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Rentrée tardive [Fini]

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Sam 30 Avr 2011 - 19:56
Ainsi se terminait la première journée de Firea sur Etiopia. Elle avait commencé en fin d'après-midi, à son arrivée au portail. C'est là qu'elle avait rencontré Miria, sa première amie dans ce nouvel endroit, et qui lui avait déjà fait connaître quelques expériences - rien de très folichon, mais c'était déjà beaucoup pour elle, jeune fille totalement inexpérimentée.

Cette journée avait été chargée, mine de rien. Elle avait changé de monde en un instant, commencé à visiter la ville en compagnie d'une charmante jeune fille et passé la soirée avec elle dans un bar qui faisait aussi strip-club. Elle en avait plus vu ce jour-là que durant tout le reste de sa vie. Et à présent, en plus d'être un peu alcoolisée, elle était crevée.

Miria l'avait raccompagnée jusqu'à l'hôtel, puis elle avait retrouvé le bon couloir toute seule. Elle était à présent devant la porte de sa chambre, à minuit passé. Elle se demandait si ses colocataires étaient là cette fois, et si elles dormaient. Elle était passée dans sa chambre en fin d'après-midi pour se changer et se doucher, mais il n'y avait personne. Or, cette fois, il était logique qu'elles seraient là.

Elle frappa à la porte, d'abord doucement vu l'heure qu'il était, puis plus fort : il fallait quand même qu'elles l'entendent, si elles étaient là. Elle attendit quelques minutes, mais rien. Alors elle ouvrit, encore une fois avec sa clé, et poussa la porte.


« Il y a quelqu'un ? »
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Firea Shaun
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Firea Shaun
Mer 4 Mai 2011 - 19:22


J'avais passé la journée la plus longue de mon existence à la clinique. Les infirmières avaient été sans appel, et m'avaient gardé beaucoup trop longtemps, malgré ce que je leur avait fait subir. Elles avaient du mérite, et si j'avais été une fille sympa, je les aurait félicité pour m'avoir supporté. Mais je n'en était pas une, et je m'étais barrée en arrachant mes pansements.

Je caressais pensivement la croute qui me barrait le poignet. J'espérais qu'elle ne fasse pas de cicatrice, de sorte à ce que personne ne puisse voir cette faiblesse passagère. J'avais tout de même du mal à croire que je me trouvais dans un genre de paradis pour gouines dépressives.

J'étais accoudée à la fenêtre, une clope au bec, profitant de ma solitude et de la brise fraiche du soir. Je m'étais mise à l'aise dans ma nouvelle chambre, en sous-vêtements. J'étais une fanatique des sous-vêtements – ainsi que des chaussures et des sacs à mains. D'ailleurs, toutes ma collection de vêtements était arrivée ici par je ne sais quel tour de passe-passe. Sept énormes valises m'attendaient à mon arrivée à l'hôtel. J'espérais que toutes mes affaires s'y trouvaient – je m'étais attachée à mes vêtements et à mes cosmétiques (en particulier à ma multitude de vernis à ongles).

Et si ma paire de Louboutin avait été oubliée dans l'affaire ?

Cette pensée me glaça le sang, et je ne puis m'empêcher de défaire mes valises une à une à la recherche de ma paire d'escarpins préférées. Heureusement, elles se trouvaient dans la valise dédiées spécialement à ma collection de chaussures. Je poussais un soupir de soulagement avant de me resservir un verre de vin que je dégustais lentement. Je m'étais acheté cette bouteille de Mouton Rothschild 1945 sur le chemin de l'hôtel (celui qui avait battu le record du vin le plus cher du monde en 2006). C'était un privilège que de gouter à son arôme puissant et enivrant.
Vivement que je me trouve un métier, parce qu'à ce train la, j'aurais des ardoises dans toutes les boutiques d'Etiopia au bout d'une semaine.

Je reposais le verre vide sur le rebord de la fenêtre et repris ma position initiale, les yeux dans le vague, quand quelqu'un frappa à la porte. Je n'étais vraiment pas d'humeur à discuter ; si c'était une visite, elle n'aurait qu'à attendre demain. Les coups se répétèrent, plus insistants. J'espérais que la personne s'en aille rapidement. Les frappements s'arrêtèrent, et je pensais que la demoiselle était partie, quand la porte s'ouvrit à mon grand agacement.

- Il y a quelqu'un ?

C'était une jeune femme aux cheveux coupés à la garçonne. Maintenant que j'y pensais, ce devait être ma nouvelle colocataire – j'avais vu quelques affaires éparpillées sur le lit du haut. J'avais totalement oublié le coup de la coloc'. Je la classais immédiatement dans la catégorie des filles « qui ne cherchent pas à être féminines et qui s'en foutent de leur apparence », un comportement que je n'avais jamais réussi à comprendre. Pour moi, toute ma vie était basée sur mon physique.

