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Mar 3 Mai 2011 - 18:49
Nom : Ward
Prénom : Eireen

Age : 16 ans (ET DEMI – On s’en fout.. ? Ah oui… ? Oh…)!
Signe Astrologique : Capricorne
Origine : Irlandaise.

Chambre : Eireen a besoin de compagnie… Une ou deux colocataires, s’il vous plait…

Histoire :
Ah, Eireen… Elle a eut une vie bien sombre, et tellement… Cruelle. Pendant longtemps je me suis crue incompétente. Mais même un ange gardien aussi doué que je le suis ne peut rien faire contre le destin, si ce n’est le rendre moins douloureux. Dés sa naissance, son aura respirait la souffrance. Je n’y avais pas vraiment fait attention. Il faut dire que l’aura d’un bébé n’est pas toujours très fiable. Et puis, c’était la toute première fois que j’étais ange gardien. On ne pouvait rien me reprocher. J’ai toujours fait de mon mieux pour la protéger…

Tout commence le 1er janvier 1994, en Irlande, lorsque Kaithlyn Ward, épouse du grand duc Faolan Ward, mit au monde deux jolies jumelles qu’ils nommèrent Aslynn et Eireen. Les cinq premières années de leurs vies furent les meilleurs, sans aucun incident grave. Bien sûr, comme tous les enfants, elles faisaient des chutes, des bêtises, mais jamais il n’y eut de conséquences. Donc notre histoire commence réellement cinq ans et sept mois plus tard précisément. Ce matin de juillet, tout annonçait une journée splendide. Le soleil brillait, les oiseaux chantaient gaiement, et il ne faisait pas trop chaud. La petite famille décida de partir en balade dans une forêt réputée pour sa magie et ses fées. Dés leur arrivée, ils furent agréablement surpris par la beauté de l’endroit, et par l’ambiance de sérénité qui y régnait. Ils commencèrent leur ballade et s’éloignèrent des sentiers tracés au sol. Aslynn et Eireen couraient devant, comme tous les enfants de leur âge. Elles adoraient ça, courir. Seulement, elles n’avaient pas vu que la forêt s’arrêtait subitement derrière les buissons pour laisser place à un gouffre profond. Eireen, le regard attiré par un objet brillant – un caillou, en fait – s’arrêta pour le ramasser. Mais Aslynn ne vit aucun caillou brillant, et continua à courir. La petite fille se rendit compte trop tard que le sol disparaissait, et elle tomba dans le gouffre. Eireen était très proche de sa sœur, et depuis toujours, elle sentait sa douleur. Quand les secours arrivèrent, Aslynn était déjà morte, et Eireen profondément blessée et choquée. Depuis ce jour, elle ne fut plus la même. Elle ne riait plus, mangeait à peine, et avait perdu cet éclat d’innocence qui aurait du briller longtemps encore dans ses yeux gris. Kaithlyn et Faolan emmenaient régulièrement leur fille voir un psychologue pour enfant. Il leur conseillait de surveiller assidument leur fille, si bien que la nuit, le duc et sa femme allaient régulièrement voir si tout allait bien. Un soir, un an après le drame, Faolan s’était réveillé en sursaut, sans savoir pourquoi. Immédiatement, il avait songé à sa fille. Prit de panique, il s’était levé et avait couru jusqu’à la chambre de la petite. Eireen flottait deux mètres au-dessus de son matelas, et dormait pourtant profondément. Dans les jours qui suivirent, les jeunes parents assistèrent à bon nombre de phénomènes inexplicables. Parfois, ils voyaient des objets flotter inexplicablement dans l’air. Des choses inanimés qui se mettaient subitement en mouvement lorsqu’Eireen était triste ou en colère. Ils décidèrent de tout raconter au psychologue de leur fille. Celui-ci déclara qu’il avait besoin de voir le phénomène de ses propres yeux. Au moment où il prononça ces mots, son bureau se mit à trembler, et un des tiroirs s’ouvrit brusquement. Un bonbon en sortit, et flotta jusqu’à Eireen. Tout ça semblait l’amuser, alors que ses parents et son psychologue étaient terrifiés. Ce dernier déclara qu’il ne pouvait rien faire, que cela dépassait amplement ses compétences. Pour illustrer ses propos, il leur demanda de partir après leur avoir donner l’adresse du meilleur psychiatre pour enfant de la région. Kaithlyn et Faolan hésitèrent beaucoup à emmener leur fille voir un psychiatre. Puis, quand les phénomènes devinrent plus violents, ils se résignèrent. Les craintes des jeunes parents se révélèrent infondés. Le psychiatre, un homme d’une trentaine d’années, toujours souriant et doux, leur révéla que leur fille développait des pouvoirs psychiques dû à un choc émotionnel très fort – la mort violente de sa sœur jumelle. Il leur dit qu’il n’y avait absolument rien à faire si ce n’est faire suivre des séances de psychiatrie pour que la petite fille se sente mieux.

