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Sam 6 Aoû 2011 - 16:38
    ■ Nom :
    Earhart. Non, je n'ai aucun lien de sang avec la fameuse aviatrice Amelia Earhart, au cas où vous vous en doutiez. Néamoins, j'aurais adoré être l'arrière-petite-fille de celle-ci - ce serait un grand honneur pour moi.
    ■ Prénom :
    En honneur à fameuse Amelia Earhart, disparue le deux juillet 1937, mes parents me nommèrent Amelia.
    ■ Surnom :
    Amy, mais ma mère préférait Anjou.

    ■ Age :
    Je suis arrivée à Etiopia quand j'avais dix-huit ans. Mon dix-huitième vient de se faire fêter, et je commence à savourer ma dix-neuvième année de vie.
    ■ Signe Astrologique :
    Née le trentre Octobre, j'ai le plaisir de me déclarer Scorpion.
    ■ Origine :
    Américaine, comme mon idole. Mais ma mère était Japonaise, aussi...

    ■ Chambre :
    Peu importe, tant que je la partage avec une personne aimable qui a elle aussi une passion pour tout ce qui ressemble de près ou de loin à l'aviation, Amelia Earhart (mon idole, pas moi), l'écriture et la lecture.

    ■ Histoire :

    Je suis née le trente Octobre, il y a maintenant dix-huit ans et un mois, au Texas. Mon père, qui était originaire de cette petite ville, s'appelle Ben Earhart ; ma mère, provenant de la campagne Japonaise, se prénommait Shuro Okinoi. Le couple n'avait que deux semaines de différence en âge, et c'était ma mère la plus "ancienne".

    Ils m'élevèrent comme n'importe qui l'aurait fait. Mon père sortait travailler un peu à l'aéroport le plus proche, surveillant les allées et les arrivées d'avions aussi uniques les uns que les autres. Il revenait vers l'après-midi, pour rester avec sa femme et son enfant. Ce ne fut qu'après deux mois d'hésitation qu'ils décidèrent de m'appeler Amelia, comme l'aviatrice qui a traversé deux fois l'atlantique, seule, et qui avait disparu le deux juillet 1937 près de l'Île Howland.

    Je grandis rapidement, mesurant un mètre septente-trois à mes treize ans. Les gens s'étonnaient de cette croissance rapide, mais furent bientôt habitués à ma taille. Néamoins, les petits crétins qui peuplent les écoles ne perdirent pas l'occasion de me surnommer "l'asperge rousse", ou "poil de carrotte". En effet, j'étais anorexique pendant quelques années, ce qui provoqua énormément de remarques aussi salaces les unes que les autres.

    On ne peut pas dire que j'ai apprécié mes journées à l'école. Chaque matin, je me réveillais avec un sentiment de terreur et de dégoût au fond de mes entrailles. Je n'osais plus prendre le bus de l'école ; c'était mon père qui m'y amenait, chaque matin à huit heures. Ma mère était déjà en train de faire la lessive, ou la vaisselle. Tout dépendait de l'état de la maison.

    En parlant de ma mère, je ne l'appelais jamais "maman", mais seulement par son véritable prénom ; Shuro. Je n'aimais pas son état de faiblesse ; toujours en train de nettoyer, de se rabaisser, de se taire. Son comportement me frustrait, et bientôt je me mettais constamment en colère avec elle - ce fut les jours où ma maladie se développa de façon affolante.

    J'étais, et le suis toujours, atteinte d'une pulsion incontrôlable qui m'incitait à l'explosion émotive - c'était ainsi que l'appelait mon psychiatre. Je me fâchais pour un rien, et mes réactions colériques amusaient mes camarades, qui prenaient encore plus plaisir à me tourmenter. À cause de ce rejet de leur part, le peu d'amies que j'avais me quittèrent rapidement, sans crier gare. Je réalisais petit à petit que j'étais seule, et que je l'avais toujours été. Il n'y avait que mon père en qui j'avais confiance.

    Chaque matin, il venait me réveiller en m'obligeant indirectement à me lever en lui faisant un câlin. Puis il me préparer le petit-déjeuner, et je mangeais en sa compagnie. Je lui confiais ma peur d'aller à l'école, et il séchait mes larmes de frustration après quelques minutes de désespération de ma part. Puis il m'emmenait au cauchemar, me disant que tout allait bien se passer.

