| | | Mer 1 Sep 2010 - 23:51 ■ Nom : Honjô ■ Prénom : Hiromushi (■ Surnom : ) Hiro ■ Age : 17 ■ Origine : Japonaise mais vient tout droit d'amérique ■ Histoire : - Spoiler:
Comme toute fille de riche qui se respecte, Hiro a appris très tôt le piano, le violon et l'anglais. Contre toute attente, ses parents détestaient les jeux vidéos. C'était pour eux, une activité de pauvre qui ne faisait que les lobotomiser. Hiro n'a donc presque jamais jouer aux jeux de son age. Mais elle n'en était pas pour autant exclu car, ne fréquentant que des lieux pour riche, tous ses amis étaient aussi des enfants sous pression qui faisait de la musique, de l'équitation et des arts martiaux. Hiro s'était battu pour avoir le droit d'en faire, c'était un sport que ses parents jugeait trop masculin, alors âgé de 5 ans elle avait joué sur l'aspect traditionnel et c'était son grand père qui avait finalement mordu à l'appât en prenant son partit.
Hiro aurait pu avoir des cours particuliers comme beaucoup d'enfant dans sa condition, mais comme elle était voué à reprendre la firme de son père, il avait trouvé bon qu'elle se fasse des relations dans un établissement privée où les enfants des concurrents faisaient aussi leurs études. En fait, toute sa vie n'avait été qu'un calcule pour faire d'elle l'héritière parfaite. Même le couple que formait ses parents était calculé, sa mère, d'une incroyable beauté s'était marié avec son père par un choix de leurs parents respectif. Hiro soupçonnait qu'ils ne se soit jamais aimé de leur vie mais, au moins, ils avaient la même ambition. Elle n'en avait jamais eu la confirmation mais elle savait que sa mère avait dû subir des reproches car elle avait donné naissance à une fille. Elle aurait pu retenter pour avoir un garçon mais ça aurait causé tellement de problème pour l'héritage que, par crainte de couper en deux l'entreprise et le patrimoine familiale, ils s'étaient contenté de Hiro. De toute façon ils n'étaient pas déçu, Hiro était l'enfant parfaite. Elle excellait dans tout ce qu'elle faisait, chaque moment qu'elle passait à travailler, elle était d'une rigueur d'adulte. Le fait qu'elle ne regarde jamais la télé et n'avait pas d'autre passe temps que ce qu'on lui imposait l'aidait beaucoup.
A l'école, les relations qu'elle entretenait avec ses camarades étaient très stéréotypé. Tous étaient des élèves studieux mais dans son école, le niveau était placé très haut et là où quelqu'un aurait été le meilleur dans le publique, il était moyen voir nul dans cette école. Des clans s'étaient formé formant des catégories de richesse et de niveau, Hiro faisait partit des plus riches, des plus doué et surtout des plus orgueilleux. Les discutions étaient en fait plus des combats qu'autre chose, il s'agissait de définir qui était le meilleur à travers son nombre de maison de vacance, ses résultats scolaire et extra-scolaire, son charisme, sa beauté. Hiro aimait ses parents ou plutôt, elle les respectait. Alors elle donnait toujours le meilleur d'elle même pour eux et non pour elle. Ainsi elle avait finit par devenir une des meilleurs parmi les meilleurs. Avait-elle était chanceuse d'être né ainsi ou la chance n'avait elle rien à voir là dedans ? C'était une dure question sachant que sa naissance était presque le résultat d'un jeu génétique à travers le mariage arrangé de ses parents. Hiro savait qu'elle avait des facilités mais elle savait aussi qu'elle travaillait beaucoup et depuis son plus jeune âge pour viser cette perfection. Elle se pensait supérieur, non, elle était sur de sa supériorité, elle se prenait presque pour Dieu, comme si le monde lui appartenait.
