant dans un mélange de jus de fruits rouges et de sucre, et avait orné l'ensemble d'une brochette de morceaux de fruits. Elle leva son verre en disant :

"A notre vie à deux et à notre amour. Puisse-t-il dépasser l'éternité. Je t'aime!"

Les bouchées de fromage frais et à base de crudités et de jambon cru semblèrent partir très vite. Le louveteau ne fut d'ailleurs pas en reste. Elle débarrassa les plats vides et ramena l'entrée. Il s'agissait de petites brochettes de gambas flambées à la vodka. Le poêle alimenté en bois avait été très utile pour le coup. Il lui avait suffit d'ôter le dessus pour accéder directement à la flamme. Les brochettes étaient accompagnées de petites verrines alternat Guacamole et tomates concassées et Feta marinées dans une sauce de sa composition. Son regard ne cessait de plonger dans celui de Tala. Amoureux et intense. Leur couleur de glace possédait, en cet instant et comme chaque fois qu'elle la regardait, des reflets turquoises. Elle trouva son idée excellente et le lui dit.

"Oui, j'en serai heureuse. Je pense que mes amies te plairont, même si elles sont radicalement différentes les unes des autres. Il y a notamment Kura que j'apprécie vraiment beaucoup et que j'aimerai te présenter. Mais je t'ai aussi parlé de Miria que je trouve adorable. Il y a Rory aussi mais je m'étonne de ne pas l'avoir vu depuis un moment alors difficile de dire ce qu'elle devient. Je lui ai laissé un message qui est demeuré sans réponse. cela dit, me promener en ville à ton bras sera un vrai plaisir et j'en serai fière aussi."

Elle était heureuse de cette idée de Tala de mieux connaître les gens qu'elle appréciait. Elle retourna la proposition.

"Et toi? As-tu des amis que je pourrai connaître?"

La jeune femme avait jusque là été silencieuse sur ses amitiés à Etiopia mais Galatéa n'avait jamais voulu la forcer à en parler si elle ne le souhaitait pas. Son statut de gardienne, après tout, était particulier. La russe se leva pour amener le plat principal, qui lui demanda un réchauffage minute au four et à la poêle. Elle savait que Tala, comme toute louve, aimait sa viande bleue. Elle aussi, cela tombait bien. cela ne lui prit donc que quelques minutes pour faire revenir les foie gras, réchauffer la sauce et cuire les deux tournedos.

"Et voilà deux tournedos Rossini, ma douce, sur leur lit de morilles. Et voilà pour toi, petit chou!"

Elle donna au louveteau une petite assiette de viande crue coupée en morceaux avant de s'asseoir. Elle se avait également amené une demi bouteille de vin rouge millésimé.

"En voudras-tu mon cœur? Demanda-t-elle."

La viande était impeccablement délicieuse et la sauce réussi, ce qui lui arracha un "ouf" intérieur. Le foie gras aussi était cuit à point et juste rosé comme il se doit. Resterait ensuite le dessert et elle avait réservé une surprise à sa douce dont elle connaissait les gouts sucrés.
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Sam 30 Juil 2011 - 3:22
Deux cocktails furent sortient de son frigo moyenâgeux, des fois elle ce disait qu'elle devrait investir dans des instruments de cuisine plus perfectionnés sans pour autant en faire souffrir l'arbre qui hébergeait sa demeure ni la nature environnante. Si Tala jusqu'à la s'en était accommoder très bien, elle s'en voulait un peu t'imposer cela à Galatéa, même si cette dernière lui disait souvent que ce n'était rien, la louve ce promis de voir ce qu'elle pourrait faire pour lui rendre la vie ici plus agréable. Levant son verre, elle regarda sa compagne et trinqua avec elle.

'' Je t'aime aussi, à notre vie ensemble ''

a boisson était délicieuse, sucré sans l'être de trop, parfumée sans agresser la langue, les saveurs pétillaient dans sa bouche, donnant à ses lèvres un sourire gourmand. Et que dire des bouchées au fromage frais agrémenté de crudité et de jambon cru ? Tout simplement délicieux, frais en bouche, mais relevé par le jambon, c'était une belle nuance et son petit loup n'en laissa rien de ce qu'on lui donna. Les assiettes vide furent remplacée par des gambas qui mirent l'eau à la bouche de notre petit loup, lui qui adorait tout ce qui venait de l'eau était servit mais Tala en donna peu, il y avait quand même de l'alcool, elle dégusta les verrines avec délectation, non vraiment, Galatéa était un vrai cordon bleu ! Et que dire de ce regard amoureux que lui lançait sa belle ? Tout simplement hypnotisant, lui donnant envie de s'y perdre, car elle y voyait toute les couleurs de son âme, toute les nuances les plus secrètes, sa tendresse, sa passion, son impatience, son bonheur, son envie, ses joies. Elle voyait tout...c'était peu être pour cela, parce qui lui semblait à chaque fois plongée dans l'océan de son âme, qu'elle ne pouvait s'empêcher de regarder ses yeux aux nuances glacée, qui rappelait la terre gelée du pays de sa belle. Les reflets turquoises quand à eux, était semblable aux rivières sauvage des forêts de son propre pays. Sa proposition enchanta sa belle néréide, cette dernière lui parlait souvent de ses amies et pour certaines amantes, en était elle jalouse ? Non, elle avait confiance en Galatéa, le faite qu'elle ne lui cache pas ses aventures antérieur était un signe de sincérité. Elle était curieuse d'enfin les rencontrer, discuter avec elles, faire connaissance et, elle l'espérait, puisse s'entendre. Un sourire tendre et amusé étira ses lèvres au faite que sa compagne était fière de ce promener à son bras, c'était un point de vue, car pour Tala c'était l'inverse, la louve était honorer d'avoir ce que les autres n'avaient pu prendre, sa belle lui avait donner son amour.

'' Tout l'honneur est pour moi ma belle Néréide ''

Lui souriant, elle vida le reste de son cocktail d'un trait avec un sourire joyeux, mais cela ne dura pas quand sa compagne lui retourna la question sur ses propres amies. Elle tiqua à la question, on ne peux pas dire qu'elle avait des amies, des connaissances peu être, mais le fait est qu'a part Galatéa, elle n'avait personne d'autre de proche.

'' Comment dire cela...à part toi et Kosumi, je n'es personne d'autre. En tant que gardienne, je veille constamment sur la forêt, le jour ou je t'es rencontré, c'était l'une des très rare fois ou je sortais de mon domaine. Tu dois me prendre pour une grosse asociale...''

C'était une confession gênante, tout le monde pouvait la connaître sous sa forme de louve, la gardienne qui protège la forêt et c'était bien gardée de s'éloigner trop longtemps de son domaine, ce qui ne favorisait pas les rencontres et amitiés. Galatéa ce leva pour finir la préparation du plat principal, Tala en profita pleinement pour admirer la belle plastique de sa compagne pour se fixer ensuite sur le plat qui arrivait. Clignant des yeux un instant, elle eu alors des étoiles dans les yeux en voyant le tournedos à la morilles et sentir le fumet du foie gras.

'' Ouaaa ! Tu me gâte ma belle poète ''

Son petit loup n'était pas en reste, et engloutit son repas avec appétit, la viande était tout simplement délicieuse, Tala pensait de même pour son plat, la viande fondait sous la langue, rehausser de la sauce, c'était tout simplement divin !

'' Ma bouche est au Nirvana, c'est délicieux ! Tu t'es vraiment surpassée. ''

Une bouteille de vin millésimé fut alors proposée, Tala ne se priva pas pour donner son verre, cela accompagnerait très bien le repas et lui répondit, amusée.

