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Une entrée aux pays des rêves (?) [ l i b r e - f i n]

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Mer 27 Juil 2011 - 12:07
Une entrée aux pays des rêves (?)

    Parce qu'il y a un commencement à tout ...

La scène qui se produisait devant ses yeux d’un scintillant jaune peu normal avait l’air de sortir tout droit d’un compte pour fille. Un portail s’ouvrant à une jeune demoiselle qui semblait être en détresse, sortant de nulle part, il amène cette demoiselle dans un monde meilleur … Oui, c’est à cela que ça pouvait ressemblait, mais, Akira avait plus l’impression d’être dans un rêve qu’autre chose tant ce qui se trouve autour d’elle semblait si … Irréel. Après tout, comme réagiriez-vous si une porte surgissait d’un seul coup devant vos yeux ? Dur de ne pas y prêter attention d’autant plus qu’elle était comme aspirée par ce dernier, ses jambes ayant prit possession de son corps pour s’enfoncer dans ce portail « magique », car c’est ainsi qu’elle ne voyait, même si elle avait plus de mal à y croire qu’autre chose, c’était complètement fou ! Non impossible … Ca devait être une mauvaise blague, une projection beaucoup trop réaliste, un vidéo gag, oui ! Cela devait être une connerie dans ce genre, c’est la seule explication possible dans ce moment de délire.

Malgré tant de questions qui se bousculaient dans sa tête, la jeune femme restait calme, elle n’a jamais été du genre à paniquer, de toute manière, paniquer ne servait à rien, sauf empirer la chose. C’est pour cela qu’elle se contentait de suivre le chemin qui se traçait à elle avant de tomber sur une grille. Regardant celle-ci sous toutes ses coutures, elle se demandait ce qu’elle devait faire désormais et, effleurant à peine les barreaux de fer, la grille s’ouvrit devant elle, comme si le contact de sa peau contre ce métal froid avait réveillé ce nouveau portail qui l’invitait à entrer. Son cœur s’emballa sous sa poitrine, même si elle ne paniquait pas, cela était de plus en plus étrange et elle se demandait dans quelle histoire elle s’enfonçait. Posant sa main, ou plutôt, son poing sur sa poitrine, juste au-dessus de son cœur, elle sera un peu plus le poing avant que ses jambes ne décident enfin à bouger et elle s’engagea alors pour passer ce nouveau portail …

Tout semblait normal autour d’elle, du moins, à première vu et pourtant, tout semblait irréel, sortant tout droit de l’imagination d’une petite fille qui rêverait de vivre dans son conte préférée que sa maman lui raconte toujours enfant, sauf que là, ce n’était pas voulu et Akira ne comprenait vraiment rien à tout cela. Secouant la tête dans tous les sens, elle décide alors de repartir, mais, lorsqu’elle se retourna, la grille s’était déjà refermée sans le moindre petit bruit. Les yeux légèrement écarquillés, Akira hésita une petite seconde et s’approcha de nouveau du portail, essayant de trouver comment ouvrir celui-ci, mais apparemment, ça ne servait à rien. C’était comme si on l’avait amenée ici pour ensuite l’enfermer dans cette cage doré qui n’avait rien à faire au beau milieu d’une ville du Japon ! Prenant une grande bouffée d’air, elle se remit ainsi les idées en place et se mit alors à réfléchir en passant sa main dans ses cheveux, ses doigts s’entremêlant à ses cheveux décolorés avant de les laisser de nouveau tomber. Bon, si elle a pu entrer ici, il doit obligatoirement y avoir une sortie et puis … Si un portail se trouve ici, c’est qu’une maison doit être dans les parages ! Peut-être qu’en trouvant celle-ci, ou une quelconque personne, elle comprendrait mieux la situation. Enfin … Elle avait beau regarder autour d’elle, elle était perdue et ne savait pas quoi faire.