Ce n'est donc pas surprenant qu'elle traine avec les meilleurs dans un clan très fermé. Tous ses amis étaient comme elle : enfant de riche, orgueilleux au possible mais aussi terriblement parfait. Enfin, ils étaient parfait selon les critères de la société mais, ils ne connaissaient que ça et rien d'autre. Il ne vivait que dans ce but, c'était la raison même pour laquelle leurs cœurs battait. A l'age de 13 ans, Hiro rencontra Kimi. C'était une fille qui avait les capacités de faire partie du même groupe que Hiro. Elle montra ses capacités très vite, c'était une vraie perle. A la différence des autres, elle était moins arrogante, simplement fière. Elle n'avait aucun besoin de montrer sa force au détriment des autres, elle savait ce qu'elle valait. Hiro ne l'aimait pas beaucoup, elle était terriblement méfiante devant cette fille qui refusait toute compétitions. En plus, elle narguait tout le monde en ayant une distraction en plus de son travail. Mademoiselle dessinait, et en plus, elle dessinait bien et juste pour le plaisir. Hiro se sentait tout simplement insulté par cette fille qui prenait tout avec tant de légèreté. Elle n'avait même pas essayer d'être parmi les meilleurs, c'était eux qui étaient venu à elle. Pourtant, cette même fille que Hiro détestait semblait l'apprécier. Elle venait tout le temps vers elle, elle essayait de la connaître, toujours un peu plus alors que celle ci faisait tout pour la fuir. Mais qui pouvait lutter contre cette fille parfaite parmi les parfait ? C'était un peu un duel de force entre elle, Hiro se plaisait à le penser. D'un coté il y avait Kimi qui voulait être ami avec Hiro et de l'autre Hiro qui ne voulait pas la voir. Hiro, sans s'en rendre compte, perdait lamentablement mais tellement lentement que la défaite n'en devint plus une. Elle finissait pas apprécier cette légèreté, cette candeur, cette douceur. C'était comme gouter à un fruit dont elle ne connaissait pas l'existence avant de sentir le goût sucré parcourir ses papilles. Hiro était tellement arrogante qu'elle ne se remit pas en question une seule seconde avant d'embrasser ce fruit si sucré. Pourquoi aurait elle dû ? Elle était parfaite, Kimi aussi, c'était donc normal que deux personnes parfaits soit ensemble. Néanmoins, elle avait la présence d'esprit de se cacher. Non pas parce qu'elle avait honte ou savait que c'était mal, mais simplement parce que, à leurs âges, ça allait être mal vu. Normalement, les conventions voulait qu'on attende le mariage choisit par les parents mais la décadence de la jeunesse faisait que des couples éphémère se formaient malgré tout mais pas avant un certain âge. Hiro ne l'avait pas atteint, c'était la seule raison.
Il aura fallut que leur relation fut découverte pour qu'elle se rende compte que le monde n'attendait pas qu'elle donne le meilleur d'elle même mais qu'elle ressemble à un idéal fixé par les mœurs. Elle s'en doutait mais pourtant, la chute fut rude. Toute les deux furent convoquées chez le directeur avec leurs parents, séparément. Les parents de Hiro ne la regardèrent pas, ils étaient humilié. Les amis, enfin plutôt ancien ami de Hiro lui expliquèrent, à leurs manières, à quel point ce qu'elle faisait été mal. Il ne pouvait existé que des paires homme-femme. Le fait que la perfection ai gagné le corps d'une personne du même sexe n'était pas une raison pour l'aimer. Il fut convenu que Hiro ne serait pas officiellement renvoyé mais ses parents l'enverrait en France pour des raisons personnel. En fait, Hiro savait qu'ils auraient pu faire un sorte qu'elle reste dans le même collège voir au moins au Japon, ils étaient juste trop humilié pour le faire. Elle avait souillé l'honneur de sa famille et ce n'était pas rien. Kimi resta au Japon mais changea de collège, Hiro n'eut plus jamais de contact avec elle, elle ne sut même pas ce qu'elle était devenue. Pour des raisons de date et pour ne pas lui faire perdre une année, Hiro recommença sa scolarité en 2nd. Elle avait des rudiments de français mais n'était pas bilingue, elle a du apprendre la langue sur le fil ce qui n'a fait que lui donner du travail supplémentaire. Elle devait apprendre une philosophie, une culture, une langue et un programme totalement différent du japon. Car bien sur, elle n'était pas dans un lycée japonais mais un lycée privé sans grande réputation. Ses parents la punissait ainsi. Quand ils avaient appris jusqu'où la concrétisation de cet amour interdit avait été, le déshonneur fut encore plus grand. Hiro soufra beaucoup de cette punition, Kimi lui manquait et le Japon aussi. Il lui fallut quelques mois pour se remettre complètement, mais après elle était bien décidé à rendre l'honneur à sa famille. En France, elle n'était plus la même Hiro qu'au Japon. Elle n'était plus surdoué en classe, elle n'était plus aussi belle, personne ne semblait connaître sa famille. Le regard que les gens portaient sur elle était totalement différent, elle se retrouvait moyenne. Sa vie entière était en chute libre et elle se retrouvait seul avec des domestiques, ses parents étant, bien sur, resté au Japon. Elle était capable de tout pour remonter la pente.
