Arrivée,.. Fracassante.

Dim 11 Jan 2009 - 14:49

Hrp: Je ne sais pas si il falait demander pour faire le RP d'arivée ou pas, mais je me lance :$..

Des heures à courir, cela fait maintenant 2h que Michiko court à travers champs et forêts. Sa fuite avait enfin réussit, elle n'allait pas s'arréter et se faire récupérer par sa tante, sa non jamais. Elle continu de courir, mais la Fatigue la gagne et elle s'arréte un instant et là ses pensée prennent le dessu.
* Je.. J'ai.. J'ai réussit...*
Puis elle tomba dans les Blés du champs. Elle regardait le Soleil qui rechauffait son corp tout transipirant.
*Pouuf.. Jv'ais aller Où moi maintenant..*
Cette question lui traversa l'esprit encore et encore, puis il eut la faim qui lui vint au ventre.
*Bon, je vais aller voir plus loin dans la Forêt il me suffit de traverser la Rivière.*
Michiko se leva et traversa la rivière, le courant était faible, elle n'eut aucune dificulté à passer. Elle arriva dans la Forêt, au loin elle distingua un Cerf, il tourna son regard vers elle et s'enfuit. Elle avança petit à petit, sans savoir où elle allait. Mais d'un coup la Forêt s'arreter et l'on pouvait dinstinguer un portail. Le portail d'un Village.
"Oulaaah.. Bon c'est un bon signe, j'espère pouvoir être Acuillit, et qu'il n'y ait que très peu d'Hommes, je hais les Hommes !"
Puis elle avança et poussa le portail. Il claqua doucement contre un rocher. Elle avança un peu, mais trébucha sur une pierre.
"Aiiiieuuuh!" Cria t'elle.
Son genou saignait et sa robe blance s'était déchirait au niveau de ses cuisses.

Dim 11 Jan 2009 - 18:27

(HRP: Non non tu n'avais pas à demander pour poster. Juste à être validée alors tout va bien ;) )

Aujourd'hui nous étions mercredi. Dans ce village, Misato avait installé un énorme calendrier dans son bureau pour ne pas perdre la notion du temps. En effet, il était très difficile, dans un lieu comme celui-ci, de retenir les jours qui s'écoulaient. Les mercredis, s'était les jours où elle s'occupait de contrôler tout ce qui n'allait pas dans l'administration, et surtout si tout le monde était à son poste : les médecins à la clinique, les professeurs dans leur classe, les jardiniers dans les champs et les agents de sécurité à l'entrée du village. Elle venait de finir de remettre en place une agente qui n'en n'avait fait qu'à sa tête lorsqu'elle entendit un petit cris. Quelqu'un devait s'être fait mal à l'entrée. C'est alors qu'elle repensa au gros caillou blanc qui se trouvait juste devant le portail.

* Il faut vraiment qu'on pense à le retirer. Ce n'est pas la première qui se fait mal. Il faut que j'aille voir, il se peut que ça soit plus grave que ce que je ne pense. *

Misato marcha d'un pas décidé jusqu'à la porte du village, où elle trouva une jolie fille aux cheveux blond-roux, qui gisait à terre. Sa belle robe était déchiré en bas, et son petit genou seignait. Prise de panique, Misato se mit à courir pour arriver à la hauteur de l'inconnue.

- Tu t'es fait mal?

Dim 11 Jan 2009 - 18:39

Michiko vit une Sillouette s'avançait vers elle, quand enfin elle réussit à voir la personne on lui demanda :
- Tu t'es fait mal ?

Michiko un peu prise de court ne savant pas où elle était mit un peu de temps à repondre, elle regarda plusieurs fois la Jeune Femme de bas en Haut.
*Elle est Jolie..*

Continuant à la regarder elle lui répondit enfin.
-Non non, tout vas bien. Il faudra juste que je racomode ma Robe et que je me trouve des Sparadras..

