AYAKO TSUBASA

Mer 5 Fév 2014 - 21:06

♬ Petites Informations ♬ ❃ Nom : Tsubasa ❃ Prénom : Ayako ❃ Surnom : Aya-chan:) ❃ Age : 17 ans ❃ Signe Astrologique : Poissons ❃ Origine : Japonaise ❃ Chambre : Avec colocataire(s) (ou sans si aucune place n'est disponible ;)) ❃ Travail : Lycéenne, couturière (job étudiant) ❃ Ce qu'elle aime : Tricoter, rafistoler, tisser, broder, réajuster, tresser, coudre ou recoudre les trois quarts de la journée, en rêvassant et en profitant de la vie telle qu'elle est :) ❃ Ce qu'elle n'aime pas : Toute forme de violence ou d'agressivité incontrôlée, l'intolérance, l'esprit de compétition, l'égoïsme et la vanité! ❃ Avatar : Ludvina (VF)/Touko (VJap) de Pokémon Noir ou Blanc :) ♬ Parlez Moi De Vous ♬ ღ HISTOIRE : Petite dernière d'une fratrie de cinq enfants, Ayako a grandi au sein d'une famille d'agriculteurs installée à la campagne près de Kyoto, dans l'une de ces vieilles maisons japonaises en bois  regorgeant de paravents qui font souvent l'admiration des touristes de passage dans la région. Sa grand-mère en cuisine, ses parents rapportant de la ferme chaque jour de délicieux produits frais, et malgré un âpre compétition avec ses trois frères pour obtenir le meilleur de chaque repas, la jeune fille n'a jamais manqué de rien, du moins en ce qui concerne la nourriture : et si les longues absences quotidiennes de sa sœur aînée, de son père et de sa mère retenus par leurs travaux journalier dans les rizières et auprès des bêtes rendaient parfois la maison un peu triste, les cris des chamailleries de ses frères résonnant au loin dans le vaste jardin entouré de bambous avaient tôt fait de la rassurer sur sa solitude, lorsqu'après l'école elle jouait paisiblement avec les poupées que son grand-père, menuisier travaillant à la ville, lui avait confectionnées sur mesure dans son atelier. Ce fut auprès de lui, tout d'abord en l'écoutant parler de son travail en famille les jours de congés assis à la grande table basse de la salle à manger, puis lors de visites plus ou moins clandestines qu'elle lui faisait le soir après ses cours avant de rentrer au village, qu'Ayako se sentit peu à peu gagnée par le désir de réaliser à son tour de beaux objets de ses propres mains ; et tandis qu'elle commençait à solliciter de manière systématique sa grand-mère pour qu'elle lui apprenne à coudre et à tricoter, elle n'avait de cesse de discuter avec son patient grand-père des merveilleux projets qui dans sa tête ne cessait de germer : ici un châle brodé pour protéger sa poupée des rigueurs de l'hiver, là un sac de toile solide en bandoulière pour permettre à sa mère de rapporter ses légumes sans se blesser, et bien d'autres choses encore que le vieil artisan lui expliquait méthodiquement comment réaliser. Peu à peu la jeune fille et lui devinrent inséparables, de véritables confidents : Ayako s'ouvrait à son grand-père de tous les soucis que son adolescence la forçait à traverser, et en retour le vieil homme évoquait ses jeunes années, en bénissant les dieux de lui avoir donnée de pouvoir partager ses souvenirs avec une petite-fille aussi aimante au soir de sa vie. Bientôt, Ayako osa même lui avouer son penchant plus marqué envers les belles inconnues plutôt que pour les princes charmants – et malgré toutes ses idées conservatrices et un premier recul instinctif face à un tel sujet, son grand-père finit par comprendre que les troubles qui animaient ce cœur plein de généreux sentiments n'avait au fond rien de répréhensible ; et les éloges fréquents que faisait Ayako de la beauté ou de la gentillesse de telle ou telle fille de son collège en vinrent même à devenir l'un de leurs thèmes favoris de conversation. Malheureusement, c'est ce bonheur même qui devait par la suite devenir la cause première de l'infortune qui allait frapper l'adolescente : enhardie par ses discussions avec son grand-père, elle entreprit un jour de révéler à toute sa famille réunie son homosexualité. Et ce fut la catastrophe : bannie de chez elle avec interdiction d'y remettre jamais les pieds, elle vit ses proches la rejeter