Déjà, elle arrêta le Karaté, la France ne reflétait pas la noblesse de cet art qui avait perdu toute valeur à ses yeux. Elle arrêta aussi la plupart de ses activités extra scolaire. Elle avait une piscine et un piano dans la maison de vacance de ses parents (car c'est là qu'elle habitait désormais) et pourrait s'y entrainer quand elle le voulait. En fait, elle voulait surtout avoir autant de temps possible pour travailler. Elle devait maitriser le plus vite possible ce monde occidental et se refaire une image, c'était ainsi qu'elle espérait regagner l'estime de ses parents. Heureusement pour elle, même si elle n'était plus un canon de beauté, les Français la trouvaient fascinante car elle était différente, c'était une sorte de curiosité avec laquelle on avait envie de jouer. Normalement, elle aurait été vexé d'être considéré ainsi mais, dans le cas présent, elle voulait surtout se faire vite connaître pour atteindre les sommets. Pour ça, elle n'hésita pas à sortir avec des hommes, tout en sachant que les français n'avait aucune notion de l'honneur asiatique. De toute façon, elle n'avait plus rien à perdre de ce coté là. Chaque copain qu'elle avait la remplissait d'une frustration de plus en plus insatiable. Elle en voulait toujours plus pour n'était au final que plus déçu. Elle était pourtant avec des garçons bien, charmant, gentil, bon partit. Elle ne pensait même plus à Kimi maintenant, comme une amourette d'enfance abandonné. Elle ne fit pas attention à ce sentiment qui la rongeait, son plan marchait, elle devenait de plus en plus populaire, ses notes était très acceptable et elle avait su éviter de participer au décadence occidental qui aurait pu déplaire à ses parents. Elle n'avait pas peur d'un scandale médiatique car ses parents n'étaient pas des peoples mais certain de ces amis étaient des enfants de star et Hiro savait que ses parents suivait les fait et geste de leur fille au moins dans les journaux. Sa mère venait même la voir de plus en plus souvent pour avoir de ses nouvelles de vive voix. Puis un beau jour, à force de se régime, Hiro se sentit comme éclater. C'était un sentiment très particulier, c'était comme si, sans prévenir, son coeur venait d'exploser en milliers de morceaux qui se disperser de part et d'autre de son corps. Sans qu'elle ne comprenne quoi que ce soit, elle s'était mise à pleurer, en plein milieu d'un cours. Elle était incapable de vraiment dire pourquoi, mais elle se sentait déchiré. Son petit ami du moment vint la voir et la consola comme il put. Hiro se calma mais le vide dans son coeur était le même. Ce n'est que quand une amie la prit dans ses bras, déposant un baiser sur ses lèvres (les amis en France avaient parfois ce genre de comportement, Hiro s'y était habituée) qu'elle avait comprit qu'elle se sentait tout de suite mieux, que la frustration disparaissait. Elle ne l'avait jamais remarqué avant. Pour s'assurer de la véracité de sa découverte, Hiro osa se rendre dans des endroits peu fréquentable où elle n'aurait jamais oser mettre les pieds avant : un bar lesbienne. Évidement, personne n'était au courant, elle n'était pas folle mais voulait juste vérifier si elle sentait vraiment une différence de plaisir avec un homme ou avec une femme. Il ne lui fallut pas très longtemps avant de trouver une fille qui accepter contre un petit billet de répondre à toutes ses questions. Il est même possible qu'elle aurait accepté sans mais, Hiro avait ainsi l'impression que ce qu'elle faisait était moins mal. Et, malgré le contexte déplorable, ce fut bon. Magique, transcendant.