Un soupir s’arracha d’entre ses lèvres avant qu’elle ne se laisse tomber à genoux, yeux fermés, tête baissé, elle semblait abattu, mais non, juste d’horrible maux de tête venait de l’agresser alors qu’elle réfléchissait à une solution. Akira devait vraiment arrêter de se prendre ainsi la tête, ou plutôt, de s’embrouiller. Elle resta alors là, assise sur ses genoux, les mains posés sur le sol comme s’ils retenaient son poids ou le poids qu’elle avait en elle. Que pouvait-elle faire désormais ? Attendre que cette douleur se calme et trouver une personne qui saura l’aider …
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Mar 2 Aoû 2011 - 12:09
J'espère que ma petite présence dérangeras pas =)
- Ubu c'est le matin.

J'étais toute excitée parce que depuis des jours il n'avait pas fait beau. Et la je voyais le soleil qui tapait dans la fenêtre du dortoir. Oui c'était ici que je dormais depuis que j'étais arrivée. Maman m'avait toujours dit que il fallait dormir dans un lit avec des draps en satin, mais là je dormais enfin dans un lit comme les autres enfant normaux. J'adorais cette longue pièce entourée de lits. Je pouvais toujours m'amuser à regarder mes amis dormir, avec Ubu.

Je sautais de mon lit pied nue et m'aventurais jusqu'à l'armoire. Elle était tellement haute et grande. Mais moi je voulais prendre mon habit jaune, celui que la dame d'ici m'avait donné en arrivant. Je le voulais mais il était trop haut. Même si je me mettait sur la pointe des pieds j'arrivais pas. J'ai même mis Ubu sur ma tête pour qu'il le prenne pour moi, mais rien à faire.

Je poussais alors un gros soupir de déception et pris un vêtement qui était sous ma main. Je ne savais pas si il était à moi, mais c'était pas important. Je vais pas le voler, je vais le ramener après ici. Mais je peux pas sortir dehors tout nu. Bien que moi je voudrais faire comme Ubu. Mais les dames ici m'ont dit que ça se faisait pas. Et c'es vrai, maman non plus me laissait jamais. Comme c'est dur la vie d'un enfant. Cet habit me flottait vraiment dessus. On aurait dit une robe, mais il avait la forme d'un pull et en plus il me tombait sur les épaules. J'avais caché mes seins dans un tissu blanc élastique et heureusement, parce qu'avec ce grand, trop grand habits, on les voyait à chaque instant. Mais c'était pas le plus important. Moi je voulais sortir dehors me promener. Et qui sait, trouver un autre ange ou voir grand frère.


- Ubu t'es prêt? On y va.

J'enfilais mes petites sandales blanches et je les ai mise très vite. Exactement dix minutes. Et je vous promet que c'est vite, parce qu'elle sont dures à mettre ces chaussure. C'est ainsi que je poussais la lourde porte de la garderie et commençait à gambader dans l'herbe fraîche, tenant Ubu par la main et chantant une chanson que j'avais inventée sur le moment.

Nos pas nous menèrent jusqu'au grand portail, où je vis une créature étrange qui essayait de sortir du village. Elle avait de tellement long cheveux, et ils étaient si blanc. C'était incroyable. Peut-être que c'était une licorne? Une licorne humaine je veux dire. Qu'est-ce qu'elle était belle. C'est alors qu'elle tomba sur les genou se tenant la tête. La pauvre, s'est sa corne qui repousse peut être? Il faut que j'aille voir toute suite. C'est pourquoi je me dirigeais en courant vers la dame licorne. Arrivée à ses côtés je n'eu pas besoin de m'agenouiller, sa tête était à quelques centimètre plus bas de la mienne.


- Vous avez mal à votre corne?

Lui dis-je en me penchant en avant et tournant la tête sur le côté pour essayer de voir si cette corne allait sortir. Puis je me redressais et lui mis une main sur la tête, comme pour l'encourager. J'aimais ce village, et les gens qui y vivaient. Ils avaient tous quelque chose de magique et enchanteur, et chaque jour je découvrais de nouvelles choses.