'' Tu demande à un aveugle si il veux voir ''

Portant le vin à sa bouche, elle en prit une gorgée, prenant le temps de savourer tout les saveurs contenu dans le liquide vermeille. Puis pris une autre gorgée avant de continuer le repas, finissant le plat avec un soupir d'aise, son estomac était comblé, mai sil restait une place pour le dessert. En y pensant, Tala ce fit rêveuse un instant, ce demandant ce que sa compagne avait bien pu préparer.

'' C'était excellent, ou à tu appris cuisiner ainsi ? ''

Une autre question lui brûlait les lèvres, quel dessert lui avait elle préparer ? Mais cela aurait été mal polie et irrespectueux de son point de vue, déjà que sa compagne avait fait un travail merveilleux pour satisfaire son ventre. Kosumi soupira de bonheur, son petit ventre bien rebondit, il regarda Galatéa en secouant la queue avec enthousiasme, lui aussi semblait impatient d'avoir le dessert, c'était pas tout les jours qu'il mangeait un repas de roi comme celui ci ! Tala ne pouvait lui en blâmer, ses yeux rencontrèrent ceux de sa belle et s'y perdit un instant. Elle finit par se lever doucement et alla auprès de sa compagne pour lui donner un baiser sensuelle et langoureux, lui prouvant sa gratitude pour avoir pris soin d'elle, un baiser valait mieux à ses yeux, que milles mots.
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Sam 30 Juil 2011 - 5:21
Galatéa, comme chaque fois, avait un mal fou à détacher son regard de cette femme qu'elle adorait. C'était comme si l'attraction qui existait entre elles depuis le départ était encore là, avec la puissance de la première fois. Même si leur relation avait évoluée, son désir d'elle s'était renforcé chaque jour un peu plus. Elle avait sans cesse l'impression que cela ne finirait jamais de croitre. Lorsqu'elles trinquèrent, sa réponse lui gonfla le coeur et son ragrd plongea dans le sien, alors qu'un sourire heureux illuminait son visage. Durant le repas qui suivit, elle ne cessa de lui lancer des regards amoureux et aguicheurs. Pour sa part, si excellents fussent les mets qu'elle avait pris tant de soin à préparer, elle aurait bien sauté le repas. Mais le plaisir de Tala et son régal faisait plaisir à voir. D'ailleurs, le palais de la russe était également à la fête.

Quand la louve répondit, contrite, à sa question sur ses amitiés et sur son côté "associal", elle laissa échapper un léger rire.

"Ne t'en fais pas, ma douce, je comprends que ton rôle de gardienne ne te permette pas, comme moi, de te faire de vraies amies. A vrai dire, je m'estime chanceuse de t'avoir rencontrée lors d'une de tes rares sorties. J'ai eu la primeur sur ton cœur grâce à cela et je m'en félicite! Si tu sortais plus souvent, peut-être ne serions nous pas ensembles... Ou pas encore, du moins. car, étrangement, je suis certaine que la magie aurait opérée entre nous de la même manière. Après tout, ce fut un véritable coup de foudre!"

Puis après une seconde de réflexion, elle ajouta.

"De toute manière, je vais veiller à ce que tu te fasses des amies! Les miennes sont des amours, tu verras, et je suis sûres qu'elles t'apprécieront!"

Le plat principal enchanta la gardienne qui lui demanda où elle avait bien pu apprendre à cuisiner. Elle lui lança un regard énigmatique. Cela faisait partie de son passé. Une partie dont elle n'aimait pas toujours parler. mais en face, elle avait la femme de sa vie et elle savait pouvoir tout lui dire. Elle hésita néanmoins avant de s'y résoudre.

"Cela faisait partie d'une de mes couvertures lorsque je travaillais pour l'agence russe. Je me suis intégrée au personnel d'une maison bourgeoise en lien avec l'espionnage américain. Cela a duré deux mois seulement, mais on m'avait formée avant. J'ai parfois honte de ce que mon métier m'a obligée à faire, mais je dois dire que tout ce que j'ai pu apprendre en étant un caméléon me sert encore souvent. J''ai eu la chance de comprendre et d'apprendre assez vite pour ne pas être un agent lambda. C'était plus intéressant. Plus dangereux aussi."

Elle passa outre le fait qu'elle avait du également commettre un certain nombre de meurtres. Du "nettoyage", comme l'agence appelait ce qu'elle faisait. Elle ne mentionna pas non plus le fait qu'il fallait une intelligence et une mémoire hors norme pour endosser le rôle de caméléon. Elle pensait, en effet, à présent, qu'elle avait gâché son potentiel à des choses bien peu reluisantes au lieu de faire le bien. Alors, certes, elle avait la foi à l'époque et pensait œuvrer pour son pays, mais cela n'excuse pas tout. Une ombre assombrit son regard avant qu'elle ne se reprenne.

"Mais ne parlons pas du passé! L'avenir est à nous et avec toi, il sera magnifique!" Dit-elle.

Heureusement, Tala s'était levée pour venir la gratifier d'un baiser sensuel et langoureux. Elle le lui rendit avec délectation et en redemanda, même avant de se lever pour la prendre dans ses bras. Elle poursuivit leur baiser longuement, jouant avec ses lèvres et sa langue avec un bonheur passionné. Ses mains s'égarèrent sur son corps, encore nu. Dieu! Qu'elle avait envie d'elle! Mais Kosumi ne semblait pas de cet avis et vint se frotter à elles comme pour réclamer le dessert. Elle lâcha Tala avec regret et soupira.

"Bon! Je pense qu'il faut que j'amène le clou du spectacle!"

Elle alla sortir du frigo archaïque un ensemble de desserts. De petites tailles, tous, mais qui ressemblaient traits pour traits au festin sucré dont s'était régalée tala lors de leur première rencontre. Milk-shakes, fromages blanc au fruits rouges et un assortiment de pâtisseries.

"Et voilà! J'avais envie de te faire revivre le souvenir de notre rencontre! Il ne nous manquerait plus que de retourner nous allonger dans le foin de la ferme inhabitée. Hmm.. Rien que d'y penser, j'ai envie de t'allonger là, à même le sol! Tu dois penser que je suis nymphomane parfois, mais toi seule me fais cet effet, je te rassure!"

Elle espérait que sa louve allait aimer sa surprise.
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Lun 15 Aoû 2011 - 15:12
Le rire de Galatéa...aussi déroutant qu'enchanteur, elle aimait entendre se son joyeux et cristallin venant d'elle, cela gonflait son cœur de bonheur. Il n'était jamais blessant, moqueur sans que cela soit insultant, amusé sans l'être au dépends des autres, sa belle savait modulé ainsi son rire pour qu'il soit toujours bien perçu. Une autre de ses qualités était son don pour la rassurer, quand elle doutait, quand elle était triste, quand elle lui avouait des choses plus ou moins grave, comme son coté solitaire qui lui collait à la peau. Galatéa lui déclara comprendre que son rôle de gardienne n'aidait pas à se faire des amies comme elle, se félicitant même d'avoir la chance de la rencontrer lors d'une de ses rares sortie et de ce faite avoir la première son amour. Tala eu les joues qui prirent une teinte rose aux propos de sa belle, la chance était des deux cotés, la louve aussi bénissait chaque jour d'avoir eu l'idée de sortir ce soir la, et d'avoir pu la rencontrer. Sa Néréide ajouta qu'elle ferai tout pour qu'elle est des amies et s'entendent bien avec les siennes, Tala n'en doutait pas et eu un sourire complice et tendre.