    Il y a ce jour où l'on vous demande ce que sont vos projets futurs pour la vie. Tour à tour, les élèves déclarent leur métier, ce qu'ils ont envie de faire ; les garçons, c'est policier, ingénieur, scientifique, docteur, cuisinier, et beaucoup d'autres choses. Les filles, c'est infirmière, médecin, vétérinaire des petits animaux (chien, chat, souris, ...), caissière, professeur. Ça s'arrêtait à là. Dans mon école, nous étions élevés à penser que les hommes étaient supérieurs aux femmes, et celles-ci n'avaient qu'une espérance de mariage et petit salaire dans leur vie.

    Mais il faut toujours que quelque chose soit différent chez moi.

    Dès l'âge de huit ans, je découvrais ma passion pour l'aviation. Le ciel me fascinait, ainsi que ces énormes oiseaux en métal qui pouvaient avaler des centaines de personnes ! À chaque fois que les vacances arrivaient, je demandais à mon père de m'emmener quelque part dans son petit planeur à moteur blanc. Il me souriait, et me disait que quand je serais plus grande, je pourrais avoir un avion à moi-même. Cette pensée me réjouissait, et je faisais tout pour me rapprocher de mon but.

    Et donc, quand mon tour arriva, j'annonçai à tout le monde que je voulais être pilote d'avions.
    Ils rirent, ne me croyant pas sérieuse, lançant des vannes aussi blessantes les unes que les autres. J'appris bientôt que dans ce monde, j'étais probablement une du petit groupe de la gente féminine qui était ambitieuse. Amelia Earhart, Ladybird, et encore je-ne-sais-qui...

    Mes parents me changèrent d'école, m'inscrivant à un établissement privé. Il n'y avait qu'une petite centaine d'élèves, qui m'acceuillirent tous sans exception de façon chaleureuse ; cette fois-ci, ils ne rirent pas de mes projets. Au contraire, ils étaient émerveillés.

    La bataille n'était pas simple, la concurrence était grande, et vu que j'étais une fille j'avais encore moins de chances que les hommes. Mais grâce à mon père, je touchais le jackpot ; on m'attribua le titre de pilote. C'était le plus beau jour de ma vie. Mon père m'acheta Bessie, un avion rouge à deux places - une reproduction parfaite de l'avion d'Amelia Earhart, l'originale.

    Je changeai à nouveau d'école, cette fois-ci qui était aussi cruelle et dure avec les filles que mes écoles d'enfance. J'appris à ignorer les remarques méchantes des garçons et des filles, et me fit distante et froide. Ce fut un changement radical dans mon comportement : désormais en crise d'identité, j'étais dure avec moi-même et ne savais pas quel genre je préférais : homme ou femme ?

    Ma meilleure amie avait un compagnon, qu'on appelait tous Louis même si son vrai prénom était Leo. Celui-ci était un de ceux qui me lançait des blagues salaces, mais qui était à la fois gentil avec moi ; je fus bientôt attirée par lui, de façon étrange. Je n'avais jamais ressenti l'amour dans ma vie, avant.

    Pour mes dix-sept ans, je l'invitai à venir chez moi. Mes parents étaient absents pendant une semaine, aujourd'hui était le deuxième jour que j'étais seule. Je n'avais ni frère ni soeur, donc aucun souci. Nous serions seuls, Leo et moi. Ma meilleure amie était en vacances, elle aussi.

    Il débarqua chez moi vers le soir, juste à temps pour manger. J'avais changé mes habits d'élève stricte pour une tenue plus... décontractée. Mini-short, haut vert à épaules nues, donnant une vue généreuse sur ma poitrine quand je me penchais. Mes cheveux étaient détachés et ondulaient autour de mon visage, donnant un regard sauvage et sensuel dans mes yeux dorés. Je sentais le regard de Louis sur ma peau nue pendant que je le servais à manger.

    Les hommes sont des créatures qui sont plutôt inconscients. Ils ne peuvent résister leurs envies, et ne voient rien des manipulations que les femmes éxercent sur eux. Ce soir-là, j'étais bien heureuse que Leo était un peu lent à la détente.