Toujours alongée par terre le tête sur élevée pour voir la Femme, elle comprit que sa position n'était pas très Honorable et se releva très vite.
- Hém.. dit elle en rougissant. Je suis où, un village comme ça, qui débarque de Nulle part.. C'est assez perturbant.
Michiko leva la tête, car de sa petite taille elle ne pouvait rien voir à sa hauteur si ce n'est un Buisson.

Dim 11 Jan 2009 - 20:10

Misato était rassurée. La petite semblait aller bien, même plus que bien. Elle s'était relevée avec une telle vitalité, et n'avait pas pleurer sur son sort malgré sa belle robe déchirée. Le ton avec lequel elle s'interrogea sur ce lieu fit sourire Misato. Cette dernière avait eu la journée dure, à s'occuper de toutes ses choses qui n'allait pas, et il est vrai qu'elle était entrain de perdre patience. Mais la rencontre avec cette petite fille lui avait remis le sourir aux lèvres. Elle n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi enthousiaste.

- Tu es dans mon village. Il te plait??

Misato se sentait dans le rôle d'une mère face à cette toute petite créature. Elle lui sourit affectueusement et regarda elle aussi le ciel et les allentours. La petite semblait ne pas être déçue de se trouver ici, et c'était rare pour Misato. A chaque rencontre avec les nouvelles, elle devait s'expliquer, avoir à faire à des ronchonnements, des pleintes, des creintes aussi. Mais cette jeune fille au beau cheveux couleur miel, semblait plus énergique que jamais et rien ne semblait l'arrêter.

Dim 11 Jan 2009 - 20:17

Michiko regardait la Femme, elle semblait assez fatiguée. Mais son visage à changer d'expretion, pour une expretion plus, détentu. Sa réponse sur le lieu fut très vague mais la satisfesa. Avant qu'elle n'ai pu répondre, la Femme regardait le ciel, et les alentours, comme une enfant qui vient d'arriver dans un magasin de poupée.
-Ooh oui ! Il est vraiment très beau. Mais dites-moi.. Ma questions vous semblera vraiment bizarre alors ne riez pas silvouplait.. Est-ce qu'il y a beaucoup d'Hommes ici?
Le ton de Michiko était craintif et remplis d'une certaine honte. Elle en rougissa même.
- Sinon ne faites pas attention à ma question. Je suis Michiko Kawazoe.. Je n'ai pas vraiment de famille.

Lun 12 Jan 2009 - 12:00

Misato regardait le paysage en attendant une réponse de la petite. Cette-dernière lui avait dit aimer le lieu, ce qui avait flatté Misato. Elle avait tant fait pour ce village, et il semblait que pas grand monde s'en apercevait, surtout des jours comme celui-ci. Elle cessa de penser lorsqu'avant de s'être présentée, la petite Michiko avait été intéressée sur la présence d'homme dans ce village. La maire dit en plaisantant, avec une voix grave :

- Mais voyons ma petite, je suis un homme.

Puis elle éclata de rire. Cela faisait depuis hier soir qu'elle n'avait pas rigoler, ce qui faisait beaucoup pour la jeune Misato, qui adorait rire et faire rire. Elle reprit son sang froid et dit avec une douceur maternelle :

- Non non Michiko, ne t'inquiète pas, il n'y a pas d'hommes ici. Malgré que certaine fille de cet endroit y ressemble.

Elle chuchota à l'oreille de la petite :

- Et oui, il y a des filles avec si peu de poitrine et cheveux court qu'on pourrait les confondre.

Et elle recommença à rire de bon coeur. Elle n'avait rien contre ce genre de fille, elle voulait juste amusez un peu la petite nouvelle qui avait dit n'avoir pas de famille. Une chose bien triste, que Misato connaissait avant d'avoir rencontrer Mme Okazaki...

Lun 12 Jan 2009 - 18:34

Michiko fut victime d'une petite blague de la Femme, elle semblait heureuse d'un coup.
Michiko cacha son visage mais laissait ses petit doight écarter pour voir le visage de la jeune inconnu.