'' Je n'en doute pas, puisqu'elle son tes amies, elles ne peuvent qu'être des crèmes ''

Son plat était vraiment délicieux, curieuse comme elle était, posé la question d'une si bonne cuisine lui était venu naturellement, oubliant l'ex métier de la belle russe. La belle ne tarda pas à lui rappeler sa capacité de caméléon et l'origine de son talent pour la cuisine. Une mission...Oui Galatéa avait un passé assez sombre, Tala savait son passé d'espionne et que ses mains était taché de sang de meurtres, cependant le passé reste le passé et ici une nouvelle vie avait commencé pour sa belle. Voyant l'ombre passé sur le visage de son amour, elle avait eu un pincement douloureux au cœur et c'était empressée de la rassurer par un baiser amoureux, sensuel et langoureux. Celle ci se leva pour la prendre dans ses bras, la louve en fit autant, frissonnant aux mains qui exploraient son corps. Son envie d'elle c'était rallumée comme si on avait mis de l'huile sur des braises encore bouillante, mais le petit loup n'était pas de cette avis. Elles pourraient faire leur drôle de chose une fois le repas finit, ou du moins le sien, Tala lâcha à regret tout autant que sa compagne et caressa la tête de Kosumi.

'' Toi alors ! ''

Pour toute réponse, le louveteau émis un aboiement vif pour signifier que un repas ne s'interrompait, c'était sacré pour le petit loup. L'indienne en ria doucement et revint s'installer à sa place, impatiente soudain de découvrir le clou du spectacle comme Galatéa l'avait si bien dit. Et cela était à la hauteur de son attente, le dessert n'était autre que la commande que Tala avait demandé le soir de leur rencontre, tout était la sans exception. La louve noire s'en ému beaucoup, cela lui rappelait tellement de souvenirs, ou Galatéa en était le centre. Les étoiles dans les yeux elle regarda avec gourmandise les pâtisseries et les boissons lactées, mais finit par regarder sa belle avec un sourire malicieux quand elle entendu les paroles.

'' Non, juste une belle nymphe qu'une louve à su attirer les faveurs. ''

Tala regarda alors le dessert puis Galatéa et fait encore un aller retour entre eux, doucement un sourire joyeux étira ses lèvres, oui...la louve noire avait une idée derrière la tête. L'indienne remplie une coupelle de milkshake et la posa à terre, son petit loup se jeta dessus comme la misère sur le monde, Tala agrémenta le tout de quelque pâtisseries. Ensuite, elle se dirigea vers Galatéa et fit pivoter sans mal chaise en face d'elle, écarter ainsi de la table pour avoir accès librement à sa belle. Puis partie chercher un ruban noir et revenu, doucement elle se mit derrière sa néréide et lui banda les yeux.

'' Je vais joindre l'utile à l'agréable, tu connais le jeux du goût ? J'y jouais avec mon grand père quand j'étais petite. La règle est simple, reconnaître ce qu'on goûte les yeux bandé mais...je vais un peu épicé ce petit jeux ''

Tala lui avait chuchotée ses paroles à l'oreille avant de donner un léger coup de langue dessus, doucement elle pris ses poignets et les mis derrière son dos.

'' Laisse tes mains dans le dos, pour le moment ''

Se redressant elle prit sa propre chaise et la mit en face de sa belle, prenant une bout de gâteau au chocolat, nappé de cerise et sucre glacé et le porta à la bouche de sa belle. Une fois avalé elle déposa des baisers dans son cou, sensuel et passionné, elle trempa son doigt dans un milkshake et en recouvrit les téton rosés.

'' A chaque bonne réponse, je me régalerai d'une partie de ton corps. Plus tu donne de bonne réponse, plus je monterai crescendo. Alors ? Sais tu se que tu as mangé ? ''

Tala joua du doigt sur le ventre de sa belle en des caresses subtil et érotique, la pâtisserie donnée était une variante de la célèbre forêt noire.
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Lun 15 Aoû 2011 - 18:59
Galatéa prenait plaisir à voir sa louve se régaler. Pour sa part, elle l'aurai bien entrainée dans la chambre mais ce n'était pas du goût du louveteau qui réclamait son dessert. Elle sourit aux paroles de Tala mais ne répliqua pas. Elle se demandait laquelle des deux avait pris l'autre dans ses filets. Cela avait été tellement soudain et intense. Au point de s'avouer leur amour comme une évidence dés la première fois. Depuis, rien ne s'était essoufflé, au contraire. Chaque jour était un véritable bonheur pour l'une et l'autre et la russe n'était jamais rassasiée de sa belle Gardienne.

Quand elle vit l'œil de Tala briller, elle devina que celle-ci avait une idée derrière la tête. Surement de celles qu'elle avait elle-même depuis le début. Elle l'observa donner du dessert à Kosumi puis venir vers elle. Son air décidé et son sourire joueur augmentèrent l'excitation qui la tenaillait déjà. Elle la laissa l'orienter vers elle et lui ceindre les yeux d'un ruban. Le jeu du goût? Elle ne connaissait pas mais l'idée lui plaisait. Un long frisson la parcouru quand sa douce chuchota à son oreille et la lécha.

Elle ouvrit les lèvres pour gouter au dessert donné, reconnaissant aussitôt la forêt noire qui se trouvait sur la table. Le jeu serait facile puisqu'elle connaissait les desserts qu'elle avait préparé. Elle frémit sous ses baisers dans son cou, se retenant de ne pas lui sauter dessus sans plus attendre tellement elle avait envie d'elle. Elle laissa sagement ses mains dans son dos et soupira quand la louve aiguisa ses sens en déposant sur l'aréole de ses mamelons ce qu'elle pensa être du milkshake ou du fromage blanc. Une douce chaleur s'était allumer dans son ventre sous les caresses de Tala.

"Je pense que je vais adorer ce jeu, mon amour... Mais ne crois pas que j'ai l'intention de t'épargner quand ce sera ton tour!" Dit-elle avec un sourire malicieux.

Elle fit semblant d'hésiter avant de livrer sa réponse et demanda avant de la donner.

"Puis-je exiger de ma douce tortionnaire un baiser pour chaque bonne réponse, en supplément? Car j'avoue que ce dessert là me régale plus encore que la forêt noire que tu viens de m'offrir, mon ange."

Son sourire s'accentua et joueuse, aimant de surcroit plus souvent dominer les choses que demeurer ainsi prisonnière, elle avança sa chaise jusqu'à toucher les genoux de Tala puis, levant la jambe, glissa son pied entre ses cuisses.

"Je sais que je suis une vilaine fille, je n'aime pas rester sage... ajouta-t-elle d'une voix langoureuse et aguichante, mais je constate que je ne suis pas la seule à apprécier ce dessert, non?"

Elle caressa brièvement l'intimité de sa louve avant de ramener sagement sa jambe, dans un sourire un tantinet moqueur. Pour ajouter à la chaleur ambiante, elle se laissa aller sur sa chaise lascivement, en écartant doucement les cuisses, laissant son amour apprécier la pose plus que provocatrice qu'elle prenait. On verrait bien combien de temps Tala prendrait avant de mettre fin rapidement au jeu. Elle savait la Gardienne capable d'un grand sang froid, mais lorsque cela concernait la russe, elle le conservait souvent moins facilement. Galatéa aussi savait pimenter leurs jeux!
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Ven 26 Aoû 2011 - 2:22
Dieu qu'elle aimait la malice de sa belle en cet instant, le faite de lui asséner comme une promesse que quand son tour viendrait, elle n'épargnerai aucune parcelle de son corps la fit frissonner d'excitation. Nulle doute que la louve se perdrait dans un une multitudes de sens, son ventre se prit de vibrations délicieuse qui enflammèrent plus encore le foyer de son plaisir. Pendu à ses lèvres, attendant la réponse qui semblait vouloir prendre son temps. Elle en profita pour dessiner sur le ventre de sa belle, des arabesques ou la peinture n'était autre que du milkshake nature et un au chocolat. Un baiser ? Tala eu un sourire amusé et tendre en même temps, la suite de la phrase donna aussi la réponse. C'était facile, elle savait que Galatéa pourrait tout reconnaître puis qu'elle avait tout préparée mais ce n'était pas le but premier du jeu.