Les semaines se succédaient, et ma petite protégée allait de mieux en mieux. Ce psychiatre pour enfant avait quelque chose de fascinant, et il appréciait beaucoup Eireen. Les pouvoirs psychiques de la fillette s’étaient stabilisés et elle apprenait petit à petit à les contrôler. Le jour de ses neuf ans, je ne doutais même plus du fait qu’elle allait enfin pouvoir vivre normalement. Mais c’était sans compter sur son premier psychologue…

Tristan Farelock était psychologue depuis plus de vingt ans. Il n’avait pourtant jamais eu le succès dont il avait rêvé depuis sa plus tendre enfance. Il n’avait que quelques patients, tous des enfants. Lui qui avait voulu traiter des cas unique et intéressant, il n’avait pratiquement hérité que de petits dyslexiques. Tout ce qui lui avait plu dans le métier le dégoûtait aujourd’hui, au point qu’il préférait parfois être malade plutôt que de devoir aider ses enfants qui, pour la plupart, n’avait même pas besoin de lui. Un jour, alors qu’il finissait sa séance avec un petit Théo, garçon perturbé qui, à douze ans, se comportait comme un enfant de 5 ans, sa secrétaire l’informa qu’il avait une nouvelle patiente. Eireen Ward. Cinq ans. Il avait haussé les épaules, même si au fond de lui, ce nom avait ravivé une petite flamme éteinte depuis bien trop longtemps à son goût. Cette lueur d’espoir que tous le monde a un jour, et qui pourtant reste unique aux yeux de chacun. En voyant Eireen la première fois, il avait été frappé par deux choses ; Sa beauté, et ses yeux, vidés de toutes expressions. La petite fille souffrait de troubles psychologiques importants dus à la perte précoce de sa sœur jumelle. Pour ce genre de cas, les parents auraient plutôt dû favoriser un psychologue spécialisé pour jumeaux, mais il n’en dit rien. Premièrement, parce qu’il n’avait jamais traité de cas aussi intéressant, et deuxièmement parce que sa carrière décollerait très rapidement s’il réussissait à aider la fillette. Il ne la voyait pas progresser, bien au contraire. Mais il disait à ses parents que c’était dans l’ordre logique des choses. Pendant un an, il la vit au moins une fois par semaine. Et puis un jour, l’opportunité qu’il attendait avec avidité se présenta. Les parents lui parlèrent de phénomènes étranges… Paranormaux, disaient-ils. Tristan Farelock en eut la preuve presque immédiatement. Sur le coup, ça lui fit un choque. Jamais il n’avait imaginé que de telles choses étaient possibles ! Dépassé par la situation, il avait envoyé Eireen chez un psychiatre réputé, geste qu’il avait amèrement regretté peu après. Il avait eu du mal à garder ça pour lui, et un an après, il en faisait encore des cauchemars. Il décida alors de tout raconter à son frère, Pierre Farelock, éminent scientifique, spécialisé dans le psychique, et tant pis pour le secret professionnel !

Vous l’aurez compris, les choses commençaient à tourner très mal. Ce genre de personne ne recule devant rien pour avoir un cobaye humain sur lequel faire des expériences pour, soit disant, « améliorer la science ». Pour eux, Eireen était un peu comme ce cadeau que les enfants attendent avec impatience toute l’année, et qu’ils trouvent au pied du sapin le matin de noël. Sauf qu’Eireen ne se trouverait sûrement pas sous le pied de leur sapin, ni à noël, ni même les autres jours. Je commençais à m’inquiéter pour ma petite protégée. Quand ces hommes là vous tombent dessus, on ne sait jamais à quoi s’attendre. J’espérais juste que les parents de ma petite Eireen seraient assez prévenants pour éviter le pire…