Le fait que je me trouve en lingerie fine, composée de dentelle noire, de porte-jarretelle et de bas devant une parfaite inconnue qui semblait assez gênée ne me dérangeais pas vraiment. J'aimais qu'on me regarde, qu'on m'admire, que ma simple présence trouble.

L'inconnue semblait légèrement pompette. J'hésitais entre m'amuser à la séduire où garder une relation saine et distante de copines-coloc'. Je savais à quel point une colocation pouvait mal tourner, et cette demoiselle serait surement la seule d'Etiopia que je ne draguerais pas, sinon, la situation risquait d'être invivable.

- Bonsoir, ravissante demoiselle, lui-répondis-je enfin. Tu es ma nouvelle colocataire ? Je m'appelle Tess, enchantée.

Je n'avais pas pu m'empêcher de dire cela d'une manière suave et glamour, agrémenté d'un sourire séducteur. Comme quoi, parfois on ne contrôle pas ses pulsions...


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Mer 4 Mai 2011 - 20:01
Firea avait écarquillé les yeux en voyant sa nouvelle colocataire. Elle avait imaginé plusieurs situations : une jeune et gentille fille un peu timide, peut-être même avec des lunettes ; une femme d'affaires, ou encore peut-être une adolescente rebelle et dévergondée. Elle s'attendait à une jeune fille en train de dormir, avec qui elle aurait fait connaissance le lendemain après s'être couchée en essayant de ne pas faire de bruit. Mais elle n'avait pas imaginé ça. Ses joues étaient encore légèrement rosies par l'alcool, mais ce rose avait pris en intensité quand elle avait vu le corps exposé de la magnifique jeune femme qui l'attendait dans la chambre.

Les yeux toujours agrandis, elle ne put s'empêcher de l'observer, oubliant son impolitesse. Était-elle en train de rêver ? Pourquoi une femme en sous-vêtements était dans sa chambre ? Elle cligna des yeux, puis referma la porte. Elle se frotta les yeux, mais elle était toujours là.

Elle était superbe. Sa silhouette se détachait dans la légère clarté de la nuit due à la lune et aux étoiles. Ses cheveux blonds tombaient dans son dos, camouflant ce qui semblait être un tatouage qu'elle n'arrivait pas à distinguer dans l'obscurité. Les yeux qui la fixaient d'un air amusé étaient d'un joli bleu clair, et les lèvres qui lui souriaient étaient fournies et rouge sombre. Son corps à la poitrine généreuse et à la courbe des hanches bien marquée était orné de très délicats sous-vêtements en dentelle noire, dont un porte-jarretelle et des bas.

Firea n'avait jamais vu une femme plus séduisante ; elle ressemblait à un mannequin, ou à une de ces femmes chics et sexy que l'on ne voit que dans les films. C'est pourquoi sa présence semblait si incongrue devant elle, simple fille banale et pas très jolie. Elle remarqua qu'elle fumait ; l'odeur lui arriva au nez qu'elle retroussa. Elle n'aimait pas tellement la fumée de cigarette, mais elle était trop ébahie pour en tenir réellement compte.

Après l'avoir observée un certain temps, d'abord avec un air neutre - elle avait même cru apercevoir un éclair de dédain sur son visage, mais il s'était rapidement changé en visage souriant et séducteur. Elle lui adressa enfin la parole.


« Bonsoir, ravissante demoiselle. Tu es ma nouvelle colocataire ? Je m'appelle Tess, enchantée. »

Ce qu'elle avait dit était plutôt simple, mais elle l'avait dit d'une telle façon que Firea ne se sentait plus, complètement sous son charme. Elle qui n'était pas habituée aux femmes, elle en voyait décidément beaucoup, ce jour-là. Et voilà la cerise sur le gâteau. Très jolie cerise, qu'on avait envie de croquer.

Elle ne savait pas si elle devait la tutoyer ou la vouvoyer. Elle avait d'abord pensé au deuxième choix, mais elle s'était souvenue qu'elle allait vivre avec elle en tant que colocataire. Il fallait qu'elle essaie d'être en bons termes dès le début.


« Je... Désolée de te déranger. Vu qu'il y avait personne tout à l'heure, je pensais que ça serait toujours le cas, ou alors que tu dormirais... »

Elle avait du mal à se concentrer et à ne pas fixer ses yeux sur son joli corps. Puis elle se souvint qu'elle s'était présentée. Tess. Était-ce un diminutif ? Surnom ou pas, ça lui allait très bien.