Hiro se retrouva face à un dilemme. Si elle continuait dans cette même voie, elle allait retrouver l'honneur de ses parents, son statut social et tous ses efforts auraient été récompensé. Seulement, cette voie était en train de la détruire, elle le sentait dans son cœur. D'un autre coté, elle avait montrer à ses parents qu'elle avait tout, à ce détail près, pour leur plaire. Elle avait même réussi à survivre à leur punition alors elle avait tout prouvé. Et puis elle pourrait toujours, au travers de quelques accords, se marier avec un bon partit tout en allants passer la soirée avec des amantes de temps en temps. C'était très risqué, aussi Hiro attendit le dernier moment avant de l'annoncer à sa mère. La frustration qui lui ronger le coeur et le corps était à son apogée, elle était insupportable, comme de l'acide dans le torax et le ventre. Elle avait l'impression qu'elle allait devenir folle si elle ne l'avouait pas. Sa mère était justement de passage pour le Golden week. Bien sûr, en France ils ne le fêtaient pas et elle n'avait pas de vacances à ce moment là. Ca ne l'empêcha pas de tout dire à sa mère, son amour pour les filles et ses idées pour avoir un avenir dans l'honneur sans les enlever de sa vie car Elle les aimait bien plus que n'importe quel homme. Et sa mère la gifla, avec une force qui la fit tomber par terre. Elle lui dit ensuite une phrase qui résonnera à jamais dans l'esprit de Hiromushi :
« Tu es dégoutante ! Il faut être pervertie par le Démon pour avoir des pensées aussi immonde ! »
A partit de là, les morceaux de son coeur qui s'était brisé devinrent des grains de poussière qui s'envolèrent dans une brise.
Ses parents l'envoyèrent dans un lycée catholique en Amérique. Elle ne termina même pas son année scolaire en France. En fait, elle ne fit même pas ses bagages et partit avec juste un gros chèque pour se refaire une garde robe. Hiro savait que ses parents détestaient l'Amérique et qu'ils n'avaient cette maison à Los Angeles que pour se vanter et faire comme tout le monde. En envoyant leur fille ici, ils lui faisaient comprendre qu'elle n'existait plus à leurs yeux. D'ailleurs, les premiers signes furent les sommes astronomique qu'ils envoyaient dans son compte en banque. C'était leur manière de dire : fait ce que tu veux, on ne veut plus rien avoir à faire avec toi. Le seconde fut l'école en elle même. L'inscrire dans une école catholique était la pire insulte qu'ils pouvaient lui faire car la jeune fille était, comme presque tous les japonais, bouddhiste. Devoir supporter des messes et la présence de croix partout lui donnait envie de vomir. Elle détestait ce lycée à peut près autant que les élèves qui donnaient l'impression d'avoir un balai enfoncer dans le cul jusqu'à la glotte. Elle était d'autant plus haineuse qu'elle avait passé des mois à travailler comme une bête pour essayer de retrouver l'estime de ses parents. Elle se rendait d'ailleurs compte qu'elle leur avait donné sa vie entière. Elle n'avait existé que pour leur bonheur et n'avait jamais rien fait pour elle même. Maintenant qu'elle demandait juste un privilège, juste le droit de ne pas être parfaite, elle se retrouvait exiler loin de tout ce qu'elle aimait. Ses parents l'avaient renié mais avant ça ils lui avaient enfoncé une dernière aiguille dans la peau en la faisant entrée dans cette école minable. Hiro se persuada que ses parents n'étaient que des connards. Ils ne pouvaient qu'avoir tord sur tout, en tant que fille, elle n'avait rien à se reprocher, en tant qu'être humain non plus. Ce qu'elle faisait, ce qu'elle ressentait était très sain, elle avait beau chercher, elle ne trouvait pas ce qu'il y avait de repoussant à aimer une fille. Il n'y avait rien de démoniaque ni d'immonde. Et s'ils étaient assez stupide pour croire ça, alors elle n'avait plus rien