Eireen souffla ses dix bougies du premier coup. Ses parents applaudirent et lui tendirent un petit paquet qu’elle s’empressa d’ouvrir. C’était un magnifique pendentif en or blanc avec au bout une croix. Au dos de la croix était gravé son prénom. Des larmes roulèrent sur les joues d’Eireen, émue. Kaithlyn sourit tendrement, et un éclair de tristesse traversa son regard. Elle pensait à Aslynn qui aurait dû être là, entrain d’ouvrir ses cadeaux avec Eireen. Soudain, on frappa à la porte. Faolan se leva pour aller ouvrir. C’était un homme blond, grand, avec des lunettes rectangulaires qui faisaient ressortir le bleu de ses yeux, et qui donnaient encore plus de force à son charisme naturel. Il voulait voir Eireen. Quand l’homme lui dit qu’il été scientifique, Faolan se braqua instantanément et lui claque presque la porte au nez. Je me félicitais d’être tombée avec des gens d’une intelligence si vive que ça. Mais alors que je croyais que l’homme allait persister, il sourit, et retourna vers sa grosse voiture noire aux vitres tintées. Il était impossible que ces hommes abandonnent aussi facilement… Cette histoire allait très mal tournée, je le sentais. Les jours suivants, l’homme aux yeux bleus ne réapparut pas, et Faolan finit même par oublier son existence. Eireen avait fait des progrès absolument extraordinaire. Depuis peu, elle réussissait à communiquer avec les esprits. Cette nouvelle capacité la remplissait d’espoir. Peut être qu’un jour elle pourrait parler à sa sœur… Juste une dernière fois. Le psychiatre s’était attaché à cette fillette qui possédait une rare intelligence, et il ne faisait plus payer à ses parents les heures qu’il passait avec elle. C’est pendant une de ces heures que le drame se déroula. Eireen parlait au psychiatre, lui expliquant ses récentes communications avec les défunts. C’est alors que la vitre se brisa. Six hommes armés entrèrent et attrapèrent Eireen par les bras. La fillette se débattit et usa même de ses dons psychiques. Mais rien n’y fit, les hommes étaient trop fort. Quand au psychiatre, il avait voulu défendre Eireen, mais les hommes l’avaient froidement abattu. Ils n’avaient aucune pitié. Ce qu’ils voulaient, c’était la fille aux pouvoirs psychiques. Ils se mirent à cinq sur elle pour réussirent à l’immobiliser pendant que le dernier homme la piquait au cou pour la calmer. Eireen s’évanouie.

Lorsqu’elle se réveilla, nous étions dans une pièce seulement meublée d’un petit lit et d’une table en fer maculée de sang. Elle était vêtue d’une robe blanche, comme dans les hôpitaux. La fillette voulut se lever, mais elle était attachée au lit par des sangles qui n’avaient pas l’air de vouloir bouger. Un homme qui semblait être un médecin entra dans la pièce. Il parla, mais je ne compris pas ce qu’il dit. Il enleva ensuite les sangles, une par une, découvrant les poignets ensanglantés de ma protégée. Il l’assit ensuite sur un fauteuil roulant muni de sangle grâce auxquelles il l’attacha de nouveau. Je m’inquiétais de plus en plus, surtout qu’elle n’avait même pas cherché à se défendre pendant le court moment où elle avait été libre. L’homme l’emmena dans une pièce éclairée par des spots si puissants qu’ils faisaient mal aux yeux. A nouveau, on la transféra. Elle était maintenant allongée sur une table en métal. Un homme entra, mais je ne le vis pas tout de suite. Quand il s’approcha je n’en cru pas mes yeux. L’homme aux yeux bleus ! C’était lui qui était derrière tout ça ! Elle aurait dû s’en douter. Il regarda Eireen un instant, avec un sourire presque méprisant, puis il se mit à parler. Il lui expliqua où elle était, et pourquoi elle était là. Pour « améliorer la science ». Apparemment, il y avait d’autres enfants de son âge, séquestrés ici. Il sortit ensuite une seringue de sa poche, et avec un rire gras lui enfonça dans le bras. Eireen se tordit de douleur en hurlant. Je ne l’avais jamais vu agir ainsi. Ce spectacle était insupportable. Et ça n’allait pas en s’arrangeant. Les jours passaient, Eireen maigrissait à vu d’œil, et plus ces monstres faisaient leur expérience sur elle, plus elle devenait une sorte de zombie, incapable de réagir à la douleur même. Ils ne prenaient même plus la peine de l’attacher à son fauteuil. Les scientifiques l’emmenaient, la piquaient ou lui faisaient faire des choses que je n’ose même pas raconter, puis ils la ramenaient dans sa « chambre ». J’avais fini par perdre la notion du temps. J’étais obligé de subir, tout comme Eireen, sans pouvoir agir. Un jour, cependant, ils la changèrent de chambre. La pièce était un peu plus grande que celle d’avant, bien que pas vraiment plus accueillante. Mais il y avait deux lits. Une jeune fille de l’âge d’Eireen était allongée dans l’un d’eux, les yeux clos, la respiration sifflante. Elle était là depuis plus longtemps qu’Eireen à en juger par son teint blafard, ses cicatrices, et surtout, par les très nombreuses marques de piqure. Jusqu’à présent, Eireen n’avait pas fait de réaction allergique ou quoi que se soit, et en regardant la jeune fille allongée, j’espérais de tout cœur que ça n’arriverait jamais. Les jours suivants, les seuls scientifiques que je vis furent ceux qui apportaient à manger pour les filles. Et puis, un beau matin, elles se réveillèrent. Peu à peu, elles reprirent des forces, parlèrent ensemble, et commencèrent à se lier d’amitié. Mais je sentis qu’à ce moment là, ce n’était pas qu’une simple amitié qui naissait, mais bien plus…