'' Je peux bien accepter cette faveur. Tout être vivant à besoin d'eau pour vivre après tout ''

Posant ses lèvres sur le sourire de sa belle, donnant un baiser plus fougueux, hardi de se plaisir qui ne cessait de battre à son bas ventre, tout en elle voulait être posséder. Son souhait ne fut pas long à être entendu, joueuse Galatéa mis ses genoux contre les siens pour glisser sa jambe entre ses jambes et son pieds dans son jardin secret. Un gémissement s'échappa de ses lèvres, le jeu allait vite être écourté si cela continuait. Pas sage ? L'avait elle été une seule fois lors de leurs ébats ? Elle aimait cet partie rebelle et indomptable de Galatéa, après tout on ne dresse pas l'eau, pas plus qu'on l'enferme éternellement, fière et libre tel était l'image qui s'imposait à la louve noire.

Des gémissements suivirent le premier aux caresses sur son intimité, mouillant le pied fin de sa belle qui s'enleva pour revenir sagement près de sa propriétaire. Son cœur accéléra son rythme, soudain ne plus voir ses yeux, ne plus capter son regard limpide et intense commençait à lui peser. Pour courroné le tout Galatéa pris une pose provocante, les jambes écartés et tentateur, sa néréide ouvrait la un autre jeu. Combien de temps avant qu'elle cède aux avances de sa belle ? Tala savait garder le contrôle de la situation, mais quand il s'agissait de Galatéa, son sang froid était mis à rude épreuve.

'' Tu est mon plus délicieux dessert ''

Doucement, elle lécha un téton avec lenteur, comme pour mieux maitriser la tension dans son corps, cette pulsion qui vrillait ses tempes à chaque minute. Suçotant chaque téton en exerçant une douce pression, sa main se perdit entre les cuisses de sa belle pour en caresser la fleur moite de nectar. Espérant s'apaiser, elle ne fit que se flageller elle même en caressant le corps de sa belle, promenant sa langue sur le ventre en effaçant les desseins, imprimant des suçons sur son ventre. Sa chair s'enivrait chaque instant un peu plus de celle de sa belle, remontant doucement vers le visage elle pris un bout de mille feuille et le donna à sa compagne. Le visage empourpré, elle releva le bandeau pour découvrir les yeux océan qui fit d'un coup chavirer son cœur et s'empara alors d'un besoin pressant de ses lèvres si fruités dans un baiser sensuel mais langoureux.

'' Ce n'est pas très fairplay ce que tu fais ''

Elle s'assit alors sur les jambes de sa compagne, à cheval dessus caressant son visage tant chéri, son être semblait trembler d'envie, son corps brûlant se colla à celui doux de Galatéa. Son regard croisa de nouveau le regard bleuté et limpide, dans le sien on pouvait lire une passion et un amour débordant, brillant de désir aussi. C'était un fait, la belle Néréide était la seule qui pouvait lui fait perdre ses moyens, se soumettre avec délice à l'envie et au désir de sa compagne, le corps en feu criait de s'abandonner dans ses bras.

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Sam 27 Aoû 2011 - 4:02
Galatéa gouta au baiser de la louve avec toute la fougue de son désir qui était immense. Parfois, elle se disait qu'un seul de ses baisers pouvait suffire à la rendre heureuse. C'était à la fois vrai et faux. Vrai parce que, en effet, le jeu de ses lèvres sur les siennes, de sa langue contre sa langue, le simple fait de la tenir contre elle aussi, tout la rendait pleinement heureuse, mais il suffisait que le baiser soit rompu ou qu'elle s'éloigne pour qu'elle se retrouve à l'état de manque. C'était comme se retrouver à court d'air. Tala était son oxygène.

Les gémissements de la gardienne, sous les attentions de la russe, excitèrent un peu plus encore les sens de la prisonnière. De même que les caresses dont elle était, elle, Galatéa, la victime consentante. Elle résista à l'envie de resserrer ses cuisses pour emprisonner la main coupable.

"Ton plus délicieux dessert?... Hmmm... Mais je m'offre à toi volontiers alors. Puisses-tu me dévorer éternellement, mon amour."

Elle gémit à son tour sous le pincement de ses lèvres sur son téton puis sous sa langue qui descendait lécher le milk-shake sur son ventre. Elle aurait voulu que sa progression ne s'arrête pas, mais Tala enchaina en lui donnant du mille-feuille avant de lever son bandeau et de l'embrasser de nouveau. Elle frémit sous son regard de braise remplit de passion et de désir, mais faisant preuve de sang froid, autant que celui qui coulait dans ses veines était, en fait, brûlant, elle lui lança, taquine, effleurant ses lèvres qu'elle mordilla doucement ensuite :

"Il me semble que tu craques déjà, mon cœur. Ne devais-tu pas m'embrasser contre une bonne réponse? Même si ce mille-feuille est un délice, j'aurai pu me tromper en faisant la comparaison avec ta bouche autrement plus savoureuse!... "

Les rougeurs de la louve faisait plaisir à voir. Quand celle-ci s'installa sur elle, elle soupira de plaisir à la sentir contre elle, alors qu'elle lui caressait le visage. Elle avait dit ne pas être toujours sage et le prouva en ramenant une main libre, suivie de l'autre devant elle. Son regard défia la louve et son sourire se fit légèrement moqueur et sensuel à la fois. Sa main droite glissa entre les cuisses de Tala et entreprirent de vérifier ce qu'elle avait déjà constaté. A savoir que sa vallée regorgeait déjà d'un nectar qui ne demandait qu'à être gouté. Elle glissa son pouce, en cavalier gourmand dans le creux de ce val aux reliefs si doux, afin qu'il aille caresser le trésor subtilement caché et l'agace de sa pulpe. Puis sans quitter sa belle gardienne du regard, elle envoya trois autres conquérants s'emparer de la grotte humide et chaude. Son autre main se glissa sous un sein et elle descendit poser sa bouche sur une pointe dressée et frissonnante. Elle le suça et le mordilla doucement puis le lâcha juste pour ajouter contre le bourgeon excité par son souffle, avant de le reprendre en bouche, pour le lécher comme on le ferait avec une sucrerie.

"Je t'avais dit que je n'étais pas sage..."

Les yeux levés vers le haut, elle ne quittait pas le visage de son aimée, aimant voir ses réactions et sa surprise.

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Mar 13 Sep 2011 - 2:05
Un appétit....insatiable, qui s'apaisait quant elle goutait au corps de sa belle mais revenait toujours avec plus d'intensité des fois, Tala aurait toujours faim de Galatéa, et le terme de la dévorer éternellement n'avait rien d'irréel, la louve s'en croyait capable. Ses lèvres entrouverte se laissèrent mordiller et ne pu s'empêcher de lui voler un court baiser avant de l'écouter. Craquer ? Elle ? Bien sûr ! Comment résister à cette provocation flagrante ? Son erreur fut de lui enlever son bandeau, quand elle regardait ses yeux, elle se sentait comme hypnotisée. Il était certain qu'au jeu de la tentation Galatéa y était reine, car la louve noire savait tenir tête à qui de droit...sauf à sa Néréide.