- Mê..me.. Pas.. Peu..r dit elle toute tremblotante.
Sa phobie pour les hommes ou tout chose y ressemblant était abominable.
Mais voyant le rire de cette Femme, elle ne put continuer à sa cacher, et dévoila son visage, tout rouge de honte, mais elle rigola à pleine gorge, à s'en étoufer même. Pour Michiko cela faisait bien lontemps, si lontemps, qu'elle ne se souvenait même pas de la dernière fois où elle avait rit. Puis la Femme lui chuchota à l'oreille, ça ne lui était jamais arriver, des frissons lui parcourient tout le corps.
Puis voyant la Jeune Femme se reculait et rigoler, elle rigola elle aussi, espérent qu'elle n'ai vu ses rougeurs au niveau de ses joues.
Puis elle reprit son sérieux et lui demanda.

- Mais vous, qui êtes vous, sans vouloir être indiscrète ou vous offenser. Et vous dites qu'il n'y a pas d'Hommes, mais c'est Impossible? Je serait donc au Paradi ?

Puis Michiko se mit à rire, personne ne peut comprendre comment petre heureuse sans les Hommes, personne ne sait d'ailleurs pourquoi elle les hais tellement.

Mar 13 Jan 2009 - 18:21

Misato avait été obligé de rire sur les quelques filles du village, qui pouvaient, lointainement, ressembler à certaisn hommes. Voyant la petite si terrorisée, elle rigola encore de plus belle jusqu'à ce que celle-ci reprenne son serieux en lui demandant qui elle était, et que signifiait toute cette histoire. Elle n'avait pas peur, ni de Misato, ni du village. La maire fut rassurée, encore une fois, elle se reconnu elle, enfant. Elle sourit gracieusement à la petite rousse et lui dit :

- Je m'appelle Misato, Okazaki Misato. Je suis celle qui s'occupe de ce village. Je l'entretiens pour que des jeunes filles, belles, un peu triste dans la vie, y soient bien reçu, de telle manière, qu'elles ne veuillent plus en ressortir. Un peu comme toi, j'immagine.

Misato regarda le ciel. Elle repença à ce qu'elle venait de dire. C'était magique, qu'un village comme ça existe. Elle en était si fière, malgré tout les efforts qu'elle devait faire pour le maintenir en ordre. Elle sourit alors.

- Non, il n'y a pas d'homme. C'est...un endroit légendaire, le village Etiopia. N'en as-tu jamais entendu parler? Ce village...il n'entend que le coeur des femmes. Les hommes n'y ont pas leur place...

Mer 11 Fév 2009 - 20:11

En écoutant le long récit de Misato, elle pensa à tout ce qu'elle avait vécu, toutes ses galères, elle qui n'avait rien demander qu'à être aimée.. Puis des larmes se mirent à couler, elle sanglotta doucement pour ne pas inquéttait le Maire, puis les Sanglots devenirent beaucoup plus fort et son reflexe d'enfant fit qu'elle se jetta dans les bras de Misato.

- Je veuux... Ju.. juste... qu'on m'aimes.. C'est ma..maa..Mal ?

Ses sanglots la coupait après chaques mots, elle pleurait tout ce qu'elle savait sans se rendre compte qu'elle était dans les bras d'une inconnue. Continuant à pleurer, tout ses souvenirs qui l'assayait, les coups qui lui brisait le dos, sa mère qui lui hurlait dessu, sa fugue. Beaucoup de nouvelle choses pour cette enfant ecore si fragile, qui n'avait jamais grandit ni était heureuse.

- Je.. fesait.. toujours.. bien. Meme .. a l'eco.. l'ecole.. Quand... Je lui.. Rame.. Ramenait .. des 18.. Elle.. Elle me.. Elle me frappait...

Elle n'arrivait pas à se calmer, tout ça était beaucoup trop dure pour elle..

Ven 13 Fév 2009 - 11:14

Misato avait commencé à expliquer un peu le fonctionnement du village à cet enfant mais ne s'attendait pas du tout à ce que qui allait suivre. La jeune petite rousse halleta quelque mots de tristesse, commença à pleurer de plus en plus fort et se jetta, sûrement instinctivement, dans les bras de Misato.

