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Jeu 7 Juil 2016 - 0:42
ERELINN GUERIN



IDENTITE

Nom : Guerin
Prénom : Erelinn
Surnom :" -XIII-" / Hummingbird (Colibri)
Age: 23 ans

Origine : Japonaise/Espagnole/Française
Signe astrologique : Verseau
Chambre : 1 !
Travail : Créatrice de parfum et artiste photographe.

Ce qu'elle aime : La lune surtout la lune rousse. Fumer sur sa pipe japonaise, prendre des photos, le brownie, le canelé, le cidre, le farniente, danser sur des musiques latinos cubaines et brésiliennes, se faire tatouer, la musique, le chèvrefeuille, les fleurs de lune (les vraies), les femmes, les Spitz nains et les souris, le folklore celte…
Ce qu'elle n'aime pas : Les mauvaises odeurs, la violence gratuite, les personnes mal élevées ou ne sachant pas parler. Les personnes qui détestent les souris, les pédants, les sans-gêne et ceux tactiles sans son accord préalable. Qu'on touche ses cheveux.

Autres : Pour accompagner la lecture de ma fiche : CLIC
Avatar : OC de (je sais plus faut que je retrouve)  et OC "Robin" de Yuumei (deviantart)


HISTOIRE


"Jusqu'à ce que les mots des passants deviennent un brouhaha. Jusqu'à ce que la musique devienne l'écho de ton coeur. Jusqu'à ce que les maux se taisent enfin. "




Erelinn était assise chaque week-end sur le petit banc de son jardin, face au passage incessant des gens. Leurs pas pressés claquaient le goudron. Des pensées dans les cheveux, elle tendait l'oreille pour se concentrer sur l'âme de sa ville. Une ville active, insomniaque, criante et criarde, aux relents de cigares et de pisse. Néanmoins, son petit nez pouvait repérer au loin les accents sensuels du chèvrefeuille après la pluie. Les percussions africaines résonnaient au même moment. Son père, un vieux japonais rasta, était un musicien reconnu en passe de devenir artiste international avec son groupe.  
C'était ce moment qu'avait choisi sa mère Aurora pour dévorer un peu plus son innocence. La femme aux longs cheveux comme des vipères apportait un verre de jus de mangue à sa fille, affichant un énorme sourire. Bien trop grand pour être sincère, pensait l'enfant.
La petite se fit plus petite encore. C'était jouer au jeu du chat et de la souris, cette relation malsaine qui s'était immiscée entre elles. Ses jambes contre son buste, elle marmonna timidement :
-"Merci Maman...mais rappelle-toi, la mangue me fait vomir..."
Aurora s'en rappelait. Elle se rappelait cette version optimisée d'elle-même qui tout d'un coup perdait le sourire, perdait de sa force et s'abandonnait sur le carreau. Cette foutue copie qui lui volait toute sa vitalité, son pouvoir sur les autres et en particulier sur son mari.
-"Tu vas boire ce que je t'ai gentiment préparé ou tu seras punie ! "
-"Mais..."
Elle eut à peine le temps de protester que sa mère colla le verre à sa bouche, l'obligeant à l'ouvrir en faisant pression. Les larmes montèrent. Les ténèbres s'emparèrent d'elle. Et la nausée avec.

Un autre coup. Ce n'était pas assez. Pas assez cette humiliation, cette maltraitance gratuite. Sa créatrice ne l'aimerait jamais. Elle était pour elle une oeuvre ratée, trop encombrante. Sa mère la poussait du Paradis et lui offrait une place chez les Damnés. Condamnée à errer dans la démence vénéneuse de cette dernière, jusqu'à ce que son esprit cède à son tour à la folie. Erelinn s'était faite à cette idée. Pourtant, il lui aurait suffi d'appeler à l'aide. Son père serait intervenu et aurait mis fin à son calvaire. Peut-être qu'Erelinn s'en était intimement convaincue. Elle n'était qu'une erreur, un obstacle au bonheur de sa mère. Elle devait être punie pour ça. Culpabiliser d'être. Seulement cela. Erelinn vomit, ce qui contenta sa mère qui feignit la colère. Un coup encore et elle se fit trainer par les cheveux jusqu'à sa chambre. Son regard hurlait pour sa bouche tandis que la porte se fermait à clé. Erelinn avait 6 ans.

