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Un nouvel ami. (Pv : Florence)

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Dim 8 Mai 2011 - 18:06
    Comment briser cette solitude infernale dans laquelle elle était enfermée depuis près d'un an. Elle ne le savait pas vraiment. Pourtant, elle avait tenté les rencontres, traînant dans les lieux publiques, dans les bibliothèque, dans les parcs, et pourtant, elle était toujours aussi seule. Pourquoi? Pourquoi rien n'avait changé! Ce monde qu'elle avait quitté parce que justement, elle souffrait de cette solitude malsaine depuis le décès de sa mère, se répétait encore ici, en Etiopia, alors qu'elle avait eu l'espérance que tout cela change. Elle n'était pas heureuse, et elle eut l'impression que la vie se moquait drôlement d'elle.

    Mais pourquoi en blâmer la vie. Elle était responsable de sa propre vie à elle. Elle était maître de son destin. C'était elle qui décidait si sa vie était pathétique, ou non. C'était à elle de décider si elle allait avoir des amis ou non. Peut-être était-ce de sa faute à elle si elle était seule. Il faut dire qu'elle était d'un naturel très timide. Les gens ne venaient probablement pas à elle, parce qu'elle n'allait pas vers les gens. Ou peut-être était-elle trop discrète, elle n'aurait su le dire.

    En ce jour, elle décida donc de quitter sa chambre d'hôtel, et entreprit une nouvelle aventure dans la ville d'Etiopia. Habituellement, elle se dirigeait surtout vers les endroits en pleine nature, mais aujourd'hui, elle voulait voir autre chose. Surtout qu'elle avait une idée en tête. Elle y avait pensé depuis un moment, mais elle ne s'était pas réellement décidé. Mais , si elle ne pouvait forcer une personne humaine à l'aimer, ou à l'apprécier, elle pouvait faire en sorte d'être aimer par quelqu'un quand même...Même si il s'agit d'un animal. C'était quand même mieux que rien non?

    Lorsqu'elle sortie de l'hôtel, elle plissa les yeux à cause de la lumière du soleil. Oui, cela faisait un moment qu'elle était restée dans sa chambre à déprimer. Sans mal, elle trouva rapidement le chemin du quartier des commerces, où normalement il y avait une animalerie. Enfin, dans ses souvenirs, c'était le cas, il y avait un moment qu'elle n'y était pas aller faire un tour. Elle n'avait pas vraiment d'argent à dépenser en vêtement, et autre accessoire, à cause de la fermeture de son salon de coiffure qui n'a pas très bien fonctionner. En poussant la porte de la boutique, elle entendit une clochette, puis elle referma la porte derrière elle. Elle chercha des yeux le coins des chats.
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Dim 8 Mai 2011 - 21:05
Florence, paisible, avait passée l'après midi à livrer bataille avec les aquarium des poissons d'eau chaude, et d'eau froide. A croire que les vitres refusaient le traditionnelle nettoyage de printemps. Armée de sa "raclette" et de son "pschiit pschiit", elle avait passée deux bonnes heures à l'ouvrage. Satisfaite de l'éclat de la vitre, elle s'était attaquée aux aquarium des poissons combattants, plus petit. Lorsqu'à la fin de cette longue journée, elle fut satisfaite des taches réalisées, elle souffla un bon coup et fit le tour de la boutique. Enfin tranquil, il n'y avait personne. Elle était de service pour encore quelques heures, seule, pour arranger ses collègues.
Une idée folle lui traversa alors l'esprit, et si...

Elle se rendit dans la réserve, plus déterminée que jamais. Ouvrant l'œil de bœuf, elle passa son visage à l'extérieur, l'air était de plus en plus doux. Elle se recula et prit dans sa sacoche un classeur. Quelques feuilles volèrent lorsqu'elle sorti pour se rendre derrière le comptoir. Elle referma donc la porte, elle pourrait bien les ranger plus tard, il n'y avait personne à cette heure. Elle passa par dessus le comptoir, posa le classeur, et décapuchonna son stylo.

Elle s'approcha de la cage des lapins, tandis que le rouge gorge entrait par l'œil de bœuf. Elle dit tout haut:

" Je nommerais cette histoire..." Raton l'original".