    Après avoir débarrassé les assiettes, nous nous installâmes sur le canapé, lui assis, moi mes jambes étendues sur ses cuisses. Pendant que je lui parlais d'un air nonchalant, il carressait ma peau d'un air distrait, oubliant qu'il était déjà en couple. Doucement, je me redressai pour m'asseoir à califourchon sur lui, sa tête entre mes mains. Il m'embrassa langoureusement, s'aggripant à ma taille, une main se glissant sous mon top... Et vous pouvez deviner la suite, qui se déroula au lit.

    Après le retour de mon amie, il ne regardait plus sa copine, mais moi. Elle avait deviné le changement en lui ; mais, bonne comédienne, je ne lui laissais aucune occasion pour deviner que c'était moi, la fautive...

    Plusieurs mois passèrent, et je changeai d'école à nouveau. Louis avait déserté mes pensées, et je n'entendis plus parler du couple que j'avais connu. Dans ma nouvelle école, j'avais une nouvelle attirance... pour les filles.

    Evidemment, nous nous lièrent rapidement, et nous nous retrouvâmes rapidement au lit. Mon père découvrit mon homosexualité, et n'était pas très content. Je brisai les liens avec ma partenaire, changeai d'école à nouveau et oubliai tout ce qui s'était passé... Mais je ressentais toujours cette attirance pour les personnes du sexe identique au mien. Néamoins, je rejetai ces désirs, m'éloignant des filles, et repris contact avec Louis. Ce dernier devint mon confident.

    En moment de crise, lorsque j'explosais sous la colère, la frustration, et la terreur d'être découverte homosexuelle, j'en parlais à Louis. Il me réconfortait, m'embrassait parfois, mais ça s'arrêtait à là. Il devint le deuxième qui était capable de me calmer, et quitta sa copine pour avoir plus de possibilités avec moi.

    Une nuit, quand j'étais frustrée à nouveau et que Louis ne répondait pas au téléphone, je décidai de faire un petit voyage au-dessus de la mer. À deux heures du matin, quand mes parents dormaient profondément, j'enfilai ma combinaison d'aviatrice et m'assis à l'intérieur de Bessie, qui semblait m'attendre.
    Non loin de là, il y avait une falaise, qui donnait sur la mer. Je me lançais souvent de cette falaise avec mon avion, descendant en piqué et remontant, le nez pointant vers le ciel, le corps de Bessie suspendue à la verticale. C'était une sensation géniale, celle de tomber à une rapidité à vous couper le souffle, pour ensuite remonter brusquement et écarter les dangers des lames aquatiques, qui attendaient que je tombe entre leurs doigts gelés ; mon père se souciait pour ma sécurité, et m'a interdit d'y aller. Mais ce soir, j'étais rebelle.

    Le moteur ronronna, comme si Bessie était heureuse de me revoir. J'accélérai, et en quelques secondes, je tombai de la falaise. Je pris les manettes pour remonter ; l'avion ne broncha pas. Mon coeur rata un battement ; la mer se rapprochait. Je n'entendais plus que le bruit des flammes, je ne voyais plus qu'un énorme rocher à l'extrêmité pointue émergeant de l'eau agitée. Le rocher se rapprochait, de plus en plus. Je ne pouvais crier, je ne pouvais bouger. J'allais mourir.

    Souvent, on dit que quand on atteint le stade où nous sommes presque en train de mourir, ou nous donnons notre dernier souffle, on voit toute notre vie défiler devant nos yeux. Les bons et les mauvais souvenirs, les réussites et les échecs ; pour moi, c'était différent. Je contemplai la vie que j'aurais pû avoir ; des voyages incessants, mon père à nouveau souriant, des amis ; tout ça, perdu à cause d'une bêtise. Je ne versai aucune larme : mon coeur était déjà déchiré en morceaux.

    Adieu.

    Le rocher changea imperceptiblement, mais sur le moment je ne voyais rien ; mes yeux s'étaient fermés de leur propre accord. Le bruit des vagues et du moteur de Bessie envahit mes oreilles ; le goût du sel et du pétrole se posa sur ma langue.

    Adieu.