A 12 ans, une nouvelle arrivante changea la donne. Fidèle murmure blanc aux yeux rouges et à la fourrure de velours. Alors qu'elle se faisait battre dans la cave une énième fois, la minuscule créature qui ne quittait déjà plus Erelinn disparu sous les meubles avant de sortir de la cave par le petit espace lumineux du bas de porte. C'est en croisant l'animal qu'Hayate, le père d'Erelinn comprit que quelque chose clochait. Sugar Mousey n'était JAMAIS sans sa fille. Depuis qu'il lui avait offerte, elles étaient devenues inséparables. Ainsi il ouvrit la porte de la cave, descendant d'un pas lent et silencieux les escaliers lugubres.
"Hayate !!"
Aurora stoppa net sa main, qui était prête à frapper une nouvelle fois l'enfant recroquevillée sur elle-même. Ses organes irradiaient de douleur et ses yeux pleuraient des océans. Les lamentations arrachaient le coeur du musicien. Comment son unique Amour pouvait-il faire du mal à leur chair et leur sang ? Comment sa fille surdouée et souriante avait-elle pu ne rien faire paraître, ne pas l'alarmer ? Comment avait-il pu être aveugle à sa souffrance ? Qu'avait-il trouvé de naturel dans le fait de n'avoir que des livres dans sa chambre ?
Les tempes bouillonnaient. Son monde s'effondrait, le tableau s'imprimant dans sa rétine. Une odeur de fer envahissait son nez. Une odeur au goût amer d'échec. Sa petite princesse était en sang.
Il attrapa sa femme par le bras, lui retirant son alliance avant de la traîner sans répondre une seule fois à ses protestations. Il la traîna telle une bulle de bas étage, crachant sur leurs années de mariage. Une fois qu'il l'eût amenée de l'autre côté du trottoir, il s'empressa de balancer ses effets personnels sur la route. Des sacs à n'en plus finir, des vêtements de marque, des chaussures ornées de Swarovski...Puis le portail fut définitivement fermé. Plus aucune femme n'entra dans sa demeure, ni même dans son coeur. Il avait inconsciemment, fatalement, décidé de vouer sa vie à l'expiation. La vouer à Erelinn, pour avoir été un si mauvais père.

En petit génie, Erelinn grandit en excentrique d'une manière ou d'une autre, malgré ses tentatives d'intégration à la société tentaculaire. Mais le monstre ne la mangeait pas. Elle devait être avariée. Après tout, l'adolescente avait cette impression, tel Baudelaire, d'avoir vécu mille ans déjà. Il lui avait semblé qu'en acquérant une si grande lucidité sur ce monde, elle était aussi privée de la fraîcheur de l'imprévisible, l'inattendu. Elle avait soif d'autre chose. Et à sa manière, son artiste de père l'avait engagée dans une danse proche d'un tango. Leurs esprits aiguisés s'affrontaient avec compassion, apportant à l'autre tantôt un adversaire à sa taille, tantôt un allié inespéré. Mais Hayate la faisait tourner aussi sur les quais, au gré des notes. Elle était sa muse, il était son échappée belle. Ils étaient là, place Mondésir, parcourant le marché, reniflant les produits frais du maraîcher. Ils étaient là, au cinéma, riant aux éclats devant Matilda. Toujours là, au centre d'équitation, au restaurant, sur les plages d’Espagne, aux concerts, dessinant des statues à Firenze...