« Euh... Enchantée, Tess ! Je m'appelle Firea, et oui, je suis ta nouvelle colocataire. Je suis arrivée aujourd'hui à Etiopia. »

Elle se décida enfin à bouger, s'approchant de son lit et remarquant enfin le désordre qui s'était ajouté depuis sa première venue dans la chambre. Plusieurs énormes valises étaient jonchées sur un des lits, et la plupart étaient ouvertes, éparpillant diverses chaussures, vêtements et cosmétiques. Un parfait contraste avec Firea, qui n'avait qu'une petite valise. Elle semblait être une femme à prendre soin d'elle et de son apparence. Elle pouvait se le permettre, belle comme elle l'était ; elle se demanda soudain comment elle serait, au naturel.
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Firea Shaun
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Firea Shaun
Mer 4 Mai 2011 - 21:42


Je m'amusais beaucoup de la réaction de la demoiselle ; elle semblait être tombée nez à nez avec une genre de déesse. J'avais conscience de ma beauté, mais je ne pensais pas pouvoir époustoufler à ce point quelqu'un. Même les hommes qui étaient tombés à mes pieds n'avaient pas eu une telle réaction en me voyant pour le première fois. J'en déduisis qu'elle ne devait pas être très expérimentée – voir pas du tout vu tout le temps qu'elle prenait à me regarder.

Je remarquais qu'elle fronçait son adorable petit nez, et j'écrasais ma cigarette à moitié entamée. Cette odeur dérangeait ceux qui n'y était pas habitués – le genre de personne que je n'avais pas rencontré depuis bien longtemps. Je me retournais vers elle et m'appuyais sur le fenêtre pour mieux l'observer. En même temps, je glissais très discrètement mon poignet gauche dans l'ombre. Je ne voulais pas qu'elle voit la seule chose qui pouvait montrer à quel point j'avais pu me sentir mal. Elle ne semblait pas avoir remarqué mon petit manège, très occupée à hésiter sur la manière dont elle devait répondre. Finalement, elle répliqua :

- Je... Désolée de te déranger. Vu qu'il y avait personne tout à l'heure, je pensais que ça serait toujours le cas, ou alors que tu dormirais...

Je l'observerais quelques instants ; c'était la première fois que je rencontrais une fille comme elle. Elle était assez fine, et semblait avoir des origines asiatiques de par ses superbes cheveux dont j'admirais le lustre et les reflets. J'avais toujours rêvée d'être asiatique, ou alors noire. Ses yeux étaient également magnifiques ; l'obscurité les rendaient couleur chocolat, mais les quelques rayons de la lune leur donnait des reflets rouge cerise. Sa peau était claire et semblait veloutée, son visage ovale et ses yeux très légèrement bridés lui donnait un charme dont elle semblait ignorer l'existence.

- Tu ne me dérange pas du tout, au contraire. Je suis heureuse de faire ta connaissance. Je t'avoue que j'étais curieuse de savoir avec qui je partagerais ma chambre..., lui répondis-je, charmeuse.

Je ne pouvais pas m'empêcher de l'éblouir par mon charisme. Il fallait que je me calme, et tout de suite.
Elle ajouta :

- Euh... Enchantée, Tess ! Je m'appelle Firea, et oui, je suis ta nouvelle colocataire. Je suis arrivée aujourd'hui à Etiopia.

Elle fit quelques pas dans la chambre et s'approcha de son lit. Elle semblait assez timide et intimidée par ma présence ; je décidais donc de la mettre en confiance. J'étais très douée pour tout ce qui était des mondanités et faire la discution, et j'orientais donc habilement et naturellement la conversation sur ses origines asiatiques.

- Tu as des origines japonaises ? Je suis passionnée par la culture du Japon. J'ai même commencé à apprendre le japonais, mais ce n'est pas encore ca, plaisantais-je. J'ai encore du mal à faire des phrases longues ainsi qu'avec ces satanés kanjis, ajoutais-je en rigolant doucement. Ha, mais peut-être que tu as des origines vietnamiennes, chinoises ou coréennes ? Je n'ai jamais réussi à différencier les asiatiques simplement en les regardant, continuais-je avec un petit sourire. Ho, mais je suis impolie. Tu veux un verre ?, lui proposais-je en soulevant légèrement la bouteille.


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Mer 4 Mai 2011 - 22:16
Firea entreprenait de se calmer. Elle s'emballait pour rien, et il ne fallait pas qu'elle juge la situation trop extraordinaire. C'était sa colocataire, aussi belle soit-il. Et elle était humaine, comme elle - du moins l'espérait-elle ; elle pensait aux étrangetés de Miria, la première fille qu'elle avait rencontré à Etiopia et qui était devenue son amie, et elle se demandait si elle était la seule à être comme ça.