- Vous savez, je pense que vous devriez boire un thé au tournesol. Vous auriez moins mal à la tête.

Et sans réellement attendre sa réponse, je saisi sa main qui tenait le sol comme pour l'aider à la remonter et lui sourit. Cette licorne semblait triste. Peut être qu'elle avait perdu quelqu'un elle aussi. Elle avait besoin de mon aide. Moi et Ubu on sait toujours comment remonter le moral et soigner les blessures. Les blessure pas visibles hin. Parce que l'autre fois une fille était toute en sang et j'ai du la laisser à l’hôpital avec une grande dame. Cette dernière avait dit qu'on ne pouvait rien faire. Et j'étais d'accord avec ça.

- Je me nomme Louise. Louise De Strelitz-Reuss.
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Louise De Strelitz-Reuss
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Louise De Strelitz-Reuss
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Louise De Strelitz-Reuss
Mer 3 Aoû 2011 - 19:24
Une entrée aux pays des rêves (?)

    Rencontre avec l'innocence

Depuis combien de temps se trouvait-elle là ? Ainsi à terre ? Oh, très peu de temps je vous l’assure, à peine eut-elle reprit « conscience » qu’elle se retrouve avec une personne juste en face d’elle, du moins, elle ne voyait que ses pieds pour le moment et leva doucement la tête pour voir qui lui parler, en tout cas, la voix était douce et enfantine et c’était bien le cas … Elle découvrit une fillette juste devant elle, qui l’observait de ses yeux à la couleur de la mer des îles paradisiaque, d’un bleu si clair qu’on a l’impression de pouvoir voir à travers, ses cheveux pendant autour d’elle lorsque la fillette se pencha vers notre demoiselle pour voir si elle allait bien. Akira la fixait sans rien dire, se demandant plutôt ce qu’une enfant faisait seule ici. Où étaient donc ses parents ? Elle semblait si jeune et elle est tellement mignonne qu’elle risquait de tomber sur une personne mal intentionné. Non vraiment … Comment ses parents pouvaient-ils la laisser seule ? Ils n’avaient donc vraiment pas peur ? Akira avait beau regarder autour d’elle qu’elle ne voyait aucun adulte et même pas la moindre personne tout court d’ailleurs ! Mais que se passait-il ici ? Ou était-elle ? Et zut ! Voilà que ses maux de crâne revenez à toute allure, l’enfer ! Se tenant de nouveau la tête, la demoiselle aux cheveux blanc tenter de se reprendre tandis que la gamine lui proposer de boire un thé.

N’ayant même pas le temps de dire quoique ce soit, la voilà qu’elle se faisait entrainer par la fillette aux cheveux couleur du blé. Se redressant, elle observait l’enfant largement plus petite qu’elle et qui ne faisait que confirmer une fois encore qu’elle était vraiment jeune, d’ailleurs … Quelque chose l’a frappa, elle ne ressemblait en rien à une japonaise. Sa peau n’était pas métissé, ses yeux non bridé et il y a peu de chance pour qu’une enfant de son âge se teigne déjà les cheveux ou mettent des lentilles, à moins qu’elle soit une enfant adoptée tout comme elle, quoique … Akira venait de se rendre compte de quelque chose, elle ne parlait pas japonais mais une autre langue ! Mais alors, comment arrivait-elle à la comprendre si facilement ? Les yeux d’Akira s’écarquillèrent, essayant de comprendre ce qu’il se passe, se trouvait-elle en plein rêve ? Possible, comment savoir ? C’était si réel mais en même temps, bon nombre de rêve semble réel et puis, quelque chose lui revint à l’esprit … Pourquoi lui avait-elle demandée si elle avait mal à sa « corne » ? Que voulait-elle dire par là ? Oh non ! Il faut qu’elle se calme avant qu’une nouvelle douleur n’arrive !