Si bien qu'à 16 ans, Erelinn entreprit de voyager chaque fois que possible, à s'en fatiguer. Seulement cette fois, point de partenaire de danse, si ce n'était Sugar Mousey, sa fidèle acolyte et gardienne albinos. Sa chevelure de feu flottant sur les alizés, elle prit le pied marin. Une croisière qui dura 3 jours qui lui avaient semblé une éternité, pressée de s'enrichir de nouvelles cultures. Elle tombait amoureuse de l'Islande, de l'Ecosse, du charme anglais, mais aussi de la beauté dangereuse de Madagascar, des moines tibétains et des communautés païennes éparpillées sur son chemin. En Ecosse, elle fit une longue escale, durant un mois. La jeune femme aux yeux vert ambrés écopait les bars du port, aimant s'imprégner des railleries des marins. Sa machine à écrire continuait à marteler les feuilles. Des bribes de vies l'éclaboussaient et se fracassaient sur les vagues, comme la bière sur le zinc. Quelques fois elle chantait pour eux.
Ces voyages exaltants l'avaient amenée à s'intéresser aux parfums, aux odeurs, ces sillons qui signent notre passage. Elle avait décidé d'en faire sa profession. Elle avait pour but de créer des parfums non-artificiels. De ceux qui laisseraient aux gens un souvenir cher au coeur, les envoûteraient comme la belle sirène sur la plage des Maldives, perdue dans le plancton phosphorescent. Il lui fallait créer des associations subtiles et insolites.

Hormis ses ambitions professionnelles, Erelinn avait des ambitions personnelles variées. La photographie était un domaine dans lequel elle excellait, ayant toujours l'oeil sur LE détail. Ce qu'elle préférait, demeurait l'argentique et les modèles féminins ; nus, le noir et blanc et le sépia. Il y avait bien sa passion pour l'écriture, mais elle conservait ses écrits pour elle, comme pour ne rien oublier de son parcours solitaire. Il lui été arrivé d'avoir d'autres passions, de courte durée. Garance, Naïade, Mei Liu... Toutes des modèles qu'elle avait immortalisés. Outre sa décadence, son excentricité s'était aussi épandue, nourrissant en elle une fascination pour les tueurs en série, trouvant des similitudes dans leur psychologie. Ses conquêtes avaient pu profiter de ses talents au poledance, ainsi que pour la lap dance. Il y avait aussi le paranormal et ses arts, Baudelaire, les papillons du monde, les loups surtout "Le Loup des Steppes" d'Hermann Hesse et le tir à l'arc.

Sugar Mousey décéda de vieillesse et eu droit à une cérémonie digne d'un roi. Sa frimousse innocente grignotant des nouilles instantanées allait lui manquer pour sûr. Erelinn prit toute une journée pour monter un radeau de taille humaine, déposant des fleurs avant de laisser aller la barque, y mettant le feu avec une unique flèche. C'était fini. Il ne restait qu'Hayate à ses côtés. Ainsi ses pas la menèrent à la demeure familiale. Les deux compères passèrent de beaux jours, fixés sur leurs ambitions respectives et leurs moments de détente. Mais ce qui devait arriver arriva. Hayate périt des suites d'un cancer. Trop de fumette, trop d'alcool : il en riait habituellement jaune, mais Erelinn avait toujours vu cela d'un mauvais oeil. Si bien que quelques temps après l'enterrement, elle commença à boire sans envie, fumer sans même apprécier l'odeur du tabac... Sa vie avait le même goût que la cendre. Quelqu'un en avait retiré les couleurs.
Il était temps. Il était temps de sortir, de se refaire des amis, comme à l'école, mais pour de vrai. Il fallait ne pas tomber, ne pas tomber car elle n'avait plus la force de se relever. Elle continua ses études, comme si elle voulait manger le monde. Le dévorer jusqu'à ce qu'il lui ramène son père. Le succès lui vint facilement, les portes cédant sur son passage, son esprit et son physique détruisant toute résistance ennemie. Erelinn menait une guerre divine. Une armée de fragrances en première ligne. Le monde s'arrachait bientôt ses parfums, parus sous son pseudo d'artiste et créatrice. "Time waits for no man"...comme son tatouage le disait.

Le soir de l'anniversaire de la mort de son père, un verre de champagne à la main, Erelinn qui se faisait appeler -XIII-, se laissa tomber dans le vide depuis le rebord de la fenêtre. Son sourire démontrait sa détermination et sa sérénité à cet instant. Mais le destin en avait décidé autrement. Une sorte de passage sur un autre monde s'était ouvert, car comme je le disais : aucune porte ne résiste à Erelinn.

Un tourbillon d'émotions, million de motions, un être en mutation. Happée par la nuit, je respire des cendres froides. Qu'allait-il apporter de plus, ce délai avant l'inévitable ?