Elle s'était appuyée contre l'échelle du lit superposé, n'osant monter dedans pour le moment. Pourtant, il faudrait bien qu'elle se mette à l'aise, qu'elle se change et qu'elle dorme. Elle n'aurait pas cru qu'elle serait si gênée à l'idée de se changer devant une fille, bien que celle-ci soit déjà en sous-vêtements. Que faisait-elle vêtue comme ça, d'ailleurs ? Aimait-elle dormir dans cette tenue ? À moins que... Avait-elle accueilli quelqu'un avant que Firea n'arrive ? Elle n'avait pourtant croisé personne dans les couloirs. Cette Tess semblait aussi mystérieuse que séduisante.

Elle sentait son regard posé sur elle, et détournait les yeux, un peu embarrassée. L'évaluait-elle ? Elle ne faisait pas le poids, face à elle, c'était certain. Que pensait-elle d'elle ? Elle ne savait plus où se mettre. Puis elle en eut assez, d'être une telle potiche depuis son arrivée à Etiopia, et se força à prendre un peu d'assurance. Elle s'habituerait vite à cette nouvelle situation. Entretemps, sa nouvelle colocataire lui avait répondu.


« Tu ne me dérange pas du tout, au contraire. Je suis heureuse de faire ta connaissance. Je t'avoue que j'étais curieuse de savoir avec qui je partagerais ma chambre... »

Firea lui sourit, pour la première fois depuis qu'elle était entrée dans la pièce. Elle se demanda si la voix charmeuse de Tess était volontaire.

« Moi aussi j'étais curieuse, et je suis contente de faire ta connaissance. »

La jeune femme avait déjà entamé une conversation. Elle se montrait très intéressée, et Firea en fut charmée.

« Tu as des origines japonaises ? Je suis passionnée par la culture du Japon. J'ai même commencé à apprendre le japonais, mais ce n'est pas encore ca. J'ai encore du mal à faire des phrases longues ainsi qu'avec ces satanés kanjis »

*Ouah, elle parle beaucoup !*, se dit-elle, étonnée. Elle était contente, car elle était elle-même assez peu bavarde, et elle aimait écouter les gens.

« Eh bien oui, par ma mère, mais je suis anglaise de naissance. Je parle donc un peu le japonais, mais je n'ai pas beaucoup d'occasions de le pratiquer ! Je n'aurais jamais pensé que quelqu'un comme toi soit intéressé par cette langue et ce pays. C'est dommage que tu aies seulement commencé à l'apprendre. Si tu y tiens, je te donnerais quelques cours. »

Firea se demandait d'ailleurs comment elle avait su pour ses origines ; pour la plupart des occidentaux, il était difficile de faire la différence entre les différents asiatiques. Doute que sa colocataire avait confirmé :

« Ha, mais peut-être que tu as des origines vietnamiennes, chinoises ou coréennes ? Je n'ai jamais réussi à différencier les asiatiques simplement en les regardant »

« Eh bien, tu as bien deviné. C'est vrai que ce n'est pas très facile. Moi-même, selon les personnes, j'ai un peu de mal. Et toi, tu es de quelle origine ? J'ai cru comprendre que dans cet endroit, les problèmes de langues n'existaient plus, et j'ai un peu de mal à deviner à ton apparence... Française ? Anglaise ? »

Alors qu'elle réfléchissait, elle en profitait pour l'observer, officiellement pour essayer de deviner ses origines, officieusement car elle appréciait sa beauté. Elle ne remarqua le verre de vin à sa main que lorsqu'elle lui proposa à boire.

« Ho, mais je suis impolie. Tu veux un verre ? »

À la vue du vin, Firea se remémora sa soirée alcoolisée, et se gratta le nez, gênée.

« Non merci, c'est gentil. Je pense que j'ai assez bu pour la soirée. »

Elle avait soif, mais d'eau. Elle était complètement déshydratée. Elle remarqua alors que la chambre comprenait une salle de bain assez spacieuse, et elle servit un verre d'eau. Elle le but d'un trait, savourant la fraîcheur de l'eau. Puis, observant les multiples valises, elle lui demanda :

« Toi aussi, tu viens d'arriver ? Tu as l'air d'avoir beaucoup d'affaires... »

Elle sourit, un peu amusée ; elle-même ne s'imaginait pas avoir autant d'affaires à elle. De toute façon, elle ne se maquillait pas ou très rarement, et ses habits étaient simples - bien que récemment, elle ait commencé à s'acheter quelques jolis vêtements. Elle commençait à changer, mais tout doucement, et son arrivée à Etiopia allait sans doute bouleverser grandement ce rythme.
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Firea Shaun
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Firea Shaun
Jeu 5 Mai 2011 - 0:03


Firea s'appuya contre l'échelle du lit, l'air gênée. Elle répondit immédiatement à ma petite phrase type de heureuse-de-faire-votre-connaissance-évitons-les-débordements, comme prise d'une volonté nouvelle de s'affirmer, ce que j'appréciais.