- Je veuux... Ju.. juste... qu'on m'aimes.. C'est ma..maa..Mal ? Je.. fesait.. toujours.. bien. Meme .. a l'eco.. l'ecole.. Quand... Je lui.. Rame.. Ramenait .. des 18.. Elle.. Elle me.. Elle me frappait...

Misato resta un instant les bras ouvert la petite fille mouillant le bas de son t-shirt avec ses larmes. Elle l'écoutait attentivement et son instinct maternel prenant le dessus, elle l'enlaça tendrement, avec le plus d'amour et d'attention possible qu'elle aurait pu manifester. Ses bras arrivaient à la taille de la tête de la jeune fille, ainsi elle pouvait sentir la douceur de ses cheveux roux. Elle espérait que la chaleur de son corps, même étant inconnue, aurait réconforter la petite Michiko.

- Je suis là maintenant. Tout ça c'est du passé, il faut reconstruire un future avec de nouvelle base, des bonnes bases, fortes, résistantes et pleines d'amour et d'amitié.

Misato essayait de reconforter la petite, comme le faisait Mme Okazaki avec elle quand elle était petite. Elle se recula de quelque centimètre, de manière à pouvoir voir le visage de la petite, et elle lui essuya ses larmes avec ses petites mains froides. Elle lui prit la main tendrement et lui dit :

- On y va?

Jeu 5 Mar 2009 - 12:10

[ Elle ressemble tellement à une rousse que ça ? ]

Michiko Croyant avoir verser toutes les larmes elle essaeya de se calmer mais en vain et les pleurs revienrent quand elle sentit les bras de Misato se refermait sur elle se qu'elle n'attandait pas vraiment elle n'était pas habituer à de l'amour ni de l'afection jamais elle n'y avait eu droit alors ceci l'étonna quelque peu. Elle se sentit arrachée au corps si chaud de la jeune femme et voulut se débatre pour s'y coller mais Misato lui demanda si on pouvait y aller, ce qui l'étonna encore plus et Michiko ouvrit des bille grosse comme ça (Très gros en fait) et la regarda sans trop comprendre.

- Aller, où ?

Demanda t'elle avec un voix faible quand elle sentit une main lui sécher ses larmes et prendre sa main à elle, elle se laissa faire et se mit à marcher en regardant Misato et ses longs cheveux Rose. Elle qui était si belle.

Sam 14 Mar 2009 - 17:42

Misato s'était prise d'affection pour cette petite. Elle se revoyait en elle, lorsqu'elle était jeune et qu'elle était arrivée à Etiopia, elle aussi effondrée par la douleur d'un manque d'amour. Elle avait eu le droit à sa part de bonheur, grâce à Madame Okazaki, et c'était dit que tout le monde avait le droit de sourire et d'être aimé. Ainsi, elle avait ouvert Etiopia. Lorsque la petite Michiko lui demanda " Aller où? " tout en la suivant, Misato se contenta de sourire puis dit d'une voix douce :

- Dans ton futur chez toi, un joli village ou tout le monde se rejouit de te connaitre.

Elle continua a marcher au creu de ce paysage magnifique, ses jambes nues se faisant effleurée par les quelques longues herbes qui poussait au bord du chemin menant à son bureau. La petite devait être emerveillée par les batiments qui gisaient dans le village, ainsi Misato garda le silence jusqu'à ce que toutes les deux furent arriver au bas des marches de la mairie. Là elle se retourna, toujours main dans la main avec la petite et lui dit :

- Je ne lacherais pas ta main, tant que tu ne te sentira pas à l'aise. Tu pourras toujours compter sur la chaleur de mon corps. D'accord?

La Maire pencha la tete de coté, plissa les yeux et fit un beau sourire. Un sourir, qui, elle l'esperait, aurait donner la force à Michiko de continuer, et aurait pu lui donner la confiance dont elle avait besoin...