CARACTERE

Eveillée et lucide face à la société, la rousse a tendance à se marginaliser, préférant éviter les personnes à l’esprit étriqué ou les immatures. C’est pour cela qu’elle a pour habitude de converser avec des personnes plus âgées qu’elle. Partager leurs expériences est enrichissant de son point de vue. Parlant peu mais parlant bien, la jeune femme ne montre l’étendue de son intellect qu’en présence d’une personne au niveau proche du sien. Ce trait lui ayant déjà causé plusieurs rejets sociaux la parfumeuse a saisi très vite qu’il valait mieux passer pour mademoiselle tout le monde.

N’ayant pas eu beaucoup d’amis au cours de sa vie, Erelinn privilégie les actes brefs mais significatifs aux promesses non-tenues. Ces petites attentions qui font la profondeur d’une relation humaine ont une grande importance ! N’attendez donc pas de belles paroles de sa part, mais plutôt des gestes selon son bon vouloir.

La parfumeuse est aussi volatile et vaporeuse que ses effluves les plus subtiles. Difficile d’attraper l’air n’est-ce pas ? Difficile aussi de le plier. La belle rousse refuse l’autorité tant qu’elle ne respecte pas celui ou celle censé(e) la représenter. Voyager seule a renforcé sa confiance en elle mais pas encore suffisamment. Ainsi notre photographe travaille sur elle-même chaque jour afin d'y remédier.

Gourmande, elle serait prête à manger seulement du sucré si elle ne devait pas faire attention à sa santé. Négligeant souvent les besoins de son corps au profit des plaisirs de son esprit, il n'est pas rare qu'elle fasse aussi passer les autres sa propre personne.

Erelinn est le genre de femme qu'il vaut mieux ne pas embêter si l'on ne veut pas avoir de problèmes. Effectivement si l'on peut noter un trait en particulier de son caractère, c'est bien le fait qu'elle soit hostile aux premiers abords. Particulièrement dangereuse lorsque l'on s'attaque à elle, elle se fera un plaisir de mettre à l'œuvre ses talents pour le jujitsu brésilien si jamais on la chatouille un peu trop à son goût, ou encore ses capacités à manier le langage. Dans tous les cas, ses adversaires, filles et garçons confondus, finissent au tapis. Parfois elle peut faire preuve de sadisme, surtout si elle s'est levé de mauvais poil, elle est capable de tout rejeter sur un innocent.

Enjouée et téméraire, elle aime s'adonner à de petits jeux personnels, jouant de son charme pour mieux distancer par la suite. On peut dire que le fait que l’on se fourvoie sur son compte l'amuse fortement et elle adore se faire passer pour ce qu'elle n'est pas, préférant brouiller les pistes plutôt que de se dévoiler. La jeune femme adore s'amuser et lorsqu'elle se sent à l'aise, peut s'adonner à des jeux autant enfantins que sérieux ou encore coquins ~

Romantique, elle adore les choses artistiques, surtout la poésie et la musique classique. Mais bien sûr, Erelinn s’adapte à tout. Se baladant souvent dans des endroits à l'air encore sauvage, elle pourrait passer des heures à se perdre dans une forêt en pensant à toutes les personnes au fil des années qui y seraient passées. Ou encore, à toutes ces légendes sur les fées et autres peuples de la nature.

L'observation des étoiles fait partie intégrante de ses passions et elle adore le ciel du désert, très fournie en étoiles. D'ailleurs on peut dire qu'elle a la tête dans les étoiles. Bien souvent, elle oublie des choses, car elle a la tête ailleurs. Mais où ? Elle seule le sait. C’est une grande rêveuse. Dans ces moments l'on peut apercevoir son côté candide, fragile, mais l'instant reste, comme tous les instants ; éphémère. Lorsqu'elle reprend ses esprits, la machine de guerre est de nouveau en route !
Mais la véritable Erelinn est bien plus fragile, et se cache derrière cette apparence hostile pour effrayer les gens qui voudraient la blesser. Car la jeune femme est à fleur de peau sous cette cuirasse apparente. Trop fière cependant pour craquer devant son audience, peu de personnes en sont conscients.
Pas prête de s'ouvrir aux autres, elle profite de son monde intérieur avec son mp3 qui la suit partout, vivant dans son monde caché, nourrit de rêves naïfs et simples, d'aspirations secrètes et romantiques.
Au fond, elle veut juste croquer la vie à pleines dents sans avoir à se soucier des pommes pourries.