- Moi aussi j'étais curieuse, et je suis contente de faire ta connaissance.

Elle paraissait heureuse de ma prise d'initiative de lancer la conversation, et je m'en félicitais. Si seulement tout le monde pouvait être aussi facile à mettre à l'aise, la vie aurait été bien plus aisée. Elle semblait être le genre de personne à avoir du mal à discuter avec de parfaits inconnus et à se lier d'amitié rapidement. Elle répondit cependant avec une joie communicative :

- Eh bien oui, par ma mère, mais je suis anglaise de naissance. Je parle donc un peu le japonais, mais je n'ai pas beaucoup d'occasions de le pratiquer ! Je n'aurais jamais pensé que quelqu'un comme toi soit intéressé par cette langue et ce pays. C'est dommage que tu aies seulement commencé à l'apprendre. Si tu y tiens, je te donnerais quelques cours.

Je n'aurais jamais cru pouvoir me dégotter un nouveau prof de japonais aussi vite. C'est avec enthousiasme que j'acceptais sa proposition :

- Avec grand plaisir ! J'ai de la chance d'être tombée sur toi dit-donc !

Elle me questionna sur ma nationalité tout en me regardant. J'appréciais la caresse de son regard qui m'observait de haut en bas.

- J'ai été bien inspirée alors, dis-je en souriant. Je suis anglaise, comme toi. Tu habitais dans quelle ville ? Pour ma part, je viens de Londres.

Firea refusa mon verre de vin – elle ne savait pas ce qu'elle manquait – pour aller se chercher de l'eau dans la salle de bain. J'en profitais pour m'avancer vers mes valises, que je regardais, un peu découragée, avant de commencer à ranger mes affaires dans l'armoire. Jamais tous mes vêtements ne rentreraient dans ce minuscule compartiment, je prévoyais donc déjà de garder quelques valises en dessous de mon lit et d'y entasser une bonne partie de mes affaires.

Firea regardait mes valises tout en souriant.

- Toi aussi, tu viens d'arriver ? Tu as l'air d'avoir beaucoup d'affaires...

- Oui, effectivement, je suis arrivée ce matin. Je me suis baladée toute la journée, c'est pour ca que tu ne m'as pas vu avant maintenant.


J'observais la jeune femme du coin de l'œil, l'air de rien. Décidément, elle me plaisait. Si seulement elle n'avait pas été ma colocataire, j'aurais pu m'amuser avec elle... D'ailleurs, elle devait croire que j'étais quelqu'un de parfaitement aimable. Ce serait la seule, pas question de perdre mes vieilles habitudes, mon sens de la dérision et mon sourire narquois qui me manquaient déjà.
Firea semblait fatiguée par sa journée mais n'osait pas faire un pas en direction de son lit. Je décidais de prendre les devants en lui annonçant mon désir de sommeil.

- Il se fait tard je trouve, et j'ai eu une journée assez chargée. Ça te dit de dormir ? On pourrait continuer de discuter demain matin, si tu le souhaite.


Tandis que je parlais, je dénichais une nuisette blanche qui me paru tout à fait convenable pour dormir. La pauvre, elle devait avoir eu assez de sensations fortes ce soir, il fallait que je la préserve quelques temps avant de la faire tomber sous mon charme. J'enfilais le bout de tissus par-dessus mes sous-vêtements que je retirais juste après, couverte par ma nuisette qui ne montrait rien de ma nudité. Il ne fallait pas précipiter les choses, c'était la base même de tout acte de séduction.

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Jeu 5 Mai 2011 - 11:23
Firea était toujours appuyée contre le lit, et retint un bâillement. Elle était fatiguée, mais elle ne voulait pas interrompre la discussion aussi brusquement. Elle s'étonna un peu de la réaction enthousiaste de sa colocataire à propos des leçons de japonais qu'elle avait proposées ; elle aurait plutôt cru qu'elle refuserait poliment des cours d'une fille qu'elle venait de rencontrer et qui était loin d'être prof.

« Avec grand plaisir ! J'ai de la chance d'être tombée sur toi dit-donc !