Sortant de sa douleur, elle réagit enfin, l’enfant venait de se présenter sous le nom de Louise de … Euh … Ouais, comme l’avait pensée Akira, elle n’était pas japonaise, mais quoi alors ? En tout cas, la demoiselle se décide enfin à parler.

    « Akira, Kusuri Akira et euh … Pourquoi m’as-tu demandée si j’avais mal à ma « corne » ? »

Elle la regardait, avançant avec elle pour se laisser guider par Louise, elle semblait connaître le coin, donc, autant en profiter, d’ailleurs … Peut-être savait-elle où elles se trouvaient ! Bonne idée, enfin dans un sens, elle était jeune, peut-être qu’il y a des choses qui la surpasse également mais qu’importe, autant tester !

    « Dis moi, où sommes-nous ici et … Où sont tes parents ? C’est dangereux pour une fillette de se promener seule et surtout d’aider des inconnues. »

Il est vrai que Louise était tout de même imprudente, elle l’aide alors qu’elle ne la connaissait pas du tout, elle pourrait très bien être une psychopathe de service ! Akira espérait ne pas avoir embrouillée l’esprit de cet enfant avec tant de question …
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Dim 7 Aoû 2011 - 14:46
Lorsqu'elle attrapa ma main, la fille aux magnifiques cheveux blancs sembla s'envoler. Elle était si légère, comme une plume, que je n'eut besoin de faire aucun effort. J'étais la, entrain de lui tenir la main, si douce, sans me rendre compte qu'il s'agissait en fait d'une main humaine. J'aurais presque cru que je tenais un nuage. C'était une sensation angélique, elle ne pouvait qu'être une licorne. Alors je souris et commençait à gambader, comme à mon habitude. La jeune demoiselle derrière moi me suivait sans être altérée par mes petits sauts, ce qui la rendait vraiment magnifique. Elle s'était présentée sous le nom d'Akira, Akira Cou Souris. Je trouvais drôle ce nom de famille. En plus elle avait fait semblant de ne pas comprendre ma question au sujet de sa corne, mais moi je savais que c'est parce qu'elle avait peur d'être repérée, alors je fis comme si je ne savais rien et comme si je n'avais rien dit.

Nous continuâmes d'avancer et je voyais les yeux gris de la licorne qui scrutaient l'horizon comme si ils n'avaient jamais vu un tel endroit. N'empêche, cette créature venait peut être d'arriver tout juste au paradis? Oui c'était sûrement ça. J'avais eu la même réaction la première fois que j'avais pénétrer le portail. Tout était si beau ici. On m'avait appris alors que le paradis avait un nom et qu'il s’appelait Etiopia. C'était joli, ça sonnait comme Utopie. C'est pourquoi lorsque ma nouvelle amie me demanda où nous nous trouvions je répondit :


- Nous sommes au Paradis. Etiopia qu'il s'appelle.

Je me retournais pour faire face à mon interlocutrice. Derrière moi s'élevait à présent le clocher de l'église verte. Elle était particulière car entourée de plantes et de fleurs. Mais avec le soleil derrière, elle était vraiment splendide. J'aimais beaucoup aller sur la terrasse de la maison de thé, dans la forêt, pour avoir cette vue magnifique sur le village. Je continuais d'avancer, ou plutôt de reculer dans la direction de l'hôtel, tout en tenant encore cette petite main douce comme du coton. Quand Akira me demanda où étaient papa-maman et pourquoi j'étais toute seule, je levais mon ours en peluche jusqu'à ma poitrine.

- Je ne suis jamais seule. Il y a toujours Ubu avec moi. Ubu me permet de communiquer avec Grand Frère qui est parti. Dans un autre paradis sûrement.

Puis je serrais mon petit animal contre mon coeur. C'est vrai qu'il était toujours avec moi, et j'avais moins peur avec lui. Parfois il faisait des bêtises, mais au moins ça me donnait l'expérience de le gronder et d'être une brave maman plus tard. Maman...c'est vrai qu'elle me manquait. Mais je sentais au fond de moi qu'elle allait bien. C'était elle qui m'avait envoyé ici, dans cet oiseau en métal volant, avec cet homme vêtu de noir qui m'avait poussé et fait volé dans le ciel avec un sac dans mon dos.