Florence se mit alors à raconter, son ton, empreint de la plus forte de toute les passions, fut bientôt audible dans toute la boutique, le rouge gorge arrangea une douce mélodie pour acompagner ses paroles, ainsi que quelque figures acrobatiques en accord avec ses gestes:

" Raton l'original était un insignifiant habitant d'un village de campagne, minuscule il était bien curieux. "


Passant ses doigts dans les fentes des barreaux du lieux de résidence des chatons qui semblaient captivé par son activité, elle continua en leur susurrant cette fois :


" Voyez... Même la plus anodine petite boule de poil peut faire la différence ."

Se relevant elle virevolta en direction des aquariums :

" Raton n'avait rien d'exceptionnel, non, il était juste comme vous et moi, déposé en ce monde à la recherche d'un but, d'un espoir, d'un ami.
Il avait cependant décidé de prendre sa vie en main. Il partit faire le tour du monde, les "mains dans les poches". Il vit bien plus d'horreurs que de merveilles, il s'en retourna donc à son vilage et, gravement, annonça aux villageois :

" Camarade, l'heure est grave, je suis venu et j'ai vu. Le monde dans lequel nous vivons est cruel, sans pitié, dans des contrées que j'ai pu visiter, chaque jours des gens meurent. Pour une couleur de fourrure, parce qu'ils viennent d'ailleurs, où pensent différemment.
"

Tout en disant ceci, Florence remonta la bretelle de sa salopette et grimpa sur le comptoir, ses yeux brillait d'une fureur narrative rarement observée. tout en poursuivant, le rouge gorge se posa sur son épaule, elle dit :


" Je vous demande, chers amis, de prendre soin de vous ! on ne dit jamais assez ..."

Elle entendit soudainement la cloche de la porte d'entrée résonner. Elle bondit bien vite du comptoir, elle ne tenait pas à avoir des ennuis. Elle atterrit maladroitement dans l'étagère d'en face et se cogna douloureusement le poignet. Elle souffla un bon coup, et alla voir si la cliente avait besoin de quelque chose. S'approchant délicatement et dissimulant son poignet, sur son passage elle termina la phrase de son récit de plus en plus bas:

"Aux gens qu'on aime qu'on les aime."

elle dit d'une voix calme et pleine d'assurance, apres s'être raclée la gorge:


"Bonjour mademoiselle, bienvenue chez "les copains de Niji" puis-vous renseigner ? "

Tout en faisant un immense sourire à la jeune fille, elle prit conscience de plusieurs choses. L'œil de bœuf était ouvert, son sac l'était également et des feuilles étaient éparpillées dans la réserve. Le rouge gorge n'avait pas sa place ici, le ciel était son domaine. Son classeur et son stylo étaient restés sur le comptoir. Mince... Le rouge gorge continuait sa mélopée...
Elle le foudroya du regard, qu'il se fasse discret, il n'avait rien à faire là ! Mais, évidemment, ça ne l'empêcha pas de poursuivre...
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Florence Amianne
Âme, Corps et Esprit d'Etiopienne ♞
Florence Amianne
Florence Amianne
Age : 30
Messages : 48

Identité
Age: 22 ans
Origine: Franco-Belge
Métier: Gérante de l'animalerie
Florence Amianne
Jeu 26 Mai 2011 - 17:25
    Dès qu'elle entra, elle entendit le bruit familier d'une clochette, suivit d'un son, tout aussi familier, mais d'origine inconnu. Il semblait que quelque chose, ou quelqu'un, s'était cogné contre un autre quelque chose, ou quelqu'un. Mais avant qu'elle puisse se poser la moindre question, une jeune femme apparu devant elle, semblant se murmurer une phrase à elle-même. Maya afficha un sourire incertain. Devait-elle lui demander pardon, et lui demander de répéter? Peut-être pas, si elle s'adressait à elle-même, Maya n'était pas vraiment en droit de savoir ce qu'elle se disait, c'était beaucoup trop personnel, et elle se sentit rassurée par la même occasion, de savoir qu'elle n'était pas la seule à se parler toute seule...