à leur dire, elle n'avait plus rien à prouver. Elle n'avait pas à réussir ses études, elle n'avait pas non plus à essayer de faire quelque chose de sa vie. Elle n'avait plus de parents, elle non plus ne voulait plus rien avoir à faire avec eux. La japonaise renia elle aussi ses parents à mesure que ses pensées repasser en boucle dans son esprit. Elle s'amusait à brûler tout l'argent que ses parents lui envoyait en s'aménageant une salle de sport dans sa maison et en organisant des soirées monstrueuses où n'était invité que les gens louches. Et autant dire qu'à L.A il n'en manquait pas. C'était un peu comme chercher un rat dans des égouts. Elle allait de moins en moins à l'école, abandonnant complètement son travail scolaire, laissant ses notes tomber en chute libre. Bientôt, elle renia aussi son nom et son pays. Elle ne voulait pas s'avouer qu'elle avait le moindre lien avec des gens comme ses parents. En trois mois, ni sa mère ni son père n'avait essayer de la joindre. Elle commença à tomber dans le vandalisme. Au début s'était pour déverser sa colère un bon coup avec une fenêtre cassé. Puis ensuite, elle a ciblé sa colère et à vandalisé des restaurants japonais ou des magasins de jeux vidéo. Elle sortait souvent la nuit, elle prenait une batte de baseball et frappait un bon coup dans une vitrine. Bientôt, elle arrêta de rentrer chez elle, passant de plus en plus de temps dehors. Elle ne rentrait que pour manger et se laver. Elle ne dormait presque plus, elle n'arrivait plus à dormir normalement. A chaque fois, elle se retournait pendant des heures dans son lit et n'avait pas vraiment l'impression d'avoir dormit.
Et puis un jour, elle ne rentra vraiment plus chez elle. A force de créer des problèmes en ville, Hiro s'était fait un nom. Un groupe de délinquant prit contact avec elle pour la recruter. Elle accepta sans même réfléchir. Là bas elle rencontra des gens comme elle, des jeunes sans maisons ni famille qui ne vivent que dans la haine de ce monde. C'est là bas aussi qu'elle se lia plus intimement avec ses amis la drogue et son frère l'alcool. Il fallait l'avouer, c'était une réunion de désespérés qui voulaient juste attendre la mort avec une bouteille et un peu de poudre blanche dans le nez, histoire de mieux faire passer la pilule. Hiro était à ce stade aussi, l'idée ne lui avait jamais traversé l'esprit très clairement, mais elle voulait se laisser couler, tout oublier, ne plus penser, juste être là et attendre elle ne savait quoi. Hiro avait toujours un caractère très fort, elle était musclée et elle se sentait toujours aussi supérieur. De ce fait, elle ne tarda pas à se faire une petite place au chaud dans le gang. Elle faisait partit de ceux qui n'avait plus rien à prouver ni rien à perdre mais qui n'aimait pas jouer les moutons. Très vite, elle fut aussi confronté à une autre partie des gang : les guerres. C'était assez difficile d'en définir les causes réel mais il ne se passait pas une semaine sans que deux clans se réunissent et se battent. Si on cherchait vraiment, on trouvait les thèmes récurant des territoires de chasse pour voler la nourriture et se fournir la drogue mais en fait, c'était juste pour se frapper. Hiro aimait beaucoup de genre de guerre. C'était très dangereux, il y avait des morts presque tous les mois mais ça lui permettait de frapper un bon coup avec sa batte, de sentir les os craquer et, dans l'autre sens, de se prendre tellement de coup qu'elle avait parfois l'impression qu'elle allait y rester. Elle aimait ça car c'était exactement ce qu'il se passait dans sa tête : une bête qui hurle continuellement. Au fond, elle ne savait même pas pourquoi elle se battait, si c'était dans l'espoir de mourir ou bien si elle déversait juste sa colère. Dans tous les cas, ça lui faisait beaucoup de bien. Quand elle eut un