brutalement comme si elle n'avait jamais été pour eux autre chose qu'une étrangère, ne partageant soudainement plus avec elle le même sang  Pris de compassion, son grand-père décida de la cacher et de l'héberger dans son atelier, en aménageant une petite couchette sur le vieux divan vis-à-vis de son plan de travail : mais sa vieillesse le rattrapa brusquement, et il décéda moins de deux mois après l'exil forcé d'Ayako hors de son foyer. Et c'est alors qu'au sortir des funérailles dans son village, durant lesquelles elle s'était tenue à l'écart de peur d'être réprimandée par ses proches, versant des larmes et ne sachant plus ce qu'il adviendrait d'elle ce terrible moment passé, elle se sentit soudain lentement défaillir puis emportée dans un léger nuage ouaté, qui devait la mener jusque dans un refuge dont elle n'aurait jusqu'alors jamais pu rêver... ღ PHYSIQUE : Ni vraiment petite, ni particulièrement grande, pas spécialement mince mais loin d'être excessivement ronde pour son âge, Ayako est une jeune femme dont la silhouette avenante semble à première vue typique des adolescentes japonaises que l'on peut croiser habituellement dans les campagnes, vêtements inclus, si l'on excepte sa très longue et abondante chevelure aux reflets châtains et mordorés, qui descend jusqu'en haut de ses jambes en de délicates mèches légèrement ondulées, recouvrant fréquemment son visage couleur de lait, et lui conférant un allure un peu sauvage et effarouchée, qui contraste fortement avec la douceur du regard toujours paisible et plein de tendresse qui émane de ses deux grands yeux sombres, toujours tournés avec franchise vers son interlocuteur même lorsque celui-ci pourrait éventuellement l'intimider. Il faut également noter le relatif complexe entretenu par Ayako vis à vis de son importante poitrine, qu'elle tente toujours de masquer grâce à des sous-vêtements adaptés avec un succès assez variable, ce qui ne la dérangerait pas outre mesure si elle ne craignait pas constamment d'attirer de ce fait sur cette partie de son physique des regards non désirés. Cependant, ce sont en général davantage ses mains à la fois fermes et dans le même temps d'une extraordinaire finesse qui retiennent le plus souvent l'attention de ceux qu'elle peut croiser, modelées par les diverses activités manuelles qu'elle ne cesse d'exercer avec la plus grande application et un véritable talent : ainsi un œil exercé ne manquera pas de remarquer que la jeune fille porte souvent des accessoires, écharpes, châles, gilets, boléros ou même parfois chemisiers ou robes de sa propre fabrication, dont la précision de l'exécution se démarque assez nettement des vêtements usuels achetés dans des boutiques dont elle se revêt habituellement, surtout pour économiser de l'argent. ღ CARACTÈRE : Douce, calme et peu portée à la dispute, Ayako n'a en rien le caractère d'une meneuse ou d'une battante, et se trouve presque toujours satisfaite de la vie qu'elle peut mener, pourvu qu'on la laisse libre de rêver, tisser, broder ou tricoter et que nulle violence ou discipline absurde ne lui soit imposée. Très émotive, parfois à l'accès, la jeune femme est capable de la plus grande admiration et d'un enthousiasme illimité pour les personnes qu'elle aime ou qu'elle admire, et celles-ci peuvent compter à tout moment sur sa dévotion et sa loyauté. En revanche, rien ne saurait la forcer à se lier à qui lui répugne, et elle préférera systématiquement fuir toute opportunité de rencontrer toute personne vis à vis de laquelle elle ne se sent pas à l'aise ou gênée. Enfin, lorsqu'elle travaille à un ouvrage ou qu'elle songe passionnément à telle ou telle chose qu'elle a apprécié ou qui l'a marquée, son visage exprime une concentration fort peu en accord avec son attitude générale et sa personnalité ouverte et généreuse, et elle faisait parfois peur à ses camarades de collège lorsque, absorbée par son monde intérieur, elle semblait ainsi glisser dans des contrées à l'opposée de la simplicité  qui en temps normal caractérise la moindre de ses actions en société. ✪ CODE : OK by Léna