    Son regard fit rapidement le tour de la boutique. Elle avait repérer bon nombre de chaton dans une cage au loin, des papiers qui trainaient un peu partout, une porte mystérieuse était également ouverte, mais son oreille fut attiré par un magnifique son. Elle avait déjà entendu cette mélodie dans la forêt lorsqu'elle s'y aventurait, il s'agissait bien du chant d'un oiseau. Elle ne tarda pas à le repérer, puis, tel une blanche-neige au bord d'un puis, elle tendit son doigt afin de lui offrir un perchoir. Heureusement, elle n'avait aucune intention de continuer cette mélodie avec l'oiseau, car elle était une bien piètre chanteuse, et elle ne voulait pas casser les oreilles de la vendeuse. Vendeuse qui d'ailleurs, attendait probablement que les présentations se fasse, et qu'elle réponde à sa question.

    Elle y reporta toute son attention, abaissant sa main comme le rouge-gorge n'y venait pas. Sa nature timide prit de nouveau le dessus. Même si il n'y avait rien là, elle n'avait pas parler avec quelqu'un depuis des lustres. Elle en oubliait presque la politesse. Elle inclina la tête, façon de saluer, d'où elle venait, puis lui répondit enfin.

    -Je suis venue adopter un animal. Un chat plus précisément. Peut-être pourriez-vous m'en recommander un ?

    Enfin, il s'agissait que d'un chat. Pourquoi serait-il tous différent les un des autres. Elle n'était pas vraiment experte des animaux après tout, et peut-être y avait-il beaucoup de chose à apprendre. En jetant un coup d'œil à la vendeuse, elle se dirigea vers le coin des boules de poils. Se réjouissant d'être si prêt d'avoir un compagnon de vie, qui lui serait toujours fidèle. Mais..les chats étaient-ils fidèles? Car les chiens étaient surnommé les meilleurs amis des hommes...Et les chats eux? Qu'étaient-ils?

    Elle tenta un regard vers les chiens, mais elle se sentait beaucoup moins enthousiasme. Un chien, c'était beaucoup de travail. Tandis qu'un chat, c'était différent. Aussitôt, elle reporta son attention aux chatons, passant ses doigts entre les barreaux pour en caresser quelques-un. Ils étaient tous si mignon, qu'elle redoutait passer le reste de sa journée ici, toujours indécise quant à son choix. Pourquoi pas le petit noir au yeux jaunes? Il semblait joueur, et sa fourrure était très douche. D'un autre côté, le tigré au yeux verts était magnifique, et il semblait tout aussi joueur que l'autre...En fait, ils étaient tous très joueurs, normal pour des chatons. Indécise, elle passa plusieurs fois devant les cages, puis regarda la vendeuse, ne voulant pas trop lui faire perdre son temps.

    Soudain, elle eut une idée. Pourquoi adopter un chaton? Tout le monde voulait des chatons. Parce qu'ils étaient mignons et adorable. Ils étaient en pleine forme, et plus facile à éduquer. Mais l'évidence la frappa, tout ses chatons se vendrait facilement, tandis que...

    Elle se dirigea vers la cage du fond, touuuut au fond de la rangée. Puis elle s'y arrêta, plissant les yeux pour repérer le gros matou qui s'y trouvait. Peut-être était-il là depuis longtemps. Qui sait? Et il avait beaucoup moins de chance de se faire adopter qu'un chaton. Il était seul, comme Maya l'était. Elle se reconnu presque en ce chat, sauf qu'il n'avait pas les poils roses. Elle regarda la vendeuse puis passa par dessus sa timidité pour lui demander de l'information.

    -Pourquoi est-il toujours ici?

    [Désolée pour le temps de réponse choupette.]
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Jeu 26 Mai 2011 - 21:19
Florence voyait pour la première fois de sa vie, une jeune fille aux yeux bridés, bien sur, elle était allée a l'école et comme tout à chacun, avait vu des illustrations de ces prunelles. La réalité était cependant tout autre, ces yeux amandins, courbés, aux paupières si admirablement lissées l'intriguait. Elle ne voulait pas paraitre indiscrète et ne souhaitais pas gênée la jeune femme, qui semblait déjà bien mal à l'aise. Mais son regard se retrouvais cependant , comme le métal vers les amants, fixé sur les yeux de la jeune fille.