PHYSIQUE


Un matin comme des centaines d’autres matins. Sa chevelure flamboyante relevée d’un kanzashi, la jeune femme soulignait ses yeux de noir ; écrin de ténèbres pour ses émeraudes ambrées. En dentelle sur son balcon, elle s’arrêtait pour arroser les quelques plantes sous les yeux ébahis de son voisin. –XIII- était comme ça. Provocatrice dans son je m’en foutisme. Quelques gouttes de son parfum favori dans le décolleté suffisaient à lui subtiliser un sourire. La musique résonnait dans son salon. La photographe se mit à onduler et tourner au gré du son quelques minutes avant d’enfiler son pantalon imitation cuir noir et ses bottes assorties. Elle se glissa dans son corset, le serrant d’un coup sec avant de se presser dans sa cuisine. Sa taille d’1m75 lui permettait d’atteindre les placards sans effort. Il fallait qu’elle se nourrisse d’autre chose. Après tout elle avalait chaque jour cette bouillie indigeste de routine sans porter attention à la faim qui lui rongeait l’estomac. Bientôt la rêveuse s’auto-digèrerait et il lui avait semblé qu’en quelques jours elle avait déjà perdu deux tailles de bonnet. Soit, cela ne l’empêchait point de faire chavirer les cœurs. Un manteau de cuir clouté sur le dos, elle arpentait les rues à la recherche de couleurs. Et sans s’en apercevoir, chacun de ses pas était une aquarelle pour quelqu’un d’autre…
[…]
Il n’est pas rare de la voir se promener aussi en tenue décontractée, en jogging, ou portant un sweat « Superdry JPN » rouge bordeaux qu’elle a hérité de son père.
Erelinn possède un grain de beauté sur son visage pâle, juste en dessous de son œil droit.
Elle est tatouée d’un bas du dos en tribal noir et d’un serpent bleu lagon aux yeux rouges style estampe sur toute la cuisse gauche. Le kanji du « plaisir sexuel » sur sa cheville droite ainsi que celui de l’air derrière son oreille, discret. « Vivre Amour » est inscrit en calligraphie noire à la naissance de sa nuque. Enfin, Erelinn aime les colibris et compte s’en faire tatouer un. Elle aime particulièrement ses épaules, c’est pour cette raison qu’elle porte souvent des hauts qui découvrent au moins une de ses épaules. Malgré son physique avantageux elle complexe sur ses cuisses sans raison valable et elle ne porte donc des jupes courtes ou des shorts qu’en été lorsqu’il fait vraiment trop chaud pour qu’elle puisse supporter un pantalon.

✖ CODE : OK BY LENA P.


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Erelinn Guerin
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Erelinn Guerin
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Age: 23 ans
Origine: Japonaise, Espagnole, Française.
Métier: Créatrice de parfums / Photographe par passion
Erelinn Guerin
Jeu 7 Juil 2016 - 10:30
Bonjour Erelinn,

Histoire très bien écrite, subtile avec les mots qu'il faut pour raconter le calvaire de la petite fille (d'ailleurs tu as réussi à m'arracher des larmes). Tu as fait une très jolie description physique et mentale de ton personnage dont on ne peut s'empêcher de se sentir émue par celle-ci. Erelinn a une sacrée force de caractère, ça on peut le dire !

Ton coup de plume est plaisant à lire comme pour ton premier personnage, je ne vois pas ce qui me retiendrait de ne pas te valider tout de suite. Toute mes félicitations te voilà prête à jouer ton second personnage. Tu seras en chambre n°37, seule pour le moment, mais je n'en doute pas vite rejointe par une future camarade. Tu seras dans le groupe des indépendante puisque je considère que tu vis de la création de parfum.

Amuses-toi bien parmi-nous !

Léna P.
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Léna Pétrova
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