La jeune fille s’appelait Sarah. Elle était française, et ils l’avaient emmenés ici parce qu’elle était capable de contrôler l’esprit des gens. Elle avait arrêté le cœur de ses parents adoptifs, et avait ainsi mit fin aux terribles souffrances qu’ils lui infligeaient. Plus les jours passaient, et plus le lien affectif qui c’était créé entre les deux filles se resserraient. Mais bientôt, les morbides activités des scientifiques reprirent sur les deux jeunes filles. Sarah luttait pour Eireen. Eireen luttait pour Sarah. Jusqu’à ce qu’elle redevienne des zombies.

Les années passèrent ainsi. Ils arrêtaient régulièrement leurs expériences pour ne pas tuer les deux jeunes filles. J’ignorais si dehors, quelqu’un les cherchait. Malgré sa maigreur, Eireen devenait de plus en plus belle. Elle avait le visage doux de sa mère. Sarah et elle s’aimaient. Elles s’embrassèrent pour la première fois le jour des douze ans d’Eireen. Elles ne voulaient plus se quitter. Elles ne pouvaient plus. Le temps s’écoulaient lentement, Eireen souffrait, mais elle se battait pour celle qu’elle aimait.

Quatre ans plus tard, l’incident tant redouté par les scientifiques se produisit. Suite à une overdose, Sarah tomba gravement malade. Ils usèrent de tous les moyens pour la guérir, en vain. La mort de la jeune fille finit de détruire Eireen. Elle n’avait plus aucune raison de lutter, plus aucune raison de vivre. Elle ne pouvait même plus tenter de communiquer avec l’esprit de sa bien-aimée. Tout ça était trop pour elle. Eireen commençait à croire qu’elle était destinée à perdre tous les êtres qui lui étaient chers. De toute façon, ça n’avait plus d’importance pour elle. Elle était persuadé qu’elle allait mourir ici. Ce n’était qu’une question de temps. Sarah était plus résistante qu’elle, elle ne comprenait pas ce qu’il s’était passé. Et ça la faisait profondément souffrir. Elle pensait à ses parents. Pourquoi ne venaient-ils pas la chercher ? Depuis tout ce temps ! Puis, elle pensait à sa sœur. C’était égoïste, mais elle aurait aimé qu’elle soit là, à ses côtés, juste histoire de se blottir dans ses bras pour toujours. Et puis, elle pensait à Sarah. Elle ne pouvait pas être morte. C’était impossible. Inimaginable. Insensé. Ses baisers, ses caresses… Tout ça lui manquait tellement ! Elle maudissait son cerveau. Pourquoi lui avoir donné le don de contrôler n’importe quoi à distance, de parler avec les esprits ou encore de lire dans les pensées, si ça ne lui servait à rien pour sauver ceux qu’elle aimait ? D’après le psychiatre, elle avait développé ses « pouvoirs psychiques » suite à la mort de sa sœur. Logiquement, ça aurait dû être pour qu’elle n’ait plus à connaître la même souffrance ! Eireen était en colère. En colère contre tout. Aujourd’hui, elle était séquestrée ici, sans savoir réellement pourquoi. Incapable de vivre, incapable de mourir. Figée quelque part entre les deux. Sans plus rien à gagner. Sans plus rien à perdre. Mais… Qu’est ce que… Cette lumière… Ce portail… Eireen laissa une larme couler sur sa joue. Enfin… L’espoir de revoir sa sœur et sa bien-aimée l’aida à se redresser, à marcher jusqu’au portail… Tout devint noir.