- Oui, c'est un beau hasard. Je ne pensais pas que tu accepterais... Mais je ferai de mon mieux pour t'enseigner les bases de ma langue ! »


Elle lui sourit amicalement, se disant que ça lui rajoutait une occupation à Etiopia ; elle sentait qu'elle n'allait pas s'ennuyer dans cet endroit. Elle s'étonnait de se faire aussi rapidement des amies, elle comptait demander un poste dans la sécurité et elle allait pouvoir donner quelques cours de japonais : cette vie lui plaisait déjà bien. Tessa avait répondu à la question sur ses origines, et encore une fois Firea fut étonnée mais contente de sa réponse :

« J'ai été bien inspirée alors. Je suis anglaise, comme toi. Tu habitais dans quelle ville ? Pour ma part, je viens de Londres.

- Oh, tu es donc anglaise aussi ? Je viens d'Oxford. Ce n'est pas si loin ! »


Dans le monde extérieur, elle vivait donc près de sa future colocataire. Mais les chances de la rencontrer en dehors d'Etiopia auraient vraiment été maigres. Une femme comme Tessa et une fille comme Firea n'avaient rien en commun et donc rien à faire ensemble. De plus, elle semblait faire partie de la haute société, du moins d'une classe sociale plus élevée que celle de Firea, dont les parents gagnaient juste assez pour vivre confortablement. Elle était charmante, chic et d'une grande classe, alors que Firea était garçon manqué, immature par moments et assez banale. Elle se dit qu'Etiopia lui permettait de rencontrer des gens à la fois de toute la planète, mais aussi de tous les rangs ; ce lieu éliminait toute frontière, que ce soit physique, sociale, et peut-être même temporelle ?

Alors que Firea était plongée dans ses pensées, sa colocataire avait entrepris de ranger ses affaires dans l'armoire. Elle était loin de pouvoir tout contenir, la jeune femme était donc obligée de garder une partie de ses affaires dans des valises sous son lit. Peut-être pourraient-elles investir dans une armoire plus spacieuse, s'il était possible de changer le mobilier des chambres ?


« Oui, effectivement, je suis arrivée ce matin. Je me suis baladée toute la journée, c'est pour ca que tu ne m'as pas vu avant maintenant.

- Oh, donc je ne suis pas arrivée très longtemps après toi, seulement quelques heures. Moi aussi j'en ai profité pour me balader un peu en compagnie de ma nouvelle amie aujourd'hui, mais il a bien fallu que je passe ici pour me changer... Après tout, quand j'ai débarqué à Etiopia, j'étais en plein entraînement de coupe ! »


Puis sa colocataire commença à fouiller dans ses affaires, et en sortit une nuisette blanche, après quoi elle proposa de se coucher. Firea fut soulagée : elle n'aurait pas besoin de mettre elle-même fin à la conversation. Cette fois, elle bailla sans se retenir - mais sans oublier la main sur la bouche, en détournant le regard pendant que Tessa se changeait, même si elle se changeait sous sa nuisette de façon à ne rien laisser voir, à part ses belles et longues jambes.

« Avec plaisir. Je suis fatiguée moi aussi, et il y a eu trop d'événements pour moi aujourd'hui. »

Elle grimpa dans son lit et fouilla dedans pour trouver le grand t-shirt qu'elle mettait pour dormir, puis hésita. Allait-elle se changer devant elle, ou dans la salle de bain ?

*Oh, et puis zut*, se dit-elle. Quelle importance ? Restant assise dans le lit, elle lui tourna simplement le dos et enleva son débardeur puis son soutien-gorge, enfila le t-shirt qui lui arrivait jusqu'aux cuisses et enleva finalement sa jupe et ses chaussettes. Là, elle se pencha un peu sur les barreaux pour voir Tess, et lui sourit.


« Bonne nuit ! Je suis contente d'avoir fait ta connaissance. »

Là, elle s'enfouit vite dans son lit, s'enroulant dans la couverture comme elle aimait le faire. Quel confort ! Elle sentait déjà le sommeil qui l'envahissait. Juste avant de plonger dans le monde des rêves, elle se posa une question : allait-elle se réveiller chez elle, le lendemain ? Ou rien n'aurait-il changé ?
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Firea Shaun
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Firea Shaun
Jeu 5 Mai 2011 - 14:17



- Oui, c'est un beau hasard. Je ne pensais pas que tu accepterais... Mais je ferai de mon mieux pour t'enseigner les bases de ma langue !


Pourquoi croyait-elle que je n'accepterais pas ? Peut-être qu'elle ne voulait pas me donner des cours, mais qu'elle me l'avais simplement proposé par pure politesse ? Peut-être qu'elle craignait de ne pas être assez qualifiée ?
Je me demandais comment on ferait pour passer à travers de cette sorte de traducteur instantané. Si je demandais à Misato, peut-être qu'elle pourrais nous aider...