- Papa et Maman ne sont pas ici. C'est eux qui m'ont envoyé. Maman disait que je devais partir avec un monsieur. Parce que c'était pour mon bien. Et après, dans ce grand endroit plein de gens, je l'ai plus revue. Et j'ai sauté de l'engin que le Monsieur appelait avion, et je suis arrivée ici. Et toi? Tu es arrivée par où? Ta maman et ton papa aussi t'ont envoyés ici?

Je fit une tête de quelqu'un qui réflechissait. Les licornes ont des parents elles aussi non? Ou elles naissent sous les arc-en-ciels? Non...c'est les poney qui naissent sous les arc-en-ciels. Enfin...je crois. Je ne suis plus sûr. J'en ai jamais rencontré...
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Louise De Strelitz-Reuss
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Louise De Strelitz-Reuss
Lun 8 Aoû 2011 - 22:22
Une entrée aux pays des rêves (?)

    Le paradis existe-t-il vraiment ?

Le paradis dit-elle ? Ainsi, Akira serait-elle morte ? Mais, comment ? Elle ne se souvient pas d’avoir eu un quelconque accident lors de son trajet et puis, depuis quand le paradis possède-t-il un nom ? À moins que ça ne soit l’imagination de cet enfant, qui croyait déjà que notre demoiselle possédait une corne, qu’elle se trouvait au paradis. Non, ça devait être autre chose, ça ne pouvait pas être cela et, même si cet endroit semblait irréel, il ne pouvait en aucun cas s’agir du paradis, elle en était persuadée, à moins qu’elle ne refuse la réalité tout simplement … L’esprit embrouillé, elle ne savait vraiment plus quoi penser et elle ne pouvait pas non plus continuer ainsi à réfléchir sinon, elle risquerait bien d’avoir de nouveau une migraine des plus atroce. Continuant à la suivre sans contredire Louise par rapport au fait qu’elles se trouveraient au « paradis », elle attendait la réponse à son autre question, une plutôt importante concernant cette fillette innocente qui se trouvait dans un tel endroit désert, du moins, désert à première vu. Akira n’avait rencontrée que Louise depuis qu’elle s’était retrouvée enfermée de l’autre côté de ce portail. Au début, la réponse de l’enfant l’amusant et un sourire apparaissait sur son visage angélique, la suite par contre, effaça immédiatement ce radieux sourire.

Son grand-frère était mort, elle le réalisa fort bien et Louise devait probablement s’attendre à ce que son frère se trouve ici, dans cet endroit qu’elle nommait « paradis », mais, ne semblait pas triste de parler de cela. La suite n’était en tout cas pas mieux aux yeux d’Akira. Ses parents n’étaient donc pas ici et c’était eux qui l’avaient envoyés dans cet endroit, pourquoi ? La suite sema le doute dans l’esprit de la demoiselle. Louise aurait sautée d’un avion avant de se retrouver ici, était-elle morte ? Était-ce réellement le paradis ? Alors elle aussi était morte ? Non, elle n’avait pas eu d’accident ! Elle ne s’était ni fait percuter par une voiture, ni tombée d’une grande hauteur, alors, pourquoi a-t-elle eu accès aux portes de ce soi-disant paradis que Louise avait appelée … Euh … Comment l’avait-elle appelée ? Ah oui. Etiopia. Plutôt étrange de donner un nom à un paradis, quoique de toute manière, Akira n’y connaissait rien et n’y croyait pas, alors tout cela lui semblait impossible malgré sa confusion.