peu de pouvoir, chose qui arriva très vite, sa première idée fut de lancer une attaque groupé sur son lycée. L'établissement subi la vague du gang et n'y survit pas. C'était en plein jour, en pleine heure de cours mais l'action avait été si rapide et si bien préparer qu'en 45 minutes, il n'y avait plus une fenêtre intact et 25 élèves à l'hopital. Inutile de parler de l'état des murs et des croix. Ce gang devint presque une famille pour elle, une vraie famille. Tout le monde avait touché le fond mais, tout le monde se sentait aussi tellement seul. Bien sur, les rapports étaient souvent violent et vulgaire mais c'était plus dû à leur incapacité à être doux qu'à l'envie de laisser des distances. Chacun faisait comme il pouvait. Quoi qu'il en soit, Hiro avait trouvé certaine personne de confiance qui l'aidèrent à la soulager de sa frustration. Ce n'était pas facile pour une fille de trouver d'autre fille. Il existait un trafic pour les gay et pour les hétéros mais pas pour les lesbiennes, tout simplement parce qu'il y avait trop peu de fille adepte de ce genre de pratique pour en faire un marché. Ses « amis » lui trouvèrent des filles de temps en temps. Hiro ne voulait pas savoir d'où elles venaient, tout ce qu'elle savait et sentait c'est que c'était des filles essentiellement à le recherche de nouvelle sensation. Elles les retrouvaient dans des soirées skin qui laissait supposer qu'elle soit, tout comme Hiro avant, des lesbiennes refoulé. Quoi qu'il en soit, la délinquante en profitait un maximum, de toute façon elle n'avait plus aucun respect pour personne alors il n'était même pas la peine de lui parler de sentiment. C'était plutôt la décadence à son maximum. Vous avez déjà sniffer de la cocaïne entre les seins d'une fille ? Et au milieu de plein de monde ? Avec une autre fille qui commence déjà à enlever son soutien gorge ? Hiro, oui. Souvent.
Le temps passa ainsi, prêt à durer encore des années. Hiro avait maintenant plus de 17 ans mais dans ce monde sans age, ça ne voulait pas dire grand chose. Il y avait de grande chance que dans 20 ans elle soit toujours à la même place ou bien dans un cimetière. Sa vie était déjà un peu fini à sa manière. Un jour que son gang s'opposa à un autre, pour une raison que tout le monde ignorer mais qui n'importait peut, Hiro vit quelqu'un sortir un flingue. En Amérique ce n'était pas surprenant mais Hiro détestait ça, elle trouvait cette arme très sale et indigne de ce champ de bataille. D'une main ferme elle brandit sa batte et colla un bon coup dans la tête du gars qui s'étala pas terre. Ensuite, ce fut facile de l'achever à grand coup de batte. Elle avait des éclaboussures partout sur les bras et le visage. Elle n'eut pas le temps de vérifier s'il était en vie, des sirènes de police résonnait toute proche. La seul et unique règle des guerres de gang était de s'enfuir quand la police arrivait et de ne pas rentrer au QG avant 24h. Hiro partit donc et elle courait très vite. Les enfants des rues avaient l'avantage que, à l'instar des policiers, ils connaissaient les rues comme leur poche. Hiro savait même faire quelques acrobaties pour monter vite sur les toits par l'échelle de secours. Très vite, elle fut sortie de la ville. Ce n'était pas très malin car il n'y avait que du désert autour de L.A et elle serait à découvert mais, au moins, elle s'éloignait de la ville et donc du QG et des autres membres des gangs. Il lui restait encore quelques heures à attendre, faute d'avoir une meilleur idée, elle grimpa un immense portail devant elle. Quand elle atterrit sur le sol, elle se rendit compte qu'il s'était ouvert tout seul et se félicita de sa connerie. Hiromushi se sentait très mal, elle était affaiblit par la faim et la fatigue et était probablement fiévreuse. Sans comprendre ce qu'il lui arrivait, elle s'évanouit.