    Un bruit de craquement se fit entendre, juste après un bruit familier - une grille qui s'ouvre en grinçant. Les portes du paradis ? Un rire hystérique me prit. Ce n'étais pas possible, puisque le paradis n'existait pas. J'ouvre les yeux ; mon coeur rate encore un battement. Le nez de Bessie, cabossé, était écrasé contre un arbre. Les ailes de mon avion étaient tordues, mais pas arrachées. Je sors de mon avion ; où suis-je ?

    Une fille à l'apparence inhumaine vint à ma rencontre. Elle ne dit qu'une phrase, avant de disparaître ;

    "Bienvenue à Etiopia, ma chère."


    ■ Apparence physique :

    Amelia peut être considérée comme jolie. En effet, elle n'a pas de boutons nuisibles, de bosses inutiles ou de déformations qui agacent le regard. En réalité, la beauté d'Anjou est simple.

    Ses cheveux mi-longs, arrivant juste en dessous des épaules et jusqu'aux omoplates quand trempés, sont d'une couleur orangée. En effet, la demoiselle est une rouquine, ce qui lui mérite des moqueries de temps en temps. Elle attache sa crinière de lion dans deux couettes symétriques, avec un élastique jaune, de préférence. À cause des légères ondulations qui apparaissent vers le niveau des oreilles, Amelia n'a qu'une partie de sa coiffure habituelle qui est lisse ; la portion inférieure s'ondule sans que la demoiselle puisse y faire quelque chose.

    Avec les cheveux roux, nous avons en général des yeux verts. Pour le cas d'Amelia, les siens sont comme le caramel ; hésitant entre le brun et l'orange, ils deviennent or à la lumière du soleil. Quand à la couleur de ses iris dans l'obscurité, ceux-ci luisent d'une manière fort intrigante, irradiant une lumière orangée. Les pupilles d'Anjou sont souvent dilatées, malgré les changements de température ou de lumière. Certains prétendront le stress, d'autres le fait que l'aviatrice a un regard perçant et affûté... À vous de savoir. Mais soyez sûr de trouver dans ce regard un air froid, sec, et parfois distant...

    Le menton d'Anjou est d'un pointu presque provoquant. Elle se tient la tête haute et le dos droit, ce qui donne l'impression qu'elle affronte quiconque qui se trouve dans son champ de vision. Nombreux sont les impertinents qui ont crû à un affront, et nombreux qui ont succombé aux réactions - parfois violentes - de l'adolescente.

    Ses courbes féminines sont proportionnées par rapport à son corps, invitant le regard - ou la main - à s'y poser. Elle ne les met pas forcément en valeur, mais prend parfois plaisir à s'exposer un peu plus qu'habituellement de temps en temps. Les autres personnes n'ignorent pas la féminité d'Amelia, mais ils sont souvent surpris lorsqu'elle dévoile tous ses atouts les plus séduisants les uns que les autres à un moment donné...

    L'aviatrice a de belles jambes. Musclées, épilées, et souplesse infinie ; elle a longtemps travaillé sur l'évolution de ses muscles, et ne regrette pas tous les sports qu'elle a dû pratiquer pour atteindre ce stade. Amy est capable de se propulser à une vitesse qui en laissera plus d'un dans la poussière, ainsi que faire très mal lorsqu'elle lance un coup de pied.

    La posture de la demoiselle est une des plus fières, strictes, et sèches qui soit. Dos droit 24H/24H, tête haute, pieds parallèles. Elle ne laisse aucun moment de détente à son corps pour relâcher les muscles, sauf au yoga, où dans son lit. Ces habitudes lui donnent parfois un air hautain ou agressif, et on ne peut déchiffrer son attitude à moins de regarder de très près... Et là, on en découvre bien des choses.

    Le style vestimentaire d'Amelia est des plus banal : jupe jusqu'aux genoux, chemisier, mocassins aux pieds. Néamoins, lorsqu'elle n'est plus à l'école et prend un moment pour elle-même, ses vêtements de lycéenne sérieuse se font remplacer par un haut aux bretelles spaguettis et au décolleté rond, ainsi qu'un mini-short et des ballerines.