Apparence physique : Eireen est plutôt petite, à cause des nombreux dopages que ses ravisseurs lui ont fait subir pendant prés de six ans. D’une maigreur alarmante, Eireen paraît frêle et capable de s’envoler au moindre coup de vent. Elle a des cheveux blonds très clairs, qui tombent en boucles souples sur ses épaules maigres. Dans ses grands yeux gris, qui sont, pour la plupart du temps inexpressifs, on peut apercevoir sa souffrance. Sa peau est d’une pâleur maladive, faute de n’avoir pas aperçut un seul rayon de soleil durant prés de six ans. Il est très rare de la voir sourire, et encore plus de la voir rire.

Caractère : Vive et alerte, Eireen préfère observer plutôt que parler. Amoureuse du soleil et de la nature, Eireen passe le plus clair de son temps dehors. Elle a une peur bleue des petites pièces où elle a tendance à étouffer. Elle peut se montrer très douce comme très violente lorsqu’elle panique. Elle a gardé ses pouvoirs psychiques, même si elle doit réapprendre à les utiliser. Elle ne donne pas facilement sa confiance, et peut même se montrer agressive lorsqu’elle sent qu’on essaie de s’introduire dans le cocon protecteur qu’elle a forgé autour d’elle.

Travail : Prêtresse

Ce qu'elle aime : Eireen est très attachée à la nature. Elle aime passer de grands moments assise à l’ombre d’un arbre, à méditer, ou à communiquer avec les esprits. C’est d’ailleurs pour ça qu’elle a choisit son métier. Elle voue depuis la mort de sa sœur, un amour inconditionnel envers l’au-delà, et aime aider des gens à communiquer une dernière fois avec les personnes qui leurs sont proches. Elle espère de tout cœur réussir à parler avec Aslynn et Sarah.

Ce qu'elle n'aime pas : Elle a horreur des piqures, des salles sans fenêtres et sans liens avec l’extérieur. Elle hait les scientifiques, ainsi que ceux qui ne respectent pas la nature. Elle déteste ses pouvoirs psychiques. Les poireaux aussi.

Code : Kasumimi EIREEN WARD 555721

(Je suis confuse, je pensais avoir pleins d'idées, mais mon cerveau a décidé de me faire défauts... :X)
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Eireen Ward
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Eireen Ward
Mar 3 Mai 2011 - 20:13
    Bonsoir.
    Tu as écrit étonnamment beaucoup en effet. J'ai mis du temps à tout lire, comme je t'ai dit dans ton MP. Alors, il y a parfois la faute de l'accord du verbe, pour le ils au pluriel. Et d'autre fautes d'accords ou d'orthographe, comme tout le monde quoi. Pour moi c'est okey.
    En ce qui concerne ton pouvoir, normalement les seules personnes qui ont le droit d'avoir une sorte de "don", ce sont les gardiennes. Cependant, comme tu seras prêtresse, nous allons faire une exception. Tu ne dois cependant pas abuser de ce pouvoir. Tu ne pourras pas envoyer des gens contre les murs ou quoi, restons légèrement réaliste. N'en abuse donc pas.
    Je te mets en chambre avec Mélyah, la numéro 51. Et tu peux dès lors aller poster au portail.

    EDIT: Oublie pas de remplir ta feuille de personnage sous ton profil. Et je t'ai envoyé l'avatar.
    Bienvenue. =P
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Misato Okazaki
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Mar 3 Mai 2011 - 20:31
Merci Misa, je vais essayer de regarder pour les fautes ^^' Ne t'en fais pas, le pouvoir psychique d'Eireen se limite à la communication avec les esprits, chose que certaine personne sont réellement capable de faire (enfin, si tu veux mon avis personnel ^^). Merci en tout cas! :D
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