■ Apparence physique : Hiro a de très long cheveux noirs, lisse et négligé, les yeux noirs plissés, typique des asiatiques. Elle fait 1m67 pour 60 Kilos, tout en muscle et en os. Son corps entier est marqué par des cicatrices, des hématomes plus ou moins récent qui ne disparaitront probablement jamais. Beaucoup de ses os sont déplacés ce qui lui donne une démarche un peu gauche, au allure boitant. Sur son bras gauche elle a des cicatrices de piqure d'héroïne. Malgré cette apparence austère se cache une part de féminité qu'elle cache avec des vêtements asexuel. Seul son visage témoigne de la jeune fille qu'elle aurait du être. Sans cicatrice il est parfaitement lisse et élégant mais son nez plusieurs fois cassé détruit un peu la beauté de son visage et son regard, perçant et dure fait bien trop peur pour qu'on puisse profiter de la grâce du visage. Il n'y a que quand elle drague qu'elle met cette atout en avant. ■ Caractère :Hiromushi honjô est quelqu'un de très vulgaire et de particulièrement violente. Si elle ne t'aime pas, autant dire que tu vas finir agresser au milieu de la rue dès que tu sortiras tes poubelles. Et ceci ne masque même pas un coeur tendre. Non, Hiro n'a plus de coeur depuis longtemps. Elle est allé tellement proche des ténèbres qu'elle ne veut même pas en sortir, un peu comme si elle s'était fait un nid douillé en enfer. Son seul coté "agréable" est son envie irrésistible de draguer tout le monde. Et elle ne s'arrête pas qu'au jolie mot, c'est une fille tout ce qu'il y a de plus libre de corps et d'esprit. Quand elle drague une jolie fille, elle sait être très gentille et très aimable, mettre toute ses qualités en avant. Malheureusement, elle ne connait pas d'intermédiaire entre "une vieille merde dont elle se fou de la vie" et "une belle gazelle que je me taperais volontiers". Autrement dit, elle ne connait plus le sens de la vrai amitié. Elle connait juste la complicité qu'on peut ressentir pour quelqu'un en se battant avec lui ou contre lui. Depuis qu'elle est à Etiopia, Hiro a accepté l'idée qu'elle ne pouvait plus rentrer sur terre et qu'elle n'avait d'autre choix que d'avancer, Akane l'y aide en l'incitant à revenir en cours et en calmant ses mauvais cotés. Malheureusement, l'ancienne délinquante a beaucoup de mal à réapprendre à vivre d'autant qu'elle se trimbale pas mal de dépendance notamment au sexe, à l'alcool et aux drogues dur. ■ Travail : lycéenne ■ Club: A voir plus tard, pendant le RP ■ Ce qu'elle aime : Casser des trucs. ■ Ce qu'elle n'aime pas : Les jeux vidéos, les gens sensible et fragile qui pleure facilement. (■ Autres : ) Petit bonus de l'histoire d'Hiro : -Elle a commencé le karaté dans un grand dojo à 5 ans et à arrêté vers 15 ans, elle est quand même ceinture ceinture noir. Elle a arrêté en arrivant en France. -Hiro parle couramment le japonais, le français, l'anglais (usa) mais aussi le chinois qu'elle a appris dans sa jeunesse. Bien sûr, sur Etiopia ça n'a aucune valeur. -Hiro sait jouer du piano et du violon. -Elle a arrêter de manger de la nourriture japonaise à son arrivé en Amérique et n'a recommencer qu'avec Akane. -Elle