- Oh, tu es donc anglaise aussi ? Je viens d'Oxford. Ce n'est pas si loin !

Oxford ? Mmh... Oxford... Je me souvenais de la superbe soirée que j'avais passé la-bas en compagnie de Mary Clarkson, qui avait donné une magnifique réception pour fêter son arrivée à la mairie et avait donc invité tout le gratin de la société. Jack y était bien évidement convié, et il m'avait emmené avec – c'était l'époque où il ne pouvait plus se passer de moi. Je me souvenais également de l'arrivée... musclée à Oxford, où la mafia locale ne voyait pas d'un très bon œil notre visite, œil qui maintenant n'existait plus.

- Oh, donc je ne suis pas arrivée très longtemps après toi, seulement quelques heures. Moi aussi j'en ai profité pour me balader un peu en compagnie de ma nouvelle amie aujourd'hui, mais il a bien fallu que je passe ici pour me changer... Après tout, quand j'ai débarqué à Etiopia, j'étais en plein entraînement de coupe !

Ah oui ! J'avais remarqué le superbe katana qui trainait sur son lit quand j'étais arrivée dans la chambre ! Cela voulais dire que les armes n'étaient pas interdites ? Moi qui pensait que c'était un genre de village remplis de saintes nitouches en quête du grand Amour, j'aurais peut-être une chance de me trouver un dealer, parce qu'avec mes quelques grammes d'héroïnes, je n'allais pas aller bien loin. De plus, j'avais beau chercher dans mes valises, pas la moindre trace de mes armes à feu ou ma petite collection de dagues. En même temps, il ne fallait pas trop espérer. Cela me mit mal à l'aise. Sans arme sur moi, je me sentais en perpétuel danger.

Je tiltais enfin qu'elle avait parlé d'une amie. Cette nouvelle m'agaça, mais je n'en montrais rien. Cette Firea était déjà courtisée par quelqu'un d'autre ! L'adversité me rendait très manipulatrice, il valait mieux pour cette... amie que je ne la rencontre jamais.

- Avec plaisir. Je suis fatiguée moi aussi, et il y a eu trop d'événements pour moi aujourd'hui.

Elle monta dans son lit et se changea. Puis, elle me regarda du haut de son lit – je n'aimais pas qu'on me regarde de haut ; c'était moi qui regardais de haut (mais bon, elle n'avait pas vraiment le choix alors je lui pardonnais... pour cette fois) en ajoutant :

- Bonne nuit ! Je suis contente d'avoir fait ta connaissance, conclu-t-elle en s'emmitouflant dans sa couette.

Je lui souhaitais bonne nuit et continuais de ranger dans la mesure du possible mes affaires tandis que je réfléchissais rapidement sur ma situation. Je risquais de vite m'ennuyer dans ce bled, autant me trouver un job qui joigne l'utile à l'agréable. J'avais entendu parler de ce bar de strip-teaseuse à l'hôpital, j'irais y proposer ma candidature demain. Enfin, aujourd'hui. De plus, moi qui avait l'habitude de vivre dans le luxe et l'opulence, me voici à dormir dans une chambre d'hôtel avec une colocataire qui n'avait surement jamais entendu parler de drogue ou de sexe. La cohabitation allait être rude, et j'étais déjà fatiguée de me faire passer pour celle que je n'étais pas. De plus, j'aurais bien voulu avoir ma petite tranquillité, que personne ne sache comment j'étais dans mon intimité, pour protéger mes secrets de beauté. Pas question qu'elle me voit au réveil. Je me lèverais tous les jours à l'aube, mais elle ne saura jamais comment je suis quand je ne fais pas attention à moi.

Je me démaquillais rapidement et me glissait sous mes couettes, avant d'avoir mis ma bouteille sur le minuscule balcon (même pas sur que ca s'appelait un balcon) pour le garder au frais. Pas question de gâcher ce gouteux nectar.

Je m'endormis avec difficulté dans mon minuscule lit peu confortable, et me réveillais avec le soleil. J'avais l'habitude de ne dormir qu'une heure ou deux, et je n'étais pas le moins du monde fatiguée. J'entrepris alors de me préparer.
Dans une des valises, je dénichais mon corset vintage préféré – un rose poudré, aussi simple que sexy – que j'enfilais avec des collants couture arrière et un mini-short noir déchiré, un peu rock. J'investissais alors la salle de bain, ou je mis bien vingt minutes à coiffer mes cheveux en un chignon sophistiqué, jouant à la fois du fer à lisser et du fer à boucler. J'enchainais sur le maquillage, avec mon rouge à lèvre carmin préféré et me fis un smoky eyes particulièrement réussi. Plutôt fière du résultat, je corrigeais les quelques défauts de mon vernis à ongles noir, enfilais des gants en dentelle noire, chaussais mes Louboutins avec soulagement et attrapais une pochette assortie à mon corset. Je m'observais minutieusement dans la glace de la salle de bain, et décidais que cette tenue improvisée passerais pour aujourd'hui.