La question fût retournée à son envoyeur. Son père et sa mère ? Ah oui, c’est vrai … Elle les avait oubliée avec tout ça. Qu’allaient-ils dire s’ils ne voyaient pas Akira rentrer ce soir ? Son grand-père allait probablement cracher les pires insultes à ses parents la concernant, comme quoi elle n’était qu’une gamine bien trop gâtée qui se trouvait être en pleine crise d’adolescence avec son look plus que « provocateur » comme il le dit alors que ce n’était rien de tout cela … Son regard se voila soudainement de tristesse. Et ses vrais parents ? Pensaient-ils à elle ? Non, impossible … Sa mère biologique était morte, elle se trouvait dans un « autre paradis », tout comme le grand-frère de Louise et son géniteur ignorait sa naissance. Un léger sourire frôla ses lèvres, un sourire tout aussi lourd en tristesse que son regard, mais, elle finit par faire disparaître tout cela, à quoi bon y penser ? Elle posa ses yeux jaune sur la fillette et lui sourit sincèrement avant de lui répondre enfin.

    « Non, ce ne sont pas eux qui m’ont envoyés ici. Je suis tombée ici par pur hasard et je ne sais pas trop comment retourner chez moi. Saurais-tu comment partir ? Ou connais-tu une personne capable de répondre à mes questions qui risqueraient d’être un peu compliqué pour toi ? »

Elle ne voulait en aucun cas vexer Louise en lui demandant si elle ne connaissait pas une autre personne apte à comprendre et répondre à ses questions. Elle appréciait plutôt bien la compagnie de cette charmante fillette, mais, elle devait savoir où elle se trouvait exactement, pourquoi et comment repartir d’ici …
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Dim 14 Aoû 2011 - 13:23
Je continuais de marcher en tenant la main de la grande licorne blanche. Elle était fraîche et malgré la chaleur de dehors j'avais pas la main toute mouatte. Enfin, je sais pas comment on dit. Mais maman disait quelque chose comme ça. Mouatte. Cela ressemblait à Mouette. Quand on a la main un peu mouillée et collante en tenant la main de quelqu'un d 'autre. Oui.

Je marchais sur ces petits cailloux qui ne me faisaient pas mal aux pieds bien que j'étais en sandales. La maire avait fait vraiment un beau travail sur l'entrée du paradis. C'était trop beau, comme dans les rêves. Bon c'est normal, parce que quand on rêve on voit le paradis. Mais là c'était presque encore plus beau. Plein de verdure, plein de fleurs, plein de bonnes odeurs. Et puis ces animaux magiques donnaient une touche de merveilleux en plus. Alors je continuais d'avancer vers la mairie. Et je n'avais pas tord car quelques secondes après le magnifique sourire blanc comme ses cheveux, la licorne me répondit qu'elle cherchait des réponses à ses questions.

J'aurais bien voulu lui répondre moi, mais...c'est vrai je ne savais sûrement pas toutes les choses que savent les grands, et encore moins ce que savent les licornes. Donc la maire devait être la plus apte pour elle. Par contre, j'avais vraiment envie de lui dire quelque chose :


- Vous voulez partir Dame Licorne? Mais tout le monde aimerait venir au paradis ! Personne n'a jamais voulu partir d'ici vous savez. C'est un super endroit. Toutes les filles qui s'y trouvent sont gentilles. Et puis mes institutrices disent qu'ici je pourrais trouver une amoureuse. Je suis sûr que vous aussi. En plus vous êtes trop belle. Moi je sortirais bien avec vous, mais je suis trop petite.

Je souris et je l'amenais jusqu'en face de la mairie. Là, la maire aurait pu la renseigner mieux que moi. Mais je ne comprenais pas pourquoi toutes les filles, ou presque, qui arrivaient à Etiopia demandaient toutes à repartir. En plus elles avaient toutes l'air déprimée, mal en point, triste, ou avoir peur de leur passé. Alors pourquoi repartir si ici elles étaient en sécurité. Il fallait que je le dise à cette fille.

- Vous savez, ici vous êtes en sécurité.
[ Je pense tu peux poster à la mairie maintenant, dans le hall. =) ]
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