a aussi arrêter toute pratique lié au japon depuis qu'elle a renié ses parents. Elle recommence petit à petit. -Hiro a continué à faire du sport dans une salle de sport rien que pour elle en Amérique, durant le temps où elle n'était pas encore à la rue. -En total elle a passé 1 an et demi dehors. -Hiro n'a été que dans des écoles privée et à donc reçu un très bonne enseignement. Mais comme elle a changé trois fois de continent et qu'elle a arrêté les études à 15 ans (presque 16), elle est très cultiver dans certain domaine mais complètement ignorante dans d'autre. -Elle est inscrite au lycée d'Etiopia mais n'y a fait son entrée que 3 mois plus tard avec Akane. Elle est en 1ère. -Hiro n'a jamais beaucoup regarder la télé ni d'ordinateur. Mais ce n'est pas parce qu'elle n'aime pas la technologie, juste qu'elle n'a pas le temps. -Elle avait un portable avant mais elle l'a jeter dans les égouts quand elle a quitté sa maison. -Elle fréquente souvent le bar à strip tease d'Etiopia ■ Code : Misato toute fatiguée. | |
| Hiromushi HonjôÂme qui Rode ☂ Age : 30 Messages : 403
Identité Age: 21 Ans Origine: Japonaise Métier: interne en chirurgie
| | Jeu 2 Sep 2010 - 13:44 Ohyez Ohyez Hiromushi Honjô. Comme j'immagine que tu sais ce que je vais dire...je vais pas le dire. xD Non je rigole. Donc très bonne idée comme histoire. T'a toujours l'immagination allumée ou quoi? =D Bon, y a des fautes d'ortographe, d'accord et de conjuguaison, alors comme tu es une perfectionniste, tu vas corrigé ça n'est-ce pas? En attendant je continue tes recherches d'avatars. T.T D'ailleur tu m'a envoyé un MP je crois. Je vais aller voir de qui tu parlais, et te la mettre en avatar au moins pour attendre le définitif. Parce que...RP sans avatar c'est compliqué pour ton partenaire. Voilà tout.
Donc tu peux aller demander ta chambre à l'hôtel, sous la session hors forum. Et faire ton entrée au portail, ou juste y passé :P
BIENVENUE DE NOUVEAU.
EDIT: J'ai fait un très vite caca montage pour que tes cheveux soient noir pour l'instant. Mais t'inquiète pas hin, c'est temporaire cet avatar. xD | |
| Misato Okazaki~ Fondatrice à la Vanille ღ Misato Okazaki Genre IRL : Age : 36 Messages : 1121 Identité Age: 20 Années Origine: Norvégienne Métier: Démographe
| | Ven 3 Sep 2010 - 12:12 Bienvenue jeune rebelle. Tu tâcheras de ne pas venir maltraité mon tendre volcan. Ou je te brûle les fesses. | |
| Reiya Morioka➸ En Cours de Familiarisation Genre IRL : Age : 34 Messages : 23 Identité Age: 28 Ans Origine: Groenland Métier: Pacificatrice
| | Dim 5 Déc 2010 - 20:47 Bon je précise, je mets à jour son histoire de temps en temps pour rajouter des détails sans importance mais pour que je ne les oublies pas au fur et à mesure. | |
| Hiromushi HonjôÂme qui Rode ☂ Age : 30 Messages : 403
Identité Age: 21 Ans Origine: Japonaise Métier: interne en chirurgie
| | Mar 22 Fév 2011 - 23:53 Juste pour dire que j'ai refais l'histoire du personnage en mieux ! | |
| Hiromushi HonjôÂme qui Rode ☂ Age : 30 Messages : 403
Identité Age: 21 Ans Origine: Japonaise Métier: interne en chirurgie
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