J'embarquais mon matériel de survie en milieu hostile dans ma pochette (chewing-gum, le maquillage que j'avais utilisé, argent, clopes) et décidais de sortir prendre un petit déjeuner. J'hésitais quelques instants avant d'attendre Firea pour manger avec elle, mais finalement, il valait mieux qu'elle se réveille seule. Simple stratégie parfaitement rodée : il fallait créer une dépendance, et pour cela, rien de mieux que l'éloignement. Quand je la reverrais enfin, elle serait d'autant plus ravie que soulagée.

Je ne pus tout de même m'empêcher de lui coller un gros baiser sur la joue, de manière à laisser une belle marque de rouge à lèvre. Je m'étais contrôlée toute la soirée, je pouvais bien me permettre de la taquiner un peu. J'aurais bien voulu être la quand elle découvrirait la trace.

C'est avec un sourire en coin que je quittais la chambre, en quête du petit bar de strip-teaseuses.





[HRP : Désolé, je me suis un peu laissée emporter et j'ai beaucoup écrit x) C'était un Rp très sympa, j'espère qu'on en refera un autre :) ]
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Jeu 5 Mai 2011 - 14:55
Firea courait dans une prairie. Elle était poursuivie, elle n'arrivait pas à se retourner pour voir quoi mais elle savait que c'était effrayant. Terrifiant. Et elle n'avait même pas son sabre. Elle ne pouvait que fuir, fuir à en perdre haleine. Le soleil se couchait devant elle, et elle se dit, paniquée, que si elle n'était pas rentrée avant la nuit, elle était fichue. Alors que les derniers rayons de feu illuminaient la Terre, elle trébucha et sentit l'ombre s'abattre sur elle.

Elle se réveilla, les yeux écarquillés, immobile. Puis elle referma les yeux et soupira de soulagement. Un cauchemar. Ça faisait longtemps. Avant son arrivée à Etiopia, elle faisait plutôt des nuits sans rêves, ou des rêves dont elle ne se souvenait pas. Elle rouvrit les yeux, elle n'avait tout de même pas envie de se rendormir. De toute façon, il faisait jour.

Elle chercha à tâtons son portable à côté de son oreiller pour regarder l'heure. 9h23. C'était largement suffisant. Elle se redressa et s'étira, puis elle se souvint de la chambre dans laquelle elle se trouvait, et de sa colocataire. En repensant à elle, son coeur se mit à s'accélérer, sans qu'elle ne sache pourquoi. Timidement, elle se pencha sur les barreaux pour voir si elle dormait toujours, le silence emplissant la pièce. Mais le lit était vide. Elle était partie. Firea fut un peu déçue. Elle aurait été embarrassée de se trouver devant elle au réveil, mais elle s'était rendue compte que finalement, elle appréciait la compagnie des autres.

Elle se demanda où elle était allée. Il n'y avait rien, pas un mot. Firea se tapa le front.

*Mais évidemment, espèce d'idiote ! Tu voulais quoi, qu'elle t'attende pour manger, et qu'elle reste sagement avec toi toute la journée ? Elle n'a pas que ça à faire ! Et moi non plus, de toute façon.*

Elle pouvait vraiment être idiote. Elle descendit du lit, se débarbouilla le visage, s'habilla et se coiffa. Elle entreprit ensuite de ranger ses quelques affaires, et plaça sa valise vide sous le lit superposé. Elle réfléchit à ce qu'elle allait faire en premier. Il y avait sûrement une salle pour petit-déjeuner dans l'hôtel. Ensuite, il faudrait qu'elle se trouve un travail. Miria lui avait parlé de la base des filles de la sécurité : elle s'y rendrait. Et ensuite... Elle verrait bien. Il y avait plein de choses à faire, après tout, et elle n'avait visité qu'une petite partie de la ville.

Elle ouvrit la fenêtre pour aérer la pièce. Puis, vêtue tout simplement d'un t-shirt et d'un jean et portant son katana dans son dos, elle quitta la chambre.


[HJ : ne t'inquiète pas, j'aime bien les RPs longs même si j'ai parfois du mal à en faire autant ♥ et j'aime beaucoup ta perso, donc c'est un plaisir à lire :) j'espère qu'on fera un autre RP moi aussi ! ]
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Firea Shaun
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