Elle se reprit néanmoins, qu'avait-elle donc aujourd'hui ? Elle qui était si calme et placide d'ordinaire. Peut être que la pleine lune était proche ? Et l'oiseau se mit a tourbillonner lentement au dessus de leurs têtes et elle pensa bien fort, on ne sait jamais, peut être la comprendrait-il.


* Si je t'attrapes, je te fais cuir, misérable steak volant ! *

Menace en l'air. Comment une personne amoureuse de la nature et plus particulièrement de la faune pourrait-elle rôtir un rouge gorge ? En tout cas, Florence ne possédait pas la réponse a cette question.
La jeune femme voulait donc une douce boule de fourrure pour lui tenir compagnie, judicieux choix.
Florence s'exprima donc d'une voix posée :

" Vous souhaiteriez faire d'une de ces craquantes boules de poils, votre ami. Les chatons sont très joueurs et font beaucoup de bêtises. Vous voyez le petit noir avec le bout de la queue orange ? Et bien c'est une véritable furie, charmant, et adorable cela va sans dire, mais canaliser son énergie est une véritable épreuve.
Je ne savez pas si vous avez remarquée mais il y a beaucoup de cages avec quatre chatons dans chacune d'elles. Chaque espèce est ici représentée. Les Gouttières sont dans le fond, tandis que les Persans, les Maine Coons, les Siamois, et que sais-je encore, se trouve plutôt devant. Je vous conseil un Gouttière. En revanche, il y aura un petit problème pour votre chaton. La solitude leurs pèsent, si bien que je vous recommande grandement d'en prendre deux.
Il vous semble probablement que c'est "un peu, beaucoup", seulement..."


Elle baissa d'un ton, sa voix était encore plus calme qu'a l'accoutumée :

" Si nous vivions sur une ile déserte avec... Des éléphants par exemple, nous aurions de la compagnie, des jeux, des rires, mais nous n'aurions personne a qui parler, qui comprendrait notre langue. Et bien il en est de même pour les chats. Ils sont malheureux seuls. "

Elle put voir la jeune fille, qui semblait tout à fait absorbée par ses pensées et n'avait probablement pas prêtée la moindre attention a ce qu'elle venait de dire, se diriger vers les gouttières. S'arrêtant face à la dernière cage elle put l'entendre demander pourquoi le chat blottit au fond de la cage était encore ici. Florence s'empressa de sortir le trousseau de clef de sa poche et ouvrit la cage, le gros minet , effrayé murmura un petit miaulement plaintif. Elle l'attrape doucement et le prit dans ses bras, bien gentillement, et répondit enfin:

" Et bien, ce chat est ici, car il est bien trop... Gentil. La gentillesse n'est peut-être pas un défaut, or pour lui, c'est un véritable handicap. Quand il est arrivé, pas plus gros qu'une noix, il était le petit dernier de sa porté, famélique et peureux. Je l'isolais pour tenter de lui donner a manger, mais il ne supportais pas de se sentir privilégié face aux autres j'imagine, si bien qu'il perdait de plus en plus de poids. Je me suis vu obligée de le mettre dans une cage a part. Il a fini par reprendre des forces. J'ai voulu lui donner un peu de compagnie, il s'entendait merveilleusement bien avec une chatte rouquine, mais elle a été bien vite adoptée, tandis que lui, trop hirsute, restait ici.
Je l'aime vraiment beaucoup, alors j'ai décidé de ne plus placer un compagnon à ses cotés, depuis le dernier qui lui a broyé la patte."


En guise de preuve, caressant et embrassant gentillement la tête du félin pour l'apaiser, elle étendit sa patte où le pelage repoussait à peine sur une plaie à demi cicatrisée. Elle le posa au sol et il s'assit gentillement sur son séant, fixant les deux sans fourrures qui l'observait avec de tendres regards.


[HS: Pas de soucis, je te l'ais déjà dis miss =3 !]
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Florence Amianne
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