'' Tu utilise mes faiblesses, tu triche un peu me semble t il. Dans un jeu si un joueur connais tout les moyens de gagner, la victoire perd de sa saveur. A vaincre sans périls, on triomphe sans gloire ''

De cet état de faite, sa compagne lui fit un regard provocant car elle avait ramener ses mains, et déjà d'habiles caresses essayait de lui faire baisser les armes. La main inquisitrice et joueuse venu dans sa vallée humide pour en constaté que sa rivière brûlante coulait bel et bien. Soutenant toujours son regard, elle promena ses doigts sur les seins de sa belle, flattant du bout du doigt les mamelons tendu. Quand à son corps, tout aussi tendu qu'un arc, sa chair nerveuse d'un plaisir lascinant s'intensifiait comme si elle avait mit les doigts dans une prise électrique. Sa perle enfouie venait d'être trouver par un chasseur de trésor bien téméraire qui la faisait monta sa voix de quelques octaves, mais loin de s'arrêter, trois cavaliers montèrent à l'assaut arquant son corps sous les impulsions de désir qui venait par vague. Pour compléter les caresses sur son corps en feu, elle s'occupa d'un ses mamelons dur, sa bouche le happa et esquissa un sourire d'aise, Galatéa avait le don pour ne délaisser aucun de ses points sensibles en véritable experte dans l'art de l'aimer. Sachant faire passer ses mamelons pour la plus douce des confiseries, sa peau pour une glace que sa langue parcourait sans se lasser, s'abreuvant de ses lèvres comme une belle des sources. Oui, sa belle avait le don de sublimer son corps, de la rendre entière, de la révéler plus femme que jamais. Les paroles de sa compagne la rendit un moment décontenancée, pas sage ? L'avait elle été une seule fois quand cela concernait leurs ébats ? Leurs passion souvent ne souffrait pas d'attente.

'' Tu n'a jamais été vraiment sage pendant nos hymens, ce qui m'étonne c'est que tu est tenu aussi longtemps sans poser les mains sur moi ! ''

Un rire espiègle, un brin malicieux s'échappa de sa gorge palpitante, son rire cependant se perdit dans des gémissements, les vagues de plaisir s'intensifiait. De ses doigts Tala parcourra le dos et la nuque de sa belle, dans des caresses aux nuances subtiles agaçant la peau de frissons, déposa des baisers tantôt tendre, tantôt plus sensuel ou fougueux sur sa nuque et son cou. Une de ses mains finit alors par retrouver les deux monts qui s'épanouissaient et pétrit un sein d'une main rendu impatiente par les caresses de son amante.

'' Mais moi je ne sais pas rester à ma place quand tu commence à vouloir me dompter ''

La fougue naturel de la louve noire étant ce qu'il était, son autre main venu entre les cuisses nerveuses et élancées. Les doigts explorèrent alors les reliefs le mont de vénus, avant de trouver dans cette fleur le bourgeon caché entre les pétales et le presser de son doigt, pour ensuite jouer avec entre son pouce et son index. Sa langue quand à elle rendu visite à un mamelon dressé, donnant des coups de langue vigoureux pour finir par le prendre en bouche, le masser, le mordiller doucement, l'aspirer et tirer dessus pour le relâcher et faire le même traitement à celui délaissé. Sa main c'était détourner du joyau pour s'intéresser aux nymphes accueillante ou coulait une rivière déjà abondante. Deux explorateurs venu la visiter avec panache, révélant son envie de la posséder autant que la belle indienne avait envie de l'être de sa belle. Elle perdit son souffle court dans celui de sa compagne, d'un baiser brûlant d'amour et d'un désir qui n'avait pas de fin.
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Mar 13 Sep 2011 - 5:41
Ce qu'aimait par dessus tout Galatéa, chez sa louve, était son répondant. S'il y a un point sur lequel elle se reflétaient parfaitement, l'une et l'autre, était ce désir sans cesse renouvelé de leurs jeux amoureux. Étonnamment, même ce qui aurait pu paraître routinier pour beaucoup de couple, ne l'était jamais lorsqu'elles se régalaient l'une de l'autre. Peut-être la force de leur amour et leur désir insatiable et commun en étaient-ils responsables? Toujours est-il que la russe avait l'impression qu'elles s'aimaient chaque fois pour la première fois, sans cesse en quête renouvelée de leurs corps et de leurs plaisirs. C'était un peu comme si, chaque jour qui passait, sublimait plus encore les sentiments qu'elles avaient l'une pour l'autre.

Autant dire que, même éloignées, Galatéa n'avait que Tala en tête, constamment et en aurait presque maudit leurs obligations réciproques qui les séparaient quotidiennement. Si, il lui arrivait, comme à toute autre femme confrontée, de par son travail, à d'autres visages et d'autres personnalités, de remarquer l'attraction que certaines beautés pouvaient avoir sur elle, c'était humain. N'oublions pas qu'elle avait rarement freinée ses pulsions, avant Tala. Mais il suffisait qu'elle songe à sa louve pour que nulle autre ne soutienne la comparaison très longtemps. Tant mieux d'ailleurs, car elle savait la gardienne extrêmement possessive et jalouse à son égard. L'inverse était aussi vrai. Elle ressentait plus que de l'amour pour Tala. Elle l'admirait, l'estimait plus que tout, était totalement fascinée par elle et aurait certainement donné sa vie pour elle. Vie qu'elle ne voyait que par elle, avec elle et ce, pour l'éternité. Il y a peu d'amour comme celui là et avec une telle réciprocité d'ailleurs. C'était fusionnel, à la fois tendre et animal, instinctif et tellement évident qu'elle n'aurait échangé sa place pour rien au monde.

Cette fois encore, même si son assurance et son envie de domination pouvait sembler prendre le pas sur le reste, si Tala lui avait demandé, elle aurait pu être son esclave soumise, sa chose, et sans la moindre fierté. Mais la louve ne lui demanderait jamais une telle chose, l'acceptait telle qu'elle était, se pliait à ses désirs comme elle se pliait aux siens et c'est cette équilibre qui rendait leur couple solide et durable.

"J'aime tricher, mon amour, quand tu es ma récompense, c'est le seul triomphe dont je me glorifie, dit-elle dans un sourire en poursuivant sa quête personnelle de son corps."

Leur passion mutuelle rendait leurs ébats chaque fois plus sensuel, plus intéressant, plus brûlants aussi. mais leur relation n'avait-elle pas été, immédiatement, volcanique? Elle étaient comme deux atomes destinés à fusionner et la chaleur de leurs étreintes en était décuplée. La russe avait une part en elle aussi sauvage que celle de la Louve. certains auraient pu penser que le froid, comme les contrées d'où elle étaient issue, était son domaine de prédilection, mais, bien au contraire, sous ses dehors parfois polaire, un immense brasier ne demandait qu'à s'exprimer. Et avec Tala, elle l'exprimait. Il en était de même de la douceur et de la tendresse qu'elle savait révéler à son amour, alors que la violence avait été la part la plus importante de sa vie durant des années. Son regard se figea dans le lac sombre de celui de Tala.

