LEORE DIEULANGARD

Dim 4 Déc 2011 - 19:31

■ Nom : Dieulangard
■ Prénom : Léore (Marie-Catherine-Eléonore)

■ Age : 17 ans sur Terre.
■ Signe Astrologique : Scorpion.
■ Origine : Céleste.

■ Chambre : Peu importe.

■ Histoire : L’histoire de Léore a commencé de façon chaotique, il y a plus de deux millénaires de cela. A cette époque, une guerre avait éclaté entre les Dieux, et la vie sur Terre s’en était retrouvée bouleversée. Les hommes en vinrent à régresser, doucement, tout doucement, jusqu’à se retrouver en plein cœur d’une période que l’on ne connait que trop bien : Le moyen-âge. Et c’est alors qu’un miracle survint. Un petit, tout petit bébé naquit parmi les Dieux. Ses derniers l’honorèrent de toutes les manières possibles, lorsqu’ils comprirent qu’elle était destinée à être une ambassadrice de la paix, sur la Terre, comme au ciel. La petite fille brillait de milles feux, apportant la lumière, l’espoir et la paix tout autour d’elle. Ils ne donnèrent pas de nom à cette enfant, qui ne paraissait pas grandir. Des siècles et des siècles s’écoulèrent, et le royaume des Dieux respirait la prospérité. L’enfant vénérée n’était pourtant pas sans ennemis. Plusieurs Dieux en voulaient à la pureté du bébé, sans doute jaloux de cette enfant tant aimé. Alors, ils décidèrent de l’abattre. Malheureusement pour eux, le petit bout de chou possédait davantage de pouvoirs qu’eux. Alors, elle ne mourut pas. Non. Elle tomba simplement sur Terre, parmi les mortels. Sa chute fut longue, longue, très longue. Et elle finit par atterrir dans un foyer de riches bourgeois, qui cherchaient à adopter depuis plusieurs années. L’enfant tombée du ciel était pour eux un véritable miracle ! Tout comme c’était un miracle que l’enfant aie atterrit chez eux. Ils la baptisèrent sous le nom de Marie-Catherine-Eléonore Dieulangard, leur unique fille, et héritière de leur fortune démesurée. Dés lors, Marie-Catherine-Eléonore commença à grandir, comme si le seul fait d’avoir quitté son royaume l’avait par la même occasion libérée d’un mauvais maléfice. Personne ne lui révéla jamais qu’elle avait été adoptée, et peu à peu, le souvenir de ses origines s’effaça, jusqu’à disparaître totalement. Ses parents la délaissèrent de plus en plus, préférant la confier à un professeur à l’âge de sept ans, avec une seconde fillette nommée Emilie. Il leur apprit la musique, la géographie, les mathématiques, la littérature, l’équitation et le maniement des armes, faisant d’elles des guerrières, mais aussi des étoiles, qui brillaient dans tous les domaines. Il ne les ménageait pas, et plusieurs de leurs blessures auraient mérités qu’elle fasse un tour à l’hôpital. Peu à peu, Marie-Catherine-Eléonore et sa camarade tombèrent amoureuses l’une de l’autre. La jeune ambassadrice de la paix trouvait en elle tout ce que ses parents avaient été incapable de lui donner. Malheureusement, un jour, lors d’un combat d’une rare violence, le professeur tua malencontreusement Emilie. De rage, Marie-Catherine-Eléonore trancha la gorge du professeur. Elle haïssait la mort. Elle haïssait la guerre. Elle haïssait les injustices. Elle haïssait son prénom. Et elle était devenue forte. Très forte. Autant physiquement que moralement. Ses blessures, bien que parfois très graves, guérissaient d’elles même avec une rapidité telle que l’on pouvait voir la peau se refermer à vu d’œil. Et elle s’était enfuie. Loin de tout, loin de sa famille qu’elle haïssait. Loin du corps de celle qui avait su lui donner son amour. Pendant des jours et des jours, elle avait marché, marché, marché, jusqu’à atteindre le plus haut sommet de la plus haute montagne. Et du haut de cette montagne, elle ferma les yeux. Elle haïssait la mort. Elle haïssait la guerre. Elle haïssait les injustices. Elle haïssait son prénom. Alors elle souffla :

- Je m’appelle Léore. Et j’apporte la paix.

Et lorsque Léore rouvrit les yeux, un immense portail se dressait devant elle. Calmement, elle pénétra à l’intérieur, emportant sa promesse avec elle, et abandonnant son passé derrière elle.

■ Apparence physique : Léore est une jeune femme qui apparait tout de suite comme étant lumineuse. Elle ne sourit que très rarement, pourtant, son être tout entier respire la douceur. En la voyant, on se sent immédiatement bien. Elle a de longs cheveux blancs, légèrement ondulés, qui donnent l’impression qu’une lumière divine s’en échappe. Ses beaux yeux sont envoûtants, et dégagent une force et une profondeur peu commune. On devine que Léore est quelqu’un de très doux, et de très sensible, derrière son sempiternel air blasé et détaché. Elle porte souvent des habits faits en cuir souple, qu’elle qualifie de confortable et pratique. Parfois, elle semble tellement sage qu’on a l’impression qu’elle est en fait une vieille femme qui a déjà bien vécu. Même si lorsqu’elle est arrivée sur Terre, la lumière qu’elle dégageait à terni, on peut parfaitement remarquer qu’elle brille dans le noir…

■ Caractère : Léore est une jeune femme à double tranchants. Elle peut se montrer très douce et sensible, comme sans pitié et dur. Elle fait énormément de sport, et manie les armes avec une dextérité hors norme. Elle arbore sans cesse un air détaché, qui n’est pas une simple carapace. Elle n’est pas du genre à se réjouir pour un rien, ni même à sourire ou à se montrer heureuse. Pourtant, elle sait qu’elle est née pour faire la paix, et cette mission est sans doute la seule qu’elle ne trahira jamais. Léore est déterminée, peu bavarde, et parfois sarcastique. Elle peut être blessante, lorsqu’elle juge que cela peut permettre à quelqu’un de retourner dans le droit chemin. Et si ça ne marche pas, elle n’hésite pas à se servir de ses différentes armes : Dagues, arc,… Mais surtout, les mots. Léore sait manier les mots de la meilleure façon qu’il soit. Jamais elle n’ouvrira la bouche pour dire quoi que ce soit d’inutile. De plus, Léore est quelqu’un qui possède une infinie sagesse. Elle semble avoir plus d’expérience que les êtres les plus vieux. Et il y a quelque chose que l’on ne pourra jamais lui ôter : Son sens de la justice.

■ Travail : Membre du conseil.

■ Ce qu'elle aime : La paix.

■ Ce qu'elle n'aime pas : La guerre.

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