    Lors de soirées spéciales, Anjou ne rate aucune occasion pour montrer à ses camarades de quoi elle est capable ; jupes courtes, décolletés avantageux, talons hauts, cheveux détachés... Un changement radical par rapport à sa tenue stricte. Lors de ses moments relâchés, il est encouragé de profiter de l'instant pour essayer de se rapprocher avec la demoiselle... Evitez juste de la provoquer, car derrière cette belle frimousse se cache une lionne avide de sang.


    ■ Caractère :

    Le plus grand défaut d'Amelia est... la joie. Les gens ont tellement l'habitude de la voir en colère, distante, ou froide que dès qu'elle sourit - sincèrement - l'atmosphère devient tendue. On ne sait jamais pourquoi elle sourit ni quand elle le fera, tout ce que je dis c'est que c'est très rare et contre sa nature.

    De nature colérique, Amelia s'énèrve rapidement contre quiconque qui se met en travers de son chemin. Elle ne peut pas contrôler ses pulsions, et peut exploser à n'importe quel moment ; à cet instant précis, vous ne voulez pas être avec elle.
    La seule personne qui était capable de la calmer était son père ; désormais, il n'est plus avec elle. Peu de gens sont capables de consoler Amelia sans causer une augmentation de colère. Malgré le fait qu'elle ne se fait pas beaucoup d'ami(e)s, les personnes de son entourage avaient quand même tenté leur chance : en vain. Aujourd'hui, la seule personne qui pourrait la consoler serait un garçon - plus précisément, le petit copain de la meilleure amie de l'aviatrice. Hélas, les hommes n'ont pas accès à Etiopia.

    En général, Amelia reste froide et distante avec les autres. Elle ignore les gens qui l'entourent, et ne fait que son travail, s'empêchant de remarquer ainsi les commentaires - parfois acides - de ses camarades. Anjou a été tourmentée par ces remarques, et ne veut pas revivre ça encore une fois.

    Très renfermée, il n'est pas simple de l'aborder. Il va falloir profiter des moments où elle est ivre ou à moitié endormie pour se lier avec elle, pas à pas. Pour faire ainsi, il va falloir bien suivre ses mouvements, sous peine de rater une belle occasion pour se rapprocher de la jeune aviatrice... Heureusement qu'Amy ne refuse jamais un verre.

    Malgré son apparence stricte et acerbe, quand elle est seule Anjou se laisse aller. Pleurer, rire, dormir, manger gras, ... Seul son père l'a vue autant détendue. Amelia a un plaisir caché : les dessins animés. Avide de mangas, des films Disney et autres merveilles de ce genre, vous pourrez lui parler de dessins animés pendant des heures : certains trouvent ce hobby des plus gamins, d'autres la suivront dans son amour pour les cartoons.

    Sous cette carapace de fer se cache une jeune fille confuse - comme la plupart des demoiselles à Etiopia, en fait. En réalité, son cas n'est pas différent des autres ; une crise d'identité, voilà tout. Mais comme toute fille qui subit ces crises, Amelia a besoin d'être réconfortée, et la compagnie masculine lui manque. Elle n'a jamais voulu entrer à Etiopia ; mais maintenant, elle doit bien s'y faire, non ? Il n'existe aucun moyen de s'extirper de cet étrange village réservé à la gente féminine...


    ■ Travail :
    J'ai l'honneur de travailler l'art de l'aviation, ce métier magique, qui vous emporte loin et alimente vos rêves.

    ■ Ce qu'elle aime :
    Voyager avec mon adorable avion rouge Bessie, écrire des récits sur mes voyages ainsi que des petites histoires, lire tout ce qui me semble intéressant, étudier, le thé, les cookies, ...
    ■ Ce qu'elle n'aime pas :
    J'ai horreur des insectes de tout genre (à l'exception des papillons et des coccinelles), le froid de l'hiver, le froid tout court, le shopping, être en manque d'inspiration, la rouille, les idiotes qui ne travaillent pas, le manque de travail, ...

    ■ Autres :
    Je n'utilise Bessie que pour mon plaisir personnel, est il est rare que j'emmène quelqu'un avec moi. Pardonnez-moi pour la fiche pas très intéressante, je n'avais absolument aucune inspiration quand je l'ai faite ! :(
    ■ Code :
    Une ptite bulle est passée par là
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