"J'avoue que ne rien faire de mes mains fut une torture. Comment résister plus longtemps à une telle déesse de beauté et à une telle passion? J'en suis moi-même étonnée. T'ai-je dis que je suis folle de chaque parcelle de ton corps, de ces magnifiques yeux sombres, de ta voix envoutante à mes oreilles... et j'en passe... "

Son sourire s'accentua. Elle savait que ces compliments là feraient mouche et elle aimait voir le rouge monter à ses joues. De même qu'elle adorait sentir son souffle haletant contre le sien, son ventre se durcir sous ses assauts, ses gémissements qui l'excitaient au plus haut point vibrer à son oreille. Galatéa se fit frémissante, sous ses caresses subtiles, et son souffle devint plus court. Elle lâcha un instant le mamelon sur lequel sa bouche s'était de nouveau posée pour lui lancer un regard dévorant et se laissa aller à gémir d'une voix que le plaisir rendait plus sensuelle encore, lorsqu'elle sentit ses doigts s'emparer bientôt du joyaux enchâssé dans son écrin humide et le torturer avec délice. Son plaisir était indescriptible.

Dans une inspiration haletante, alors que sa belle venait enfin conquérir son intimité débordante de nectar, elle lâcha en réponse à sa dernière remarque :

"Te dompter est un plaisir, il est vrai, mais j'aime lorsque le loup se fait réticent et se laisse aller à sa sauvagerie, ma princesse. Tu ne peux pas savoir à quel point j'aime être à ta merci et quand les rôles s'inversent."

Oh oui, elle aimait être sa possession, qu'elle laisse libre court à son désir pour elle, sans frein, sans tabou, sans peur. Dominer l'autre était toujours passionnant mais d'autant plus sublimé lorsque le dominé devenait le dominant par la suite. Soumise au plaisir que Tala faisait monter en elle, elle intensifia ses propres caresses et donna à ses mouvement un allant plus énergique. De son côté, elle s'ouvrit entièrement au feu qui la consumait, sans retenue, que l'envie de la rejoindre au plus vite pour que leur jouissance les surprenne ensemble, comme une apothéose. Elle ne pouvait se réfréner dans son envie de donner comme dans celle de recevoir. Et elle savait que tant que leurs corps leur obéiraient, elles pouvaient s'aimer des heures durant, insatiables, passionnées et avides l'une de l'autre, jusqu'à tomber de sommeil et s'endormir enlacées comme liées à jamais.
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Jeu 29 Sep 2011 - 19:07
Appartenir corps et âme à une personne était une chose dangereuse en soi, car c'était s'abandonner, se perdre totalement et donner tout de son être. C'était se mettre à nue, montrer ses faiblesses, sa fragilité et tout dévoilé sans rien cacher. C'était la définition de ce que ressentait Tala pour Galatéa, tout lui donner et rien lui omettre, elle ferait tout, absolument tout pour sa compagne même tuer si cela était nécessaire. Heureusement, celle qui détenait son cœur n'avait pas de si bas instincts sachant mieux que personne, combien la vie est précieuse et combien il est facile de l'abréger. Mais, son coté protecteur la pousserait sans mal à être violente envers celle qui oserait faire du mal à Galatéa. Même si cette dernière savait très bien se défendre seule, l'amour et la passion qu'elle portait pour son aimée avait ce pouvoir d'exacerber par moment certains de ses sentiments. Sa raison était assez forte pour se contrôler et éviter des bêtises légère ou lourde. L'une et l'autre étaient une partie indissociable, si l'une souffrait l'autre était écartelée, si l'une était triste l'autre pleurait, un sourire de l'une rendait l'autre heureuse et calme. Même séparément, Tala avait la certitude qu'elles restaient connectées par la pensée et rendait leurs séparations moins difficile sachant qu'elles se retrouveraient tôt ou tard.

Il lui arrivait cependant de se demander ce que faisait sa belle quand elle s'absentait, sa compagne ne lui avait jamais cachée ses amantes qu'elle c'était faite sur Etiopia avant de la rencontrer ni son coté libertin mis en veille depuis leur hymen. Des doutes ? Oui il lui arrivait de songer que Galatéa puisse se laisser tenter par une jolie femme, cela ne manquait au village, avant d'en chasser l'idée avec rudesse. Si elle avait bien un défaut récurrent qu'elle c'était découverte, c'était bien son coté possessif qui faisait naître une certaine jalousie, un simple regard trop insistant d'une jeune femme sur sa belle, pouvait faire éveillée ce sentiment. C'était déstabilisant et arrivait des fois mal à caché sa jalousie, Galatéa était loin d'être dupe et s'en amusait des fois pour dédramatisé la situation. Tala était quelqu'un de passionnée derrière son sang froid et son calme, et son âme sœur était bien la seule à faire ressurgir son coté enflammé. La louve eu un moue surprise à la réponse, aimer tricher ? Décidément elle l'étonnerait toujours, loin de ce défendre de tricher, elle le proclamait et n'en avait honte si la récompense était elle même.

'' Et tu ne t'en défends pas en plus ? Tu est vraiment incroyable ! ''

Elle la surprendrait toujours, ce qui participait à ce que chaque jour soit unique et que la roue de la monotonie ne s'ébranle pas. Mais bientôt le rouge lui monta aux joues sous les compliments de Galatéa, c'était à la limite de l'idolâtrie ! Tala savait bien que c'était plus pour la taquiner et voir sa réaction qu'elle l'avait flatté de la sorte.

'' Galatéa ! Tu sais que cela me gêne quand tu parle ainsi ! ''

Un moue à la fois boudeur et gêner apparu sur ses traits, cependant cela ne dura pas, vite rattraper par le désir qui montait encore et toujours en elle, de ses guerriers qui se faisait plus vaillant en elle, plus vif et impétueux. Elle aimait se sentir envahit ainsi, que chaque parcelle de son corps réponde à la passion de sa Néréide, ses va et viens dans le puits d'amour se faisait d'autant plus pressant et ardent pour que le froid de la steppe laisse place au feu dévorant dans le corps de la belle russe. La louve se regorgeait des caresses sur son corps, comme une empreinte indélébile sur chaque partie de son être, de son anatomie. C'était excitant ce jeu de possession, de joug amoureux qui enflammait leurs corps, chacun voulant soumettre l'autre, ce laisser dompter un instant pour ensuite repartir à la conquête avec encore plus de fougue. Un combat d'amour que les deux jeunes femmes ne lassait pas de se lancer, qui plierait la première ? Sûrement aucune, à chaque fois Tala comme Galatéa rendaient les armes ensemble. D'un baiser fougueux, elle joua avec la langue de sa belle, comme une danse sensuel et entraînante, son pouce venu presser et polir la perle gonflé, la sentir se tendre sous les vagues de plaisir était jouissif en soit, sa main libre venu faire honneur à la poitrine frémissante et malaxer avec appétit. Massant les monts rose de ses doigts, jouer avec et s'en approprier chaque centimètre, de même que un troisième jardinier venu en renfort dans son jardin dans un élan d'une gourmandise sans égal pour la faire céder.

Pourtant ce fut son propre corps qui se trahit, assaillit par des doigts experts et sensuel son plaisir était montée d'un coup, son endurance flanchait déjà à cause de sa précédente jouissance. Et cette dernière arriva sans prévenir, sans qu'elle puisse y résister ni la retenir pour faire durer le plaisir. Une vague de frisson parcouru son corps, le volcan entra en éruption laissant échapper un cri de jouissance à la louve, il ne manquait plus que celle de sa belle la rejoigne comme un océan qui se déchaine et déferle, puissant et dévastateur en elle.
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Jeu 29 Sep 2011 - 21:45
Galatéa laissa échapper un léger rire, d'une voix haletante, perdu au milieu de ses gémissements, lorsque Tala avoua être gênée d'être ainsi qualifiée de Déesse. Elle aimait la voir ainsi, rattrapée malgré elle par son naturel réservé. Pourtant, c'était loin d'être exagéré dans l'esprit de la russe. Elle avait un amour à tel point démesuré pour sa louve qu'elle l'en idolâtrait à sa manière. La voyant plus que femme, plus que gardienne, plus qu'une simple humaine. Et ce n'était pas seulement lié à ses capacités de métamorphose, même si cette magie là la surprenait toujours. Elle tait sa déesse à elle, son univers sans partage, l'âme qui avait su faire de la sienne un tout. Aussi, ne put-elle s'empêcher de rétorquer, son sourire faisant place à une mine plus sérieuse et son regard amoureux brillant d'intensité en plongeant dans l'obscurité magnifique des siens. Sa voix, toujours haletante, résonnait d'une sincérité douce et chaude.

"Crois-tu vraiment que j'exagère ce que tu m'inspires, ma louve? Pour moi, il n'y a pas de sculpture plus belle que ton corps exquis, de profondeur plus envoûtante que ton regard sombre, de lumière plus radieuse que celle qui t'illumine lorsque tu me souris. Avant toi, j'ignorai qu'aimer à ce point était possible. Alors, oui, comparée à toi, même Aphrodite, si tentante soit-elle, pour l'humaine que je suis, même si elle était capable de me séduire un instant, ne soutiendrait pas la comparaison plus de quelques minutes. "

Et elle pensait vraiment ce qu'elle disait. Comme toute femme, elle restait sensible aux charmes de certaines, mais il lui suffisait de songer à ce que Tala lui offrait chaque jour depuis qu'elles s'aimaient, pour n'avoir plus qu'elle en tête. Pour avoir envie de la serrer dans ses bras, l'entendre lui murmurer les mots tendres qu'elle savait si bien dire, exacerber son désir d'un simple sourire, d'un hochement de tête ou d'une caresse. Quelles que soient ses réminiscences d'un passé un peu libertin de séductrice, elle se savait incapable aujourd'hui d'y céder. Et par dessus tout, elle se savait incapable de la blesser, de la trahir. Son cœur, comme son âme lui appartenaient à jamais.

La russe se fit plus pressante dans ses caresses, comme pour lui prouver, en assouvissant son désir, à quel point elle tenait à elle. Tala, de son côté, donna plus d'intensité à ses gestes et elle sentit qu'elle baissait sa garde, comme toujours, dans l'impossibilité de lutter contre le plaisir qui montait en elle, sous ses attentions. Puis elle sentit la louve se tendre, les muscles de son ventre se resserrer sur ses cavaliers et son ventre luter contre les spasmes qui le secouaient. Elle glissa une main dans son dos, sur ses reins, pour la soutenir, sa bouche reprenant pour l'accompagner, le chemin de son sein. La sentir venir ainsi mit en exergue son propre plaisir et la jouissance s'empara d'elle aussi, quelques secondes plus tard. Elle se serra contre elle, gémissante, étouffant son cri sur son épaule, la mordant au passage et ses ongles sur sa croupe, griffant sa peau, comme un tigre laisse sa marque. Elle aima être comblée juste une fraction de secondes après elle, pour la sentir venir dans la jouissance de ce moment partagé. Elle aimait la sentir fragile, juste après l'amour, encore haletante, dans ses bras, puis se rendre à elle, comme on rend les armes. Dans ces instants là, elles s'appartenaient totalement. Elle n'était plus deux mais une seule âme.

Elle releva la tête et la contempla, heureuse. Qu'elle était belle ainsi, encore sous le joug du plaisir ressentit, reprenant doucement son calme et son souffle. Elle ne s'était pas encore retirée d'elle et Tala n'avait pas non plus bougé. Galatéa serait bien rester des heures ainsi. Sa main, sur ses reins, remonta sur sa nuque pour lui donner le loisir d'amener sa bouche sur la sienne. Elle lui donna un baiser long et langoureux.

"Je t'aime. Et je n'aimerai jamais que toi."

La russe l'embrassa encore, la serrant contre elle avec force. Contrairement à ce que le physique entrainé de Tala donnait à penser, elle n'était pas si lourde pour les muscles aguerris de Galatéa. Sans la lâcher, la libérant finalement de ses cavaliers, elle la souleva en se relevant et toujours sans quitter ses lèvres, l'amena jusqu'à la chambre où elle l'allongea sur le lit. Un genou sur la couche, penchée au dessus d'elle, son regard bleu quitta le sien pour parcourir son corps, comme une caresse. Parfois, devant l'émotion qui la submergeait quand elle la regardait ainsi, qu'elle s'en rende compte ou non, lorsqu'elle dormait, lorsqu'elle lui parlait ou bougeait simplement dans leur petite maison, les larmes lui venaient aux yeux, de bonheur et de plénitude. Elle caressa sa joue du dos de la main puis laissa courir ses doigts sur sa peau si douce, sur l'ensemble de son corps. La louve n'avait pas dit un mot depuis qu'elle l'avait amenée dans la chambre et 'était bien ainsi. Le silence est parfois plus parlant. Elle fini par lui sourire et se glissa contre elle, avec la grâce et la douceur qui pouvait la caractériser dans ces moments là. Ses lèvres effleurèrent les siennes et elle murmura :

"Promets moi que tu ne me quitteras jamais.... "

Cela semblait désuet, mais elle avait encore besoin d'être rassurée, toujours persuadée d'avoir eu une chance qu'elle ne méritait pas en la rencontrant. Puis elle se laissa aller en arrière, sur les draps, le regard tourné vers le plafond, comme dans l'attente de sa réponse., se mordillant les lèvres en songeant que tala, si elle se moquait de son inquiétude, aurait certainement raison. De surcroit, avait-elle le droit de tant lui demander alors qu'elle lui offrait déjà tellement?

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Mer 19 Oct 2011 - 2:31
Exagérer ? La gardienne le croyait quelque peu, en amour on est jamais réellement objectif et le faite que sa Néréide lui faisait tant d'éloge le lui prouvait. Être comparée à Aphrodite lui faisait encore rosirent les joues sachant que dans la mythologie grec ceux qui avait osée provoquer la déesse de l'amour en se proclamant plus belle, s'en étaient mordu les doigts. Tala n'était pas du genre superstitieuse, mais sont naturel humilité lui disait, que sa belle la préfère à une déesse était un peu trop pour la simple gardienne qu'elle était. Elle n'en dis rien, à chaque fois Galatéa trouvait une réplique à lui fournir pour contredire ses propos, c'était comme résonner un taureau qui charge. Et puis, il y avait autre chose, elle aussi était en adoration pour sa belle russe, chaque sourire gonflait son cœur, sa peau soyeuse qu'elle ne se lassait pas de caresser, sa bouche gourmande qui était son souffle de vie. Lui faire l'amour était chaque fois exalter son corps, s'évader de la conscience du monde et ne voir qu'elle, n'était elle pas d'ailleurs devenu son centre de gravité ? Comme la terre tourne autour du soleil ? Pour Tala, Galatéa était sa lumière.

Sa jouissance fut accompagnée par une main contre ses reins qui bloquait son bassin, se sentir prisonnière des mains de sa belle lui procurait une autre vague de frissons plus douce mais pas moins intense. Une autre jouissance se déclencha mais ce fut pour imploser dans le ventre de sa Néréide, ses doigts sentir palpiter le val sous le plaisir qui se déversait maintenant. Une morsure légère venu faire tressauter son corps sous la surprise, de même que ses fesses furent marquée comme un félin qui marque un arbre. Un gémissement de surprise résonna entre ses halètements, elle n'avait toujours pas l'habitude des réactions imprévisibles de Galatéa, mais la douleur était moindre et ne régnait que une béatitude doucereuse. Leurs deux corps avaient fusionné, comme à chaque jouissance, d'une même voix, d'un même esprit ou leurs âmes étaient complète et unit, dans ses moments là, elle avait l'impression que leurs cœurs battaient à l'unisson.

Son corps lui semblait aussi fragile qu'un faon nouveau née, son souffle commençait à se calmer en même temps que son cœur qui avait tambourinée comme un fou il y avait peu. Tala accueillit le baiser avec bonheur, avec moins de panache cependant, laissant sa compagne mener la danse, ses forces quand à elles semblaient la quitter progressivement. Ses paroles d'amour la fit sourire, d'un sourire de joie intense, elle se sentait bien contre ses bras qui serrant fort contre ce corps qu'elle chérissait plus que tout, ses propre doigts s'enlevèrent en même temps que ceux de son amour et enlaça le cou de cygne de Galatéa.

Ses lèvres lui semblaient si douce, elle semblait respirer de nouveau à chaque baiser, son corps fut finalement déposé sur le lit, des fines perles de sueurs brillaient sous les rayons lunaires qui filtraient par la fenêtre, rendant à son corps une douce lueur blanche aux reflets bleutés. Le regards de sa belle la fit rougir, ses yeux tantôt océan tranquille ou déchainée puis d'un bleu glacier profond et mordant la caressait, sa peau en frissonna sous ce regard qui semblait la sonder. Le sien plus sombre n'était pas en reste, admirant son corps comme un sculpteur qui aurait croisée sa muse, lui insufflant à jamais une inspiration de l'aimer intemporelle. Ses bras accueillir le corps sensuel et se referma sur la taille fine, non sans caresser au passage les courbes érotique de la magnifique salve. La quitter ? Mais quel idée ! Son esprit et son cœur avait exclu cette possibilité dès leur première fois à la ferme inhabité, Tala eu envie de rire, amusée de l'inquiétude de sa compagne qui n'avait pas lieu d'être. Elle se retenu pourtant, avec du mal mais y parvenu, elle prit sa main pour que Galatéa qui avait basculer sur le lit la regarde, et embrassa sa main.

'' Allons tu me vexe ! Mon amour, a tu si peu confiance en moi pour en douter ? Je t'aime et je suis à toi pour l'éternité mais bientôt...oui bientôt je scellerai cette promesse de toujours être auprès de toi. Un symbole qui sera mieux que des mots et apaisera tes craintes les plus profondes. ''

Ses yeux étaient brillant d'amour, d'un amour si brûlant et intense qu'elle pourrait bientôt mettre en action ce qu'elle songeait depuis un moment déjà, il fallait juste avoir l'accord de la maire et lui poser quelques questions qui lui empêchait encore de se déclarer. Penchant pour un sujet plus léger, elle montra la morsure à son épaule, un sourire taquin aux lèvres.

'' Par contre, je ne savais pas que tu avais des tendances vampiriques ma Néréide ! ''

Un rire chantant s'envola de ses lèvres, doucement elle enlaça sa belle et mis les draps sur elle, pour ensuite caresser sa joue avec un tendre amour.

'' Je t'aime, je ne cesserai jamais de le faire jusqu'à mon dernier souffle ''
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Mer 19 Oct 2011 - 20:48
Galatéa aimait aussi voir sa Tala sous un jour plus fragile, moins louve en quelque sorte, rendre les armes avant elle, se laisser porter vers la chambre et contempler, lascive, à loisir. En cela, leur couple était équilibré. Chacune tour à tour pouvait dorloter l'autre ou se faire dorloter, soumettre ou se laisser soumettre. C'était mieux qu'un jeu, car elles ne jouaient pas, elles vivaient, elles existaient, en étant elles même à deux cent pour cent, sans se poser de question, avec un naturel qui relevait parfois du miracle.

Elle sourit en l'entendant lui promettre de ne jamais la quitter. Elle n'aurait pas supporter le contraire de toute manière, non plus qu'elle en doutait au fond. mais c'était toujours doux à entendre.

"Je ne doute pas de toi, c'est de t'apporter ce que tu souhaites dont je doute parfois. Mais je te promets que je ferai toujours tout pour que tu sois la femme la plus heureuse d'Etiopia."

Puis elle fronça les sourcils lorsque les mots qu'elle avait dit en fin de phrase arrivèrent enfin à son cerveau toujours aussi captivé par sa louve et donc, fatalement un peu embrumé.

"Un symbole? Quel symbole?"

Elle en avait trop dit ou pas assez. Mais Tala poursuivait déjà la conversation sur autre chose, éludant la réponse.

"Oh! Désolée! J'avoue que parfois je suis plus louve que toi tellement j'ai envie de te dévorer! J'ai souvent l'impression d'avoir un besoin irrépressible de me fondre en toi ou de t'intégrer en moi... En tous cas, ça relève de ça, je crois. Je ne suis pas Issei Sagawa qui avait tué sa petite amie pour la dévorer, mais il paraît que le désir est assez proche du cannibalisme, surtout quand il est violent. Un peu comme le besoin de prendre l'autre en soi, de la manière la plus intime, comme pour qu'il intègre nos cellules... Et mon désir, pour toi, est, je dois le dire, d'une violence qui me dépasse parfois... Mais je n'avais pas l'intention de te faire mal..."

Elle avait rougit, un peu honteuse d'avoir été aussi loin et sans pour autant le regretter car c'était un peu la marque de son amour pour elle. Oui, c'était ça, elle avait envie de la marquer de son empreinte aussi. Toujours ce même sempiternel besoin d'elle. Mais elle ne voulait pas pour autant lui ôter sa liberté ou son indépendance. C'était juste qu'elle avait du mal à se rassurer sur le fait que Tala était à elle, rien qu'à elle... et pour toujours. Elle ne pensait pas le mériter. Ce qui d'ailleurs n'avait rien d'étonnant quand on connaissait son parcours.

Puis Tala l'enlaça, la ramenant contre elle et rabattant les draps sur elles deux. Ses mots résonnèrent comme un velours plus doux que n'importe quoi à son oreille. Elle frissonna lorsque leurs corps se retrouvèrent blottit l'un contre l'autre et elle resserra à son tour ses bras autour d'elle. Ô Dieu! Comment pouvait-elle à ce point faire renaître son désir d'une simple caresse et d'un seul regard? C'était pourtant le cas. Elle picora son cou de baisers légers avant de relever la tête pour la contempler encore. Elle ne s'en lassait pas. Elle ne s'en lasserait jamais... Comme de sa peau si chaude contre la sienne ou sa bouche si tendre quand elle l'unissait à la sienne. Malgré son désir, elle sentait Morphée les appeler. Elle l'embrassa avec douceur encore, puis encore, presqu'incapable de séparer ses lèvres de ses lèvres si parfaitement savoureuses. Une de ses mains courut le long de ses formes parfaites, goutant à sa peau comme on caresse une statue merveilleusement belle.

"Comme je t'aime!" murmura-t-elle avant de nicher sa tête dans son cou et de fermer les yeux. Elle aurait voulu que le temps s'arrête de couler. Elle était au paroxysme d'un bonheur qu'elle n'avait jamais connu. Elle en avait même oublié que Tala ne lui avait pas donné de réponse à sa question au sujet du symbole.
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